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The Role of Extracellular Matrix and Matrix-Degrading Proteases in Neonatal Hypoxic-Ischemic InjuryLeonardo, Christopher C 05 June 2008 (has links)
Improvements in medical care over recent decades have increased the number of premature and low birth weight infants that survive hypoxic-ischemic (H-I) insults. Because there is a rising incidence in diseases associated with these events, it is critical to develop effective therapies to treat the various resulting neuropathies. Extracellular matrix constitutes the majority of brain parenchyma. Lecticans and matrix-degrading proteases including ADAMTSs (a disintegrin and metalloproteinase with thrombospondin repeats) and matrix metalloproteinases (MMPs) exert effects on cell viability and may be associated with either protective or destructive processes after H-I. Both ADAMTSs (Cross et al. 2006; Tian et al. 2007) and MMPs (del Zoppo et al. 2007; Gu et al. 2005; Rosenberg et al. 2001) have been associated with pathological states in brain, yet the relative contributions of lecticans, ADAMTSs and MMPs to inflammation and cell death remain unknown.
In the present study, the first series of experiments were conducted to characterize cellular damage and neuroinflammation in the postnatal day 7 rat after exposure to H-I, and to determine if cell death and inflammation were associated with alterations in lectican expression. Data showed that reduced brevican expression occurred 4 days after H-I in lesioned hippocampus. Additionally, reduced versican expression in white matter was concomitant with pre-OL cell death at this endpoint. In contrast, both lecticans were elevated at later endpoints (14, 21 days) that were associated with increased neuroinflammation and cavitary infarction. These data suggest that lectican loss is associated with cell death at the early endpoint, whereas increased lectican deposition over time likely leads to glial scar formation and a reduced capacity for neuroplasticity.
Two subsequent series of experiments were conducted to determine the relative contributions of matrix-degrading proteases to injury, and whether proteolytic activity was associated with neuroinflammatory events. The first objective was to determine whether treatment with AG3340, a selective inhibitor of gelatin-degrading MMPs, or the anti-inflammatory compound minocycline, could provide neuroprotection when administered at a delayed time point after insult, and to compare the efficacy of AG3340 with that of the well-known anti-inflammatory compound minocycline. Data showed that both compounds effectively dampened the recruitment of microglia/macrophages to the lesion site when administered 24 hrs after H-I. These effects were associated with reduced neurodegeneration, indicating that these compounds neuroprotect at a clinically relevant time point. The final series of experiments tested whether these compounds could neuroprotect in an ex vivo model of oxygen glucose deprivation (OGD) that lacks peripheral immune cell involvement, thus providing insight into the relative contributions of resident microglia and gelatinase activity to the inflammatory sequelae. Results showed that both compounds blocked the OGD-induced increase in gelatinase activity and were neuroprotective in the absence of peripheral immune cells. Taken together, these data indicate that resident microglia contribute to H-I injury through gelatinase activation. Thus, the present study demonstrates that gelatin-degrading MMPs are important targets to consider when developing therapies to combat neonatal H-I injury.
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Rôle et localisation intraspinale du récepteur B1 des kinines dans la douleur neuropathiqueChahmi, Emna 12 1900 (has links)
Le récepteur B1 des kinines (RB1) joue un rôle important dans l'inflammation et la nociception. Les sites de liaison du RB1 sont augmentés dans la moelle épinière et le ganglion de la racine dorsale (GRD) chez le rat après la ligature partielle du nerf sciatique (LPNS). Dans ce modèle classique de douleur neuropathique, le traitement aigu avec des antagonistes sélectifs du RB1 renverse l'hyperalgésie thermique mais non pas l’allodynie.
Cette étude vise à définir dans ce modèle de LPNS: 1- les effets de traitements aigu et chronique avec des antagonistes du RB1 sur l’hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid; 2- la contribution du TRPV1 et du stress oxydatif dans la composante de la douleur neuropathique associée au RB1; 3- l’expression du RB1 au niveau de la moelle épinière lombaire, le GRD et le nerf sciatique par RT-PCR quantitatif (Reverse transcriptase-polymerase chain reaction); 4- la localisation cellulaire du RB1 dans la moelle épinière lombaire par microscopie confocale.
L’hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid ont été mesurées par le réflexe de retrait de la patte arrière après l’application à la surface plantaire d’une source radiante de chaleur (méthode Hargreaves), de filaments de Von Frey et d’une goutte d’acétone qui produit une sensation de froid par évaporation.
