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La littérarité de Abdelkébir Khatibi, autour du Livre du sang et l'ensemble de l'oeuvre

Aït Youssef, Abdelaziz. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Université Paris IV, 1999. / Includes bibliographical references (p. 359-375) and index.
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La littérarité de Abdelkébir Khatibi, autour du Livre du sang et l'ensemble de l'oeuvre

Aït Youssef, Abdelaziz. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Université Paris IV, 1999. / Includes bibliographical references (p. 359-375) and index.
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Le protocole poétique de l'écriture à l'oeuvre dans les textes de Abdelkébir Khatibi La mémoire tatouée, Le livre du sang et Amour bilingue.

Bougdal, Lahsen. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Université Paris-Nord, 1998. / "Lille-thèses, ISSN, 0294-1767"--Fiche header.
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Le Texte polyphonique approche de l'écriture de A. Khatibi /

Wahbi, Hassan, January 1988 (has links)
Th.--Litt. d'expression fr.--Paris 7, 1986.
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L’essai postcolonial. Stratégies d’écriture et reconfigurations culturelles chez E. Glissant, N. Gordimer, A. Khatibi, V.Y. Mudimbe, W. Soyinka (1970-2010) / The Postcolonial Essay. Literary strategies and cultural reconfigurations. E. Glissant, N. Gordimer, A. Khatibi, V.Y. Mudimbe and W. Soyinka (1970-2010)

Alix, Florian 29 March 2013 (has links)
L’essai lie la prétention scientifique du discours de savoir à la dimension ludique de l’écritlittéraire. Dans le contexte colonial, où le savoir est un important enjeu de pouvoir, l’essaipermet aux écrivains colonisés de jouer sur les règles de légitimité du discours et de prendre laparole, devenant un des modes d’expression privilégié de la pensée anticoloniale. Les tensionsentre le champ culturel et académique et le champ politique dans les sociétés décoloniséesréactivent sa vocation à construire un savoir en se situant à la marge des discours établis, àsubvertir l’ordre des discours.Cette analyse du positionnement de l’essayiste postcolonial conduit alors à préciser sadémarche d’écriture. Porté sur l’analyse plutôt que sur la synthèse, celui-ci se défie des théoriesglobalisantes pour leur préférer une description d’un lieu précis qu’il ramifie progressivementau reste du monde. Cette démarche est sous-tendue par une attitude de suspicion et de mise enquestion à l’égard de tout processus de représentation. Le discours théorique impose auxessayistes postcoloniaux de naviguer entre plusieurs contextes et plusieurs cultures sur unmode critique. Ils doivent se livrer à un travail de « double critique » (A. Khatibi) culturelle : illeur faut d’une part réfléchir à l’héritage endogène et à l’héritage européen et d’autre part à lafois remettre en question ce double héritage et poser les bases d’un renouveau culturel à partirde lui. Cette « double critique » nécessite un travail de réécriture qui vise à l’élaboration d’unnouveau savoir. Les essayistes empruntent les discours des sciences sociales, de l’histoire, de laphilosophie et de la science politique et ils les transforment : en mêlant ces discours à un travailde création, leurs textes deviennent des textes littéraires, prenant parfois les voies de la fictionet de la poésie. / The essay binds scientific will to formulate a truth to the shakiness and the playfull dimensionof literary writing. This ambivalence makes it particularly interesting to analyse scholars’relationship to political field. In the colonial context, knowledge is a power issue and the essay,with its literary aspects, allows number of colonized people circumvent rules of scientificlegitimacy: it is one of the essential tools of their speaking. It becomes gradually one of thepreferred modes of expression of anticolonial thinking. Tensions between cultural andacademical field on the one hand and political field on the other hand reactivate its vocation tobe located at the margin of established discourses and to subvert the order of knowledge.Social positioning of the postcolonial essayist in the Caribbean societies, Maghreb and sub-Saharan Africa in the late twentieth and early twenty-first centuries determines his writingprocess. Focused on analysis rather than synthesis, he distrusts global theories and prefers todescribe a specific place and make links with the whole world from this base. Doing this, hechallenges all kind of representation. Theoretical discourses make postcolonial essayistsnavigate between multiple contexts and multiple cultures in a critical mode. They have to use acultural “double critique” (A. Khatibi): they must firstly consider the endogenous heritage andEuropean heritage and secondly both challenge this double heritage and lay the foundations fora cultural revival from him. This “double critique” requires a rewriting of the scientific andliterary heritage in order to create a new knowledge. Postcolonial essayists borrow discoursesof social science, history, philosophy and politics and they change them: they mix thesediscourses to creative work and their texts become literary texts, including sometimes fictionand poetry.
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Ecritures, stratégies poétiques de la difficulté et cryptographie dans la production textuelle de trois auteurs maghrébins Dib, Meddeb, Khatibi /

