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IPodtracking : marcher / dériver - Est-ce l'oeuvre? Est-ce le processus?

Bégin, Francine 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire questionne le processus créatif et la finalité de l’art. Qu’est-ce que l’art, qu’est-ce qu’un artiste, qu’est-ce qu’une œuvre, aujourd’hui et depuis toujours ? Une œuvre se concrétise-t-elle toujours par un objet fini ? Pour l’artiste l’œuvre et la vie ne forment-elles pas un tout ? L’art n’est-il pas une manière de vivre et, réciproquement, la vie, une réalisation de l’art ? Des réponses à ces questions sont cherchées à travers le travail d’artistes tels Lee Friedlander, Francis Alÿs, Gabriel Orozco, Tehching Hsieh, ainsi qu’à travers mon propre cheminement, à travers le quotidien, l’ordinaire de la vie. Tout au long du projet de recherche, dont le présent mémoire est le compte-rendu, la dérive, la déambulation ou la marche sont utilisées non seulement comme médium de création artistique mais comme métaphore du processus de création. Ce sont les éléments collectés à partir d’un iPod Touch, au hasard d’une année de déambulations, qui serviront de base pour illustrer les diverses conclusions tirées de ces questionnements alors qu’ils seront re-présentés et ré-animés dans une installation qui concrétisera les résultats de cette démarche sous trois formes différentes, qui ont toutes en commun la succession comme principe de matérialisation, l’animation de type stop-motion, la planche contact et le livre.
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Le Grand Tour

Bouffard-Gagné, Julie 13 February 2021 (has links)
Autrefois, faire Le Grand Tour signifiait de s'embarquer dans un long pèlerinage culturel à travers le continent européen. Ce voyage constituait un rite de passage pour tout jeunes bourgeois voulant élever ses centres d'intérêt et s'imprégner des bases de la société occidentale. Ironiquement, c'est aussi le nom donné à ce texte et à l'exposition qu'il l'accompagne puisqu'il a - comme Le Grand Tour - l'ambition de faire du voyage un prétexte à l'éducation. L'objectif n'est pas de faire du Grand Tour une thématique, mais d'y voir une amorce à la réflexion. Le voyage prend donc dans ce mémoire une vocation allégorique qui se décline à travers différents temps, différents lieux et différentes matérialités de l'image. Si l'exposition constitue la manifestation physique d'un parcours fictif, ce texte ci-présent cherche plutôt à en retracer l'itinéraire. Il s'attarde d'abord au caractère a-hiérarchique de la photographie, à la décomposition de l'image vidéographique et à l'appropriation des images que l'on retrouve sur le web. Il tisse ensuite des liens entre le regard, le récit, la narration et le déplacement. Finalement, il s'intéresse aux modes d'organisation par lesquels se regroupent les images dans ma pratique, c'est-à-dire, par la mise en espace et par le livre.
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Histoires abymées : constituer une archive visuelle

Pantois, Wartin 07 February 2023 (has links)
Ce texte présente mes principales avancées de recherche et de création à la maîtrise en arts visuels. C'est à partir d'un long travail en atelier, répétitif et méticuleux, de découpes de personnages dans des livres d'histoire, que se sont élaborées mes expérimentations et mes réflexions sur l'histoire et sa malléabilité. Dans ma recherche, j'ai considéré les images de livres comme des archives populaires de l'ère photographique. Par l'entremise de stratégies telles que l'appropriation, le détournement, le montage, l'accumulation, la copie et l'installation, je tente de leur redonner une nouvelle vie. Ce texte accompagne mon exposition de fin de maîtrise qui sera présentée en septembre 2022 à l'Université Laval.
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Bitume, sillons, matière : le questionnement des écarts

Breton, Laurence 16 April 2018 (has links)
Ce mémoire est le récit du parcours évolutif d'une démarche artistique dont la mutation vers une pratique hybride engage un questionnement sur des notions faisant appel à la dialectique entre Nature et Culture. Réalisé dans le cadre d'une maîtrise en arts visuels avec mémoire, ce document propose le témoignage d'une réflexion avec un angle d'analyse particulier où la sémantique des mots Recherche et Création prennent tout leur sens. Par différentes stratégies d'intervention, ayant une incidence à portée géo-socio-politique, c'est à titre d'instigateurs que la photographie et l'objet industrialisé sont appelés conjointement à investir tant l'espace galerie que l'espace public en tant que non-site. Par le biais d'un ± arrêt sur image ¿ développé en trois séquences, le lecteur est invité à s'infiltrer au coeur du projet de recherche, à en comprendre les motivations et ses déclencheurs. Pour ce faire, on procède d'abord à l'analyse qui a motivé le choix des matériaux constitutifs du projet tout en discernant leurs propriétés respectives. On s'engage ensuite dans le processus instaurateur de l'oeuvre où on est amené à prendre part aux questionnements que soulèvent les enjeux d'écarts et d'inter-correspondances entre Nature et Culture. Se profile subséquemment l'analyse des procédés instaurés pour en distinguer les caractéristiques architectoniques propres. L'entreprise de cette opération à coeur ouvert plonge le lecteur dans la structure interne de l'oeuvre pour y déceler ses points d'ancrage. En ce sens, ce mémoire témoigne d'un trajet qui conduit à la réalisation d'une oeuvre installative intitulée Bitume, Sillons, Matière qui, par ses détournements in et ex situ, s'inscrit comme étant une intervention posant un regard attentif sur la notion de paysage dont l'une de ses déclinaisons se transpose métaphoriquement en un paysage machiné.
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Fatima