Nous avons montré, dans un premier temps, que l'hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid sont renversées par un traitement chronique avec l’antagoniste du RB1, SSR240612, administré par gavage à raison de 10 mg /kg/jr entre le 15 e et le 20 e jour après la ligature du nerf sciatique et par un traitement antioxydant, la N-acétyl-L-cystéine, administrée par gavage à la dose de 1g/kg/jr, 4jours précédant la ligature et pendant les 2 semaines après la ligature. Un traitement aigu avec le
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SSR240612 (10 mg/kg) ou avec un antagoniste du RB1 qui ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, le R-954 (2mg/kg, s.c.), n’a bloqué que l’hyperalgésie thermique.
Dans un second temps, l’antagoniste du TRPV1, le SB366791, administré à raison de 1 mg/kg/jr par voie sous-cutanée du j-1 au j-14 a renversé l’allodynie tactile et l’hyperalgésie thermique.
De plus, nous avons noté deux semaines après la LPNS, des augmentations significatives des niveaux d'ARNm du RB1 dans la moelle épinière lombaire, le nerf sciatique et le GRD du côté ipsilatéral à la ligature. Ces augmentations ont été renversées par le traitement avec la N-acétyl-L-cystéine et l’antagoniste du TRPV1. Le RB1 a été localisé au niveau des fibres de type C avec le marquage au CGRP (Calcitonin Gene-Related Peptide) et au niveau de la microglie utilisant le marquage au Iba-1 dans la moelle épinière lombaire des rats ayant subi une LPNS, 2 semaines plus tôt.
Au terme de cette étude, nous avons suggéré que la surexpression du RB1 sur les fibres de type C contribuerait à l’hyperalgésie thermique alors que le RB1 sur la microglie dans la moelle épinière contribuerait aux allodynies tactile et au froid dans le modèle LPNS chez le rat. Le stress oxydatif pourrait être impliqué dans l’induction du RB1. Bien que le rôle du TRPV1 semble plutôt limité à la douleur thermique, il pourrait cependant agir via le RB1 sur les fibres de type C. / The kinin B1 receptor (B1R) plays an important role in inflammation and nociception.
B1R binding sites are increased in the spinal cord and dorsal root ganglion (DRG) in rats
after partial sciatic nerve ligation (PSNL). In this classic model of neuropathic pain, acute
treatment with selective B1R antagonists reversed thermal hyperalgesia but not allodynia.
This study aims at determining in this model of PSNL: 1- the acute and chronic effects of
B1R antagonists on thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia; 2- the
contribution of TRPV1 and the oxidative stress in the component of neuropathic pain
associated to B1R; 3 - the expression of B1R in the lumbar spinal cord, the DRG and the
sciatic nerve by quantitative RT-PCR (Reverse transcriptase-polymerase chain reaction);
4 - the cellular localization of B1R in the lumbar spinal cord by confocal microscopy.
Thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia were measured by the reflex
withdrawal of the hindpaw after application to the plantar surface of a radiant heat source
(Hargreaves method), Von Frey filaments and a drop of acetone that produces a sensation
of cold by evaporation.
We have shown, firstly, that the thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia are
reversed by chronic treatment with the B1R antagonist, SSR240612, administered by
gavage at a dose of 10 mg/ kg / day from day 15 to day 20 after sciatic nerve ligation and
with antioxidant treatment, N-acetyl-L-cysteine, administered by gavage at a dose of 1g
/kg/ day, four days before ligation and for two weeks after ligation. Acute treatment with
SSR240612 (10 mg/kg) or with the B1R antagonist R-954 (2 mg/kg, s.c.) which does not
pass the blood-brain barrier blocked thermal hyperalgesia only.
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Rôle et localisation intraspinale du récepteur B1 des kinines dans la douleur neuropathiqueChahmi, Emna 12 1900 (has links)
Le récepteur B1 des kinines (RB1) joue un rôle important dans l'inflammation et la nociception. Les sites de liaison du RB1 sont augmentés dans la moelle épinière et le ganglion de la racine dorsale (GRD) chez le rat après la ligature partielle du nerf sciatique (LPNS). Dans ce modèle classique de douleur neuropathique, le traitement aigu avec des antagonistes sélectifs du RB1 renverse l'hyperalgésie thermique mais non pas l’allodynie.
