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Collective insecurity : the Liberian crisis, unilateralism, and global order /

Mgbeoji, Ikechi, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Halifax--Dalhousie University, 1999. / Bibliogr. p. 172-180. Index.
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L'armée de terre française : de la défense du sanctuaire à la projection /

Lespinois, Jérôme de. January 2001 (has links)
Th.--Histoire--Vincennes--Service historique de l'armée de terre, 2000. / Bibliogr. p. 917-933. Index.
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Reinventing peacekeeping in Africa : conceptual and legal issues in ECOMOG operations /

Olonisakin, 'Funmi. January 2000 (has links)
Th. Ph. D.--War studies--London--King's College. / Notes bibliogr. Index.
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Les avatars de la présence militaire française en Afrique : de la tutelle postcoloniale aux missions internationales du maintien de la paix / The avatars of the french military presence in africa : the post-colonial tutelage to the international peacekeeping mission

Zafrane, Farid 18 December 2015 (has links)
Les autorités politiques françaises après la décolonisation des années 60, ont voulu mettre en place un système de coopération, pensé par le général de Gaulle. En effet plus de cinq décennies après les indépendances octroyées par la France dans le cadre d’une coopération bilatérale multiforme, tant sur un plan politique, culturel, économique, financier et militaire, la France maintient toujours des relations étroites avec ses anciennes colonies. L’hypothèse généralement admise est celle d’une continuité de ces relations entre Paris et l’Afrique. On note en revanche depuis la fin de la guerre froide des signes de changements subtils mais réels dans plusieurs domaines. Beaucoup d’indices mettent en exergue la fin d’une époque et un changement de stratégie inévitable qui s’opère par une remise en cause totale de la politique traditionnelle de la France vis-à-vis de l’Afrique. Parmi ces changements, notons la réforme institutionnelle et politique de lacoopération, le désengagement économique et financier progressif de la France.La politique africaine française est donc entrée dans une période de transition où les signes de changements interfèrent avec la continuité. En fait, il ne s’agit pas d’une nouvelle politique africaine, mais seulement de l’adoption d’un certain nombre de mesures nouvelles engendrées par la géopolitique du monde actuel.Cette attitude répond à la volonté de la France de s’adapter à l’évolution du monde et en particulier du continent africain. La France passe donc d’une politique de présence à une stratégie de projection. Cette évolution implique une présence humaine moindre sur le terrain et la mise en place de relais aériens pour projeter les forces militaires à partir de bases situées en France. Paris s’est maintenu sur le continent africain après la décolonisation en mettant en place un dispositif juridique approprié.Cinquante ans après les décolonisations, il lui est encore reproché d’être à l’origine des problèmes qui gangrènent le continent africain avec l’envie de chercher dans l’histoire coloniale la cause des maux actuels rencontrés par l’Afrique. Le double langage des autorités françaises montre que la France a eu bien des raisons politiques ou militaires de s’engager en Afrique et à affirmer sa présence dans cette région du monde. Mais si par moments la politique suivie par l’ex-puissance coloniale est contestable et a connu des dérives certaines lors de ces dernières années notamment avec l’affaire rwandaise, l’Afrique sans conteste est demandeuse d’une certaine présence militaire française sur son territoire comme le montre aujourd’hui les différentes opérations au Mali ou en République Centrafricaine. Mais dans un cadre géopolitique rénové multilatéral, sous la bannière de l’O.N.U et avec l’Union Européenne pour assurer en Afrique la lutte contre le terrorisme et l’émergence d’un nouvel ordre humanitaire international. / The French political authorities after decolonization 60s, wanted to set up a system of cooperation, thought by General de Gaulle. Indeed more than five decades after independence granted by France as part of a multifaceted bilateral operation, both on a political, cultural, economic, financial and military. France still maintains close ties with its former colonies. Although the generally accepted hypothesis is that a continuity of the relationship between Paris and Africa. We note however since the end of the Cold War but subtle signs of real changes in several areas. Many indicators highlight the end of an era and a change of strategy inevitably occurs with a throw in total due to the traditional policy of France vis-à-vis Africa. These changes include the institutional and political reform cooperation, progressive economic and financial disengagement of France.The French African policy is entering a period of transition or signs of changes interfere with continuity. In fact, it is not a new Africa policy, but only the adoption of a number of new measures resulting from the geopolitical world today.This attitude reflects the determination of France to adapt to the changing world and particularly in Africa. France therefore goes from a political presence to a screening strategy. This change means less human presence on the ground and setting up air relays to project military forces from bases in France. Paris remained in Africa after decolonization by setting up an appropriate legal framework. Fifty years after decolonization, it is still accused of being behind the problems that plague the African continent with the desire to look inthe colonial history the cause of present evils faced by Africa. This double talk from the French authorities shows that France has had many political or military reasons to engage in Africa and its presence in this region. Because even if at times the policy of the former colonial power is questionable and has seen some excesses in recent years, particularly with the Rwandan case, Africa is unquestionably requesting a certain French military presence its territory as today shows the various operations in Mali and Central African Republic.
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Les équivoques de la démocratisation sous contrôle international : le cas du Kosovo, 1999-2007 /

