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Impact de la surexpression de la protéine nucléophosmine (NPM1) sur la progression des cancers de la prostate / Impact of overexpression of nucleophosmin protein (NPM1) on prostate cancer progressionLoubeau, Gaëlle 14 December 2012 (has links)
La prolifération, la migration et l’invasion sont des processus cellulaires biologiques fondamentaux qui sont régulés par une multitude de signaux extracellulaires. L’intégration de ces stimuli au niveau de différentes voies de signalisation intracellulaires permet d’adapter les capacités des cellules à exercer ces fonctions aux conditions du milieu extérieur. Outre des évènements génétiques tels que les mutations ou les translocations chromosomiques, des dérégulations des capacités de prolifération, de migration et d’invasion des cellules sont retrouvées lors de la mise en place d’un processus tumoral. La protéine nucléophosmine (NPM1) est un acteur important dans le contrôle de la balance prolifération/apoptose. Initialement décrite pour son rôle dans la biogénèse des ribosomes, NPM1 participe à de multiples processus cellulaires comme la duplication des centrosomes, la progression du cycle cellulaire et la transcription génique. NPM1 est ainsi fréquemment surexprimée dans les tumeurs solides d’origines histologiques variées, parmi lesquelles les cancers du colon, du poumon ou encore les tumeurs ovariennes. Les travaux antérieurs de l’équipe ont mis également en évidence que la protéine NPM1 est surexprimée dans les tissus de carcinomes prostatiques en comparaison avec le tissu adjacent sain. Mon travail de thèse avait pour objectif d’étudier l’impact d’une surexpression de NPM1 dans la progression des cancers de la prostate. Nous avons dans un premier temps analysé, in vitro et in vivo, les capacités invasives de cellules caractéristiques d’un stade avancé de cancers de la prostate en fonction du niveau d’accumulation de NPM1. Les résultats obtenus suggèrent que la protéine NPM1 intervient dans le processus tumoral en activant des mécanismes prolifératifs, migratoires et invasifs des cellules tumorales de prostate. Dans un second temps, nous avons cherché à déterminer la nature des gènes dont la transcription était susceptible d’être affectée par l’expression de NPM1. L’analyse en qPCR array met en évidence que l’expression du facteur de croissance EGF est diminuée dans un contexte d’inhibition de NPM1, ainsi que l’activation de la voie de prolifération en aval ERK1/2. Enfin, l’activation constitutive de cette voie révèle que le rôle de NPM1 se situe en aval du récepteur EGFR et en amont de l’effecteur MEKK1, activateur de la voie ERK1/2. Ces données indiquent que NPM1 pourrait conférer un avantage prolifératif et invasif aux cellules tumorales de prostate. En revanche, cette protéine ne serait pas un initiateur de la tumorigénèse mais un potentialisateur de la progression des cancers de la prostate suite à des évènements génétiques initiateurs. Dans ce contexte et sur la base de nos travaux, nous proposons comme perspective que l’inhibition de l’accumulation de NPM1, protéine qui active la voie de survie ERK1/2 et qui agit parallèlement sur la disponibilité de contrôleurs du cycle cellulaire et de l’apoptose (e.g. P53), puisse potentialiser l’action d’agents thérapeutiques déjà utilisés comme des inhibiteurs de tyrosines kinases (gefitinib®). / The chaperone nucleophosmin (NPM1) is over-expressed in the epithelial compartment of tumoral prostate glands compared to adjacent healthy tissue and may represent one of the key actors that support the neoplastic phenotype of prostate adenocarcinoma cells. Yet, the mechanisms that underlie NPM1 mediated phenotype remain elusive in the prostate. NPM1 is a major multifunctional nucleolar phospho-protein expressed at high level in the granular region of the nucleolus with capacities of shuttling between the nucleolus and the cytoplasm. Initially identified as a major regulator of the ribosome biogenesis, it was more recently demonstrated to bind to histones, to mediate nucleosome formation and to relax chromatin, thereby controlling gene expression. Furthermore, NPM1 was shown to interact with and to inhibit the tumour suppressor proteins P53 and Rb, and consequently to potentiate cell growth and proliferation. All these data emphasize a proto-oncogenic function of NPM1 although some authors described a tumour suppressive function for NPM1 as it acts as a regulator of centrosome duplication and thus may lead to cell apoptosis. All this studies revealed that NPM1 acts as both tumour suppressor and proto-oncogene during tumourigenesis. Although NPM1 detailed functions are starting to be clarified, the role of NPM1 in solid tumours remains to be determined. Here we addressed the question whether NPM1 could potentiate proliferation, migration and invasion capacities of prostate cancer cells and deciphered the mechanism by which it exerts such a control on tumour cell behaviour. Our results show that NPM1 favors cell migration, cell invasion and colony forming of prostate tumor cells. Furthermore, in vivo knock-down of NPM1 leads to a decrease in the growth of LNCaP-derived tumors grafted in nude mice. Such oncogenic-like properties are exerted via a positive regulation of NPM1 on the ERK1/2 kinase phosphorylation in response to EGF stimuli, stimuli which are emphasized in prostate tumours following the setting of an autonomous production of the growth factor. NPM1 could be a target to switch off specifically ERK1/2 pathway activation in order to decrease or inhibit proliferation and to potentiate actual targeted therapies based on EGFR specific inhibition.
