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Odologie et présence des gens du voyage en France. : Blocages, passages et nœuds des espaces de vie voyageurs / Odology and presence of Nomadic people in France : Blockages, crossings and nodes of Travellers’s living places

Loiseau, Gaëlla 24 June 2019 (has links)
Cette thèse analyse la manière dont les voyageurs créent leurs espaces de vie dans la mobilité aujourd’hui en France et plus particulièrement dans l’Hérault où la chercheuse a exercé la fonction de médiatrice départementale auprès des gens du voyage entre 2004 et 2013. La thèse s’appuie sur le webdocumentaire Des Aires. Vivre en habitat mobile (www.desaires.fr) que la chercheuse a réalisé en 2017. Les acteurs étudiés sont principalement des Manouches, Sintis, Yéniches, Gitans ou Roms français mais aussi des Gadjé (non-Tsiganes) qui déclinent leur identité à partir de la catégorie administrative « gens du voyage » utilisée par l’administration française. Prenant pour objet les espaces de vie voyageurs, cette thèse examine les processus à l’œuvre dans l’émergence, la co-construction et la stabilisation temporaire de ces espaces où les vies des voyageurs comptent, où elles sont « en jeu », négociées, influentes ou mises en scène. La particularité de cette thèse repose sur une analyse des conflits de territoire entre nomades et sédentaires à partir de la circonscription des effets attachés à la présence des gens du voyage ; cette notion de présence voyageuse devenant au fil de cette thèse un « bien fictif » faisant l’objet de négociations qui s’apparentent à des « nœuds » permettant de stabiliser un mode de vie mobile. Ce parti pris rend possible l’identification des paradoxes qui régissent le mode de vie « sur le voyage », au-delà des effets de catégorisation. Le concept utilisé pour analyser le processus d’ouverture de l’espace voyageur est celui d’odologie forgé à partir du grec odos qui se rapporte à la fois au chemin et au seuil. La thèse est découpée en trois parties portant sur l’omniprésence voyageuse (partie I), les médiations sur le voyage (partie II) et les bifurcations voyageuses (partie III). / This thesis analyzes the way in which travelers create their living spaces in mobility and / or from their mobile housing today in France and more particularly in Hérault where the researcher has been involved as a departmental mediator for Gypsies and Travellers between 2004 and 2013. The thesis is focused on the webdocumentary Des Aires. Living in mobile housing (www.desaires.fr) that the researcher realized in 2017. This thesis examines the processes at work in the emergence, co-construction and temporary stabilization of these spaces where the lives of travelers count, where they are "in play", negotiated. , influential or staged. The peculiarity of this thesis rests on an analysis of territorial conflicts between nomads and sedentaries from the constituency of the effects attached to the presence of Travelers; this notion of traveling presence becoming, over the course of this thesis, a "fictitious good" being the subject of negotiations that are similar to "nodes" making possible to stabilize a mobile lifestyle. This bias makes it possible to identify the paradoxes that govern the way of life "on the journey" beyond the effects of categorization. The concept used to analyze the opening process of the traveler's space is that of odology forged from the Greek odos which refers to both the path and the threshold. The thesis is divided into three sections dealing with traveling omnipresence (part I), mediations on travel (part II) and traveling bifurcations (part III).
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Les gens du voyage, locaux ou cosmopolites ? La gestion publique du nomadisme en France.

Bidet, Marie 01 December 2009 (has links) (PDF)
Le territoire est le lieu d'affirmation d'une autorité politique préoccupée par les questions d'ordre public et de sécurité. Le pouvoir politique, dans ses formes modernes, a besoin d'assigner ses sujets à résidence, il s'accommode donc mal d'un nomadisme qui contrevient à ses modalités et principes de fonctionnement. Cette thèse s'attache à montrer comment l'Etat s'organise pour faire face à la mobilité d'une partie des populations tsiganes qu'il a catégorisée sous l'appellation « gens du voyage ». Cette question renvoie à une double dimension : celui du contrôle de ces populations qui concerne le niveau central et celui du stationnement des ces dernières qui relève du niveau local. Cette recherche propose donc d'étudier la gestion publique du nomadisme à partir de la loi Besson du 5 juillet 2000 relative à l'accueil et l'habitat des gens du voyage, qui prévoit l'obligation pour les communes de plus de 5000 habitants de disposer d'une aire d'accueil pour les gens du voyage. Il s'agit de montrer en quoi la gestion du nomadisme, à travers cette loi, n'est régulée que de façon partielle, puisque les enjeux de contrôle et d'accueil ne représentent qu'une partie du problème, mais sur lesquels les autorités ont décidé de se focaliser. La loi Besson de 2000 est la première loi à prévoir l'accueil des gens du voyage et combine une double logique d'accueil et de contrôle par le biais de l'aire d'accueil, avancée comme solution technique à ces problèmes. Elle prévoit finalement une répartition équilibrée, et somme toute assez classique, entre les niveaux local et central : aux collectivités territoriales la mise en œuvre de la loi, à l'Etat d'en faire assurer le bon déroulement.
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Nomads in the liberal state : liberal approaches to the problem of Roma and traveller itinerancy

