Submitted by Fabio Sobreira Campos da Costa (fabio.sobreira@ufpe.br) on 2016-07-14T12:37:11Z No. of bitstreams: 2 license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) DISSERTAÇÃO FINAL - SUZANí 2015.pdf: 1612293 bytes, checksum: d8d35e86ee70c7f5ae6ce704d4215900 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-07-14T12:37:11Z (GMT). No. of bitstreams: 2 license_rdf: 1232 bytes, checksum: 66e71c371cc565284e70f40736c94386 (MD5) DISSERTAÇÃO FINAL - SUZANí 2015.pdf: 1612293 bytes, checksum: d8d35e86ee70c7f5ae6ce704d4215900 (MD5) Previous issue date: 2015-10-29 / A presente pesquisa teve por objetivo investigar a cadeia multiplicadora do Pacto Nacional pela Alfabetização na Idade Certa (PNAIC), no que se refere aos encontros do tipo formador e orientadores de estudos (F-OE) e, do orientador de estudos com os professores cursistas (OE-P), a fim de apreender como ocorreu a dinâmica daquela formação continuada. Buscou-se identificar quais eram as concepções dos agentes participantes sobre formação em rede, assim como as expectativas, prioridades e avaliação deles acerca do programa PNAIC. Outro objetivo específico foi analisar como eram realizados aqueles diferentes encontros de formação continuada, de modo a identificar os tempos e direitos de expressão dos atores envolvidos. Esta pesquisa abordou discussões acerca da formação continuada do profissional da docência, especificamente, dos alfabetizadores, situando-se na perspectiva reflexiva, no debate acerca das mudanças e permanências do ensino da alfabetização no Brasil nas últimas décadas e, em recentes programas de formação continuada que foram anteriores o PNAIC. Estes debates fizeram parte do marco teórico, contribuindo, assim, para a investigação. Adotando uma perspectiva qualitativa, realizamos a coleta de dados, através de dois blocos de entrevistas, semi-estruturadas, realizadas com os agentes de formação, assim como, observação de dois encontros do tipo formador e orientadores de estudos, num total de 48 horas, e do orientador de estudos com os professores cursistas, num total de 20 horas. Para o tratamento dos dados utilizou-se a análise de conteúdo de Bardin. Os principais resultados da pesquisa foram: os agentes de formação possuíam uma boa compreensão sobre formação em rede, o que tudo indica, decorria do fato de possuírem larga bagagem teórico-pedagógica acumulada ao longo de suas trajetórias profissionais. Foi revelada, em relação às práticas, a provável necessidade de maior espaço de tempo durante os momentos OE-P, para planejamento dos cursistas junto às suas turmas de alfabetização, assim como ocorria com os orientadores de estudos nos encontros F-OE. Evidenciou-se, ainda, pouco espaço de verbalização dos atores envolvidos, durante a formação, no que se refere ao cotidiano das salas de aula de alfabetização, assim como de suas necessidades e desafios. / Cette recherche a eu pour but étudier la chaîne multiplicatrice du “Pacto Nacional pela Alfabetização na Idade Certa » (PNAIC), en ce qui concerne les rencontres du type « formateur et orientateurs d‟étude »s (F-OE) et de l‟orientateur d‟études avec les enseignants participants du cours (OE-P) pour pouvoir comprendre comment se passe la dynamique de cette formation continue. Nous avons cherché à identifier quelles étaient les idées des agents participants à propos de la formation en réseau, ainsi que leurs attentes, leurs priorités et leur évaluation du programme PNAIC. Un autre objectif spécifique a été d'analyser comment étaient réalisées celles différentes réunions de formation continue, pour identifier les temps et les droits d'expression des acteurs impliqués. Cette recherche a abordé des discussions sur la formation continue du professionnel d‟enseignement, principalement les professeurs d‟alphabétisation, en se situant dans la perspective de réflexion, dans le débat sur les changements et les continuations de l'enseignement d'alphabétisation au Brésil au cours de ces dernières décennies et dans des récents programmes de formation continue qui ont été les précurseurs du PNAIC. Ces discussions ont fait partie du contexte théorique, contribuant ainsi à la recherche. En adoptant une approche qualitative, nous avons effectué la collecte de données, par le biais de deux blocs d'entretiens