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Automorphismes et compactifications d'immeubles : moyennabilité et action sur le bord

Lécureux, Jean 04 December 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse se propose d'étudier sous divers points de vue les groupes d'automorphismes d'immeubles. Un de ses objectifs est de mettre en valeur les différences autant que les analogies entre les immeubles affines et non affines. Pour appuyer cette dichotomie, on y démontre que les groupes d'automorphismes d'immeubles non affines n'ont jamais de paire de Gelfand, contrairement aux immeubles affines. Dans l'autre sens, pour souligner l'analogie entre immeubles affines et non affines, on définit une nouvelle notion de bord combinatoire d'un immeuble. Dans le cas des immeubles affines, ce bord s'identifie au bord polyédral. On relie la construction de ce bord à d'autres constructions déjà existantes, par exemple, la compactification de Busemann du graphe des chambres. La compactification combinatoire est également isomorphe à la compactification par la topologie de Chabauty de l'ensemble des chambres, sous des hypothèses de transitivité. On relie aussi le bord combinatoire à un autre espace, généralisant une construction de F. Karpelevic pour les espaces symétriques : celle du bord raffiné d'un espace CAT(0).On démontre alors que les points du bord paramètrent les sous-groupes moyennables maximaux de l'immeuble, à indice fini près. Enfin, on prouve que l'action du groupe d'automorphismes d'un immeuble localement fini sur le bord combinatoire de ce dernier est moyennable, fournissant ainsi des résolutions en cohomologie bornée et des applications bord explicites. Ceci donne aussi une nouvelle preuve que ces groupes satisfont la conjecture de Novikov.
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Automorphismes et compactifications d’immeubles : moyennabilité et action sur le bord / Automorphisms and compactifications of buildings : amenability and action on the boundary

Lécureux, Jean 04 December 2009 (has links)
Cette thèse se propose d'étudier sous divers points de vue les groupes d'automorphismes d'immeubles. Un de ses objectifs est de mettre en valeur les différences autant que les analogies entre les immeubles affines et non affines. Pour appuyer cette dichotomie, on y démontre que les groupes d'automorphismes d'immeubles non affines n'ont jamais de paire de Gelfand, contrairement aux immeubles affines. Dans l'autre sens, pour souligner l'analogie entre immeubles affines et non affines, on définit une nouvelle notion de bord combinatoire d'un immeuble. Dans le cas des immeubles affines, ce bord s'identifie au bord polyédral. On relie la construction de ce bord à d'autres constructions déjà existantes, par exemple, la compactification de Busemann du graphe des chambres. La compactification combinatoire est également isomorphe à la compactification par la topologie de Chabauty de l'ensemble des chambres, sous des hypothèses de transitivité. On relie aussi le bord combinatoire à un autre espace, généralisant une construction de F. Karpelevic pour les espaces symétriques : celle du bord raffiné d'un espace CAT(0).On démontre alors que les points du bord paramètrent les sous-groupes moyennables maximaux de l'immeuble, à indice fini près. Enfin, on prouve que l'action du groupe d'automorphismes d'un immeuble localement fini sur le bord combinatoire de ce dernier est moyennable, fournissant ainsi des résolutions en cohomologie bornée et des applications bord explicites. Ceci donne aussi une nouvelle preuve que ces groupes satisfont la conjecture de Novikov. / The object of this thesis is the study, from different point of views, of automorphism groups of buildings. One of its objectives is to highlight the differences as well as the analogies between affine and non-affine buildings. In order to support this dichotomy, we prove that automorphism groups of non-affine buildings never have a Gelfand pair, contrarily to affine buildings.In the other direction, the analogy between affine and non-affine buildings is supported by the new construction of a combinatorial boundary of a building. In the affine case, this boundary is in fact the polyhedral boundary. We connect the construction of this boundary to other compactifications, such as the Busemann compactification of the graph of chambers. The combinatorial compactification is also isomorphic to the group-theoretic compactification, which embeds the set of chambers into the set of closed subgroups of the automorphism group. We also connect the combinatorial boundary to another space, which generalises a construction of F. Karpelevic for symmetric spaces : the refined boundary of a CAT(0) space.We prove that the maximal amenable subgroups of the automorphism group are, up to finite index, parametrised by the points of the boundary. Finally, we prove that the action of the automorphism group of a locally finite building on its combinatorial boundary is amenable, thus providing resolutions in bounded cohomology and boundary maps. This also gives a new proof that these groups satisfy the Novikov conjecture.
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Pièges dans la théorie des feuilletages : exemples et contre-exemples