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Rôle de la Nucléophosmine (NPM1) dans la physiopathologie prostatique / Role of Nucleophosmin (NPM1) in prostate physiopathologyBoudra, Rafik 25 September 2015 (has links)
La Nucléophosmine (NPM1/B23) est une petite chaperonne moléculaire impliquée dans de nombreux processus cellulaires, tels que la régulation de l’expression génique ou le contrôle du cycle cellulaire. De nombreuses études rapportent une surexpression de NPM1 dans divers types de tumeurs solides incluant les cancers de la prostate, et son rôle proH prolifératif dans des lignées cellulaires tumorales d’origines variées est bien établi. La première partie de notre travail s’est attaché à évaluer le potentiel oncogénique de NPM1 dans l’épithélium prostatique in vivo. Pour cela, nous avons généré un modèle de souris transgéniques qui surexpriment NPM1 spécifiquement dans l’épithélium de la prostate. Ces animaux présentent une hyperplasie prostatique associée à une augmentation de l’index prolifératif de l’épithélium. Nos expériences révèlent que NPM1 pourrait lever la quiescence des cellules épithéliales différenciées en dérégulant l’expression de gènes clés de la régulation du cycle cellulaire, comme la Cycline E ou p27kip1. Bien que ces souris ne développent pas de lésions néoplasiques, ces données suggèrent que NPM1 participe à la carcinogenèse prostatique en association avec d’autres lésions oncogéniques. La seconde partie du travail visait à comprendre la nature des mécanismes qui supportent la surexpression de NPM1 dans les tumeurs prostatiques. Des données récentes de la littérature indiquent un enrichissement de la protéine kinase mTOR au niveau du promoteur proximal de NPM1 dans des foies de souris. Pour déterminer s’il existe un lien fonctionnel entre mTOR et NPM1, nous avons tiré parti d’un modèle de fibroblastes embryonnaires de souris invalidés pour le suppresseur de tumeur PTEN dont l’inactivation mène à une hyperactivité de mTOR. Dans ce contexte, les taux d’ARNm et de protéines NPM1 sont augmentés par rapport aux cellules sauvages. Nos résultats montrent également que mTOR contrôle l’expression de NPM1 i) en se fixant sur son promoteur et en stimulant l’expression du gène et ii) en stabilisant l’ARNm de NPM1. Nous avons confirmé le lien entre NPM1 et mTOR in vivo grâce à notre modèle de souris invalidées pour PTEN dans l’épithélium prostatique. Enfin, nous avons montré que l’expression de NPM1 est nécessaire pour transduire les effets prolifératifs de la voie PI3K/AKT/mTOR. Ces données placent donc NPM1 comme nouvel effecteur en aval de cette voie de signalisation, faisant de cette protéine une potentielle cible thérapeutique dans les tumeurs présentant une perte de PTEN. / Nucleophosmin (NPM1/B23) is a small molecular chaperone involved in a large array of cellular processes, including the regulation of gene expression and the control of the cell cycle. Several studies have reported the overexpression of NPM1 in solid tumors from various histological origin, including prostate cancer, and its proliferative impact on several human cancer cell line is being well described. The first part of our work aimed at assessing the NPM1 oncogenic properties in the prostate gland in vivo. To do so, we generated a new transgenic mouse model that overexpresses NPM1 specifically in the prostatic epithelium. These mice harbor prostatic hyperplasia associated with an increase of the ki67 proliferative index. Our molecular investigations revealed that NPM1 could be an inhibitor of the quiescent state of epithelial cells through a dysregulation of key cell-cycle controlers such as Cyclin E or p27kip1. Although these mice do not develop neoplastic lesions, our data suggest that NPM1 overexpression accelerate prostate