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La forme du dialogue chez Platon : une étude « poétique » du Phédon

Kramar, Natalia 08 1900 (has links)
Le présent mémoire, qui s’inscrit dans l’approche dialogique des études platoniciennes, vise à expliciter la notion de forme du dialogue chez Platon, et ce, par le biais d’une analyse « poétique » du Phédon. Dans un premier temps, une définition provisoire et approximative de cette notion sera formulée à la suite de l’examen de ses significations dans les travaux des auteurs du courant dialogique : la forme du dialogue est une forme littéraire, poétique ou dramatique, conçue comme une totalité formée de parties, gouvernée par la « nécessité logographique » et ayant une structure telle que les éléments les plus importants du dialogue figurent en son centre (en anglais : “pedimental” structure). Dans un deuxième temps, il s’agira de préciser davantage ce en quoi consiste cette forme, en posant – et en faisant une tentative de justifier – la possibilité de l’examiner sous l’angle de la Poétique d’Aristote (qui porte essentiellement sur la tragédie). Enfin, l’analyse du Phédon à partir de la Poétique aristotélicienne révèlera la forme de ce dialogue comme une forme « pédimentale » dynamique, composée de trois mouvements, traduisant – mieux, « mettant sous les yeux » – le mouvement de la pensée de Socrate (c’est-à-dire, de son âme, quintessentiellement rationnelle) en train d’élaborer la méthode d’hypothèses, et, plus généralement, une théorie de la science. Ce sont : 1) le mouvement ascendant, préscientifique, de la première partie, 2) le mouvement de retournement et de révolution « théorique » dans la partie centrale, 3) le mouvement descendant, déductif ou scientifique, de la troisième partie. / This master’s thesis, which adopts the dialogical approach to Plato studies, aims to clarify the concept of Plato’s dialogue form by means of a “poetic” analysis of the Phaedo. Firstly, after having studied the meanings of the notion of dialogue form in a range of studies that fall within the dialogical approach framework, we propose a provisional definition of the dialogue form: it is a poetic, literary or dramatic form, designed as a whole composed of parts, governed by the “logographic necessity”, and characterized by a “pedimental” structure (a structure in which the most important things are put in the centre, by analogy with the figures that are arranged in the triangular pediment of a Greek temple). Secondly, having supposed that this notion could be further clarified by applying Aristotle’s analysis of tragedy in the Poetics to Plato’s dialogues, we attempt to justify this application. Finally, the analysis of the Phaedo from Aristotle’s “poetic” perspective reveals this dialogue’s “pedimental” dynamic form, which is organized in three movements and seems to translate – or “visualize” – the movement of Socrates’ thought (i.e. of his quintessentially rational soul) while constructing the method of hypotheses, and, more generally, a theory of science. The three movements comprise: 1) the upward (pre-scientific) movement of the first part, 2) the “theoretical” mouvement (turning and revolution) of the central part, and 3) the downward (deductive or scientific) movement of the third part.
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La protection sociale des fonctionnaires : étude critique d’un régime spécial / Social protection of the civil servants : critical review of a special social security scheme

Pierron, Luc 03 November 2016 (has links)
Les régimes spéciaux de sécurité sociale des fonctionnaires nourrissent la mythologie française. Leur simple évocation fait généralement l’unanimité, que l’on en parle comme d’avantages acquis, de privilèges catégoriels ou de rémanences du passé. Qualifier juridiquement la protection sociale des fonctionnaires de régime spécial de sécurité sociale présente pourtant certains biais. La notion de « régime » implique une relative cohérence d’ensemble. L’intégration dans la « sécurité sociale » induit le respect des mêmes principes et modes de fonctionnement que l’institution. Le qualificatif « spécial » laisse à penser que ledit régime entretient un rapport de spécial à commun avec le régime général. Ces trois items n’en sont pas moins contestables. La protection sociale des fonctionnaires est une construction itérative, étalée sur plus d’un siècle, où prestations et garanties reposent chacune sur une logique qui lui est propre. Un large pan de cette protection sociale consiste en une couverture administrative, endossée directement par les employeurs publics. Le régime général n’est pas le droit commun de la sécurité sociale. Cela étant dit, c’est une autre étude de la sécurité sociale en général et de la protection sociale des fonctionnaires en particulier qui peut débuter. Le tout pour conclure à une crise d’identités : c’est dans son intégration à la sécurité sociale que la protection sociale des fonctionnaires parvient le mieux à exprimer sa singularité ; mais c’est parce que la protection sociale des fonctionnaires tend à être assimilée à la sécurité sociale qu’il convient d’en admettre la relativité. / Special social security schemes for civil servants belong to the French mythology. Their mention is usually embraced by all, which is spoken of as long-acquired habits, categorical privileges or afterimages of the past. Legally qualify social protection of the civil servants of special social security schemes raise questions. The concept of « scheme » implies a relative overall consistency. The integration to the « social security » means to respect the same principles and operating modes as the rest of the institution. The adjective « special » suggests that the scheme has the same relationship to general scheme as special law to ordinary law. These three items are questionable. Social protection of the civil servants is an iterative construction, spread over more than a century, where the benefits and guarantees each based on its proper logic. A large part of this social protection consists of an administrative cover, endorsed by public employers. The general scheme is not the ordinary social security law. That being said, this is another study of social security in general and social protection of the civil servants in particular who can begin. All for finding an identity crisis: with its integration to social security, social protection of the civil servants succeeds in expressing its uniqueness; but it’s because this social protection tends to be equated with social security that relativity may be deduced from it.

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