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Der Beginn des byzantinischen Bilderstreites und seine Entwicklung bis in die 40er Jahre des 8. Jahrhunderts /Stein, Dietrich, January 1980 (has links)
Inaug.-Diss.--Fachbereich evangelische Theologie--München, 1978. / En annexe, texte grec de la correspondance de Saint Germain de Constantinople. Bibliogr. p. I-X. Index.
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Der Horos des Zweiten Konzils von Nizäa 787 : Interpretationen und Kommentar auf der Grundlage der Konzilsakten mit besonderer Berücksichtigung der Bilderfrage /Uphus, Johannes. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Katholisch-Theologische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 2002. / Contient le texte grec de la décision du Concile de Nicée II avec sa traduction allemande.
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Images of the divine : the theology of icons at the Seventh Ecumenical Council /Giakalis, Ambrosios, January 2005 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--University of Cambridge, 1988. / Bibliogr. p. 147-156. Index.
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Bildstrid, bildbruk, bildlära : en idéhistorisk undersökning av bildfrågan inom den begynnande lutherska traditionen under 1500-talet /Arvidsson, Bengt. January 1987 (has links)
Akademisk avhandling--Théologie--Lund, 1987. / Bibliogr. p. 247-255. Résumé en allemand. On a joint un résumé en anglais.
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Images of the divine : the theology of icons at the Seventh Ecumenical Council /Giakalis, Ambrosios, January 1994 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--University of Cambridge, 1988.
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Reconvocations, effacements, résistances de la figure / “Returns, Erasures, Resistances of the figure”Favier, Anne 18 October 2013 (has links)
Cette thèse propose une réflexion sur la représentation de la figure humaine au-delà de la « ressemblance cadavérique » présumée par Maurice Blanchot. Nous interrogeons les appels à figurer la figure humaine dans diverses formulations et configurations iconoplastiques, par les moyens associés de la peinture et de la photographie, à partir d’un corpus de postures plastiques contemporaines. Comment la figure humaine se donne-t-elle à figurer pour déborder la seule figuration ? Il est aussi question de reconvocation puisque les œuvres étudiées procèdent de reprises, transferts, reconductions, revenances.Les êtres blanchis peints par Jean Marc Cerino, les portraits flous et dérobés de Gerhard Richter, un ensemble d’autoportraits photographiques assourdis de Jacques Damez, les Faces grimaçantes et les Masques Mortuaires rehaussés d’Arnulf Rainer, les défunts dévoilés et photographiés en gros plan par Andres Serrano et les faces surfacées peintes par Anthony Vérot ouvrent des analyses poïétiques et esthétiques qui nous amènent à distinguer deux voies de l’effacement : l’affaiblissement et tout autant la surenchère. Visibilités défectives ou exacerbées ? Deux pôles se succèdent et articulent la tension dialectique de la donation et du retrait : « figures affaiblies » / « figures excessives ». Figurer c’est opérer par distanciation, retrait, passage, dissimulation, déplacement. Ce travail de recherche relève des rapports de force qui travaillent les figures résistantes à leurs oblitérations mais aussi à toutes tentatives de dévoilement. Ces détours étudiés signalent les infigurables qui se désistent : le visage, l’être, l’autre, soi-même, la mort. / This thesis reflects on the representation of the human figure, beyond the “cadaveric resemblance” assumed by Maurice Blanchot. It looks at the calls for representing the human figure across a variety of iconoplastic configurations and formulations, by means of a combination of painting and photography, from a body of plastic contemporary approaches. How does the human figure can be represented so as to go beyond the mere figuration?The thesis also explores the question of return, since the works under study are based on revivals, transfers, renewals, virtual resurrections.The bleached out human beings by Jean-Marc Cerino, the blurred and hidden portraits by Gerhard Richter, the series of muted photographic self-portraits by Jacques Damez, the grimacing Faces and Death Masks by Arnulf Rainer, the corpses unveiled and photographed close-up by Andres Serrano, and the flatly painted faces by Anthony Vérot give rise to aesthetic and poietic analyses which lead us to distinguish two ways of erasure: the weakening and, just as much, the exaggeration. Defective or exacerbated visibilities? Two extremes alternate and structure the dialectical tension between giving and staying in the background: “faded figures” / “excessive figures”.Representing involves detachment, removal, transition, concealment, transfer. This research paper highlights balances of power where the figures stand up to their disappearance but, at the same time, to any attempt to unveil them. By analysing these roundabouts, this thesis shows the unfigurable which is stepping aside: the face, the being, the self, death.