cancer progression when associated with other oncogenic alterations. The second part of the work aimed at understanding the mechanisms underlying NPM1 overexpression in prostate tumors. The serine/threonine Kinase mTOR was recently shown to bind to the proximal promoter of NPM1 in the mouse liver. In order to characterize a fonctionnal link between NPM1 and mTOR, we took advantage of murine embryonic fibroblast (MEF) deleted for PTEN, since these cells display a constitutive mTOR activity. In such cells, NPM1 protein and mRNA levels are increased compared to wild type MEF. We also demonstrated that mTOR controls NPM1 expression i) through its binding to NPM1 promoter, thus stimulating NPM1 gene expression and ii) by stabilizing NPM1 mRNA. We have confirmed the functional link between NPM1 and mTOR in vivo in a mouse model deleted for PTEN specifically in the prostatic epithelium. Finally, we have shown that NPM1 expression is necessary for the proliferation of PTEN knock-out MEF. These data set NPM1 as a new downstream effector of the PI3K/AKT/mTOR pathway, and suggest that it could be a new potential therapeutic target in PTEN negative human prostate cancer.
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Estudo de alterações moleculares e sua relação com dados clínico-laboratoriais em pacientes adultos com leucemia mieloide agudaLIMA, Aleide Santos de Melo 31 January 2013 (has links)
Submitted by Andre Moraes Queiroz (andre.moraesqueiroz@ufpe.br) on 2015-04-14T13:40:30Z
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Previous issue date: 2013 / Marcadores moleculares, como mutações nos genes FLT3 e NPM1, são ferramentas úteis para a avaliação prognóstica de pacientes com leucemia mieloide aguda (LMA) e, até o momento, não tinham sido estudadas em pacientes com LMA no Estado de Pernambuco. Dessa forma, esse trabalho teve como objetivo caracterizar pacientes adultos com LMA diagnosticados na Fundação HEMOPE de acordo com achados clínico-laboratoriais e as mutações nos genes FLT3 e NPM1. Foram incluídos 115 pacientes com LMA de novo (15 com leucemia promielocítica aguda (LPA) e 100 com outros subtipos LMA). As frequências das mutações FLT3/ITD, FLT3/TKD e NPM1 nos pacientes não-LPA foram de 22%, 2% e 24%, respectivamente. Nos pacientes com LPA, a frequência foi de 40% e 6,7% para as mutações FLT3/ITD e NPM1, respectivamente, não sendo diagnosticado nenhum caso com mutação FLT3/TKD. As mutações FLT3/ITD e no NPM1 foram relacionadas com alta contagem de leucócitos (p=0,021; p=0,012) e mutações no NPM1 foram mais frequentes em pacientes com mais de 60 anos (p=0,01) e no grupo de cariótipo normal (p=0,008). Não foi observada diferença nas sobrevidas global (SG) e livre de doença (SLD) e nas taxas de remissão completa (TRC) e de recaída (TR) entre os grupos com e sem mutação FLT3/ITD e no NPM1 quando avaliados os pacientes não-LPA; entretanto, pacientes LPA com mutação FLT3/ITD apresentaram menores TRC, SG e SLD. Os resultados comprovam o valor preditivo da mutação FLT3/ITD para um curso clínico desfavorável na LPA do adulto, enquanto que, para os pacientes não-LPA, as mutações FLT3/ITD e no NPM1, aparentemente, não apresentaram o mesmo impacto prognóstico.
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Developing the CRISPR/Cas-system for Inactivation of Proto-oncogenes in Human Cancer CellsGebler, Christina 19 October 2018 (has links)
Numerous mutations contribute to tumorigenesis of cancer cells. For most of them it remains unclear whether they are driver or passenger mutations. A classic knock-out to study their function in cancer cells used to take a lot of effort. The CRISPR/Cas-system can be used as a programmable “genome editing” tool. In this work, oncogenes have been inactivated with the CRISPR/Cas-system.
