• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Utilisation de différents descripteurs d'alimentation pour caractériser la communauté parasitaire intestinaux du goéland à bec cerclé

Aponte, Veronica 11 1900 (has links) (PDF)
Le régime alimentaire d'une espèce a un rôle important dans la structure d'une communauté parasitaire intestinale au point de vue de la diversité et de l'abondance des différents parasites. Il existe cependant des variations intraspécifiques parfois importantes dans les communautés parasitaires chez une même espèce qui peuvent être expliquées par des variations dans leur diète. De plus, plusieurs espèces aviaires profitent des milieux anthropiques pour se nourrir. Ainsi, des altérations aux taux d'interactions hôtes-parasites peuvent engendrer des changements à la structure des communautés parasitaires. Cette hypothèse a rarement été étudiée dans un modèle aviaire sauvage. Le but de cette recherche était d'investiguer les variations dans les communautés parasitaires intestinales d'une espèce aviaire urbaine et omnivore, le goéland à bec cerclé (Larus delawarensis) en période de nidification (n=34) sur l'Ile DesLauriers, et d'étudier si une diète plus axée sur la nourriture d'origine anthropique se traduit en une charge parasitaire totale plus basse. En 2011, trois méthodes complémentaires ayant des échelles temporelles différentes furent utilisées pour caractériser leur régime alimentaire. Les contenus stomacaux furent récoltés donnant un aperçu de leur diète pendant les dernières 24 heures. Pour la première fois dans une étude parasitaire, le lien entre les aires d'alimentation récemment visitées et la communauté parasitaire d'une espèce aviaire fut étudié en utilisant des unités GPS miniatures qui localisaient les déplacements des oiseaux pendant 30 à 72 heures. Des analyses d'isotopes stables d'azote (δ15N) et de carbone (δ13C) (foie) furent faites donnant des renseignements sur l'assimilation de nourriture dans les derniers 10 jours. Parasites les plus communs furent Wardium spp., Diplostomum spp. et Eucoleus spp., transmit par les crustacés, les poissons d'eau douce, et les vers de terre, respectivement. Selon les données GPS, la proportion de temps passé dans les différentes aires d'alimentation par les goélands à bec cerclé tendait à être associée à la structure des communautés parasitaires (p=0.07). Cependant, les variations dans les communautés parasitaires intestinales étaient mieux expliquées par les signatures d'isotopes stables d'azote et de carbone (p<0.001). D'ailleurs, le ratio δ15N était significativement plus bas chez les individus ayant une abondance totale de parasites moindre (p=0.03). Il a récemment été établi que la nourriture anthropique a une signature 15N appauvri. Les résultats de la présente étude suggère donc que les individus se nourrissant plus de nourriture anthropique sont moins infestés de parasites. Ces résultats semblent démontrer que la disponibilité de nourriture d'origine anthropique peut avoir un effet sur la structure des communautés parasitaires d'une espèce aviaire nichant en milieu urbain. Ceci pourrait avoir des implications sur le succès reproducteur du goéland à bec cerclé. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Télémétrie, oiseaux, Laridae, régime alimentaire, isotopes stables, urbanisation
2

Le Baylisascaris procyonis dans le sud du Québec : prévalence chez le raton laveur et étude de contamination des latrines

Lafaille, Andrée 08 1900 (has links)