Ghebalou-Haraoui, Yamilé Bonn, Charles. January 2005 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Lettres et arts : Lyon 2 : 2005. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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<STRONG>Le je(u) de <EM>La mémoire tatouée</EM> </STRONG>

REIMER, ANDREW P. January 2005 (has links)
No description available.
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A literatura na língua do outro: Jacques Derrida e Abdelkebir Khatibi

Deângeli, Maria Angélica [UNESP] 07 May 2010 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:35:38Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2010-05-07Bitstream added on 2014-06-13T20:07:07Z : No. of bitstreams: 1 deangeli_ma_dr_sjrp_parcial.pdf: 188783 bytes, checksum: 096bfb266d0eef774b2ede406bbb0f36 (MD5) Bitstreams deleted on 2015-06-25T13:00:55Z: deangeli_ma_dr_sjrp_parcial.pdf,. Added 1 bitstream(s) on 2015-06-25T13:03:19Z : No. of bitstreams: 1 000619041_20160530.pdf: 176167 bytes, checksum: 2c3f778c8ea51067baa077e77f01cfcc (MD5) Bitstreams deleted on 2016-05-30T11:37:05Z: 000619041_20160530.pdf,. Added 1 bitstream(s) on 2016-05-30T11:37:50Z : No. of bitstreams: 1 000619041.pdf: 810081 bytes, checksum: a0b3cf7f05b7feaac689ff019e1ff37d (MD5) / À l’heure actuelle, la notion d’identité et ses problématiques occupent une place définitivement légitimée dans plusieurs domaines de la connaissance scientifique, ainsi que dans le champ de la littérature. Celle-ci semble avoir été un lieu d’accueil privilégié pour les mouvements d’errance identitaire, et ce pour beaucoup d’écrivains: en effet, ils sont nombreux à avoir trouvé une place dans une langue autre, dans un pays autre, ce qui leur a permis de se forger aussi des identités autres. Quelques exemples: pour Samuel Beckett, Paul Celan, Elias Canetti, Franz Kafka, Georges Perec, Assia Djebar et pour bien d’autres encore, l’écriture a été le non-lieu d’un lieu, ou encore le lieu d’un non-lieu poétique. Dans l’écriture de tous ces écrivains, l’on constate une préoccupation récurrente, ressentie de façon plus ou moins directe: dans quelle langue écrire? L’objectif général de ce travail est de comprendre le statut, le sens et le rôle du langage dans des oeuvres écrites dans une langue qui n’est pas celle considérée maternelle. Pour ce faire, il se proposera d’analyser deux textes qui rendent problématique la définition de ce qu’est une langue non-maternelle dans une écriture littéraire: Amour Bilingue (1983/1992), d’Abdelkebir Khatibi, et Le monolinguisme de l’autre (1996), de Jacques Derrida. De façon plus spécifique, cette étude tentera de montrer comment, chez ces deux écrivains, la distinction entre le maternel et l’étranger se complexifie, ce qui entraîne des conséquences textuelles et rhétoriques distinctes, surtout quand les notions de «bi-langue», de «monolangue», de «langue de l’autre» et d’«idiome» se superposent à celle de «langue». À partir du geste d’amitié célébré entre le «franco-maghrébin» Derrida et le... (Résumé complet accès électronique ci - dessous) / As questões referentes à noção de identidade e à sua complexa problemática ocupam, no momento, um espaço definitivamente legitimado em vários ramos do conhecimento científico, assim como no campo da literatura. Esta parece ter sido um lugar de acolhida privilegiado para os movimentos de errância identitária, e isso para muitos escritores. De fato, inúmeros são aqueles que só puderam encontrar morada numa língua outra, num país outro, com identidades também outras. Podemos citar alguns exemplos: para Samuel Beckett, Paul Celan, Elias Canetti, Franz Kafka, Georges Perec, Edmond Jabès, Assia Djebar e muitos outros, a escritura constituiu o não-lugar de um lugar ou, ainda, o lugar de um não-lugar poético. Na obra de todos, constatamos uma preocupação recorrente que, direta ou indiretamente, pode se fazer sentir em suas escritas: em que língua escrever? Partindo desse questionamento e dos inúmeros problemas que dele se depreendem, o objetivo geral deste trabalho é o de compreender o estatuto, o sentido e o papel da linguagem em obras escritas em uma língua que não a língua considerada materna. Para tanto, o trabalho se propõe a analisar dois textos que problematizam a definição do que é essa língua não-materna na escrita literária, trata-se de: Amour Bilingue (1983/1992), de Abdelkebir Khatibi, e Le monolinguisme de l’autre (1996), de Jacques Derrida. De maneira mais especifica, ao abordar essa problemática clássica dos estudos literários, este trabalho pretende mostrar como, nesses dois autores, a distinção entre o materno e o estrangeiro se complica, com consequências textuais e retóricas distintas, sobretudo quando as noções de “bi-língua”, de “monolíngua”, de “língua do outro” e de “idioma” sobrepõem-se ao conceito de “língua”. Do gesto de amizade celebrado entre o franco-magrebino Derrida e o marroquino Khatibi...
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Quand le roman se veut essai : la traversée du métatexte dans l’œuvre romanesque de Abdelkébir Khatibi, Patrick Chamoiseau et V.Y. Mudimbe