Considering off-targets, Streptococcus pyogenes sgRNAs can be designed for 88% of the known cancer mutations. The activity of 15 sgRNAs, targeting 13 mutations in proto-oncogenes (deletions, insertions and point mutations), has been tested with a RFP-GFP-reporter plasmid. For 13 sgRNAs, activity prediction scores correlated with measured activity. Furthermore, sgRNAs have shown preferential binding to mutated versions of targeted proto-oncogene sequence and did not induce double strand breaks in the wild type sequence. For 10 sgRNAs, the activity against their target sequence has been more than 4 times higher than against the wild type sequence. Most of those sgRNAs target insertions or deletions and fewer target point mutations.
Permanent knock-out of three mutated proto-oncogenes NPM1, BRAF and PIK3CA has been achieved with a lentiviral expression of CRISPR/Cas. Accordingly, effects on proliferation and phenotype have been studied.
Knock-out of NPM1 c.863_864insTCTG mutation has been studied in heterozygous mutated OCI AML3 cell line. Proliferation was strongly inhibited by the corresponding sgRNA. Cells arrested in G0/1-phase of cell cycle (77%) compared to control cells (56%), although no difference was observed for sub-G1 phase, indicating no induction of apoptosis. Cells treated with NPM1 sgRNA had 88% reduced expression of NPM1 c.863_864insTCTG mRNA as well as less cytoplasmic localization of nucleophosmin as assessed by immunostaining. The activity of sgRNA has been confirmed by deep sequencing, showing a shift of wild type to mutated allele ratio from 51:49 to 68:32. This effect was enhanced by the additional treatment with the NHEJ inhibitor SCR7.
A BRAFV600E sgRNA was tested in homozygously mutated melanoma cell lines A-375 and SK MEL-28. No differences were detected in comparison to controls. However, in the CRC cell line RKO, heterozygous for BRAFV600E and PIK3CAH1047R, proliferation was inhibited through sgRNAs against either BRAF or PIK3CA. A combination of both had no synergistic effect on proliferation. Activity and specificity of the sgRNA targeting BRAF were confirmed by deep sequencing, while the PIK3CA sgRNA showed a moderate induction of double strand breaks also in the wild type allele. The relation of wild type to mutated allele of BRAF was changed from 32:68 before treatment to 51:49 afterwards. This effect can be explained by a “re mutation” to the wild type after DSB via HDR with wild type sister chromatid as template. This effect was observed for PIK3CA sgRNA to a lesser extent.
In conclusion, these results show the applicability of the CRISPR/Cas-system for the inactivation of mutated proto-oncogenes.:List of tables III
List of figures IV
List of abbreviations V
1 Introduction 1
1.1 Cancer 1
1.2 Oncogenes 2
1.2.1 Role in cancer 2
1.2.2 Targeted therapies 3
1.2.3 NPM1 5
1.2.4 BRAF 6
1.2.5 PIK3CA 7
1.3 CRISPR/Cas-system 7
1.4 Aim and motivation 10
2 Material and Methods 11
2.1 Design of sgRNAs 11
2.2 Plasmids 11
2.3 Cell culture 12
2.4 FACS analysis 14
2.5 T7 assay 14
2.6 Cell cycle analysis 15
2.7 Immunostaining 15
2.8 Apoptosis assay 16
2.9 Quantification of mutant NPM1 transcripts 16
2.10 Deep sequencing 16
2.11 Statistical Analysis 19
3 Results 20
3.1 Design of sgRNAs targeting oncogenes 20
3.2 Evaluation of sgRNA efficacy and selectivity 23
3.3 Effects of oncogene knock-out in cancer cell lines 27
3.3.1 Targeting NPM1 in AML cells 27
3.3.2 Targeting BRAF in melanoma cells 30
3.3.3 Targeting BRAF and PIK3CA in colorectal carcinoma cells 31
4 Discussion 37
4.1 The design of sgRNAs is possible for most cancer mutations 37
4.2 sgRNAs targeting oncogenes have to be tested 37
4.3 Oncogenes can be knocked out with the CRISPR/Cas-system 37
4.3.1 NPM1 in AML cells 37
4.3.2 BRAF in melanoma cells 38
4.3.3 BRAF and PIK3CA in CRC cells 38
4.4 Advantages and disadvantages to target oncogenes with the CRISPR/Cas-system 40
4.5 Concluding remarks 41
5 Original Article 43
6 Summary 47
7 Zusammenfassung 49
List of references 51
Appendix VIII / In Krebszellen tritt eine Vielzahl von Mutationen auf. Für den Großteil der Mutationen ist ungeklärt, ob es sich um krebsverursachende oder passagere Mutationen handelt. Ein gezieltes Ausschalten (Knock-out) dieser Gene zur Untersuchung ihrer Funktion in Krebszellen war bisher mit großem Aufwand verbunden. Das CRISPR/Cas-System lässt sich als programmierbares „Genome-editing“ Werkzeug einsetzen und wurde in der vorliegenden Arbeit verwendet, um gezielt mutierte Protoonkogene zu inaktivieren.
