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1

Le rôle des hormones sexuelles dans la perception de la douleur chez le rat

Gaumond, Isabelle. January 2002 (has links)
Thèses (M.Sc.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
2

Clonage et caractérisation de deux formes de 17[bêta]-hydroxystréroïde déshydrogénase de type 7 chez l'humain /

Liu, Hong. January 2001 (has links)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2001. / Titre de la microfiche: Cloning and characterization of two forms of type 7 17 beta-... Bibliogr.: f. 72-85. Publié aussi en version électronique.
3

Étude des différences mâle/femelle au niveau de la repolarisation cardiaque

Brouillette, Judith January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
4

Retentissement des stimulations ovariennes sur le taux de poussée au cours de la Sclérose en plaques

Laplaud, David-Axel Wiertlewski, Sandrine. January 2004 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Neurologie : Université de Nantes : 2004. / Bibliogr. f. 95-101.
5

Identification et caractérisation des variants de séquences des gènes HSD17B1, HSD17B2, HSD17B7 et HSD17B12 chez des femmes atteintes d'un cancer du sein et possédant une forte histoire familiale de cancer du sein et de l'ovaire /

Plourde, Marie. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. [200]-233]. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
6

Douleur et analgésie le rôle des hormones sexuelles

Gaumond, Isabelle January 2007 (has links)
Il est fréquemment observé en clinique que les femmes sont plus susceptibles de vivre une douleur récurrente, des niveaux de douleur plus sévères et de la douleur de plus longue durée, que les hommes (UNRUH, 1996). Plusieurs facteurs ont déjà été pris en considération pour expliquer cette réalité, qu'ils soient psychosociaux ou physiologiques. Cependant, certaines évidences nous permettent de croire que les hormones sexuelles ont un important rôle à jouer dans ces différences de perception et de modulation de la douleur entre les hommes et les femmes. En effet, les seuils de douleur et la prévalence de certaines maladies varient selon le statut hormonal de l'individu (avant la puberté, pendant le cycle menstruel, pendant la grossesse, après la ménopause et l'andropause). Afin de nous permettre d'étudier le rôle individuel des principales hormones sexuelles (oestrogène, progestérone et testostérone) chez les deux sexes, un modèle animal de douleur de type inflammatoire, le test à la formaline, a été utilisé. L'intérêt de ce test réside dans le fait que les phénomènes nociceptifs observés sont multphasiques [sic] : une phase aiguë, une phase d'inhibition et une phase tonique. Ces phénomènes s'apparentent à différents types de douleurs observées en clinique. Ainsi, le premier projet présenté dans cette thèse nous a permis d'évaluer, par l'administration de ces hormones à des rats gonadectomisés, l'effet hypoalgésique ou hyperalgésique de chacune des hormones sexuelles sur la perception et la modulation de la nociception suite à un test à la formaline. Ces tests effectués chez les douze groupes de rats utilisés pour ce projet nous ont permis d'observer que (1) la testostérone joue un rôle hypoalgésique sur les phases dites nociceptives (aiguë et tonique) et que (2) les hormones sexuelles femelles ont une action modulatrice sur le mécanisme inhibiteur observé en interphase du test à la formaline. Cet effet sélectif des hormones sexuelles femelles sur une phase inhibitrice, l'interphase, a été la source d'inspiration pour le deuxième projet rapporté dans cette thèse, soit l'étude de l'implication des opioïdes endogènes dans ce mécanisme inhibiteur. C'est d'ailleurs par l'injection de naloxone, un antagoniste non spécifique des récepteurs opioïdes, que nous avons tout d'abord évalué la composante opioïdergique de l'interphase. La première conclusion tirée de cette étude est que l'interphase est opioïdergique chez les femelles et non opioïdergique (ou faiblement opioïdergique) chez les mâles. Suite à cette observation, nous avons ensuite décidé d'explorer d'avantage ce phénomène chez la femelle en évaluant à quel niveau du système nerveux (périphérique, spinal ou supraspinal) cette action prenait place. Différentes combinaisons d'antagonistes spécifiques pour chaque type de récepteurs opioïdes ([mu], [delta], et [kappa]) ont été également administrées aux rats femelles afin de déterminer le mode d'action spécifique de l'interphase.Il nous a été possible d'observer que cette action des opioïdes se fait principalement au niveau spinal mais également au niveau supraspinal et que l'activation combinée des récepteurs [delta] et [kappa] était nécessaire pour expliquer ce phénomène. Finalement, ces projets nous ont permis de mieux comprendre le rôle des hormones sexuelles dans les différences de douleur observées entre les hommes et les femmes et nous servirons à orienter des recherches futures vers des traitements adéquats selon le sexe de l'individu.
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Le rôle des hormones sexuelles dans la douleur chez des femmes saines

