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Les tumulus gallo-romains dans la cité des Tongres/ Gallo-Roman Barrows in the Civitas Tungrorum

Massart, Claire 30 April 2010 (has links)
Les sépultures sous tumulus, dont l’origine remonte à l’aube de la Protohistoire dans toute l’Europe, connaissent une nouvelle mode dans les provinces septentrionales de l’Empire, aux trois premiers siècles de notre ère. Un aperçu de ces monuments aux époques protohistoriques et un état de la question concernant le paysage funéraire dans les premières décennies qui ont suivi la conquête sont essentiels pour comprendre la filiation de ce type de signalisation traditionnelle, en terre, à une époque où l’architecture en pierre connaît un essor sans précédent. Les tumulus de la cité des Tongres s’inscrivent dans des faciès sociaux et régionaux correspondant à des situations économiques et politiques qui ont évolué de manière très différente. Leur densité en Hesbaye contraste avec une présence beaucoup plus disséminée en Condroz et dans le nord de l’Ardenne. Le groupe hesbignon occupe la région fertile du centre de la cité, où se situe le caput civitatis. Les grands tumulus y apparaissent à la fin de l’époque flavienne. Leurs caveaux en bois et leurs opulents mobiliers à service du banquet sont d’emblée très uniformisés, révélant des funérailles ostentatoires qui se sont déroulées selon des conventions et des codes communs, puisés dans les symboles de l’idéal aristocratique celtique. Les structures rituelles et le matériel liturgique, préservés sous plusieurs tertres, renvoient à certaines pratiques religieuses propres au monde celto-germanique, en même temps qu’à des actes sacrificiels empruntés au culte romain. Dans les régions situées au sud du sillon sambro-mosan, les tertres sont de taille souvent plus modeste. Ils ont généralement abrité des dépositions simples, tandis qu’une autre catégorie de tombes, à monument en pierre, recèle des mobiliers en coffre comparables aux dépôts hesbignons. L’étude des tumulus tongres a permis d’appréhender, par de multiples aspects, l’autoreprésentation de la classe dirigeante de la cité, son niveau d’acculturation et ses conservatismes, l’idéologie que ces notables ont instaurée au sein de la nouvelle structure politique, contribuant à affirmer des valeurs sociales construites dans la mixité des traditions, des nouveaux devoirs civiques et des influences culturelles méditerranéennes. L’étude du matériel a mis en évidence les panoplies funéraires, leur signification et leurs particularismes régionaux. Elle a, par ailleurs, apporté de nombreuses informations dans des domaines aussi variés que ceux des réseaux commerciaux, de la composition des services et de l’évolution du vaisselier gallo-romain.
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Les tumulus gallo-romains dans la cité des Tongres: structures architecturales, rites, matériel funéraire / Gallo-Roman barrows in the Civitas Tungrorum

Massart, Claire M.-A.G. 30 April 2010 (has links)
Les sépultures sous tumulus, dont l’origine remonte à l’aube de la Protohistoire dans toute l’Europe, connaissent une nouvelle mode dans les provinces septentrionales de l’Empire, aux trois premiers siècles de notre ère. Un aperçu de ces monuments aux époques protohistoriques et un état de la question concernant le paysage funéraire dans les premières décennies qui ont suivi la conquête sont essentiels pour comprendre la filiation de ce type de signalisation traditionnelle, en terre, à une époque où l’architecture en pierre connaît un essor sans précédent.<p>Les tumulus de la cité des Tongres s’inscrivent dans des faciès sociaux et régionaux correspondant à des situations économiques et politiques qui ont évolué de manière très différente. Leur densité en Hesbaye contraste avec une présence beaucoup plus disséminée en Condroz et dans le nord de l’Ardenne. <p>Le groupe hesbignon occupe la région fertile du centre de la cité, où se situe le caput civitatis. Les grands tumulus y apparaissent à la fin de l’époque flavienne. Leurs caveaux en bois et leurs opulents mobiliers à service du banquet sont d’emblée très uniformisés, révélant des funérailles ostentatoires qui se sont déroulées selon des conventions et des codes communs, puisés dans les symboles de l’idéal aristocratique celtique. Les structures rituelles et le matériel liturgique, préservés sous plusieurs tertres, renvoient à certaines pratiques religieuses propres au monde celto-germanique, en même temps qu’à des actes sacrificiels empruntés au culte romain.<p>Dans les régions situées au sud du sillon sambro-mosan, les tertres sont de taille souvent plus modeste. Ils ont généralement abrité des dépositions simples, tandis qu’une autre catégorie de tombes, à monument en pierre, recèle des mobiliers en coffre comparables aux dépôts hesbignons. <p>L’étude des tumulus tongres a permis d’appréhender, par de multiples aspects, l’autoreprésentation de la classe dirigeante de la cité, son niveau d’acculturation et ses conservatismes, l’idéologie que ces notables ont instaurée au sein de la nouvelle structure politique, contribuant à affirmer des valeurs sociales construites dans la mixité des traditions, des nouveaux devoirs civiques et des influences culturelles méditerranéennes. L’étude du matériel a mis en évidence les panoplies funéraires, leur signification et leurs particularismes régionaux. Elle a, par ailleurs, apporté de nombreuses informations dans des domaines aussi variés que ceux des réseaux commerciaux, de la composition des services et de l’évolution du vaisselier gallo-romain.<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La fiscalité directe applicable aux investissements des fonds souverains / Direct taxation of sovereign wealth funds investments

Meyer-Segrestain, Eric 14 December 2011 (has links)
Les enjeux présentés par la puissance financière des fonds souverains et les réactions politiques des pays d’accueil appellent naturellement à s’interroger sur la façon dont la fiscalité appréhende ces questions. La réponse nécessite de se placer tant sur le plan du droit interne français que sur celui de la fiscalité internationale. La présente étude procède à une analyse comparée de la fiscalité directe applicable aux fonds souverains en France et aux Etats-Unis. Cette analyse se poursuit à travers l’examen de conventions fiscales conclues par la France mais aussi par des Etats étrangers détenteurs de fonds souverains. La question de l’application des conventions fiscales aux fonds souverains est évoquée à travers l’exposé des modèles de conventions fiscales de l’OCDE et des Etats-Unis. Le statut fiscal des fonds souverains est confronté à celui des apporteurs de capitaux privés au regard de la distorsion de concurrence fiscale entre investisseurs. En l’absence de dispositions législatives précises, de doctrine administrative et de jurisprudence, ces travaux sont principalement fondés sur une interprétation des faits et du droit positif. Les solutions proposées tentent de remédier aux problématiques ainsi dégagées. / The growing number of investments made by sovereign wealth funds and the reactions of host countries has raised questions regarding the tax treatment of those public financial entities. Answering these questions implies to analyze the tax legislation on both a national and international level. In this respect this paper compares the direct taxation of sovereign wealth funds investments in France and in the United States. It is then followed by an analysis of some tax treaties signed by France as well as tax treaties signed by countries owning sovereign wealth funds. Questions related to the application of tax treaties to sovereign wealth funds are examined through the presentation of the OECD model tax convention and the United States income model tax convention. We then compare the tax status of sovereign wealth funds and private investors regarding tax competition and portfolio choices. We will see through the lack of tax regulations, guidance and the absence of court decision that this study is mainly based on an interpretation of the facts and the law as a consequence. The solutions provided in this paper aim at clarifying the issues we have identified. Hopefully this will raise further interrogations and will be followed by other studies.

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