Haggrot, Marcus Carlsen January 2017 (has links)
May the state, from a liberal point of view, operate laws and institutions that impede the mobile lifestyle of nomadic Roma and Travellers, or should the state take steps to accommodate their nomadic way of life? This is the essence of the problem of Roma and Traveller itinerancy and the question that is at the heart of this three-partite dissertation. The first part of the dissertation looks at public policy in France and the United Kingdom and describes the six public policy problems that constitute the problem of Roma and Traveller itinerancy. These problems concern the education of children, the French travel permits system, the legal conditions for voter registration and for GP registration, the housing benefits system, and the public provision of halting sites. The second part looks at liberal political theory. It suggests that contemporary liberalism divides into two strands that take different views on the entitlements of cultural and religious minorities, and it provides a detailed outline of the prime articulations of each approach, namely the multiculturalist liberalism of Kymlicka and the classic neutrality liberalism of Barry. The third part investigates what the two said liberalisms imply for the six policy problems from part 1. These analyses suggest that the two liberalisms have slightly diverging implications for the halting sites problem, the housing benefits problem and the problem of GP registration. They suggest furthermore that the two accounts converge on the question of voter registration and agree that the voter registration system must accommodate nomads, and may not make the possession of a fixed residence an absolute condition for voter registration. And the analyses suggest finally that the two liberalisms also converge over the education question and the travel permits question, but here support polices that are potentially inimical to Roma and Traveller itinerancy. The broader implications of these findings are that liberalism is potentially, but not necessarily and not intrinsically, inimical to Roma and Traveller nomadism, and that the disagreement between classic neutrality liberalism and multiculturalist liberalism is weak insofar as public policy is concerned.
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« Quand dire, c’est être ! » : anthropologie de la parole au sein de la communauté Manouche / «when saying is being !» : anthropology of speech within the “Manouche” community

Lerossignol, Bertrand 12 December 2012 (has links)
L’auteur retranscrit vingt-cinq années de vie vécues parmi la communauté dite « des gens du voyage ». Il a fait le choix de s’attacher à présenter la construction sociale dans la communauté. Cette organisation permet de maintenir la cohésion dans les groupes. L’intitulé de la thèse est parfaitement démontré dans le texte riche de moments forts, de descriptions précises, au terme de l’exercice universitaire, le paradigme, « quand dire c’est être » est avéré. Etranger à cette culture, l’anthropologue choisit la réflexivité comme outil d’analyse, il en ressort une vision exacerbée de ce qui fait la culture Manouche. En trois parties, l’auteur développe, sous la forme de son initiation dans la communauté, les étapes de la construction sociale de l’individu pour qu’il devienne conforme aux valeurs Manouches. L’accès à la parole n’est pas inné, mais acquis au fur et à mesure de la croissance naturelle de l’individu dans la communauté. Ce dernier apprend les qualités de la parole, il s’exerce à « bien parler », à « tenir sa bouche », à « parler de sa hauteur ». Personne dans toute la communauté Manouche n’a le monopole de la parole, lorsqu’un individu parle, il engage sa personne, son rang, sa renommée, mais ne peut pas parler au nom des autres, sans que cela ne soit considérer comme un excès de pouvoir. La communauté règle ses relations par l’usage d’un concept endogène appelé « i era », ce qui se traduit en français, comme « le respect ». Cette notion sociale régit tous les rapports entre les différents rangs sociaux, dans les relations sexuées, dans les comportements des uns envers les autres, des groupes envers d’autres groupes, c’est une notion partagée par l’ensemble des Manouches. Les Manouches construisent un espace de vie, qui va de la sphère la plus petite celle du foyer, la caravane, vers la sphère de la place, l’ensemble de caravanes juxtaposées, intégrée dans la sphère large du Monde, l’ensemble des individus qui vivent comme eux, ceux qui leur ressemblent. Au-delà de ce territoire il n’y a rien que la société englobante ou majoritaire dont les Manouches tirent leurs subsistances en y établissant des relations économiques. Pour construire la frontière entre ce qui est leur Monde et le reste des individus, les Manouches construisent dans le discours l’altérité. Celui qui n’est pas Manouche est, comme l’a choisi l’auteur, qualifié de « yalo », le « cru ». Au terme de ce travail universitaire, l’auteur ouvre pour l’anthropologie sociale des thèmes de recherche pour la science dans les notions d’identité, de pluralité des identités, de construction de territoires, l’espace Manouche, les sphères de vie, la construction de l’échange, l’usage de la langue Manouche. Un document scientifique sanctionné par la mention très honorable. / The author describes twenty five years of life within the community known as « gypsy travellers ». He has endeavoured to show the social construction within the community. This organisation maintains cohesion among its various groups. The thesis’ title is perfectly demonstrated with a text that offers a wealth of memorable moments and accurate descriptions; at the end of this academic exercise, the 'when saying is being' paradigm is clearly defined. He remains uninvolved with this culture, the anthropologist chooses reflexivity as an analysis tool, showing an exacerbated vision of the Manouche culture. With this three-part work, the author develops, in the form of his initiation within the community, the different steps of the individual’s social construction, as he becomes true to the Manouche values. Access to speech is not innate, it is gradually acquired by the individual according to his natural growth within the community. The latter learns speech qualities, he tries hard to 'speak properly', to 'think carefully before speaking', to 'speak in accordance with his social ranking'. Nobody within the Manouche community has the monopoly of speech, and when someone talks, he engages his own rank and his reputation, but cannot speak on behalf of others. It would otherwise be considered as an excess of power. The community adjusts its own inner relationships with the help of an endogenous concept called 'i era', i.e. 'respect'. This social notion governs the relationships among various social ranks, including sexed gender relationships and behaviours between different people and groups towards other groups. This represents a notion that is shared by all Manouche. The Manouche community organizes its own living environment, from the smallest sphere (the home, the caravan) to the square sphere, i.e. the ensemble of juxtaposed caravans integrated within the world’s widest sphere - that which encompasses all the people that live and look like them. Beyond this intellectually spatial territory, there is nothing but the inclusive and majority society from which the Manouche make a living while building economic relationships. So as to establish a border between their world and the rest of human beings, the Manouche develop in otherness discourse. A non-Manouche is, as stated by the author, a 'yalo', meaning a 'raw'. At the end of this academic work, the author opens up for social anthropology a few potential scientific research topics, including identity notions, plurality of identities, building of territories, Manouche space, life spheres, setting up of exchanges, the use of Manouche language. This work was awarded first class honours.
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Gypsies et Travellers au Royaume-Uni et leur image dans la presse entre 1997 et 2010 / Gypsies and Travellers in the United Kingdom and their image in the press between 1997 and 2010