Cette étude vise à définir dans ce modèle de LPNS: 1- les effets de traitements aigu et chronique avec des antagonistes du RB1 sur l’hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid; 2- la contribution du TRPV1 et du stress oxydatif dans la composante de la douleur neuropathique associée au RB1; 3- l’expression du RB1 au niveau de la moelle épinière lombaire, le GRD et le nerf sciatique par RT-PCR quantitatif (Reverse transcriptase-polymerase chain reaction); 4- la localisation cellulaire du RB1 dans la moelle épinière lombaire par microscopie confocale.
L’hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid ont été mesurées par le réflexe de retrait de la patte arrière après l’application à la surface plantaire d’une source radiante de chaleur (méthode Hargreaves), de filaments de Von Frey et d’une goutte d’acétone qui produit une sensation de froid par évaporation.
Nous avons montré, dans un premier temps, que l'hyperalgésie thermique et les allodynies tactile et au froid sont renversées par un traitement chronique avec l’antagoniste du RB1, SSR240612, administré par gavage à raison de 10 mg /kg/jr entre le 15 e et le 20 e jour après la ligature du nerf sciatique et par un traitement antioxydant, la N-acétyl-L-cystéine, administrée par gavage à la dose de 1g/kg/jr, 4jours précédant la ligature et pendant les 2 semaines après la ligature. Un traitement aigu avec le
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SSR240612 (10 mg/kg) ou avec un antagoniste du RB1 qui ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, le R-954 (2mg/kg, s.c.), n’a bloqué que l’hyperalgésie thermique.
Dans un second temps, l’antagoniste du TRPV1, le SB366791, administré à raison de 1 mg/kg/jr par voie sous-cutanée du j-1 au j-14 a renversé l’allodynie tactile et l’hyperalgésie thermique.
De plus, nous avons noté deux semaines après la LPNS, des augmentations significatives des niveaux d'ARNm du RB1 dans la moelle épinière lombaire, le nerf sciatique et le GRD du côté ipsilatéral à la ligature. Ces augmentations ont été renversées par le traitement avec la N-acétyl-L-cystéine et l’antagoniste du TRPV1. Le RB1 a été localisé au niveau des fibres de type C avec le marquage au CGRP (Calcitonin Gene-Related Peptide) et au niveau de la microglie utilisant le marquage au Iba-1 dans la moelle épinière lombaire des rats ayant subi une LPNS, 2 semaines plus tôt.
Au terme de cette étude, nous avons suggéré que la surexpression du RB1 sur les fibres de type C contribuerait à l’hyperalgésie thermique alors que le RB1 sur la microglie dans la moelle épinière contribuerait aux allodynies tactile et au froid dans le modèle LPNS chez le rat. Le stress oxydatif pourrait être impliqué dans l’induction du RB1. Bien que le rôle du TRPV1 semble plutôt limité à la douleur thermique, il pourrait cependant agir via le RB1 sur les fibres de type C. / The kinin B1 receptor (B1R) plays an important role in inflammation and nociception.
B1R binding sites are increased in the spinal cord and dorsal root ganglion (DRG) in rats
after partial sciatic nerve ligation (PSNL). In this classic model of neuropathic pain, acute
treatment with selective B1R antagonists reversed thermal hyperalgesia but not allodynia.
This study aims at determining in this model of PSNL: 1- the acute and chronic effects of
B1R antagonists on thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia; 2- the
contribution of TRPV1 and the oxidative stress in the component of neuropathic pain
associated to B1R; 3 - the expression of B1R in the lumbar spinal cord, the DRG and the
sciatic nerve by quantitative RT-PCR (Reverse transcriptase-polymerase chain reaction);
4 - the cellular localization of B1R in the lumbar spinal cord by confocal microscopy.
Thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia were measured by the reflex
withdrawal of the hindpaw after application to the plantar surface of a radiant heat source
(Hargreaves method), Von Frey filaments and a drop of acetone that produces a sensation
of cold by evaporation.
We have shown, firstly, that the thermal hyperalgesia and tactile and cold allodynia are
reversed by chronic treatment with the B1R antagonist, SSR240612, administered by
gavage at a dose of 10 mg/ kg / day from day 15 to day 20 after sciatic nerve ligation and
with antioxidant treatment, N-acetyl-L-cysteine, administered by gavage at a dose of 1g
/kg/ day, four days before ligation and for two weeks after ligation. Acute treatment with
SSR240612 (10 mg/kg) or with the B1R antagonist R-954 (2 mg/kg, s.c.) which does not
pass the blood-brain barrier blocked thermal hyperalgesia only.
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