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NATO's Peace-enforcement tasks and policy communities : 1990-1999 /

Bono, Giovanna, January 1900 (has links)
Thesis Ph. D.--Canterbury--University of Kent. / Bibliogr. 149-172. Index.
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Impasse en Ituri : opération ARTEMIS, DDR et après ? /

Oga Ukelo, Jok. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Mémoire de DEA--Science politique et relations internationales--Louvain-la-Neuve--Université catholique de Louvain, 2007. / DDR = désarmement, démobilisation et réinsertion. Bibliogr. p. 139.
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Les opérations de maintien de la paix en Afrique et les organisations de la société civile : les cas de l’ONUMOZ (Mozambique) et de la MONUSCO (Congo)

Kayembe Mayaya, Nick January 2017 (has links)
Depuis sa toute première mission en 1956, les opérations de maintien de la paix de l’ONU ont été renforcées pour devenir « Robuste » (Diehl, 2008; Clark 2011), c’est-à-dire avoir recours aux moyens coercitifs, et être centrées vers l’individu. Toutefois, les missions présentement en cours montrent que l’organisation peine encore à trouver l’équilibre entre expertise internationale et le savoir faire local. Partant de ce constat, ce travail voulait savoir : De quelles manières les relations entre les opérations de maintien de la paix de l’ONU et les organisations locales de la société civile influencent-elles sur la production de la paix dans les pays en conflit? Le regard porté sur l’opération des Nations unies au Mozambique (ONUMOZ) et la Mission des Nations unies pour la stabilisations en République Démocratique du Congo (MONUSCO) a permis de soutenir que : les relations plus denses et intégrées entre l’ONUMOZ et les organisations locales de la société civile mozambicaine ont contribuées à l’instauration d’une paix durable au Mozambique, alors que les interactions limitées et faibles entre la MONUSCO et les organisation locales de la société civile congolaise expliquent, en partie, l’incapacité de la mission a atteindre pleinement son objectif de paix dans l’est du pays.
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Le renseignement dans les opérations de maintien de la paix des Nations Unies ou le mythe de Sisyphe des Casques bleus / Intelligence Within the United Nations Peacekeeping Operations or the Blue Helmets’ Myth of Sisiphus

De Kytspotter, Vincent 24 June 2016 (has links)
Alors que le renseignement et l’ONU apparaissent encore comme un oxymore du fait d’une vieille méfiance remontant à la guerre froide et de tentatives clandestines d’instrumentalisation des Nations Unies par ses Etats membres, le renseignement d’intérêt militaire est désormais peu à peu devenu un facteur essentiel d’efficacité opérationnelle des déploiements des Casques bleus. L’analyse de plusieurs cas d’OMP depuis une vingtaine d’années démontre qu’elles sont considérées comme impliquant des missions de renseignement dont l’activité principale est la recherche de l’information par l’observation, en totale conformité avec les principes du maintien de la paix. La multiplication des OMP dans des contextes fortement dégradés et soumis à des menaces asymétriques, rend les OMP dépendantes du renseignement d’intérêt militaire qui est désormais un formidable multiplicateur d’effets et de forces. Ce phénomène induit aussi une augmentation exponentielle des informations recueillies ainsi que la nécessité de mieux les exploiter et les stocker, tant au niveau opératif que stratégique. L’émergence du concept de protection des civils, placé au cœur de chaque mandat d’OMP, rend la détention d’une capacité autonome de renseignement incontournable afin de permettre aux autorités de l’ONU de disposer de l’ensemble des informations pour décider d’agir en toute connaissance de cause. Certes la nature même du renseignement n’est pas compatible avec l’état de multilatéralité car il repose sur une relation de confiance approfondie entre les différents producteurs et consommateurs du renseignement. Acquérir une capacité autonome de recueil et d’analyse nécessite donc de développer un corpus doctrinal adapté aux Nations Unies et de formaliser les actions de renseignement afin de rassurer ses Etats membres. / While Intelligence and the UN still appear as an oxymoron because of an old mistrust that goes back to the Cold war era and secret attempts of instrumentalization of the United Nations by its member States, Military Intelligence has been gradually considered as an essential factor of operational efficiency of peacekeepers deployments. The analysis of former PKOs shows that they are valued as intelligence missions, of which the main activity is the collection through information by observation, in total conformity with peacekeeping principles. The multiplication of the PKOs in strongly deteriorated contexts, and additionally subjected to asymmetric threats, makes PKOs strongly dependent on Military Intelligence, which is henceforth widely considered as a great multiplier of effects and strengths. This phenomenon also leads to an exponential increase of gathered information as well as the necessity of better exploiting them and of storing them, just as well at the operational level, as at the strategic one. The emergence of the concept of protection of the civilians, placed at the core of each and every PKO mandate, makes inescapable the holding of an autonomous Intelligence capacity, in order to allow the senior UN authorities to decide and to act with full awareness. Indeed the nature of Intelligence is hardly compatible with the state of multilateralism, for it relies on a deep relationship of trust between the various producers and consumers of Intelligence. Acquiring an autonomous capacity of collection and analysis thus requires to develop a doctrinal corpus adapted to the United Nations and to formalize the actions of Intelligence in order to reassure its member States
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Le conflit somalien et les Nations Unies / The Somali conflict and the United Nations

