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La qualité de vie reliée à la santé chez les femmes ménopausées en surplus de poids : Impact d’une stratégie d’intervention de 12 mois combinant l’exercice et les phytoestrogènes sur la qualité de vie reliée à la santé et les symptômes climatériques.

Gagnon, Josiane January 2014 (has links)
En 2002, certains résultats de l’étude du Women’s Health Initiative démontraient un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires (infarctus, attaque cérébrale), certains cancers (seins, côlon, utérus) et l’ostéoporose avec l’hormonothérapie substitutive combinant l’oestrogène et la progestérone. De ce fait, malgré les impacts positifs de ce traitement sur les symptômes climatériques, certains médecins et de nombreuses femmes ménopausées ont délaissé l’hormonothérapie substitutive pour se tourner vers des moyens plus naturels tels que l’exercice et les phytoestrogènes pour diminuer ces symptômes et ainsi améliorer la qualité de vie. Plusieurs recherches ont prouvé les effets positifs des isoflavones, une molécule d’origine végétale semblable aux hormones féminines et appartenant à la famille des phytoestrogènes, sur le contrôle des symptômes climatériques. De plus, certaines études ont démontré l’effet positif de l’exercice seul sur les symptômes vasomoteurs (bouffées de chaleur et sueurs nocturnes) chez la femme ménopausée, prouvant que cette alternative diminuerait les symptômes climatériques. Toutefois, bien que les résultats de notre laboratoire aient démontré certains bienfaits de la combinaison de ces deux stratégies à court terme (6 mois), l’impact à moyen terme (1 an) sur les symptômes climatériques et la qualité de vie reliée à la santé reste à évaluer. Nous avions donc comme objectif de déterminer l’effet d’un programme d’exercice mixte de 12 mois combiné à la prise de phytoestrogènes (isoflavones de soya) sur les symptômes climatériques et la qualité de vie reliée à la santé. Dans cette étude, nous déterminerons si les effets bénéfiques de la combinaison de l’exercice et des phytoestrogènes observés après 6 mois d’intervention sur la qualité de vie reliée à la santé des femmes ménopausées obèses perdurent dans le temps. Méthodologie : Trente-deux femmes ménopausées obèses âgées de 50 et 70 ans ont participé à l’étude. L’ensemble des participantes recrutées a participé à un programme d’exercice mixte et structuré de 12 mois. La moitié des femmes ménopausées (n=16) consommaient 75 mg d’isoflavones de soya (phytoestrogènes) par jour et l’autre moitié (n= 16) étaient sous placebo (cellulose). À trois moments durant l’année, les femmes ont dû répondre à trois questionnaires pour évaluer la qualité de vie soit le SF-36, le PSS-10 et l’indice de Kupperman. Résultats : Les femmes ménopausées obèses ont amélioré certains symptômes climatériques ainsi que le bien-être mental après un programme d’un exercice mixte régulier de 12 mois. En effet, on observe une réduction des bouffées de chaleur et du score total de l’indice de Kupperman (p=0.028) chez le groupe EX+PL. De plus, l’exercice mixte sur une base régulière améliore certaines sous-échelles du SF-36 reliées plus particulièrement au bien-être mental. Après 12 mois d’intervention, les souséchelles énergie/fatigue (p=0.02), perception générale de la santé (p 0.001) et limitation émotionnelle (p=0.017) ont toutes augmenté. Néanmoins, aucun changement significatif n’a été observé pour le groupe EX+PH. Conclusion : Après 12 mois d’intervention, l’exercice mixte pratiqué sur une base régulière combiné à un placébo semble être une stratégie qui persiste mieux que l’exercice mixte combiné à un phytoestrogène concernant l’amélioration de la qualité de vie et des symptômes climatériques chez la femme ménopausée obèse.
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Effet des phytoestrogènes et de l'exercice physique sur les marqueurs du stress oxydatif et l'activité de la paraoxonase 1 (PON1) chez les femmes postménopausées et obèses