Rechtman, Ana 06 February 2009 (has links) (PDF)
Dans ce travail, nous nous intéressons à deux questions. La première est de savoir si les champs de vecteurs non singuliers et géodésibles sur une variété fermée de dimension trois ont des orbites périodiques. La seconde, étudie les relations entre les feuilletages moyennables et les feuilletages dont toutes les feuilles sont Folner. L'idée commune dans ces deux problèmes est l'utilisation de pièges: un outil qui nous permet de changer un feuilletage à l'intérieur d'une carte feuilletée.<br /> <br /> Dans le premier chapitre nous abordons la première question. On dit qu'un champ de vecteurs non singulier est géodésible s'il existe une métrique riemannienne sur la variété ambiante pour laquelle toutes les orbites sont des géodésiques. Soit X un tel champ de vecteurs sur une variété fermée de dimension trois. Supposons que la variété est difféomorphe à la sphère ou son deuxième groupe d'homotopie est non trivial. Pour ces variétés, on montre que si X est analytique réel ou s'il préserve une forme volume, il possède une orbite périodique. <br /><br />Le deuxième chapitre est dédié à la seconde question. En 1983, R. Brooks avait annoncé qu'un feuilletage dont presque toutes les feuilles sont Folner est moyennable. A l'aide d'un piège, on va construire un contre-exemple à cette affirmation, c'est-à-dire un feuilletage non moyennable dont toutes les feuilles sont Folner. <br />Nous cherchons ensuite des conditions suffisantes sur le feuilletage pour que l'énoncé de R. Brooks soit valable. Comme suggéré par V. A. Kaimanovich, une possibilité est supposer que le feuilletage soit minimal. On montre que cette hypothèse est suffisante en utilisant un théorème de D. Cass que décrit les feuilles minimales.
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Groupes approximatifs en théorie des modèles / Approximate subgroups in Model theory

Massicot, Jean-Cyrille 28 September 2018 (has links)
Une partie symétrique X d'un groupe G est un sous-groupe K-approximatif s'il existe une partie finie E ⊂ G de taille K telle que X2 ⊂ E.X. L'étude combinatoire des groupes approximatifs a grandement bénéficié des apports de la Théorie des Modèles : en 2009, Hrushovski montre qu'une ultralimite de groupes approximatifs finis possède une composante connexe modèle-théorique, donc un quotient localement compact X/H. En appliquant les résultats de Gleason et Yamabe sur le cinquième problème de Hilbert, cela permet de trouver un morphisme vers un groupe de Lie, et d'en déduire des résultats de nilpotence. Cela a permis à Breuillard, Green et Tao de classifier tous les groupes approximatifs finis, en retrouvant un quotient X/H de manière combinatoire. Dans cette thèse, on s'intéresse à la construction d'un sous-groupe H type-définissable et d'indice borné, qui garantit l'existence d'un quotient localement compact. On montre que l'approche combinatoire de Breuillard, Green et Tao peut être vue de cette manière, et on la généralise à tous les groupes approximatifs définissablement moyennables. On montre aussi que si H est type-définissable dans un langage L∗, alors on peut construire un sous-groupe H qui est type-définissable sur un langage réduit L, et toujours d'indice borné. L'existence de H ne dépend donc pas du choix du langage / A symmetric subset X in a group G is a K-approximate subgroup if there exists a finite set E ⊂ G of cardinality K such that X2 ⊂ E.X. The study of approximate subgroups in multiplicative combinatorics experienced a significate advance through the use of model theory. In 2009, Hrushovski showed that an ultralimit of finite approximate subgroups has a model-theoretic connected component, thus a locally compact quotient X/H. Using the results of Gleason and Yamabe about Hilbert’s fifth problem, this allows the construction of a morphism to a Lie group, and deduce some results about nilpotency. This lead to the theorem of Breuillard, Green and Tao classifying all finite approximate subgroups, using a combinatorial construction of the quotient X/H. In this thesis, we are intersested in the conditions needed to construct a type definable subgroup H of bounded index in X. This implies the existence of a locally compact quotient.We show that the combinatorial construction of Breuillard, Green and Tao can be seen in a definable way, and give a generalisation to all definably amenable approximate subgroups. Also, we show that if H is type-definable in a language L∗, then it is possible to construct a subgroup H which is type-definable in a reduct L, still with bounded index. Thus the existence of a subgroup H does not depend on the choice of a base language.

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