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Childhood and adolescent exposure to chemicals found in personal care products

Khan, Nahiyan Saiyara 12 1900 (has links)
Contexte : Les produits de soins personnels contiennent plusieurs substances chimiques dont l'exposition est préoccupante pour les jeunes vu leur plus grande susceptibilité aux expositions chimiques. Aucune revue publiée n’a étudié l'exposition des jeunes aux substances chimiques dans ces produits. Objectif : Cette revue de la portée vise à synthétiser des études de biosurveillance décrivant les concentrations de parabènes, phénols, phtalates et substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) après l'utilisation de produits de soins personnels chez les jeunes âgés de 5 à 19 ans. Méthodes : La recherche a été effectuée dans MEDLINE, Embase et Global Health. L’éligibilité des articles a été évaluée. Les résultats des études éligibles ont été résumées et décrites. Résultats : Trente-sept études ont été incluses, la première étant publiée en 2013. La majorité des études étaient transversales (n=35) et incluaient plus de 100 participants (n=27). Les substances chimiques les plus fréquemment étudiées étaient les phtalates (n=23), suivies des parabènes et des phénols (chacun n=18), puis des PFAS (n=1). La matrice biologique principalement utilisée était l'urine (n=36). Plusieurs études (n=31) ont rapporté au moins une association positive entre les produits de soins personnels et certaines classes chimiques, comme entre le maquillage et les parabènes; la lotion et les phénols; et le parfum et les phtalates. Conclusion : Plus d'études sur ce sujet sont nécessaires pour documenter l'importance relative de l'utilisation des produits de soins personnels par rapport à l'exposition totale aux substances chimiques. L’uniformisation des questionnaires de collecte de données pourrait aider à réduire l'hétérogénéité des résultats. / Background: Personal care products (PCPs) contain a variety of chemicals including parabens, phenols, phthalates, and per- and polyfluoroalkyl substances (PFAS). Exposure to these chemicals is of concern for children and adolescents, as they are known possess an increased susceptibility to chemical exposures. To date, no published review has explored youth exposure to chemicals found in PCPs. Objective: This scoping review aimed to provide an overview of biomonitoring studies that describe the concentrations of parabens, phenols, phthalates, and PFAS following PCP use among children and adolescents of any age from 5 to 19 years old. Methods: The search was conducted in MEDLINE, Embase, and Global Health. Articles were screened and assessed for eligibility. From eligible studies, data were extracted to summarize and describe the findings. Results: Thirty-seven studies were included, the first of which appeared in 2013. The majority of studies were cross-sectional (n=35) and included more than 100 participants (n=27). The most frequently studied chemicals were phthalates (n=23), followed by parabens and phenols (each n=18), and then PFAS (n=1). The biological matrix mainly used was urine (n=36). Thirty-one studies reported at least one positive association between personal care products and certain chemical classes, such as between makeup and parabens; lotion and phenols; and perfume and phthalates.
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Exposition prénatale aux substances perfluoroalkylées et développement neurocomportemental et social des jeunes enfants