semi-structurées, réalisés avec les agents de formation, ainsi que l'observation de deux rencontres du type formateur et orientateurs d'études, faisant un total de 48 heures et de l‟orientateur d‟études avec les enseignants participants du cours, faisant un total de 20 heures. Pour le traitement des données nous avons utilisé l'analyse de contenu de Bardin.Les principaux résultats de la recherche ont été: les agents de formation avaient une bonne compréhension de la formation en réseau, ce qui semble dire qu‟ils possédaient une adequate formation théorique-pédagogique accumulée tout au long de leur carrière. Il a été révélé, en ce qui concerne les pratiques, le problable besoin de temps suplémentaires lors des rencontres OE-P, pour la planification des participants du cours avec leurs classes d‟alphabétisation, comme cela se passait avec les orientateurs d‟études lors des rencontres F-OE. Il a été observé aussi pendant la formation la manque de temps pour la verbalisation sur le thème du quotidien dans les salles de classe d‟alphabétisation, les besoins et les défis des acteurs impliqués.

Cette thèse porte sur la création de connaissances scientifiques et technologiques,et son lien avec la géographie et le réseau social. En ce sens la thèse s’attacheà mieux identifier le rôle du réseau social dans la production de connaissance, et à éclairerle lien entre réseau social et géographie dans la formation des collaborations, en mettanten avant dans quelles conditions le réseau permet de s’affranchir de cette dernière. Acet égard, cette thèse apporte plusieurs contributions théoriques, méthodologiques et empiriques.L’essentiel de la thèse s’applique à assembler les mécanismes qui lient le réseausocial à la production de connaissances. La discussion théorique est ensuite appuyée parune analyse empirique dans deux contextes liés la création de connaissances. D’une partla thèse analyse la formation du réseau des collaborations scientifiques en Europe dansle domaine de la chimie, mettant en avant l’interaction réseau versus géographie dansla formation des collaborations. D’autre part, elle évalue le rôle du réseau d’inventeurdans la performance des zones d’emploi françaises en termes de production d’innovation,en se focalisant sur le type de structure de réseau qui favorise le plus l’innovation. Lesrésultats principaux sont que l’expansion du réseau social – mesuré par la connectivitédes inventeurs – a un effet bénéfique sur l’innovation. De plus, il est montré que le réseausocial permet en partie de s’affranchir de la barrière géographique pour collaborer. Cesrésultats apportent des éclairages sur le rôle du réseau dans l’organisation spatiale desactivités scientifiques et technologiques / This thesis pertains to understanding how social networks and geography affect thecreation of new knowledge. More precisely, this thesis will question how the social networkof collaboration can influence the production of knowledge, how do geography and thesocial network interact, and whether the social network can help to bypass geography. Answeringthese questions required to make some theoretical, methodological and empiricalcontributions. One part of the thesis gathers the mechanisms linking the social network toknowledge creation, while another focuses on the interplay of geography and the networkinto the collaboration process. Following this theoretical discussion, two empirical studiesare laid out. First, it assesses the formation of scientific collaborations in Europe in thefield of chemistry. This study focus on the competing role between the social network andgeography to shaping new collaborations. Then, the thesis comes to evaluate how thenetwork of inventors influence the innovation performance of French employment areas.In particular, a specific methodology is set up to address what kind of network structurefavours the most collaboration. The main results of this thesis are that an increase inthe connectedness of inventors is always beneficial to urban innovation performance. Wealso show that social network act as a substitute to geographic distance, so that socialnetwork allows to alleviate the burden of distance. These results shed light on the role ofthe network in shaping the spatial distribution of the scientific and technological activity.