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L'image du pouvoir impérial dans la Chronographie de Théophane le Confesseur pendant le premier iconoclasme Byzantin (717-815)Tremblay, Vincent January 2013 (has links)
L’étude de l’iconoclasme byzantin, cette crise théologique ayant pour cause l’essor du culte associé aux images religieuses, a été un exercice ardu pour les historiens. En effet, les maigres sources disponibles pour cette période sont toutes favorables au culte des images. Bien qu’écrite par un iconodoule convaincu et hostile aux empereurs iconoclastes, la Chronographie de Théophane le Confesseur ne mérite pourtant pas ses étiquettes contemporaines de pro-iconophile et d’anti-iconoclaste. Le présent mémoire propose donc de revoir et de nuancer les écrits de Théophane en ce qui a trait au pouvoir impérial. Il s’agira de démontrer que la place des empereurs sur l’échiquier théologique n’a aucune influence sur la représentation du pouvoir, voire et de ceux qui l’exercent, dans la Chronographie. En effet, une analyse rigoureuse des empereurs de la période iconoclaste (717-780) et de la période iconodoule (780-815) prouvera que pour Théophane, rien n’est absolu : les iconoclastes ne sont pas dépourvus de vertu et les iconodoules peuvent agir de façon tyrannique. La Chronographie propose ainsi une image complexe du pouvoir impérial, qui oblige à reconsidérer les frontières entre légitimité impériale et tyrannie. -- The study of Byzantine iconoclasm, a theological crisis caused by the emergence of religious practices centered on divine images, has proven to be a difficult endeavor for historians. Indeed, the few available sources which discuss this period are clearly favorable to this cult of images. Despite having been written by a convinced iconodule who was also hostile to iconoclastic emperors, the Chronicle by Theophanes the Confessor should not be labelled as purely pro-iconophile and anti-iconoclastic. As such, the present thesis will seek to review and relativize the writings of Theophanes with regards to imperial power. This will attempt to demonstrate that in the Chronicle, the place of emperors on the theological playing field has no impact on the representations of power or those who exert it. In fact, a rigorous analysis of emperors from the iconoclastic period (717-780) as well as the iconodule period (780-815) will show that inTheophanes’ mind nothing is absolute: iconoclasts are not devoid of virtue and iconodules can be tyrannical. Hence, the Chronicle presents a complex image of imperial power, one which demands a reconsideration of the boundaries between imperial legitimacy and tyranny.
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L'image du pouvoir imp??rial dans la Chronographie de Th??ophane le Confesseur pendant le premier iconoclasme Byzantin (717-815)Tremblay, Vincent January 2014 (has links)
L?????tude de l???iconoclasme byzantin, cette crise th??ologique ayant pour cause l???essor du culte associ?? aux images religieuses, a ??t?? un exercice ardu pour les historiens. En effet, les maigres sources disponibles pour cette p??riode sont toutes favorables au culte des images. Bien qu?????crite par un iconodoule convaincu et hostile aux empereurs iconoclastes, la Chronographie de Th??ophane le Confesseur ne m??rite pourtant pas ses ??tiquettes contemporaines de pro-iconophile et d???anti-iconoclaste. Le pr??sent m??moire propose donc de revoir et de nuancer les ??crits de Th??ophane en ce qui a trait au pouvoir imp??rial. Il s???agira de d??montrer que la place des empereurs sur l?????chiquier th??ologique n???a aucune influence sur la repr??sentation du pouvoir, voire et de ceux qui l???exercent, dans la Chronographie. En effet, une analyse rigoureuse des empereurs de la p??riode iconoclaste (717-780) et de la p??riode iconodoule (780-815) prouvera que pour Th??ophane, rien n???est absolu : les iconoclastes ne sont pas d??pourvus de vertu et les iconodoules peuvent agir de fa??on tyrannique. La Chronographie propose ainsi une image complexe du pouvoir imp??rial, qui oblige ?? reconsid??rer les fronti??res entre l??gitimit?? imp??riale et tyrannie. -- The study of Byzantine iconoclasm, a theological crisis caused by the emergence of religious practices centered on divine images, has proven to be a difficult endeavor for historians. Indeed, the few available sources which discuss this period are clearly favorable to this cult of images. Despite having been written by a convinced iconodule who was also hostile to iconoclastic emperors, the Chronicle by Theophanes the Confessor should not be labelled as purely pro-iconophile and anti-iconoclastic. As such, the present thesis will seek to review and relativize the writings of Theophanes with regards to imperial power. This will attempt to demonstrate that in the Chronicle, the place of emperors on the theological playing field has no impact on the representations of power or those who exert it. In fact, a rigorous analysis of emperors from the iconoclastic period (717-780) as well as the iconodule period (780-815) will show that inTheophanes??? mind nothing is absolute: iconoclasts are not devoid of virtue and iconodules can be tyrannical. Hence, the Chronicle presents a complex image of imperial power, one which demands a reconsideration of the boundaries between imperial legitimacy and tyranny.