Grison, Jean-Baptiste 24 April 2018 (has links)
Cela fait maintenant plus d'une vingtaine d'années que je pratique la photographie. Plusieurs lignes directrices définissent mon travail, parfois elles cohabitent, parfois elles se succèdent au gré des projets. Parmi ces lignes figurent un intérêt marqué pour les espaces anthropiques, l'idée que le paysage est une combinaison de phénomènes qui doivent être expérimentés, une pratique artistique liée à la marche, ainsi qu'un désir toujours renouvelé d'exploration formelle du médium. Le projet Fatima vise à réunir ces diverses tendances en un seul et même corpus qui assume sa diversité formelle, son penchant autobiographique et qui utilise la marche comme méthode d'approche pour restituer une expression poétique d'une géographie. Il explore finalement le livre comme espace de création en photographie.
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Le silence du monde, une expérience photographique de l'espace-paysage

Hoarau, Emmanuelle 07 November 2018 (has links)
Ce qui m’importe c’est l’expérience que l’on fait des choses, de ces espaces photographiés, et l’expérience que l’on en tire. Sentiments profonds issus d’un paysage particulier ou suspension temporelle face à une image composée, dans le contexte de ma maîtrise, par ma photographie, je cherche à faire vivre aux spectateurs la sensation d’espaces-paysage. Ainsi, ce mémoire se structure de manière à aborder plusieurs réflexions sur les différents aspects qui entourent mon travail, tout en accompagnant la réflexion à travers diversesexplorations qui ont su engendrer mes photographies. Passant par plusieurs idées, plusieurs concepts, et plusieurs définitions revisitées, je cherche néanmoins à garder une approche sensible et personnelle. Cette présente étude s’est donc construite autour d’une volonté d’expérimenter la sensation de l’espace du paysage, par l’expérience d’une profondeur virtuelle et désormais atteignable, au-delà de la surface bidimensionnelle de la photographie.
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L'esprit des lieux

Lévesque, Marie-Andrée 24 April 2018 (has links)
Partie à l’aventure sur les routes du Nicaragua, déambulant, flânant, mon appareil photographique à la main, j’ai cherché à capturer l’âme de bâtiments laissés pour compte. « J’ai visité des lieux historiques, où étaient passés les pirates et les conquistadores, des lieux colonisés par les Anglais, les Espagnols et les Américains. J’ai visité des villes et villages isolés, des forêts vierges et des marchés bondés. J’ai vu des églises grandioses et de modestes chapelles qui avaient célébré d’heureuses naissances et avaient vu partir des héros de guerre. » Je me suis immergée dans cette étonnante culture. Touriste, vagabonde, étrangère, voulant immortaliser les dernières traces visibles d’événements historiques qui ont imprégné l’histoire et la culture nicaraguayenne. J’ai ainsi produit une série de photographies qui ont engendré une réflexion sur la construction de ma propre histoire, de ma propre mémoire, de ma propre identité. Le présent mémoire témoigne de ces réflexions ainsi que d’une expérience à la fois humaine et artistique. / I was traveling on Nicaragua’s long roads, wandering, strolling with a camera in my hands, trying to capture the soul of rejected places and buildings. “I have visited historic places where pirates and conquistadores had passed, lands colonized by the English, Spanish and American empires. I have visited wonderful cities and isolated villages, virgin forests and crowded markets. I saw grand churches and modest chapels which had celebrated joyous births and had seen war heroes leaving. " I fully dived into this surprising culture. Sometimes as a tourist, a rambler, or a stranger, I wanted to immortalize the last visible tracks of some historic events that filled the history and the Nicaraguan culture. I produced a series of photographs which generated a large reflection about the construction of my own personal history, my own memory and my own identity. This essay is a testimony of these reflections from a human being as well as an artistic experience point of view. / Adentrarse en la aventura sobre los caminos de Nicaragua, deambulando con mi cámara fotográfica en la mano, para capturar el alma de edificios viejos y abandonados. « Visité lugares históricos, donde pasaron los piratas y los conquistadores, lugares colonizados por los ingleses, españoles y estadounidenses. Visité grandes ciudades y pueblos aislados, selvas vírgenes y mercados abarrotados. Vi iglesias grandiosas y modestas capillas donde se habían celebrado nacimientos felices y que habían visto ir a héroes de guerra. » Me sumergí en esta cultura asombrosa. Turista, vagabunda, extranjera, queriendo inmortalizar los últimos rastros visibles de eventos históricos que impregnaron la historia y la cultura nicaragüense hasta siempre. Produje así una serie de fotografías que engendraron una reflexión sobre la construcción de mi propia historia, de mi propia memoria y de mi propia identidad. El informe presenta un testimonio de estas reflexiones, así como una experiencia a la vez humana y artística.
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Rangs : une approche systémique du territoire