Für 88% der bekannten, in Krebszellen auftretenden Mutationen lassen sich, unter Berücksichtigung von off-targets, Streptococcus pyogenes sgRNAs entwerfen. Mit Hilfe eines RFP-GFP-Reporter-Plasmides wurde die Aktivität von 15 sgRNAs gegen 13 Mutationen (Deletionen, Insertionen und Punktmutationen) in Protoonkogenen überprüft. Für 13 der sgRNAs zeigte sich eine Aktivität, die mit der Vorhersage durch den Algorithmus korrelierte. Außerdem wurde gezeigt, dass die sgRNAs spezifisch genug binden, um zwar bei der mutierten Sequenz eines Protoonkogens, jedoch nicht bei der Wildtyp-Sequenz Doppelstrangbrüche zu erzeugen. Unter den sgRNAs waren 10 mit mehr als 4-fach höherer Aktivität bei komplett übereinstimmender Zielsequenz gegenüber der Wildtyp-Sequenz. Diese spezifischen sgRNAs waren vor allem gegen Insertions- oder Deletionsmutationen gerichtet, einige auch gegen Punktmutationen.
Durch permanente, lentivirale Expression von CRISPR/Cas wurden die Effekte eines Knock-out von drei mutierten Protoonkogenen, NPM1, BRAF und PIK3CA, auf das Wachstum und phänotypische Aspekte humaner Krebszelllinien untersucht.
Ein Knock-out der NPM1 c.863_864insTCTG Mutation wurde in heterozygot mutierten OCI AML3 Zellen untersucht, es zeigte sich eine starke Proliferationshemmung. In der Zellzyklusanalyse trat ein G0/1-Arrest dieser Zellen (77%) im Vergleich mit Kontroll-Zellen (56%) auf, jedoch keine Unterschiede in der sub-G1-Analyse, sodass nicht von einer vermehrten Apoptose auszugehen ist. Die mit sgRNA behandelten OCI-AML3 Zellen zeigten sowohl eine um 88% verminderte NPM1 c.863_864insTCTG mRNA-Expression als auch verminderte zytoplasmatische Sublokalisation des Nucleophosmins in der Immunfärbung. Die hohe Aktivität der gRNA gegen mutiertes NPM1 wurde durch Deep Sequencing bestätigt, außerdem hat sich das Verhältnis vom Wildtyp- zu mutiertem Allel von 51:49 zu 68:32 verschoben. Dieser Effekt wurde durch Zugabe des NHEJ-Hemmstoffes SCR7 noch verstärkt.
Die sgRNA gegen BRAFV600E wurde in den homozygot mutierten Melanom-Zelllinien A-375 und SK-MEL-28 getestet. Bei Proliferationsversuchen zeigten sich keine Unterschiede im Vergleich zu Kontrollzellen. In der kolorektalen Krebszelllinie RKO, die heterozygot BRAFV600E und PIK3CAH1047R ist, zeigte sich bei der Testung von sgRNAs gegen BRAF, PIK3CA und Kombination beider sgRNAs eine Wachstumshemmung. Jedoch lag kein synergistischer Effekt bei sgRNA-Kombination vor. Zudem bestätigten sich Aktivität und Spezifität der sgRNA gegen BRAF im Deep Sequencing, während die sgRNA gegen PIK3CA in mäßigem Umfang Doppelstrangbrüche im Wildtyp-Allel verursachte. Das Verhältnis vom Wildtyp- zu mutiertem BRAF Allel verschob sich von 32:68 ohne sgRNA zu 51:49 nach sgRNA-Behandlung. Eine mögliche Erklärung dieser Beobachtung ist die Rückmutation zum Wildtyp-Allel nach Doppelstrangbruch mit Hilfe homologer Rekombination durch das Wildtyp-Schwesterchromatid. Für PIK3CA konnte dieser Effekt in schwächerem Ausmaß ebenfalls beobachtet werden.