Frumence Pascal, Mouna 15 October 2018 (has links)
Le conflit somalien est probablement le seul conflit d’ordre interne qui a mis à rude épreuve le système de sécurité collective de la Charte des Nations Unies. Celui-ci éclate en 1991 à un moment clé de l’histoire politique des relations internationales. C’est la fin de la Guerre froide et pour l’Organisation universelle de l’ONU, longtemps paralysée par les vetos de deux Grands, c’est l’avènement d’une nouvelle ère pour la mise en oeuvre des principes énoncés dans la Charte des Nations Unies. Occupant le long de la façade maritime de la Corne d’Afrique, la Somalie de Siad Barré alignée sur l’idéologie soviétique ne survit pas à l’émiettement de ce bloc. S’ensuit un conflit civil, sanglant et fratricide presqu’à huit clos. Confrontée à la complexité du conflit somalien et à l’échec des premières tentatives de règlement pacifique, l’Organisation mondiale dégaine sa doctrine de maintien de la paix. Ainsi en l’espace de trois ans (1992-1995), le Conseil de sécurité autorise le déploiement de trois missions de l’ONU en Somalie : une opération classique de maintien de la paix (ONUSOM), une opération de maintien de la paix robuste (UNITAF) et une opération d’imposition de la paix (ONUSOM II). Toutes se soldent par un échec sans appel, obligeant les Casques bleus de l’ONU à opérer un repli sous protection armée alors que le conflit n’a toujours pas trouvé une quelconque issue. L’intérêt de cette étude est de mettre en lumière le paradigme de l’intervention des Nations Unies. Comment un simple conflit interétatique a-t-il pu mettre en échec les principes du droit international de la Charte des Nations Unies ? D’autant plus que les solutions proposées ont fait l’objet d’un traitement consensuel de la part de tous les membres du Conseil de sécurité qui ont entériné à l’unanimité les résolutions adoptées ? Il convient également de mettre l’accent sur l’engagement en dents de scie de l’Organisation des Nations Unies à compter de 1995. Un désengagement qui laisse le champ libre aux organismes régionaux de l’UA et de l’IGAD d’entreprendre des nouvelles tentatives de réconciliation nationale. L’explosion des actes de piraterie le long des côtes somaliennes donne l’occasion à l’ONU d’opérer un retour sur ce conflit aux relents lointains. Mais il s’agit d’un retour mesuré qui exclut derechef l’emploi de la coercition militaire. S’engageant désormais dans diverses activités de consolidation de la paix, l’ONU abandonne le terrain dangereux du maintien de la paix malgré le fait que le conflit somalien constitue toujours une menace pour la paix et la sécurité internationales. En vertu du principe de subsidiarité, l’AMISOM, l’opération de maintien de la paix de l’UA en Somalie présente depuis 2007 est la seule force habilitée à recourir à la force armée. Entre espoir et désillusions, la force de paix africaine, bien que sous-dimensionnée doit accomplir des missions de plus en plus élargies pour restaurer la paix et la sécurité dans le pays. / The Somali conflict is probably the only internal conflict that has subjected to a tremendous ordeal the collective security system of the United Nations Charter. It breaks out in 1991 at a key moment in the history of the international relations policy. However with the end of the Cold War, it is the beginning of a new era for the UN Universal Organization, long paralyzed by the vetoes of two Great for the effective purpose of the principles set out in the Charter of the United Nations. Occupying along the coastline of the Horn of Africa, Siad Barre's Somalia aligned with Soviet ideology does not survive the dissolution of this block. The result is the beginning of a civil, bloody and fratricidal conflict almost without any outside interference. Facing the complexity of Somalia conflict and the failure of the first attempts at a peaceful resolution, the World Organization engages its peacekeeping doctrine. Thus in the space of three years (1992-1995), the Security Council authorizes the deployment of three UN missions in Somalia: a classic peacekeeping operation (UNOSOM), a sturdy peacekeeping operation (UNITAF) and a peace enforcement operation (UNOSOM II). All of them result in an ineffective failure, forcing the UN peacekeepers to fall back under armed protection while the conflict has still not found a way out. The interest of this study is to highlight the paradigm of the intervention of the United Nations. How could a simple interstate conflict defeat the principles of international law of the United Nations Charter? Especially since the proposed solutions were the subject of consensual treatment by all the members of the Security Council who unanimously approved the resolutions adopted. There is also a need to focus on the United Nations' jagged commitment from 1995 onwards. A disengagement that give a free rein to the AU and IGAD regional organization to undertake new attempts at national reconciliation. The sudden increase of piracy along the Somali coast provides an opportunity for the United Nations to return to this distant conflict. But this is a measured return that once again excludes the use of military coercion. Now engaging in various peace building activities, the United Nations is abandoning the dangerous environment of peacekeeping despite the fact that the Somali conflict continues to pose a threat to international peace and security. In virtue of the principle of subsidiarity, AMISOM, the AU peacekeeping operation in Somalia since 2007 is the only force authorized to use armed force. Between hope and disillusionment, the African peacekeeping force, though undersized, must carry out more and more missions to restore peace and security in the country.
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La notion de "Diplomatie coercitive" et sa portée en droit international : influence de la théorie réaliste des relations internationales sur l'évolution du jus ad bellum en droit international depuis la fin de la guerre froide