Lehmann, Mériol 24 April 2018 (has links)
La deuxième moitié du vingtième siècle a vu se réaliser d’importants changements de paradigmes avec le passage de la société industrielle — l’ère de la machine — à la société postindustrielle — l’ère de l’information. Ces bouleversements ont été à la source de révolutions artistiques, scientifiques et culturelles. La transformation majeure subie par le domaine de l’art à cette époque, passant ainsi de l’art des objets à l’art des idées, s’inscrit directement dans l’esthétique systémique mise de l’avant par Burnham comme théorie générale de l’art, et trouve son application jusque dans les pratiques contemporaines. La présente recherche s’intéresse plus spécifiquement aux pratiques des photoconceptualistes, notamment ceux ayant fait partie de l’exposition New Topographics, qui marque la rupture entre une vision moderniste de la photographie de paysage et une approche photographique systémique du territoire. Comme dans le cas de l’art contemporain, ce paradigme demeure pertinent dans les pratiques actuelles liées au territoire, dans lesquelles s’inscrit justement mon travail artistique. Finalement, la dimension intrinsèque de l’interdisciplinarité dans la pensée systémique m’a mené à étudier le territoire sous un angle géographique. Ceci a permis de m’interroger sur la façon dont ma pratique artistique fait partie du système territorial dans son sens le plus large, en participant aux systèmes de représentation qui forgent à la fois la connaissance et la conception qu’ont les acteurs du monde qui les entoure, et particulièrement dans sa dimension sensible, donc esthétique. / From the machine age of the industrial society to the information age of the post-industrial society, the second half of the twentieth century witnessed important paradigmatic changes, constituents of broad social transformations that led to artistic, scientific and cultural revolutions. In art, the major shift from object-based to ideas-based practices, identified by Heinich as the paradigm of contemporary art, belonged to the realm of Burnham’s theoretical proposal of “system aesthetics”. Within this research realm, I am particularly interested in the photoconceptualists, especially those who were part of New Topographics show, a breakthrough event that marked the rupture between Ansel Adams’ modernist vision of the landscape, and a systems-based approach about the landscape. As in the case of contemporary art, this paradigm remains relevant in current practices related to territory, a notion that is central to my personal artistic practice. Finally, the essential aspect of interdisciplinarity in systemic thinking led me to study the territory from the point of view of geography, thus enabling me to establish how my artistic practice is situated in this broader territorial system, participating in the forms of representation that forge both knowledge and idea, bringing an aesthetic dimension to the representative systems of the world around us.
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Ghosts

Roch, Alexia 20 April 2018 (has links)
La photographie argentique est receleuse de traces et de mémoire. C’est dans cette optique que j’ai travaillé avec des clichés de mon passé et que j’ai choisi de les altérer afin de les décharger de leur cette charge affective et de cette notion de passé qui leur étaient reliées. Comme dans un rite funéraire, je crée des masques mortuaires pour chacune des mes photographies en utilisant tulle et broderie, pour ensuite insérer le masque selon différents moyens : par empreinte superposée à la photo et par ajout concret sur une forme découpée. Le masque apparaît alors sur l’image. Il se confond dans les traits et les détails de cette dernière et y fait apparaître un fantôme ; forme fantasmagorique qui fait état de survivance, entre le passé et le présent. La nature intrinsèque du cliché est changée, elle n’est plus trace d’un passé et le cliché passe d’image à œuvre.
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Objets portables, prothèses et mise en scène : l'expérience du corps

Lanzani, Rossana 24 April 2018 (has links)
Mon travail s'appuie sur l'expérience duale du corps humain, particulièrement le corps de la femme. Pour exprimer cette expérience corporelle, je me sers de la photographie et de la vidéo où je fais interagir les corps avec des objets sculpturaux que je nomme objets portables, du fait de leur rapport étroit avec le corps. Ces objets sont dérivés de bijoux, de prothèses médicales ou d'ornements et ont une fonction de médiation. Mon travail se nourrit des souvenirs du passé, pour lesquels j'ai recours à la mémoire et au rêve. Dans les images créées pour l'ensemble de mes projets s'établit une ambigüité temporelle, située entre une réactualisation du passé et une résurgence de souvenirs d'enfance.

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