Le raton laveur (Procyon lotor) est porteur de nombreux parasites dont certains sont des agents de zoonose. Il nous est apparu opportun d’étudier la faune parasitaire intestinale du raton laveur québécois, particulièrement l’espèce Baylisascaris procyonis. L’étude a donc porté sur l’examen de matières fécales (n = 301) et de contenus intestinaux (n = 203) de 351 ratons laveurs provenant de deux programmes gouvernementaux sur la rage du raton laveur et d’excréments (n = 409) provenant de latrines dans des parcs nationaux du Québec. Des oeufs de B. procyonis étaient excrétés par 23,3 % des ratons laveurs, alors que 29,1 % étaient porteurs de vers. La charge parasitaire moyenne des vers B. procyonis de tout stade variait de 8,5 chez les adultes à 27,1 chez les juvéniles. Chez ces derniers, la charge parasitaire était 11,4 fois supérieure à celle des ratons adultes (p < 0,0001) dont 23,7 fois plus de vers immatures (p < 0,0001) et 9,1 fois plus de vers matures (p = 0,01). Le nombre d’oeufs était 24,7 fois plus élevé chez les ratons juvéniles (p = 0,02) et 50,0 fois moins élevé chez la femelle allaitante. La probabilité du raton d’excréter des oeufs l’automne était de 11,1 (IC95 %: 1,21-101,60) par rapport au printemps et de 21,1 (IC95 %: 2,91-153,18) par rapport à l’été (p < 0,01). La sensibilité (Se) et la spécificité (Sp) de la coproscopie comparée à la nécropsie (norme étalon) ont été calculées en se basant sur l’observation des vers matures (Se : 81,8 %; Sp : 97,7 %) et des vers de tout stade (Se : 53,9 %; Sp : 97,0 %). De plus, la recherche des parasites intestinaux nous a permis de découvrir des ookystes de Giardia (6/159), espèce parasitaire nouvellement rapportée chez le raton. En 2007, nous avons trouvé, par échantillonnage unique, des oeufs de B. procyonis dans 15,8 % des latrines (n = 165) identifiées dans des parcs nationaux du sud du Québec et en 2008, par échantillonnage multiple, dans 89,7 % des latrines (n = 26) actives situées dans des secteurs accessibles à l’homme dans trois parcs nationaux de la Montérégie. Le potentiel zoonotique de B. procyonis est un problème de santé publique qui pourrait devenir sérieux étant donné le pourcentage élevé de ratons laveurs qui excrètent le parasite et qui contaminent des secteurs accessibles par les humains. / Raccoons are carriers of many parasites, some of which are zoonotic. We wanted to expand our knowledge of the Quebec raccoon intestinal parasitic fauna, specifically the Baylisascaris procyonis species. The study consisted of fecal matter (n = 301) and intestinal content examinations (n = 203) collected from 351 raccoons originating from two government programs on raccoon’s rabies and excrements collected (n = 409) from latrines in Quebec national parks. Eggs from B. procyonis were excreted by 23.3 % of raccoons while 29.1 % were worm carriers. The average parasitic burden of all stages of B. procyonis worms varied from 8.5 in adults to 27.1 in juveniles. In juveniles, the parasitic burden was 11.4 times superior to adult raccoons (p < 0.0001) with 23.7 times more immature worms (p < 0.0001) and 9.1 times more mature worms (p = 0.01). The number of eggs was 24.7 times superior in juvenile raccoons (p = 0.02) and 50.0 times lower in breast-feeding females. The probability of raccoons excreting eggs in autumn was 11.1 (IC95 %: 1.21-101.60) in comparison to spring and 21.1 (IC95 %: 2.91-153.18) in comparison to summer (p < 0.01). The sensitivity (Se) and specificity (Sp) of coproscopy compared to necropsy (gold standard) were calculated based on observations of mature worms (Se: 81.8 %; Sp: 97.7 %) and worms of all stages (Se: 53.9 %; Sp: 97.0 %). In addition, our intestinal parasitic research permitted the finding of Giardia oocysts (6/159), which is a newly found parasite species in raccoons. In 2007, B. procyonis eggs were found in 15.8 % of latrines (n = 165) identified in Southern Quebec national parks and in 89.7% of active latrines (n = 26) in three Eastern Townships national parks sites accessible to man in 2008. The zoonotic potential of B. procyonis is a public health issue that could become serious considering the high percentage of raccoons excreting the parasite thus contaminating sectors accessible to man.