Presber, Ingrid Lucia 19 November 2012 (has links)
Les principaux stéréotypes relatifs aux Gypsies présents dans la presse britannique contemporaine sont fermement enracinés dans une perception historique homogène et persistante faite d’incompréhension envers cette communauté ethnique non-indigène, dépréciée et rejetée depuis près de six siècles. L’examen de l’histoire du peuple romani - à partir de la migration hors de l’Inde jusqu’à la tentative de génocide sur le continent européen entre 1933-1945 - permet d’éclairer l’attitude de la presse britannique envers la minorité romani (gypsy). On peut être frappé par la ténacité et la prégnance des préjugés et stéréotypes et l’évolution constatée pendant la période étudiée n’en est que plus significative. Le thème dominant demeure le mode de vie non-sédentaire qui déclenche l’hostilité envers les Gypsies et Travellers souvent présentés comme un groupe social marginal, soucieux de profiter d’un statut de minorité ethnique pour servir ses intérêts propres et sans offrir en retour une contribution à l’harmonie et à la prospérité de la société dans son ensemble. Mais l’antithèse - qui les présente comme victimes de préjugés ainsi que de lois inadaptées à leur héritage culturel - tend à prendre de l’ampleur. Une politique plus compréhensive adoptée par le gouvernement New Labour, dans le cadre de sa promotion de la diversité et du multiculturalisme, conjuguée avec une mobilisation des communautés gypsy et traveller (utilisant notamment les nouvelles technologies et s’appuyant sur les groupes de pression) ont permis de noter une amélioration récente du statut de ces minorités de tradition non-sédentaire et l’évolution concomitante de leur couverture par une partie de la presse reflète et renforce à la fois ce changement. Les progrès constatés dans la situation réelle des communautés gypsy et traveller et dans leur représentation médiatique demandent à être confortés mais ils semblent bien acquis et notamment être de nature à faciliter la résistance à la politique moins favorable menée par le gouvernement de coalition depuis 2010. / Gypsies (or Romanies) have been denigrated and rejected for nearly six hundred years and the consistent historical perception of stereotyping and misunderstanding of this non-indigenous ethnic community is perpetuated by the contemporary British press. Romani history, from migration out of India to the genocide in Europe in the 20th century and more contemporary events has set the backdrop against which contemporary society and the British press have adopted a tenacious and pervasive attitude of stereotyping and prejudice towards the Romani (Gypsy) minority, a trend which will be evident in the analysis provided by this thesis. The dominant theme is the non-sedentary lifestyle that has triggered the hostility of ‘respectable’ sedentary society against Gypsies as well as Travellers. The minority, marginalised groups can sometimes be portrayed as being intent on using their minority status for personal gains whilst not contributing to the harmony and prosperity of society as a whole. The antithesis, which seems to be gaining ground, presents them as victims of prejudice as well as of laws which are incompatible with their cultural heritage. The New Labour government adopted comprehensive policies to address the promotion of diversity and multiculturalism and, together with the mobilisation of the Gypsy and Traveller communities (notably aided by the use of new technologies and the support of pressure groups), there have been recent improvements of the status of these traditionally non-sedentary communities, and the simultaneous development of their coverage by a part of the press both reflects and reinforces this change. The British press has represented Gypsy and Traveller communities more favourably of late, with the progress and gains afforded by New Labour. Those gains must be consolidated and sufficiently robust to resist the less favourable policies of the coalition government since 2010.

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