Tousignant-Laflamme, Yannick January 2008 (has links)
La littérature scientifique démontre clairement que les femmes perçoivent davantage de douleur que les hommes que la douleur soit clinique ou expérimentale. De plus, les femmes diffèrent des hommes quant aux réactions autonomiques à la douleur. Cependant, les mécanismes exacts engendrant ces différences restent méconnus. Plusieurs mécanismes peuvent expliquer ces différences, mais ce sont les hormones sexuelles (HS), qui selon plusieurs auteurs, joueraient un rôle de premier plan. L'objectif principal de ce projet était donc de vérifier si les HS affectent la perception de la douleur expérimentale (mécanismes excitateurs) et les mécanismes endogènes de contrôles de la douleur (les contrôles inhibiteurs diffus nociceptifs - CIDN) chez des femmes saines. Dans un deuxième temps, nous voulions également déterminer si la réactivité du système nerveux autonome à la douleur est influencée par les HS. Méthodologie. 32 femmes ayant un cycle menstruel régulier (RMW) ont été rencontrées à trois reprises au cours de leur cycle menstruel (CM), soit entre les jours 1-3, les jours 12-14 et les jours 19-23. Aussi, 20 femmes ménopausées (PMW) ont été rencontrées à une fois. À chaque rencontre, celles-ci ont reçu les mêmes procédures douloureuses qui consistaient en deux applications d'une douleur thermique (thermode) à l'avant-bras durant deux minutes (à une température engendrant une douleur de 50/100), séparées par une immersion douloureuse du bras opposé dans l'eau froide (12[degrés]C). Le test d'immersion nous a permis de déclencher les CIDN (mécanisme analgésique endogène) et de mesurer la perception d'un différent type de douleur tonique. La perception de la douleur a été mesurée avec une échelle visuelle analogue afin de mesurer les seuils de douleur et de tolérance, et la [sic] l'intensité moyenne de la douleur. L'efficacité analgésique des CIDN a été quantifiée en calculant la différence entre la douleur thermique avant et après l'immersion. Les niveaux plasmatiques d'HS ont été obtenus lors de chaque visite. Un électrocardiogramme nous a permis d'obtenir la fréquence cardiaque pendant le test d'immersion où nous avons mesuré la réactivité autonomique par le biais de l'analyse de la variabilité cardiaque. Résultats. Aucune différence ne fut observée pour les seuils de douleur et de tolérance ainsi que pour la perception de la douleur durant le test d'immersion et le test de douleur thermique lors des trois visites (p>0.05). Cependant, nous avons observé que l'efficacité analgésique des CIDN (analgésie endogène) était significativement plus forte lors de la phase ovulatoire, comparativement aux phases menstruelle et lutéale (p=0.04). Chez les PMW, l'efficacité des CIDN est comparable aux RMW durant leur phase menstruelle, mais le pic de douleur normalement observé durant le test de la thermode était absent. Finalement, nous n'avons pas observé de différence dans la réactivité autonomique à la douleur au cours des trois phases du cycle menstruel. Conclusion. Les résultats démontrent donc une implication certaine des HS (via le CM) dans la perception de la douleur, mais seulement au niveau des mécanismes inhibiteurs de la douleur (CIDN), ce qu'aucune étude n'avait examiné auparavant. Cette modulation de l'efficacité des CIDN au cours du cycle menstruel pourrait donc fournir une explication partielle des différences hommes/femmes dans la douleur. Finalement, nous avons noté que le CM ne semble pas affecter les mécanismes excitateurs de douleur ainsi que la réactivité autonomique à la douleur.
8

Rôle du cytochrome P450c17 et des composantes du système enzymatique actif dans la production sélective des précurseurs des glucocorticoïdes, des stéroïdes sexuels et des 16-ène-stéroïdes /

Soucy, Penny. January 2003 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 152-193. Publié aussi en version électronique.
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Rôles spécifiques des stéroïdes sexuels au niveau de la peau chez la souris /

Azzi, Lamia. January 2004 (has links)
Thèse (M.Sc.)--Université Laval, 2004. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique.
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Dimorphisme sexuel des réponses physiologiques à l'hypoxie chez le rat : étude du rôle des hormones sexuelles dans la programmation néonatale et dans la régulation à l'âge adulte

Labonté-Fournier, Sébastien 20 April 2018 (has links)
Les expériences encourues en période néonatale affectent la trajectoire développementale de plusieurs systèmes physiologiques. Particulièrement, le stress de séparation maternelle néonatale (SMN) perturbe le développement du système de contrôle respiratoire. Des travaux antérieurs illustrent l'impact de la SMN sur la régulation de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Notamment, les rats adultes mâles SMN présentent des niveaux de base de l'hormone adrénocorticotrope (ACTH) et de corticostérone (CORT) significativement plus élevés que les rats contrôles. Cette dérégulation de l'axe HHS se traduit par une augmentation de la réponse ventilatoire à l'hypoxie (RVH). Les rats femelles SMN ne démontrent aucun changement de l'activité de l'axe HHS, mais présentent une diminution de la RVH en comparaison aux rats contrôles. Ce dimorphisme sexuel nous a amené à adresser le rôle des hormones sexuelles dans le phénotype respiratoire observé chez les rats mâles et femelles SMN. D'abord, l'étude présentée au chapitre 2 évalue l'impact du déclin des fonctions ovariennes (induit et naturel) sur la RVH de rats adultes et d'âges mûrs. Ces travaux démontrent que les hormones ovariennes masquent les effets de la SMN sur le contrôle respiratoire. Cependant, en l'absence des stéroïdes ovariens (ex. : à la périménopause), les conséquences de la SMN apparaissent. Ces travaux proposent que l'apparition de plusieurs symptômes (ex. : cardio-respiratoires) chez la femme ménopausée peut avoir une origine néonatale. Le rôle de la testosterone dans le contrôle ventilatoire est méconnu. Par contre, nous observons que l'exposition à 20-min d'hypoxie provoque l'augmentation aiguë des niveaux plasmatiques de testosterone chez le rat mâle SMN. Dans l'étude présentée au chapitre 3, nous avons voulu déterminer si cette élévation de testosterone est nécessaire à l'apparition du phénotype respiratoire observé chez les mâles SMN. Les résultats démontrent que l'injection intrapéritonéale de testosterone provoque l'augmentation de la RVH chez l'animal SMN, ce qui indique que la testosterone est nécessaire à l'expression complète de ce phénotype chez ces animaux. Finalement, les études présentées aux chapitres 4 et 5 mettent en évidence que l'environnement social du rat juvénile peut contribuer à atténuer, voire même renverser les conséquences du stress de SMN sur la régulation neuroendocrinienne et sur le contrôle respiratoire.

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