3

Prévalence, diversité génétique et risque de transmission zoonotique des microorganismes Blastocystis et Campylobacter dans les filières avicole et bovine au Liban / Prevalence, genetic diversity and risk of zoonotic transmission of microorganisms Blastocystis and Campylobacter in the poultry and beef sectors in Lebanon

Greige, Stéphanie 19 December 2018 (has links)
Le protozoaire Blastocystis et la bactérie Campylobacter sont des microorganismes zoonotiques ayant un impact majeur en santé publique. Même si son pouvoir pathogène reste controversé, Blastocystis est l’eucaryote unicellulaire le plus fréquemment retrouvé dans les selles humaines alors que Campylobacter est considérée comme la cause la plus courante de gastroentérite humaine. Ces microorganismes sont fréquemment présents chez les animaux destinés à l’alimentation comme les volailles ou les bovins et leur transmission peut être liée à la consommation ou à un contact répété avec les manipulateurs de ces animaux. Malgré ce risque potentiel majeur pour l’Homme, très peu de données étaient disponibles concernant la prévalence et les espèces de Campylobacter ou sous-types de Blastocystis présents dans les filières avicole et bovine au Liban. De plus, le risque de transmission zoonotique par contact direct avec le personnel des abattoirs ou les éleveurs n’avait jamais été évalué. Pour ce qui est des bovins, Blastocystis a été identifié par PCR quantitative en temps réel dans plus de 60% des échantillons de selle de vaches laitières analysés au Nord-Liban. Une prédominance du sous-type (ST) 10 et du ST14 a été observée confirmant que les bovins sont les hôtes naturels de ces deux STs. Les ST2, ST1, ST5, ST3 et ST7 ont aussi été identifiés avec de faibles prévalences. Chez les éleveurs comme dans un groupe de patients sans contact avec ces animaux, une prévalence importante dépassant les 50% a été rapportée avec une prédominance du ST3. Cependant, la comparaison des isolats identifiés dans ces cohortes humaine et animale suggère que les bovins joueraient un rôle négligeable en tant que réservoirs zoonotiques de Blastocystis. Dans la filière avicole, la prévalence de ce même parasite dépassait les 30% dans les caeca de poulets de chair analysés dans des abattoirs du Nord-Liban. Tous les isolats aviaires caractérisés appartenaient aux ST6 et ST7 confirmant que les oiseaux sont des hôtes naturels de ces deux STs. Chez le personnel d’abattoir comme dans un groupe de patients sans contact avec les volailles, la prévalence de Blastocystis dépassait les 50% avec une prédominance du ST3. De plus, l’identification du ST6 aviaire chez le personnel d’un abattoir confirmait le potentiel zoonotique de ce ST. Toujours dans cette filière avicole et en analysant à la fois les même caeca et des carcasses de poulets en fin de chaîne d’abatage, la prévalence de Campylobacter était respectivement de 67% et 17,2% dans ces prélèvements. Les deux principales espèces identifiées étaient C. jejuni et C. coli. Des niveaux élevés de diversité génétique ont été observés parmi les 51 isolats de C. jejuni identifiés chez les poulets et répartis en 25 profils distincts. Une prédominance des profils 1, 13, 30 et 38 a été observée alors qu’ils sont aussi fréquemment retrouvés parmi les cas cliniques humains français suggérant que ces animaux représentent un réservoir potentiel de campylobactériose humaine. Une prévalence significativement plus élevée de Campylobacter a été rapportée chez le personnel de l'abattoir par rapport à celle observée dans la cohorte de patients sans contact avec la volaille montrant que les poulets de chair contaminés à l'abattoir représentaient une source non négligeable de transmission zoonotique de la bactérie. Les mêmes caeca de poulets ont pu être comparés pour la présence de Campylobacter et de