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Facteurs d'adoption de la lutte intégrée dans le secteur maraîcher en Montérégie (Québec)

Bourgeault, Julie January 2009 (has links) (PDF)
La lutte intégrée est une approche de gestion des ravageurs (insectes, maladies, mauvaises herbes, etc.) qui est véhiculée depuis 1997 par la Stratégie phytosanitaire du Québec afin d'encourager les producteurs agricoles à pratiquer des techniques qui réduisent la pression environnementale associée à l'usage des pesticides. Cette étude tente d'identifier quels sont les facteurs qui favorisent ou limitent l'adoption de la lutte intégrée dans le secteur maraîcher en Montérégie, selon les agriculteurs et selon les intervenants agricoles. Dans un premier temps, nous avons effectué une cueillette de données grâce à un sondage téléphonique réalisé auprès de 60 producteurs maraîchers de la Montérégie. En ce qui a trait à la pratique de la lutte intégrée, nous savons, de par notre étude, que 5% des producteurs maraîchers interrogés sont en transition-niveau 1 vers la lutte intégrée, que 26,7% font des pratiques minimales-niveau II, que 26,7% font des pratiques intermédiaires-niveau III et que 41,7% font des pratiques avancées-niveau IV. Au niveau des facteurs significatifs, les résultats montrent que l'augmentation de la taille de la culture principale et l'augmentation en âge du producteur sont des freins à l'adoption de la lutte intégrée. De plus, il semblerait qu'une meilleure diffusion de l'information et l'augmentation de la documentation de l'avantage relatif permettraient d'augmenter le nombre de producteurs choisissant d'adopter la lutte intégrée ainsi que les niveaux de pratique. Dans un second temps, nous avons effectué des entretiens semi-dirigés auprès de huit intervenants clés du milieu maraîcher en provenance du Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ), de l'Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA), des Clubs-conseils en agroenvironnement (CCAE) et du Centre de recherche et de développement en horticulture de Saint-Jean-sur-Richelieu (CRDH). Les résultats de cette étude montrent que plusieurs facteurs semblent limiter l'adoption de la lutte intégrée tels que: l'implication respective des acteurs (chercheurs, gouvernements, consommateurs, producteurs), l'absence d'un écolabel et de formation spécifique en lutte intégrée pour le secteur maraîcher, la répartition géographique inégale des clubs-conseil, le manque de documentation sur l'avantage relatif ainsi que d'information et d'outils sur des ravageurs et des alliés pour les producteurs, des recherches insuffisantes et la difficulté d'effectuer, pour certaines cultures, la transition en lutte intégrée. Par ailleurs, les facteurs qui semblent favoriser l'adoption de la lutte intégrée sont: la disponibilité des informations pour les conseillers en agroenvironnement, la non fragmentation de l'information et la compatibilité des pratiques de lutte intégrée avec le système de production agricole. La présence de relève agricole ne semble pas être, pour sa part un facteur influent. Cette étude nous permet de reconnaître une vision assez similaire entre les producteurs maraîchers et les intervenants agricoles au sujet des facteurs influençant positivement ou négativement l'adoption de la lutte intégrée. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lutte intégrée, Producteurs maraîchers, Facteurs d'adoption, Entretien/entrevue semi-dirigé(e), Sondage, Intervenants agricoles, Montérégie, Québec, Canada.
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Les modes d'organisation de la production chez les firmes étrangères et leurs impacts sur les économies agricoles locales : le cas du secteur maraîcher au Maroc / The production organization modes of foreign firms and their impacts on the local agricultural economics : the case of the vegetable sector in Morocco