Hél-Bongo, Olga 18 April 2018 (has links)
En nous fondant sur un corpus de six romans, dont deux de Abdelkébir Khatibi (La mémoire tatouée, 1971, et Amour bilingue, 1983), deux de Patrick Chamoiseau (Écrire en pays dominé, 1997, et Un dimanche au cachot, 2007), et deux de V.Y. Mudimbe (Entre les eaux, 1973, et L'écart, 1979), notre recherche doctorale voudrait interroger la densité et la diversité des textes romanesques de ces écrivains polymorphes au point de contenir en eux tous les genres. Le roman, chez Khatibi, Chamoiseau et Mudimbe, se veut essai, tout comme les essais peuvent aménager en leur sein de la fiction. Dans les séquences ou segments essayistiques, les personnages s'analysent, évaluent les discours, les idées émises dans et sur les romans qu'ils sont en train d'écrire. Khatibi thématise le langage, l'écriture, le personnage écrivain qui médite, pense, rêve et doute en intellectuel, en philosophe, en artiste, en amoureux. Le roman invite à interroger le fréquent vertige qui saisit les personnages, la dérive de la diégèse vers des séquences métatextuelles qui brisent la linéarité du récit, et contribuent à « multiplier la conscience » dans une tentative de déchiffrement des signes. Sous le couvert des jeux de langage, Chamoiseau revisite les préoccupations obsédantes des écrivains antillais : l'histoire, la mémoire, l'oubli, la quête de soi, et l'exploration des possibilités d'écriture. Par le métatexte qu'il dissémine dans les romans, il traduit sa maîtrise des règles du jeu et des enjeux. Jouant avec le thème et la position de dominé dans le champ, la scénographie de l'écrivain qui se fait "Marqueur de paroles" et "Guerrier de l'imaginaire" montre un écart entre énonciation et énoncé, Chamoiseau asseyant sa position de dominant au sein de l'institution et s'affiliant à toutes les grandes célébrités de la littérature mondiale, dont Aimé Césaire, Saint-John Perse, Edouard Glissant, William Faulkner. Chez Mudimbe, le métatexte transforme le roman en objet de discussion sur l'altérité, les paradoxes des sciences humaines en Afrique, la libération de l'Afrique, le tiraillement identitaire du sujet, les stéréotypes du regard occidental de l'Afrique. L'essai dans le roman génère une duplicité énonciative, à la fois quête d'un miroir et histoire de la quête se réfléchissant.
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"Énoncé de l'errance et errance de l'énonciation dans les romans de Tahar Ben Jelloun, Abdelkébir Khatibi, Ahmadou Kourouma et Pius Ngandu Nkashama"

Ben Abdallah, Alaeddine. 16 April 2018 (has links)
À la lecture de certains romans de l'Afrique francophone, nous avons observé une prédilection pour la notion de l'errance comme tension vers un ailleurs géographique et surtout imaginaire qui caractérise l'hexis et l'éthos des protagonistes. Dans ce sens, notre corpus, constitué de La prière de l'absent et Partir de Tahar Ben Jelloun, Pèlerinage d'un artiste amoureux d'Abdelkébir Khatibi, Allah n'est pas obligé d'Ahmadou Kourouma, Les étoiles écrasées de Pius Ngandu Nkashama et un corpus secondaire des mêmes auteurs, nous paraît assez représentatif de cette errance. Le style d'écriture de ces romans semble se soumettre à la même esthétique, celle de l'éclatement diégétique et narratif. Tous ces romans illustrent pertinemment le déploiement discursif de l'errance. À travers les pérégrinations géographiques et les divagations se profile un tiraillement, une tension qui tenaille les protagonistes errants. Entre parcours chaotique et aspiration à un ailleurs meilleur, les personnages n'ont devant eux qu'une solution, errer. L'errance, telle qu'elle se donne à lire dans ces romans, dénote clairement le parcours chaotique du protagoniste et reflète son état d'esprit qui, dans son vagabondage et son perpétuel déplacement, se laisse aller à une imagination débridée. Cette errance contamine l'énonciation et introduit une déconstruction textuelle sur les plans narratif et énonciatif. Notre lecture du texte repose sur la sociologie institutionnelle, d'une part, et sur la théorie de l'énonciation, de l'autre. Cette démarche dévoile l'interaction entre le statut social des écrivains et les postures discursives investies dans l'énoncé de leurs textes. Il est ainsi facile de saisir les choix rhétoriques et les stratégies discursives de l'auteur où la notion de l' errance se décline sur les procédés poétiques, mais aussi sur un imaginaire éclaté.

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