Blastocystis. Cette comparaison révélait une association statistiquement significative de ces deux microorganismes suggérant que la présence de Campylobacter serait favorisée par celle de Blastocystis et vice versa [...] / The protozoan Blastocystis and the bacterium Campylobacter are zoonotic microorganisms with a major impact on public health. Although its pathogenicity remains controversial, Blastocystis is the most common single-celled eukaryote found in human stool, while Campylobacter is considered the most common cause of human gastroenteritis. These microorganisms are frequently present in food-producing animals such as poultry or cattle and their transmission may be related to consumption or repeated contact with the handlers of these animals. Despite this major potential risk to humans, very little data were available on the prevalence and species of Campylobacter or Blastocystis subtypes present in the poultry and bovid sectors in Lebanon. In addition, the risk of zoonotic transmission through direct contact with slaughterhouse staff or farmers had never been assessed. Regarding bovids, Blastocystis was identified by PCR in more than 60% of the dairy cattle stool samples analysed in North Lebanon. A predominance of ST10 and ST14 has been observed confirming that cattle are the natural hosts of these two STs. ST2, ST1, ST5, ST3 and ST7 were also identified with lower prevalences. In breeders as well as in a group of patients without contact with these animals, a significant prevalence exceeding 50% has been reported with a predominance of ST3. However, a comparison of the isolates identified in these human and animal cohorts suggests that cattle would play a negligible role as zoonotic reservoirs of Blastocystis. In the poultry sector, the prevalence of the same parasite exceeded 30% in broiler caeca analysed in slaughterhouses in North Lebanon. All characterized avian isolates belonged to ST6 and ST7 confirming that birds are natural hosts of these two STs. Among slaughterhouse staff as well as in a group of patients without contact with poultry, the prevalence of Blastocystis exceeded 50% with a prevalence of ST3. In addition, the identification of avian ST6 in slaughterhouse staff confirmed the zoonotic potential of this ST. Still in this poultry sector and by analysing both the same caeca samples and chicken carcasses, the prevalence of Campylobacter was 67% and 17.2%, respectively, in these specimens. The two main species identified were C. jejuni and C. coli. High level of genetic diversity was observed among the 51 C. jejuni isolates identified in chickens and distributed in 25 distinct profiles. A predominance of profiles 1, 13, 30 and 38 has been observed, although they are also frequently found among French human clinical cases suggesting that these animals represent a potential reservoir of human campylobacteriosis. A significantly higher prevalence of Campylobacter was reported among slaughterhouse staff compared to that observed in the cohort of patients without contact with poultry, showing that contaminated broilers at the slaughterhouse were a significant source of zoonotic transmission of the bacteria. The same chicken caeca samples were compared for the presence of Campylobacter and Blastocystis. This comparison revealed a statistically significant association of these two microorganisms suggesting that the presence of Campylobacter would be enhanced by that of Blastocystis and vice versa. This first large-scale survey conducted in Lebanon provided major data on the prevalence and circulation of Blastocystis and Campylobacter in this ocuntry and assessed the need to put in place measures to prevent and control these microorganisms in poultry and cattle breeding or slaughter facilities in order to limit their transmission.