Koumbadinga, Geremy Abdull January 2006 (has links)
L'incidence des maladies cardiovasculaires (MCV) dans la population âgée et particulièrement chez les femmes postménopausées en surpoids se montre sans cesse grandissante au fil des années. Cette augmentation de la survenue des MCV serait particulièrement due à une diminution d'oestrogène pendant la ménopause, à une redistribution de la masse grasse au niveau abdominal et à une augmentation de la production des radicaux libres au cours du vieillissement. Bien que les femmes postménopausées utilisent souvent des oestrogènes de synthèse pour soulager les symptômes de la ménopause, plusieurs études prospectives ont montré que la thérapie hormonale de substitution (THS) entraînait également une diminution significative des facteurs de risque des MCV et que des effets synergiques sur l'amélioration du profil lipidique étaient aussi observés lorsque la THS était associée à un programme d'exercices aérobies. Cependant, quelques études longitudinales récemment publiées ont montré que la THS entraînait non seulement une augmentation de l'incidence de cancers, mais aussi que celle-ci augmenterait la survenue d'attaques cardiaques et de maladies coronariennes. Les phytoestrogènes semblent être une alternative intéressante à la THS. En effet, plusieurs études longitudinales et in vitro ont montré que les phytoestrogènes diminuaient l'incidence des MCV en améliorant le profil lipidique et en augmentant la résistance des lipoprotéines de faible densité (LDL) à l'oxydation. Cet effet protecteur des phytoestrogènes à l'égard des LDL semble se faire par l'amélioration de l'activité de l'enzyme paraoxonase 1 (PON1) présente à la surface des lipoprotéines de haute densité (HDL). Ainsi, le but de notre étude est d'évaluer l'effet d'une supplémentation en phytoestrogènes associés à l'exercice physique sur les marqueurs du stress oxydatif et l'activité de la PON1 chez les femmes postménopausées présentant un gain pondéral. Pour ce faire, nous avons recruté des femmes âgées entre 50 et 75 ans que nous avons aléatoirement réparties en deux groupes, 25 femmes dans le groupes phytoestrogènes et 25 femmes dans le groupe placebo. Ces sujets devaient prendre des phytoestrogènes (70 mg/jour d'isoflavones) ou le placebo pendant une période de six mois, puis les deux groupes, en plus de ces suppléments, étaient soumis à des séances d'exercices aérobies pendant six mois additionnels. Des prélèvements sanguins étaient effectués au début de l'étude, après 6 mois et à la fin de la période de suivie (12 mois). Un certain nombre de marqueurs sanguins du stress oxydatif étaient mesurés, notamment l'activité antioxydante totale (AAOT) et résiduelle (AoGap), les diènes conjugués, les dialdéhydes maloniques (MDA), mais aussi la vitamine C, la vitamine E, l'activité paraoxonase et la leptine. Nos résultats montrent une augmentation significative de la vitamine C et de l'activité paraoxonase dans les deux groupes au bout des 12 mois de suivi et également une diminution significative de la vitamine E dans les deux groupes à l'issue de la même période. Aucune variation significative n'a été observée lors du dosage des autres variables. Ces résultats suggèrent que les phytoestrogènes n'ont aucun effet sur l'ensemble des marqueurs du stress oxydatif, mais que les variations significatives obtenues lors des dosages des vitamines C et E ainsi que de l'activité paraoxonase seraient dues à une réponse adaptative de l'organisme au stress induit par l'exercice physique. L'absence d'effets des phytoestrogènes pourrait aussi s'expliquer par le haut niveau d'abandons observé tout au long de l'étude ou encore par le fait que la dose prescrite n'est pas nécessairement suffisante pour avoir une influence positive sur les différentes variables étudiées.
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Composition corporelle, phytoestrogènes et exercices impact sur les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires chez des femmes ménopausées