Zusammengefasst zeigen diese Ergebnisse, dass das CRISPR/Cas-System zur Inaktivierung mutierter Protoonkogene genutzt werden kann.:List of tables III
List of figures IV
List of abbreviations V
1 Introduction 1
1.1 Cancer 1
1.2 Oncogenes 2
1.2.1 Role in cancer 2
1.2.2 Targeted therapies 3
1.2.3 NPM1 5
1.2.4 BRAF 6
1.2.5 PIK3CA 7
1.3 CRISPR/Cas-system 7
1.4 Aim and motivation 10
2 Material and Methods 11
2.1 Design of sgRNAs 11
2.2 Plasmids 11
2.3 Cell culture 12
2.4 FACS analysis 14
2.5 T7 assay 14
2.6 Cell cycle analysis 15
2.7 Immunostaining 15
2.8 Apoptosis assay 16
2.9 Quantification of mutant NPM1 transcripts 16
2.10 Deep sequencing 16
2.11 Statistical Analysis 19
3 Results 20
3.1 Design of sgRNAs targeting oncogenes 20
3.2 Evaluation of sgRNA efficacy and selectivity 23
3.3 Effects of oncogene knock-out in cancer cell lines 27
3.3.1 Targeting NPM1 in AML cells 27
3.3.2 Targeting BRAF in melanoma cells 30
3.3.3 Targeting BRAF and PIK3CA in colorectal carcinoma cells 31
4 Discussion 37
4.1 The design of sgRNAs is possible for most cancer mutations 37
4.2 sgRNAs targeting oncogenes have to be tested 37
4.3 Oncogenes can be knocked out with the CRISPR/Cas-system 37
4.3.1 NPM1 in AML cells 37
4.3.2 BRAF in melanoma cells 38
4.3.3 BRAF and PIK3CA in CRC cells 38
4.4 Advantages and disadvantages to target oncogenes with the CRISPR/Cas-system 40
4.5 Concluding remarks 41
5 Original Article 43
6 Summary 47
7 Zusammenfassung 49
List of references 51
Appendix VIII
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Impact de la surexpression de la protéine nucléophosmine (NPM1) sur la progression des cancers de la prostateLoubeau, Gaëlle 14 December 2012 (has links) (PDF)
La prolifération, la migration et l'invasion sont des processus cellulaires biologiques fondamentaux qui sont régulés par une multitude de signaux extracellulaires. L'intégration de ces stimuli au niveau de différentes voies de signalisation intracellulaires permet d'adapter les capacités des cellules à exercer ces fonctions aux conditions du milieu extérieur. Outre des évènements génétiques tels que les mutations ou les translocations chromosomiques, des dérégulations des capacités de prolifération, de migration et d'invasion des cellules sont retrouvées lors de la mise en place d'un processus tumoral. La protéine nucléophosmine (NPM1) est un acteur important dans le contrôle de la balance prolifération/apoptose. Initialement décrite pour son rôle dans la biogénèse des ribosomes, NPM1 participe à de multiples processus cellulaires comme la duplication des centrosomes, la progression du cycle cellulaire et la transcription génique. NPM1 est ainsi fréquemment surexprimée dans les tumeurs solides d'origines histologiques variées, parmi lesquelles les cancers du colon, du poumon ou encore les tumeurs ovariennes. Les travaux antérieurs de l'équipe ont mis également en évidence que la protéine NPM1 est surexprimée dans les tissus de carcinomes prostatiques en comparaison avec le tissu adjacent sain. Mon travail de thèse avait pour objectif d'étudier l'impact d'une surexpression de NPM1 dans la progression des cancers de la prostate. Nous avons dans un premier temps analysé, in vitro et in vivo, les capacités invasives de cellules caractéristiques d'un stade avancé de cancers de la prostate en fonction du niveau d'accumulation de NPM1. Les résultats obtenus suggèrent que la protéine NPM1 intervient dans le processus tumoral en activant des mécanismes prolifératifs, migratoires et invasifs des cellules tumorales de prostate. Dans un second temps, nous avons cherché à déterminer la nature des gènes dont la transcription était susceptible d'être affectée par l'expression de NPM1. L'analyse en qPCR array met en évidence que l'expression du facteur de croissance EGF est diminuée dans un contexte d'inhibition de NPM1, ainsi que l'activation de la voie de prolifération en aval ERK1/2. Enfin, l'activation constitutive de cette voie révèle que le rôle de NPM1 se situe en aval du récepteur EGFR et en amont de l'effecteur MEKK1, activateur de la voie ERK1/2. Ces données indiquent que NPM1 pourrait conférer un avantage prolifératif et invasif aux cellules tumorales de prostate. En revanche, cette protéine ne serait pas un initiateur de la tumorigénèse mais un potentialisateur de la progression des cancers de la prostate suite à des évènements génétiques initiateurs. Dans ce contexte et sur la base de nos travaux, nous proposons comme perspective que l'inhibition de l'accumulation de NPM1, protéine qui active la voie de survie ERK1/2 et qui agit parallèlement sur la disponibilité de contrôleurs du cycle cellulaire et de l'apoptose (e.g. P53), puisse potentialiser l'action d'agents thérapeutiques déjà utilisés comme des inhibiteurs de tyrosines kinases (gefitinib®).