4

Le Baylisascaris procyonis dans le sud du Québec : prévalence chez le raton laveur et étude de contamination des latrines

Lafaille, Andrée 08 1900 (has links)
Le raton laveur (Procyon lotor) est porteur de nombreux parasites dont certains sont des agents de zoonose. Il nous est apparu opportun d’étudier la faune parasitaire intestinale du raton laveur québécois, particulièrement l’espèce Baylisascaris procyonis. L’étude a donc porté sur l’examen de matières fécales (n = 301) et de contenus intestinaux (n = 203) de 351 ratons laveurs provenant de deux programmes gouvernementaux sur la rage du raton laveur et d’excréments (n = 409) provenant de latrines dans des parcs nationaux du Québec. Des oeufs de B. procyonis étaient excrétés par 23,3 % des ratons laveurs, alors que 29,1 % étaient porteurs de vers. La charge parasitaire moyenne des vers B. procyonis de tout stade variait de 8,5 chez les adultes à 27,1 chez les juvéniles. Chez ces derniers, la charge parasitaire était 11,4 fois supérieure à celle des ratons adultes (p < 0,0001) dont 23,7 fois plus de vers immatures (p < 0,0001) et 9,1 fois plus de vers matures (p = 0,01). Le nombre d’oeufs était 24,7 fois plus élevé chez les ratons juvéniles (p = 0,02) et 50,0 fois moins élevé chez la femelle allaitante. La probabilité du raton d’excréter des oeufs l’automne était de 11,1 (IC95 %: 1,21-101,60) par rapport au printemps et de 21,1 (IC95 %: 2,91-153,18) par rapport à l’été (p < 0,01). La sensibilité (Se) et la spécificité (Sp) de la coproscopie comparée à la nécropsie (norme étalon) ont été calculées en se basant sur l’observation des vers matures (Se : 81,8 %; Sp : 97,7 %) et des vers de tout stade (Se : 53,9 %; Sp : 97,0 %). De plus, la recherche des parasites intestinaux nous a permis de découvrir des ookystes de Giardia (6/159), espèce parasitaire nouvellement rapportée chez le raton. En 2007, nous avons trouvé, par échantillonnage unique, des oeufs de B. procyonis dans 15,8 % des latrines (n = 165) identifiées dans des parcs nationaux du sud du Québec et en 2008, par échantillonnage multiple, dans 89,7 % des latrines (n = 26) actives situées dans des secteurs accessibles à l’homme dans trois parcs nationaux de la Montérégie. Le potentiel zoonotique de B. procyonis est un problème de santé publique qui pourrait devenir sérieux étant donné le pourcentage élevé de ratons laveurs qui excrètent le parasite et qui contaminent des secteurs accessibles par les humains. / Raccoons are carriers of many parasites, some of which are zoonotic. We wanted to expand our knowledge of the Quebec raccoon intestinal parasitic fauna, specifically the Baylisascaris procyonis species. The study consisted of fecal matter (n = 301) and intestinal content examinations (n = 203) collected from 351 raccoons originating from two government programs on raccoon’s rabies and excrements collected (n = 409) from latrines in Quebec national parks. Eggs from B. procyonis were excreted by 23.3 % of raccoons while 29.1 % were worm carriers. The average parasitic burden of all stages of B. procyonis worms varied from 8.5 in adults to 27.1 in juveniles. In juveniles, the parasitic burden was 11.4 times superior to adult raccoons (p < 0.0001) with 23.7 times more immature worms (p < 0.0001) and 9.1 times more mature worms (p = 0.01). The number of eggs was 24.7 times superior in juvenile raccoons (p = 0.02) and 50.0 times lower in breast-feeding females. The probability of raccoons excreting eggs in autumn was 11.1 (IC95 %: 1.21-101.60) in comparison to spring and 21.1 (IC95 %: 2.91-153.18) in comparison to summer (p < 0.01). The sensitivity (Se) and specificity (Sp) of coproscopy compared to necropsy (gold standard) were calculated based on observations of mature worms (Se: 81.8 %; Sp: 97.7 %) and worms of all stages (Se: 53.9 %; Sp: 97.0 %). In addition, our intestinal parasitic research permitted the finding of Giardia oocysts (6/159), which is a newly found parasite species in raccoons. In 2007, B. procyonis eggs were found in 15.8 % of latrines (n = 165) identified in Southern Quebec national parks and in 89.7% of active latrines (n = 26) in three Eastern Townships national parks sites accessible to man in 2008. The zoonotic potential of B. procyonis is a public health issue that could become serious considering the high percentage of raccoons excreting the parasite thus contaminating sectors accessible to man.

Page generated in 0.1153 seconds