• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Presence of menarche is associated with high depressive symptoms and cortisol levels in adolescent girls

Trepanier, Lyane 08 1900 (has links)
Plusieurs études antérieures ont proposé que la ménarche pouvait représenter une vulnérabilité accrue au développement de la dépression en augmentant la réactivité au stress chez les filles ayant atteint leur cycle menstruel. Dans la présente étude, les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol salivaire ont été mesurés chez 198 garçons et 142 filles (11 - 13 ans), et ce, à quatre reprises au cours de leur première année de transition vers l’école secondaire, une période de stress chez les adolescents. Les résultats ont montré que les filles qui avaient atteint la ménarche au moment de la transition vers le secondaire avait des niveaux significativement plus élevés de symptômes dépressifs et de cortisol salivaire entre l’automne et le printemps, comparativement aux filles qui n'avaient pas encore atteint la ménarche. Ces dernières présentaient des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs que les filles sans et les garçons. Les filles sans ménarche présentaient d’avantages des niveaux de symptômes dépressives plus élevés que les garçons. En utilisant l’âge de ménarche comme variable catégorique, les résultats démontrent que les filles ayant eu leur ménarche plus jeunes présentent des symptômes dépressifs plus élevés tout au long de l'année scolaire, alors que les filles qui ont commencé leur cycle menstruel à l’âge dit ‘normal’ présentent des symptômes dépressifs transitoires. Globalement, ces résultats suggèrent que la ménarche est un indice significatif d’une vulnérabilité accrue pour les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol plus élevés chez les adolescentes qui font leur entrée au secondaire. Également, ces résultats suggèrent qu’un âge précoce de ménarche peut exposer à long-terme le cerveau en développement à des niveaux élévés de cortisol, rendant ainsi ce groupe d’adolescentes plus vulnérables à la dépression. / It has been proposed that the onset and/or earlier age at menarche confer greater vulnerability to depressive symptoms by increasing the reactivity of menarcheal girls to stressors associated with adolescence. In the present study, we measured depressive symptoms and salivary cortisol levels in 198 boys and 142 girls (11 -13 years) tested four times during their first year of transition into high school, a period known to be associated with stress among adolescents. Results showed that girls who had reached menarche before the transition to high school transit presented significantly higher depressive symptoms and salivary cortisol levels across the school year, when compared to girls who had not reached menarche and boys. Girls who had reached menarche presented significantly higher depressive scores than girls who had not reached menarche and boys. Girls who did had not reached menarche also scored significantly higher on depressive symptoms when compared to boys. When we divided the menarcheal girls as a function of age of onset, we found that girls with early age at menarche presented consistently higher scores for depressive symptoms from the start of the school year to early spring. Girls with on-time menarche scored higher for symptoms of depression, but these were more transitory. Altogether, these results show that onset of menarche is associated with greater depressive symptoms and higher cortisol levels in adolescent girls going through the stress of high school transition. These findings also suggest that early menarche may confer greater vulnerability to depression due to long-term exposure of the developing brain to high cortisol levels.
2

Presence of menarche is associated with high depressive symptoms and cortisol levels in adolescent girls