Aubertin-Leheudre, Mylène January 2006 (has links)
La ménopause est associée à des modifications de la composition corporelle.La déficience en µstrogène est aussi associée à une altération du profil lipidique et du risque de diabète de type II. Dans l'ensemble, ces changements favorisent l'augmentation des risques de développer une maladie cardiovasculaire (MCV). Le traitement hormonal de substitution (THS) est reconnu pour diminuer les gains de masse grasse, le profil lipidique et la sensibilité à l'insuline chez les femmes ménopausées. D'autre part, le rôle de l'activité physique, dans le maintien de la composition corporelle après la ménopause, est connu. Par ailleurs il a été démontré que le THS, combiné à l'activité physique, permettait des pertes de masse grasse plus importantes que l'une des deux interventions seules. Toutefois, Rossouw et al. ont récemment démontré que la composante progestérone du THS pourrait être associée à une hausse du risque de MCV sans que l'on en connaisse les mécanismes. Ainsi, plusieurs femmes canadiennes ont depuis abandonné le THS. Ainsi, la mise en lumière d'une thérapie alternative pourrait s'avérer intéressante pour cette population. À cet effet, plusieurs études ont démontré que 6 mois de supplémentation en phytoestrogènes (hormones naturelles) pouvaient avoir des effets similaires au THS sur le profil lipidique, la masse osseuse et sur divers symptômes de la ménopause. Toutefois, l'effet des phytoestrogènes seuls ou en combinaison avec l'exercice sur d'autres prédicteurs des MCV n'a toujours pas été vérifié chez la femme ménopausée obèse. L'objet de cette thèse est donc de vérifier si la composition corporelle et diverses interventions ont des impacts sur les facteurs de risque des MCV chez des femmes ménopausées obèses. Nos hypothèses sont que les facteurs de risque des MCV sont moins importants chez des femmes ménopausées sarcopéniques-obèses, ou chez des femmes ménopausées obèses ayant suivi une supplémentation en phytoestrogènes combinée à un programme d'exercice. Pour cela 50 femmes (50-70 ans, francophones ou comprenant le français, BMI[supérieur à] 27kg/m[indice supérieur 2], sans incapacité physique, sans médication influençant le métabolisme, non fumeuse, buveuse modérée, poids stable, ne participant à aucun programme d'activité physique, sans hormonothérapie et sans menstruation depuis 12 mois) ont été recrutées et réparties aléatoirement en 2 groupes: (1) sous phytoestrogènes + activité physique; (2) sous placebos + activité physique. Elles ont ensuite été invitées au Centre de recherche sur le vieillissement pour une session de tests métaboliques et de questionnaires et ce, au début, au milieu et à la fin de l'intervention. Les mesures suivantes ont été colligées: la composition corporelle, la circonférence de la taille, le profil lipidique, l'indice de sensibilité à l'insuline, le métabolisme énergétique et l'apport alimentaire. À la lumière de nos résultats, nous pouvons donc conclure que les phytoestrogènes semblent avoir un effet sur la composition corporelle. En effet, nos études démontrent un effet positif des phytoestrogènes sur la masse maigre à 6 mois et sur la masse grasse à 12 mois lorsque ces derniers sont combinés à un programme d'exercices. Par ailleurs, nous avons observé que la sarcopénie diminue les risques de MCV chez les femmes ménopausées obèses. Par contre, aucun effet n'a été trouvé durant toute notre intervention sur les paramètres biochimiques. L'ensemble de ces résultats a engendré de nouvelles perspectives en ce qui concerne la recherche sur les facteurs de risque des MCV chez les femmes ménopausées obèses et de futures recherches dans ce domaine devront être conduites afin de confirmer nos hypothèses et nos résultats.
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Impact d'une alimentation riche en phytoestrogènes sur l'expression génique cardiaque

Legault, Catherine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Effets combinés des gènes, du sexe et de l'environnement sur la morphologie et la fonction des cardiomyocytes de rat adulte

Souzeau, Emmanuelle January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Impact d'une alimentation riche en phytoestrogènes sur l'expression génique cardiaque

Legault, Catherine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Etude phytochimique de deux espèces de Platanaceae européennes Platanus acerifolia (France) et Platanus orientalis (Grèce) / Phytochemical study of two european species Platanaceae, Platanus acerifolia (France) and Platanus orientalis (Greece)