Saha, Trisha 08 1900 (has links)
Les substances perfluoroalkylées (PFAS) sont des composés synthétiques utilisés dans une multitude de domaines pour leurs propriétés hydrofuges, antiadhésives et antitaches exceptionnelles. Cependant, ces contaminants, dont la neurotoxicité a été démontrée dans les études in vitro et in vivo, sont capables de traverser la barrière placentaire et d’atteindre le fœtus en développement. Bien qu’une multitude d’études épidémiologiques aient été conduites pour examiner l’association entre l’exposition prénatale aux PFAS et le neurodéveloppement des enfants, il n’y a pas de consensus dans la littérature : certaines rapportent des associations délétères, et d’autres protectrices ou nulles. Le but de cette étude est d’évaluer l’association entre l’exposition aux PFAS chez les femmes enceintes et le développement neurocomportemental et social des enfants pendant la petite enfance. Nous avons également examiné si le lien différait entre les filles et les garçons. Les données de l’étude Maternal-Infant Research on Environmental Chemicals (MIREC), une cohorte de grossesse pancanadienne, ont été utilisées. L’exposition prénatale à trois PFAS (acides perfluorooctanoïque (PFOA), perfluorooctanesulfonique (PFOS) et perfluorohexane sulfonique (PFHxS)) ainsi que leur somme (ΣPFAS) a été mesurée dans le plasma maternel prélevé durant le premier trimestre de grossesse. Lorsque les enfants étaient âgés de trois-quatre ans, les mères ont été invitées à remplir deux questionnaires sur leurs enfants : le Behaviour Assessment System for Children–2 (BASC-2), pour évaluer les difficultés émotionnelles et comportementales, et le Social Responsiveness Scale–2 (SRS-2), afin d’évaluer le développement social. À partir des données de 794 paires mère-enfant, des analyses de régressions linéaires multiples, avec ajustement pour des facteurs de confusion, ont été réalisées, et les coefficients d’association ont été calculés pour un doublement des concentrations de PFAS. La modification des associations selon le genre a été examinée au moyen de termes d'interaction et d'analyses stratifiées. Bien que la majorité des associations obtenues soient nulles, pour l’ensemble du groupe étudié, un doublement de l’exposition prénatale aux PFOS était lié à moins de déficits de motivation sociale (β = -1.03; IC : -1.88, -0.17) et le PFHxS à plus de comportements atypiques (β = 0.57; 0.04, 1.11). Cependant, les analyses selon le genre ont révélé que chez les garçons seulement, un doublement de l’exposition prénatale aux PFOA était significativement associée à des scores plus faibles pour les sous-échelles suivantes : indice des symptômes comportementaux, problèmes d'externalisation, agressivité et hyperactivité (β allant de -1.87 à -1.32). Le PFOS et la ΣPFAS étaient aussi liés à moins d’agressivité chez les garçons (β = 1.20; -2.27, -0.13 et β = -1.35; -2.55, -0.15 respectivement). À l’inverse, chez les filles, le PFOA était significativement lié à plus de symptômes d’anxiété, et le PFHxS et la ΣPFAS étaient liés à plus de problèmes de cognition sociale (β allant de 0.90 à 1.81). Dans l’ensemble, les données suggèrent que l’association entre l’exposition prénatale aux PFAS et le développement neurocomportemental et social des enfants semble différer selon le genre : un effet protecteur est observé chez les garçons, tandis qu’il ressort délétère chez les filles. Les résultats obtenus dans cette cohorte canadienne de grande taille corroborent ceux notés dans certaines études épidémiologiques rapportant un lien délétère, lequel est surtout observable chez les filles. / Perfluoroalkyl substances (PFAS) are synthetic compounds used in a wide range of fields for their exceptional water-repellent, non-stick, and stain-resistant properties. However, these contaminants, whose neurotoxicity has been demonstrated in in vitro and in vivo studies, can crossthe placental barrier, and reach the developing fetus. Although numerous epidemiological studies have been conducted to examine the association between prenatal exposure to PFAS and the neurodevelopment in children, there is no consensus in the literature: some report deleterious associations, while others report protective or null associations. The aim of this study is to investigate the association between PFAS exposure in pregnant women and the neurobehavioral and social development of children during early childhood. We also examined whether the association differed between girls and boys. We used data from the Maternal-Infant Research on Environmental Chemicals (MIREC) study, a pan-Canadian pregnancy cohort. Prenatal concentrations of three PFAS (perfluorooctanoic (PFOA), perfluorooctanesulfonic (PFOS) and perfluorohexanesulfonic acids (PFHxS)), as well as their sum (åPFAS), were measured in maternal plasma collected during the first trimester of pregnancy. When the children were three to four years old, mothers were asked to complete two questionnaires about their children: the Behaviour Assessment System for Children-2 (BASC-2) to assess emotional and behavioural difficulties, and the Social Responsiveness Scale-2 (SRS-2) to assess social development. Using data from 794 mother-child dyads, multiple linear regression analyses, with adjustment for confounding factors, were performed and regression coefficients were estimated to assess whether there was an association between each doubling of PFAS concentrations and test scores. Effect modification by child gender was examined using interaction terms and stratified analyses. For the entire study group, although most of the associations found were null, a doubling of prenatal PFOS exposure was linked to fewer social motivation deficits (β = -1.03; CI: -1.88, -0.17), and increased PFHxS was linked to more atypical behaviors (β = 0.57; 0.04, 1.11). However, gender-stratified analyses revealed that in boys only, each doubling of prenatal PFOA exposure was significantly associated with lower scores on the following BASC-2 subscales: Behavioral Symptoms Index, Externalizing Problems, Aggressivity and Hyperactivity (β ranging from -1.87 to -1.32). PFOS and åPFAS were also associated with less aggression in boys (β = 1.20; -2.27, -0.13 and β = -1.35; -2.55, -0.15 respectively). Conversely, in girls only, PFOAwas significantly associated with more symptoms of anxiety, and PFHxS and ∑PFAS were associated with more social cognition problems (β ranging from 0.90 to 1.81). Overall, the data suggest that the association between prenatal PFAS exposure and the neurobehavioral and social development of children appears to differ by gender: a protective effect is observed in boys, while a detrimental effect is seen in girls. The results obtained in this large Canadian cohort are consistent with findings from some epidemiological studies reporting a harmful link predominantly in girls.

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