Goudreau, François January 2008 (has links) (PDF)
Caractérisée notamment par la prédominance de la théorie réaliste, la discipline des relations internationales constituait auparavant un domaine pratiquement distinct du droit international. II est cependant possible de noter un rapprochement théorique entre les deux disciplines depuis la fin de la guerre froide. La nouvelle réalité des relations internationales en matière de recours à la menace ou à l'emploi de la force armée depuis les années 1990 pousse ainsi le droit international à évoluer. La notion réaliste de « diplomatie coercitive », conceptualisée dans les années 1960 et visant l'emploi de la menace ou de la force armée de façon graduelle et limitée afin de contraindre un adversaire à revenir au statu quo, est régulièrement utilisée dans les nouveaux conflits afin d'éviter que ceux-ci n'explosent davantage. Le droit international s'affaire à tenir compte de ces nouvelles réalités et tend maintenant à élaborer de nouveaux concepts, comme c'est le cas notamment pour la notion de responsabilité de protéger. Cette dernière vient d'ailleurs modifier le jus ad bellum en droit international, qui pourrait ainsi légitimer l'utilisation de la « diplomatie coercitive ». L'évolution du jus ad bellum se confronte cependant aux règles internationales actuellement établies, dont principalement celles de la Charte des Nations Unies. L'évolution du droit international repose toutefois aussi sur la coutume et la pratique des États. Le processus de formation des normes internationales est donc un mouvement continu qui doit tout d'abord tenir compte de la réalité des relations internationales. Le rôle du droit international sera par la suite de s'assurer qu'un contrôle puisse être exercé face à ces nouvelles règles, tout particulièrement lorsque celles-ci concernent le domaine délicat de l'emploi de la force armée. Un seuil minimal de cause juste doit effectivement être respecté par les acteurs désirant employer la force. En ce sens, celui du respect des droits de la personne semble s'imposer au sein de la société internationale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Droit international, Relations internationales, Réalisme, Diplomatie coercitive, Conflit armé, Représailles, Responsabilité de protéger, Guerre juste.
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Analyse de la participation chinoise aux opérations de maintien de la paix : étude selon le postulat libéral, constructiviste et réaliste