Thai, Quoc Dang 10 July 2014 (has links)
Le platane est un arbre de la famille des Platanaceae très commun en ville en particulier en Europe et dans toutes les zones tempérées. Les espèces du genre Platanus et plus particulièrement l’espèce Platanus orientalis, très répandue en Grèce, sont sévèrement attaquées par des agents phytopathogènes provoquant le chancre coloré du platane, l’anthracnose ou l’oïdium. En revanche, Platanus acerifolia, un hybride obtenu entre P. occidentalis and P. orientalis, très commun en France, se montre plus résistant vis-à-vis de ces pathogènes. L’étude par HPLC d’extraits de deux espèces de Platanaceae européennes P. acerifolia et P. orientalis a montré des différences selon le solvant d’extraction. L’extrait dichlorométhanique de P. acerifolia s’est montré plus riche en composés que l’espèce P. orientalis. Par contre, les chromatogrammes obtenus à partir des extraits méthanoliques sont très similaires et dominés par les deux composés majoritaires (tiliroside et platanoside). Des techniques préparatives comme la chromatographie de partage centrifuge (CPC), la moyenne pression (MPLC), la chromatographie sur colonne de Sephadex ou sur résine XAD-7 ont été utilisées afin d’isoler les différents constituants majoritaires et d’identifier les composés qui diffèrent d’une espèce à l’autre. L’élucidation structurale est réalisée grâce à des techniques telles que HR-EIS-MS et RMN 1D & 2D. L’étude de l’extrait dichlorométhanique nous a permis de compléter la connaissance phytochimique de ces deux plantes européennes et a conduit à l’isolement et à la détermination structurale de 38 molécules dont 7 composés nouveaux (1 coumarine, 3 flavonols prenylés, 2 dihydrochalcones, un terpénoïde. Par ailleurs, l’extrait méthanolique a conduit d’une part à l’isolement du tiliroside et du platanoside majoritaires et d’autre part à l’isolement de composés minoritaires, trente-trois autres molécules dont 5 nouveaux composés (1 flavonol glucosylé, 3 coumarines, 1 dihydrochalcone). Enfin, l’évaluation biologique des composés isolés in vitro ou in vivo a été réalisée sur différentes cibles : activités antifongiques, anti-âge, antioestrogéniques. Les activités cytotoxiques sur les cellules de cancer du sein MCF-7 et sur les cellules de cancer de l’endomètre (ISHIKAWA). / Platanus is a small genus of trees belonging to Platanaceae family, very common in Europe and temperate zones. Platanus species, and especially Platanus orientalis (Oriental plane), wide-spread in Greece are known to be severely attacked by phytopathogens such as Ceratocystis fimbriata f. sp. platani for canker stain, Apiognomonia veneta for anthracnose and Microsphaera platini for powdery mildew. However Platanus acerifolia (London plane), a hybrid between the P. occidentalis and P. orientalis, which is very common in France, have been found to be resistant to these pathogenic fungi. The HPLC profile of the dichloromethane extracts of the two species P. orientalis and P. acerifolia revealed a qualititative difference whereas, the methanol extracts were found to be similar with two predominant phenolic constituents (tiliroside and platanoside) present in both species. Further isolation and purification of their secondary metabolites were performed using various chromatographic techniques (CPC, MPLC, CC, XAD-7, Sephadex LH20, prep-TLC) and their identification was performed by HRMS and NMR (1 & 2D) spectroscopy. The studies of dichloromethane extract allowed us to deal with phytochemical knowledge of these two European plants in depth and led to isolation and structural elucidation of 38 compounds including 7 news constituents (1 coumarin, 3 flavonols, 2 dihydrochalcones and 1 terpenoid). Moreover, the methanol extract led to the isolation of their major constituents (tiliroside and platanoside) in one step. Furthermore, 33 minors compounds were isolated including 5 news compounds (one flavonol glycoside 3 coumarins and 1 dihydrochalcone). In addition, the isolated compounds have been subjected to in vitro or in vivo evaluation on different targets: antifungal, anti-ageing, anti-oestrogenic properties. Finally, the cytotoxic activity was studied on breast cancer cells (MCF-7) and endometrial cancer (Ishikawa).

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