Perrot, Odile, Milacic, Slobodan, January 1900 (has links)
Thèse de doctorat--Science politique--Nice-Sophia Antipolis, 2007. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 407-420. Index.
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Britain and UN peacekeeping, 1948-67 /

Briscoe, Neil, January 2003 (has links)
Texte revisé de: Thesis--Oxford University. / Bibliogr. p. 276-283. Index.
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L'intervention coercitive onusienne au Timor oriental : innovation ou perte d'autorité? /

Guillemette, Hélène. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. 91-104. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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L'influence canadienne à travers les opérations de paix, 1956 à 2005

Létourneau, Charles January 2006 (has links) (PDF)
Un des mythes de la politique étrangère canadienne veut que plus le pays déploie de Casques bleus dans le cadre d'opérations de paix, plus il jouit d'une influence tangible auprès des autres États. Cette rhétorique, pratiquement calquée de l'approche fonctionnaliste, persiste depuis la création des Nations unies, en dépit des multiples changements de gouvernements. L'objectif de ce mémoire est donc de vérifier si ce raisonnement est justifié, et que le pays se voit véritablement octroyer une influence quelconque émanant de sa participation aux missions multilatérales. Trois cas sont étudiés, soit la Force d'urgence des Nations Unies (FUNU), la Force de protection des Nations Unies dans les Balkans (FORPRONU) et la Force internationale d'assistance et de sécurité (FIAS). L'analyse des trois opérations sélectionnées ne permet pas de corroborer la thèse des élites politiques canadiennes, ni de l'infirmer catégoriquement. Elle permet néanmoins de douter de l'efficacité de l'argumentaire ; plusieurs éléments le remettent d'ailleurs en question.
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Rôle des missions de paix dans la lutte contre le nettoyage ethnique en analysant le cas du district de Gali en Abkhazie de 1994 à 1998

Barrière, Jean-Philippe 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire se propose d'interroger le lien entre la façon dont les opérations de paix fonctionnent et la façon de lutter contre le nettoyage ethnique. Pour y parvenir, l'auteur a tout d'abord défini une typologie des missions de paix afin de dégager leurs principales caractéristiques. Cette typologie fut appliquée à l'étude des missions de paix ayant œuvré en Abkhazie de 1994 à 1997. L'Abkhazie fut le théâtre d'un conflit sécessionniste ayant affecté la République caucasienne de Géorgie lors de son indépendance. Les caractéristiques du territoire abkhaze et la nature des combats auront mené à la conduite de nettoyage ethnique. Les accords de paix mettant fin aux hostilités auront mobilisé la venue de deux missions de paix dont on a comparé les actions sur le terrain en matière de lutte contre le nettoyage ethnique. Il apparaît que la manière dont une mission de paix fait usage de la force constitue la caractéristique des missions de paix leur permettant le mieux de lutter contre le nettoyage ethnique. Cependant, l'usage de la force entretient des liens importants avec le consentement et l'impartialité que les acteurs du conflit accordent à une mission de paix. Ces facteurs limitent les actions des missions de paix en vertu de considérations politiques et pratiques. ______________________________________________________________________________
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Civil society in civil war : peace work and identity politics in Sri Lanka /

Orjuela, Camilla, January 2004 (has links)
Diss.--Department of peace and development research--Göteborg university, 2004. / Bibliogr. p. 272-294.

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