Trepanier, Lyane 08 1900 (has links)
Plusieurs études antérieures ont proposé que la ménarche pouvait représenter une vulnérabilité accrue au développement de la dépression en augmentant la réactivité au stress chez les filles ayant atteint leur cycle menstruel. Dans la présente étude, les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol salivaire ont été mesurés chez 198 garçons et 142 filles (11 - 13 ans), et ce, à quatre reprises au cours de leur première année de transition vers l’école secondaire, une période de stress chez les adolescents. Les résultats ont montré que les filles qui avaient atteint la ménarche au moment de la transition vers le secondaire avait des niveaux significativement plus élevés de symptômes dépressifs et de cortisol salivaire entre l’automne et le printemps, comparativement aux filles qui n'avaient pas encore atteint la ménarche. Ces dernières présentaient des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs que les filles sans et les garçons. Les filles sans ménarche présentaient d’avantages des niveaux de symptômes dépressives plus élevés que les garçons. En utilisant l’âge de ménarche comme variable catégorique, les résultats démontrent que les filles ayant eu leur ménarche plus jeunes présentent des symptômes dépressifs plus élevés tout au long de l'année scolaire, alors que les filles qui ont commencé leur cycle menstruel à l’âge dit ‘normal’ présentent des symptômes dépressifs transitoires. Globalement, ces résultats suggèrent que la ménarche est un indice significatif d’une vulnérabilité accrue pour les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol plus élevés chez les adolescentes qui font leur entrée au secondaire. Également, ces résultats suggèrent qu’un âge précoce de ménarche peut exposer à long-terme le cerveau en développement à des niveaux élévés de cortisol, rendant ainsi ce groupe d’adolescentes plus vulnérables à la dépression. / It has been proposed that the onset and/or earlier age at menarche confer greater vulnerability to depressive symptoms by increasing the reactivity of menarcheal girls to stressors associated with adolescence. In the present study, we measured depressive symptoms and salivary cortisol levels in 198 boys and 142 girls (11 -13 years) tested four times during their first year of transition into high school, a period known to be associated with stress among adolescents. Results showed that girls who had reached menarche before the transition to high school transit presented significantly higher depressive symptoms and salivary cortisol levels across the school year, when compared to girls who had not reached menarche and boys. Girls who had reached menarche presented significantly higher depressive scores than girls who had not reached menarche and boys. Girls who did had not reached menarche also scored significantly higher on depressive symptoms when compared to boys. When we divided the menarcheal girls as a function of age of onset, we found that girls with early age at menarche presented consistently higher scores for depressive symptoms from the start of the school year to early spring. Girls with on-time menarche scored higher for symptoms of depression, but these were more transitory. Altogether, these results show that onset of menarche is associated with greater depressive symptoms and higher cortisol levels in adolescent girls going through the stress of high school transition. These findings also suggest that early menarche may confer greater vulnerability to depression due to long-term exposure of the developing brain to high cortisol levels.
3

The trauma of menarche in African American literature

Ben Mansour, Tasnime 08 1900 (has links)
Mon mémoire de recherche considère comment l’héritage historique de l’esclavage continue d’affecter l’expérience de passage à l’âge adulte des jeunes filles afro-américaines. L’impact profond de l’esclavage sur leurs ancêtres est transmis aux générations suivantes, influençant la manière dont ces filles perçoivent et gèrent leurs identités. En lisant « Corregidora » de Gayl Jones et « The Bluest Eye » de Toni Morrison, je présente les défis auxquels les filles afro-américaines sont confrontées lorsqu’elles passent de l’enfance à la vie d’une femme. Le premier chapitre de mon mémoire aborde l’impact des traumatismes intergénérationnels aux niveaux individuel et collectif. Ce chapitre explore comment les traumatismes émotionnels et psychologiques hérités peuvent influencer profondément la manière dont une personne comprend son identité sexuelle. Le deuxième chapitre étudie l’impact du racisme, de la pauvreté et des faibles conditions socioéconomiques sur le développement des filles afro-américaines pendant la période de transition de la puberté. Ce chapitre offre un aperçu de la terreur et de la sexualisation associées à la ménarche. Cette thèse s’appuie principalement sur les travaux de Saidiya Hartman sur la théorie de « the afterlife of slavery » et sur le concept de « living in the wake » de Christina Sharpe. De plus, je m’inspire des travaux des psychiatres Bessel Van der Kolk et Judith Herman pour examiner le traumatisme lié au processus de passage à l’âge adulte et plus précisément l’expérience de la ménarche. / My thesis examines how the historical legacy of slavery continues to affect the coming-of-age experience for young African American girls. The profound impact of slavery on their ancestors is passed down through succeeding generations, shaping the way these girls perceive and manage their identities. Through reading Gayl Jones’s Corregidora (1975) and Toni Morrison’s The Bluest Eye (1970), I present the challenges African American girls face when transitioning from girlhood into womanhood. The first chapter of my thesis addresses the impact of intergenerational trauma on both individual and collective levels. This chapter explores how inherited emotional and psychological trauma can profoundly influence the way a person understands their sexual identity. The second chapter studies the impact of racism, poverty, and low socioeconomic conditions on the development of black girls during the transitional period of puberty. This chapter offers insight into the terror and sexualization associated with menarche. This thesis primarily draws on the works of Saidiya Hartman’s theory of “the afterlife of slavery” and Christina Sharpe’s concept of “living in the wake”. Additionally, I rely on the works of psychiatrists Bessel Van der Kolk and Judith Herman to examine the trauma linked to the coming-of-age process, specifically the menarche experience.

Page generated in 0.0236 seconds