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Leucemia Promielocítica Aguda na infância: estudo cromossômico e investigação da ocorrência de mutações nos genes FLT3 e NPM1 e sua importância prognósticaAMARAL, Bethânia de Araújo Silva 31 January 2014 (has links)
Submitted by Amanda Silva (amanda.osilva2@ufpe.br) on 2015-03-13T15:29:17Z
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Previous issue date: 2014 / UFPE; CAPES; FACEPE / A leucemia promielocítica aguda (LPA) requer uma atenção especial dentre
as leucemias mielóides agudas devido às suas implicações prognósticas e
terapêuticas. A taxa de sobrevida de no mínimo cinco anos na LPA chega a 80%
dos pacientes com a terapia atual e a taxa de cura excede os 70%. No entanto, a
real situação dos resultados do tratamento da LPA em países em desenvolvimento,
como o Brasil, é desconhecida. Este trabalho visou contribuir na investigação dos
casos de LPA infantil em pacientes na nossa população objetivando a identificação
de marcadores que possam redirecionar o acompanhamento e tratamento destes
pacientes. A investigação da ocorrência de mutações dos genes FLT3 e NPM1 é
importante na determinação prognostica das LMAs, contribuindo para a
estratificação de grupos de maior ou menor risco e auxiliando o direcionamento do
tratamento. Dezesseis pacientes pediátricos com LPA, representando 29,09% dos
casos de LMA infantil, foram atendidos no CEONHPE/HUOC/UPE de 2004 a 2013.
A idade variou de 5 a 17 anos (média de 11,81 anos). Análises citogenética e
molecular por FISH e RT-PCR foram realizadas para confirmação do diagnóstico
genético, na identificação do rearranjo PML-RARα decorrente da t(15;17), além da
pesquisa das mutações dos genes FLT3 e NPM1. A análise cariotípica com o
bandeamento G revelou alterações cromossômicas em 10 pacientes. Três
apresentaram cariótipos complexos com presença de cromossomos marcadores. A
técnica de FISH para a t(15;17) confirmou o rearranjo em 14 pacientes. Divergência
entre as análises moleculares foram observadas em cinco pacientes, sendo positiva
a detecção da t(15;17) pela FISH e negativa pela RT-PCR. A mutação do FLT3/ITD
foi detectada em dois pacientes (12,5%), enquanto a mutação FLT3/TKD foi
detectada em apenas um paciente (6,25%). A pesquisa para a mutação no gene
NPM1 foi negativa para todos os casos. Quanto ao status oito pacientes encontramse
vivos ou na fase de manutenção do tratamento e oito foram a óbito, sendo que
destes sete tiveram óbitos precoces ainda na fase de indução. Os motivos primários
dos óbitos foram hemorragias, septicemia e manifestação da síndrome do ATRA.
Este dado é alarmante uma vez que estas mortes são difíceis de prevenir e
assinalam o alto risco de ocorrência destes eventos em nossa população.
Destacamos a importância do uso de técnicas citogenéticas moleculares na
confirmação genética do diagnóstico da LPA e a necessidade de uma melhor
adaptação do regime terapêutico aos casos de LPA na infância em nossa
população.
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