Couture, Ulric January 2008 (has links) (PDF)
La tentative de certains experts en relations internationales d'analyser la participation chinoise aux opérations de maintien de la paix a relevé de nombreux facteurs pouvant expliquer l'engagement chinois: le développement du commerce, la croissance des capacités de l'État chinois, la crainte que d'autres pays n'améliorent leur position sur la scène internationale à ses dépens, les transformations au niveau des perceptions suscitées par des contacts répétés avec le monde extérieur, les besoins de l'armée populaire de libération pour garantir la sécurité intérieure, et enfin l'existence d'une structure militaire inefficace. L'intention de ce mémoire est d'évaluer la pertinence de plusieurs approches analytiques pour comprendre les raisons qui facilitent ou contraignent la participation chinoise. Compte tenu de l'impossibilité de poursuivre une recherche sur le terrain, il a été décidé d'opter pour une étude critique de plusieurs approches théoriques et d'évaluer leur cohérence interne plutôt que leur capacité explicative. Il a été choisi d'examiner les explications qui ont été avancées pour expliquer la participation chinoise au cours des années 90, jusqu'à l'opération des Nations Unies au Burundi en juin 2004. Trois approches théoriques des relations internationales sont privilégiées dans cette étude : le réalisme, le libéralisme et le constructivisme. Le mémoire avance que les approches libérales permettent de prendre en compte d'importantes dimensions économiques et domestiques et que les approches constructivistes aident à mieux comprendre la dynamique des relations entre la Chine et l'ONU. Cependant, le pouvoir explicatif des approches réalistes semble plus convaincant parce que ces dernières soulignent l'importance de la quête d'avantages et les ambitions de la Chine sur la scène internationale. Il a été tenu compte de la diversité de chacune des approches théoriques, et pour cette raison, une distinction entre courants optimistes et pessimistes à l'intérieur de chacune de ces approches a été opérée. Si l'on s'en tient aux courants optimistes, la participation chinoise est causée par l'interdépendance économique, l'importance des relations avec l'ONU, la transformation de l'identité, l'évolution de la culture stratégique chinoise, la croissance des capacités de l'État ainsi que les ambitions modestes du gouvernement chinois. Par ailleurs, les courants pessimistes croient que les facteurs domestiques, le renforcement de l'identité chinoise, le rejet partiel de l'identité de l'ONU, l'appropriation de gains et la possibilité de confrontation représentent des variables déterminantes pour expliquer le refus du gouvernement chinois à collaborer plus activement. En définitive, le travail présenté ici suggère que les réalistes proposent les réponses les plus cohérentes à la question de recherche. Il n'est pas exclu que des études plus approfondies prenant en compte d'autres facteurs, dans le cadre d'une approche libérale ou constructiviste, puissent remettre en question cette conclusion.
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La gestion des conflits armés en Afrique depuis la Somalie (1993-2003) jusqu'à l'opération Artémis : étude comparative des politiques canadiennes et françaises de renforcement des capacités africaines de maintien de la paix

Désilets, Louis-Philippe January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire est une étude comparative des politiques française et canadienne de maintien de la paix en Afrique. Au début des années 1990, la France et le Canada sont d'importants fournisseurs de troupes aux différentes missions de paix mises de l'avant par les Nations Unies à ce moment-là. Sur le continent africain, les deux pays ont été présents en Somalie, au Rwanda, en Centrafrique et en République démocratique du Congo. À la suite des échecs survenus en Somalie et au Rwanda, leurs dirigeants ont décidé de favoriser davantage la formation des forces africaines de maintien de la paix plutôt que l'engagement direct de leurs forces armées. Le but de ce mémoire est de comparer les politiques canadienne et française afin d'identifier les motivations qui ont poussé leurs dirigeants à intervenir dans différentes missions de paix en Afrique. Afin de réaliser cet objectif, l'auteur a analysé celles-ci et les actions posées par les deux pays depuis la Somalie en 1993 jusqu'à l'intervention en République démocratique du Congo dans la province de l'Iturie en juin 2003 avec un cadre d'analyse réaliste. Le cadre d'analyse est construit à partir de la théorie réaliste des relations internationales. Cette théorie se fonde sur les propositions suivantes: le système international est anarchique; il y a toujours un risque de déclenchement d'un conflit; les États sont les principaux acteurs des relations internationales; les États sont incarnés par les chefs d'États qui sont des acteurs cherchant à maximiser leur intérêt national défini en termes de puissance. Les concepts d'intérêt national et de puissance sont au coeur de l'analyse de la politique étrangère. L'auteur a choisi l'approche réaliste « offensive » car celle-ci est pertinente afin d'expliquer pourquoi un État utilise le maintien de la paix comme un moyen d'acquérir de l'influence. L'hypothèse principale est que le maintien de la paix est un instrument qui permet au Canada et à la France d'acquérir de l'influence et de défendre certains objectifs dans le système international. La seconde hypothèse est que depuis la fin de la guerre froide, les dirigeants canadien et français ont modifié leur politique étrangère afin de faire face à la nouvelle typologie des conflits armés en Afrique caractérisés par des guerres civiles et des compressions budgétaires sur le plan interne. En somme, les Canadiens et les Français ont participé à différentes opérations de maintien de la paix en Afrique afin d'acquérir de l'influence dans l'arène internationale et protéger leurs acquis. Faisant face à des facteurs externes et internes, ils ont dû modifier leur politique de maintien de la paix. La participation du Canada à la résolution des conflits en Afrique n'a pas eu un impact significatif comparativement à celle de la France. La raison étant que la France disposait de davantage de moyens militaires que le Canada. Ottawa a surtout joué un rôle diplomatique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Maintien de la paix, Politique étrangère, Canada, France, Missions de paix.
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Former le soldat de la paix étude sur l'évolution de la formation militaire en France et en Allemagne dans la perspective de la construction européenne de la défense /

Hardy, Joël Soëtard, Michel January 2003 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie. Histoire. Education : Lyon 2 : 2003. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Les conflits armés internes en Afrique et le droit international

Atché, Bessou Raymond Benchikh, Madjid. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse doctorat : Droit international public : Cergy-Pontoise : 2008. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. f. 361-381.

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