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Reconvocations, effacements, résistances de la figureFavier, Anne 18 October 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une réflexion sur la représentation de la figure humaine au-delà de la " ressemblance cadavérique " présumée par Maurice Blanchot. Nous interrogeons les appels à figurer la figure humaine dans diverses formulations et configurations iconoplastiques, par les moyens associés de la peinture et de la photographie, à partir d'un corpus de postures plastiques contemporaines. Comment la figure humaine se donne-t-elle à figurer pour déborder la seule figuration ? Il est aussi question de reconvocation puisque les œuvres étudiées procèdent de reprises, transferts, reconductions, revenances.Les êtres blanchis peints par Jean Marc Cerino, les portraits flous et dérobés de Gerhard Richter, un ensemble d'autoportraits photographiques assourdis de Jacques Damez, les Faces grimaçantes et les Masques Mortuaires rehaussés d'Arnulf Rainer, les défunts dévoilés et photographiés en gros plan par Andres Serrano et les faces surfacées peintes par Anthony Vérot ouvrent des analyses poïétiques et esthétiques qui nous amènent à distinguer deux voies de l'effacement : l'affaiblissement et tout autant la surenchère. Visibilités défectives ou exacerbées ? Deux pôles se succèdent et articulent la tension dialectique de la donation et du retrait : " figures affaiblies " / " figures excessives ". Figurer c'est opérer par distanciation, retrait, passage, dissimulation, déplacement. Ce travail de recherche relève des rapports de force qui travaillent les figures résistantes à leurs oblitérations mais aussi à toutes tentatives de dévoilement. Ces détours étudiés signalent les infigurables qui se désistent : le visage, l'être, l'autre, soi-même, la mort.
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Le destin des formalismes : à propos de la forme des plantes - Pratiques et épistémologies des modèles face à l'ordinateurVarenne, Franck 29 November 2004 (has links) (PDF)
Après les « lois mathématiques » (19ème siècle) et les « modèles mathématiques » (années 1930), les sciences dites « non-exactes » recourent aux simulations numériques (années 1950) puis informatiques (années 1970). À cela, plusieurs raisons : la complexité des objets, l'évolution de la référence que représente la physique avec ses nouveaux formalismes, l'évolution conjointe des techniques de calcul (matérielles et formelles), enfin l'émergence de l'ordinateur et des langages évolués. Or, la modélisation puis la simulation imposèrent des réévaluations du rôle épistémique dévolu aux formalismes depuis la mécanique rationnelle. Pour livrer un pan d'histoire des sciences et des techniques de modélisation, une histoire intégrative et compréhensive est nécessaire. Avec cet angle de vue, sensible aux philosophies de l'époque, aux ontologies des acteurs, comme aux contraintes techniques des formalismes, des instruments et des institutions, on peut voir trois grandes époques dans le destin récent des formalisations des plantes : un déracinement par rapport à la classique supposition d'un fondement dans le réel des lois mathématiques (1922-1937) ; une dispersion des formalismes et une expansion des modèles théoriques et pragmatiques (1938-1967) ; enfin une convergence des formalismes et des axiomatiques autour des infrastructures informatiques pluriformalisées (à partir de 1967). Notre thèse historique et épistémologique est celle-ci : l'ordinateur, après avoir amplifié la dispersion des formalismes, tend à la neutraliser en offrant un nouveau terrain d'expérimentation. Le rejet des représentations fidèles (iconoclasme) des actuelles épistémologies est à rectifier en profondeur.
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