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Kierkegaard and modern moral philosophy conceptual unintelligibility, moral obligations and divine commands /Cantrell, Michael A. Evans, C. Stephen. January 2009 (has links)
Thesis (Ph.D.)--Baylor University, 2009. / Includes bibliographical references (p. 190-198).
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At the heart of anthropology Søren Kierkegaard and Walker Percy on the nature and shape of creational selfhood /Carson, Nathan Paul. January 2007 (has links)
Thesis (Th. M.)--Regent College, Vancouver, BC, 2007. / Abstract and vita. Includes bibliographical references (leaves 159-165).
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Kierkegaard on knowledgePiety, Marilyn Gaye January 1994 (has links)
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Kierkegaard's Fear and trembling : a metaphorical readingHayes, Jonathan A. January 1996 (has links)
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El instante eterno del sujeto : individuo y temporalidad en la subjetividad KierkegaardianaZelada Pierrend, Manuel Andrés 07 April 2016 (has links)
Hace algún tiempo ya, decidimos, con un grupo de amigos, formar un círculo de lectura
sobre Kierkegaard. Elegimos, para nuestro propósito, El instante. La elección fue
motivada por lo seductor del título que a unos evocaba reflexiones sobre la naturaleza
de la temporalidad al estilo de Heidegger o Agustín y a otros, más familiarizados con el
pensamiento del danés, prometía una discusión sobre la importancia de la acción
presente -donde "instante" podía interpretarse como un "¡ya!"- articulada en alguna
propuesta ética. En razón de estas expectativas, el libro resultó bastante desilusionante:
si bien se tematizaban tanto la temporalidad como la acción, la discusión presentada se
enmarcaba en el ámbito de la religión y valores cristianos, y parecía dirigirse al
individuo sin ninguna mediación del ámbito social.
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Méditation sur la liberté inspirée de Kierkegaard et KunderaRoberge, Valérie 19 April 2018 (has links)
La Méditation sur la liberté inspirée de Kierkegaard et de Kundera s’interroge d’un point de vue existentiel sur la liberté. Elle cherche à comprendre pourquoi face à un choix un individu ne considère pas tous les possibles comme possibles. Sa première partie est basée sur Le concept d’angoisse, simple éclaircissement psychologique préalable au problème du péché originel par Kierkegaard et sa deuxième partie, ayant pour base théorique la première, s’appuie sur deux romans de Kundera : L’Immortalité et L’insoutenable légèreté de l’être. C’est à travers ces trois textes que la réflexion se développe autour de l’angoisse, qui rend possible la liberté, et de la légèreté, qui est un terme employé pour désigner le moment où l’homme se retrouve face à tous les possibles qui s’offrent à lui.
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Le concept de fondement ou les confessions d'un hypocrite : réflexions à la manière de Kierkegaard à partir du Concept d'angoisseDeschênes, Jean-Guy 27 August 2021 (has links)
S’il était possible de résumer le contenu d’un mémoire de maîtrise en moins de cent cinquante mots, cela signifierait qu’un très grand nombre de mots, de lignes, de paragraphes et de chapitres seraient, à toutes fins utiles, inutiles et superflus. Le résumé afficherait alors fièrement le résultat obtenu au terme d’une démarche dont on pourrait enfin se débarrasser. Tout le monde y gagnerait : l’auteur serait d’autant plus léger qu’il n’aurait plus à traîner son boulet et quiconque ne s’intéresse qu’au positif apprendrait en moins de temps qu’il n’en faut pour crier « ciseaux » que la question du fondement, ici abordée à partir du Concept d’angoisse et à la manière de Kierkegaard, est inséparable, entre autres choses, de la pseudonymie, de l’ambiance, de la dialectique et de l’interprétation.
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La relation critique de T.W. Adorno à S.A. Kierkegaard : la force du sujet au moment de sa chuteLavoie, Mathieu 20 May 2021 (has links)
Le double objectif de cette étude est d'examiner le rôle crucial joué par le concept de sujet dans les pensées d'Adorno et de Kierkegaard et de ressaisir les enjeux de la critique adornienne de la théorie kierkegaardienne du sujet. Pour ce faire, l'étude engage son investigation sur trois fronts. D'abord, elle s'attache à examiner la présentation kierkegaardienne de la théorie du sujet dans le Post-scriptum aux Miettes philosophiques. Ensuite, elle analyse sa critique immanente à l'intérieur de l' Habilitationsschrift d'Adorno: Kierkegaard. Construction de l'esthétique. Dans la conclusion, elle opère un retour dialectique sur les deux sections antérieures et fait voir que, si Kierkegaard et Adorno misent sur le sujet comme force de résistance face à l'oppression exercée par la totalité sociale, ils signalent l'inanité de tout volontarisme politique.
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Broken engagements: a study of forgivenessEsparza, Daniel R. January 2022 (has links)
This dissertation addresses forgiveness as a philosophical matter, understanding that whenever forgiveness happens (or even when it is talked about) unnoticed theories of selfhood and time are at play. To bring these unobserved models of time and the self to the fore, this study explores a series of commonalities and divergences in some selected works by Augustine, Kierkegaard, and Arendt. In these texts, forgiveness is understood as the gathering of a self that is scattered in time (Augustine), as present participation in an earlier redemptive moment (Kierkegaard), or as an event that resists the otherwise rectilinear, death-oriented course of human life (Arendt).Why has forgiveness been mostly ignored in Western philosophy?
What does this omission reveal about Western thought? Contemporary authors have argued for the (imperative) need to (re)think what forgiveness is, the conditions under which it (supposedly) occurs, and its relation to justice, since the inexpiable events of the past and present centuries maintain forgiveness an unresolved question.
This study rests on a fundamental intuition: that for forgiveness to pass in history nothing must be passed from the one who forgives to the one who is forgiven. To support this claim, I undertake close readings of Augustine’s Confessions, Kierkegaard’s Works of Love, and Arendt’s The Human Condition. In these works, forgiveness is understood as a paradox —it must be contained to be given (Augustine), granted-yet-not-granted (Kierkegaard), and forgotten the moment it is given, as if never given at all (Arendt). Can forgiveness be thought of as a hidden existential capacity, and not as a magnanimous display of mercy? Can we imagine forgiveness as undoing the transgression we see, and secretly engaging with the invisible?
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Artificial I's the self as artwork in Ovid, Kierkegaard, and Thomas Mann /Downing, Eric. January 1993 (has links)
Originally presented as the author's thesis (Ph. D.)--University of California, Berkeley, 1987.
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