Bensalk, Sana 26 June 2013 (has links)
Dans un environnement marqué par une forte pression sur les ressources locales, des firmes étrangères à capitaux européens se sont implantées dans le secteur maraîcher au Maroc dans un contexte de recherche de coûts plus compétitifs. Notre étude propose une analyse conjointe des modes d'organisation de la production chez les firmes étrangères et de leurs impacts sur les économies agricoles locales. D'un point de vue théorique, cette analyse s'appuie sur la théorie des coûts de transaction, la littérature relative à l'économie et le bien-être des ménages et le modèle de Jovanovic relatif à la croissance de la firme. D'un point de vue empirique, les données primaires ont été collectées grâce à une enquête qualitative auprès des firmes étrangères et une enquête quantitative auprès des ménages agricoles locaux au Maroc. Notre étude révèle une diversité des modes d'organisation chez les opérateurs étrangers selon les spécificités de la production et de la commercialisation. Ces opérateurs ont différents niveaux d'implication en amont. En effet, ils ont élaboré diverses relations directes avec des ménages agricoles locaux via les marchés des inputs et des outputs. Des ménages locaux ont développé un salariat auprès des IDE dans des logiques d'accumulation de revenus et de minimisation de risques liés à leurs faibles revenus agricoles. Ces ménages ont affecté les revenus tirés de ces emplois à un réinvestissement dans le secteur agricole ou à une amélioration de leur bien-être. Nous montrons que les liens directs des firmes étrangères avec les ménages locaux via le marché des outputs ont des effets positifs sur la croissance de la SAU des exploitations domestiques, contrairement à leurs liens via le marché du travail et celui du foncier. Nos résultats confirment les prédictions théoriques du modèle de Jovanovic. La présence des IDE a été associée à une diffusion des effets spillovers horizontaux positifs sur la croissance de la SAU des exploitations locales, situées à proximité des IDE, mieux dotées en technologies et exportatrices. Le capital social de ménages locaux et leur zone de localisation ont joué un rôle important dans la croissance de leurs ressources foncières. Pour mieux comprendre cette dynamique, il est indispensable d'analyser les impacts des firmes étrangères sur l'évolution de la force du travail des exploitations agricoles domestiques. / Foreign firms with European capital in the vegetable sector in Morocco are developing in an environment marked by strong pressure on local resources, in the research of more competitive costs. Our study proposes a joint analysis of the production organization modes of foreign firms and their impact on the local agricultural economics. For our theoretical approach, this analysis is based on the theory of transaction costs, the literature on the economics and the welfare of households and the Jovanovic's model of firm growth. For our empirical approach, the primary data were collected through a qualitative survey with foreign firms and a quantitative survey with local farm households in Morocco. Our study reveals a diversity of production organization modes of foreign operators depending on the production and marketing specificities. These operators have different levels of implication in upstream. In fact, they have various direct relationships with local farm households through the inputs and outputs markets. Local households developed employments within FDI in the logics of income accumulation and risks minimizing related to their low farm incomes. These households affected income of these jobs to a reinvestment in agriculture or an improvement of their welfare. We show that the direct links of foreign firms with local households through the outputs market have positive effects on the growth of the domestic farms physical size, unlike their links through the labor and land markets. Our results confirm the theoretical predictions of the Jovanovic's model. The presence of FDI was associated with a diffusion of positive horizontal spillovers effects on the growth of local farms, located near the foreign firms, better endowed in technology and exporting firms. The social capital of local households and their location area have an important role in the growth of their land resources. Our study should be completed by impacts analysis of foreign firms on the labor force evolution of domestic farms.
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Acheter des fruits et légumes locaux sur mon chemin : analyse de la fréquentation et des premiers effets du Marché solidaire Cadillac

Hébert, Myreille 12 1900 (has links)
Les systèmes alimentaires alternatifs font partie des stratégies prometteuses pour améliorer l’accès aux fruits et légumes (FL) frais des populations défavorisées et mal desservies. Peu de données probantes existent pour saisir leur portée et leur efficacité. Suite à l’implantation d’un kiosque maraîcher à la sortie d’une station de métro de Montréal, cette étude vise à analyser l’évolution de sa fréquentation, du profil de ses utilisateurs et les caractéristiques des utilisateurs rapportant une augmentation de leurs achats de FL au cours des deux premières saisons. Deux sources de données ont été analysées : les données de ventes recueillies par une application de paiement mobile et une enquête répétée auprès des utilisateurs (2016, n=214 ; 2017, n=151). Une augmentation significative de la fréquentation a été observée, les utilisateurs de 2017 achetaient plus au kiosque. Une plus grande proportion d’entre eux le fréquentait hebdomadairement et rapportait une consommation d'au moins 5 FL/jour. Les utilisateurs de 2017 étaient majoritairement plus favorisés qu’en 2016. En 2017, 23% affirmaient acheter davantage de FL, comparativement à 12% en 2016. Les caractéristiques des 23% correspondraient davantage à la population ciblée. Par ailleurs, ils étaient plus susceptibles de fréquenter le kiosque hebdomadairement, de percevoir peu abordables les FL de leur quartier et de ne pas avoir accès à une automobile. Un an après son ouverture, le kiosque affiche un certain succès, mais sa capacité à rejoindre les populations défavorisées est mitigée. Au-delà de l'amélioration de l'accès physique, l’ajout d’incitatifs réduisant les barrières économiques serait plus efficace pour diminuer les inégalités de santé. / Alternative food systems have the potential to enhance physical and economic access to fruits and vegetables (FV) for vulnerable and underserved populations. The evaluation of their scope and their effectiveness requires additional efforts. Following the implementation of a FV stand next to a subway station in Montreal, this study aims to determine the evolution of its attendance, shoppers’ profile and the characteristics of shoppers reporting an increase in their FV purchases between the first and second season. Two sets of data were collected: details of all sales data and on-site surveys (2016, n = 214; 2017, n = 151). A significant increase in attendance was observed: 2017’s shoppers purchased more FV at the stand. A larger proportion of 2017 shoppers frequented it weekly and reported an intake of at least 5 FV / day. However, a larger proportion were wealthier. In 2017, 23 % of shoppers reported an increase of their FV purchases. compared to 12% in 2016. These 23% of shoppers would have characteristics of the originally targeted deprived population. They were also more likely to attend the stand weekly, to perceive FV’s neighborhood unaffordable and not to have access to a car. One-year post-implementation, the FV stand present a potential success. However, its reach to disadvantaged populations is mixed. Beyond improving physical access, include incentive strategies to reduce economic barriers would be relevant in reducing social and health inequalities.

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