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Trinômes irréductibles sur F2 et codes cycliques ternaires de rendements 1/2 / Irreducible trinomials over F2 and ternary cyclic codes of rate 1/2Mihoubi, Cherif 21 December 2012 (has links)
En considérant les polynômes sur le corps fini de Galois à deux éléments, notre intention porte sur la divisibilité des trinômes x^am+x^bs+1, pour m>s≥1, par un polynôme irréductible de degré r, pour cela, nous avons réalisé le résultat :S'il existe m, s des entiers positifs tels que le trinôme x^am+x^bs+1 soit divisible par un polynôme irréductible de degré r sur F2, alors a et b ne sont pas divisibles par (2r- 1). Pour ce type de trinômes nous conjecturons que le rapport πM(a,b)/ πM(1,1) tend vers une limite finie (dépendant de a et b) quand M tend vers l'infini. Notre recherche porte ensuite sur les codes cycliques de rendement 1/2 sur les deux corps finis F3 et F5 et nous accentuons notre recherche sur ceux iso duaux. Le problème central dans la théorie du codage est trouver la plus grande distance minimum dq pour laquelle un code de paramètres [n, q, d] sur Fq existe. Dans ce contexte nous avons réussi à optimiser cette distance pour les codes cycliques de taux 1/2 sur F3 et F5 en allant jusqu’à la longueur 74 pour les codes ternaires et 42 pour ceux sur F5. Nous avons aussi réussi à construire sept classes de codes cycliques iso-duaux sur le corps fini à 3 éléments et trois classes de codes cycliques iso-duaux sur le corps fini à 5 éléments. / Considering polynomials over the Galois finite fields for two elements, our intention stand over the divisibility of the trinomials x^am+x^bs+1, for m>s ≥ 1, by an irreducible polynomial of degree r, for this, we contribute to the result :If there exist positive integers m, s such that the trinomial x^am+x^bs+1 is divisible by an irreducible polynomial of degree r over F2, then a and b are not divisible by (2^r- 1). For this type of trinomials we conjectured that the ratios πM(a,b)/ πM(1,1) tend to a finite limit (dependently of a and b) when M tend to infinity. Our research stand at sequel on the cyclic codes of rate 1/2 over the two finite fields F3 and F5 and we check our research over whose are isodual. The so-called fundamental problem in coding theory is finding the largest value of dq for which a code of parameters [n, q, d] over Fq exists. In this context we have successfully optimize this distance for the cyclic codes of rate 1/2 over F3 and F5 up to length 74 for the ternary cyclic codes and 42 for whose over F5. We have also successful to construct seven classes of isodual cyclic codes over the field of 3 elements and three classes over the field of 5 elements.
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Complexité de la résolution des systèmes algébriques paramétriques.Ayad, Ali 13 October 2006 (has links) (PDF)
On présente trois algorithmes dans cette thèse: Le premier algorithme résout de systèmes polynomiaux homogènes et paramétrés zéro-dimensionnels avec un temps simplement exponentiel en le nombre n des inconnus, cet algorithme décompose l'espace des paramètres en un nombre fini d'ensembles constructibles et calcule le nombre fini de solutions par de représentations rationnelles paramétriques uniformes sur chaque ensemble constructible. Le deuxième algorithme factorise absolument de polynômes multivariés paramétrés avec un temps simplement exponentiel en n et en la borne supérieure d de degrés de polynômes à factoriser. Le troisième algorithme décompose les variétés algébriques définies par de systèmes algébriques paramétrés de dimensions positives en composantes absolument irréductibles d'une manière uniforme sur les valeurs des paramètres. La complexité de cet algorithme est doublement exponentielle en n. D'autre part, la borne inférieure du problème de résolution de systèmes algébriques paramétrés est doublement exponentielle en n.
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On the distribution of polynomials having a given number of irreducible factors over finite fieldsDatta, Arghya 08 1900 (has links)
Soit q ⩾ 2 une puissance première fixe. L’objectif principal de cette thèse est d’étudier le comportement
asymptotique de la fonction arithmétique Π_q(n,k) comptant le nombre de polynômes
moniques de degré n et ayant exactement k facteurs irréductibles (avec multiplicité) sur le corps
fini F_q. Warlimont et Car ont montré que l’objet Π_q(n,k) est approximativement distribué de
Poisson lorsque 1 ⩽ k ⩽ A log n pour une constante A > 0. Plus tard, Hwang a étudié la
fonction Π_q(n,k) pour la gamme complète 1 ⩽ k ⩽ n. Nous allons d’abord démontrer une formule
asymptotique pour Π_q(n,k) en utilisant une technique analytique classique développée
par Sathe et Selberg. Nous reproduirons ensuite une version simplifiée du résultat de Hwang
en utilisant la formule de Sathe-Selberg dans le champ des fonctions. Nous comparons également
nos résultats avec ceux analogues existants dans le cas des entiers, où l’on étudie tous les
nombres naturels jusqu’à x avec exactement k facteurs premiers. En particulier, nous montrons
que le nombre de polynômes moniques croît à un taux étonnamment plus élevé lorsque k est un
peu plus grand que logn que ce que l’on pourrait supposer en examinant le cas des entiers.
Pour présenter le travail ci-dessus, nous commençons d’abord par la théorie analytique des
nombres de base dans le contexte des polynômes. Nous introduisons ensuite les fonctions arithmétiques
clés qui jouent un rôle majeur dans notre thèse et discutons brièvement des résultats
bien connus concernant leur distribution d’un point de vue probabiliste. Enfin, pour comprendre
les résultats clés, nous donnons une discussion assez détaillée sur l’analogue de champ de fonction
de la formule de Sathe-Selberg, un outil récemment développé par Porrit et utilisons ensuite
cet outil pour prouver les résultats revendiqués. / Let q ⩾ 2 be a fixed prime power. The main objective of this thesis is to study the asymptotic
behaviour of the arithmetic function Π_q(n,k) counting the number of monic polynomials that
are of degree n and have exactly k irreducible factors (with multiplicity) over the finite field
F_q. Warlimont and Car showed that the object Π_q(n,k) is approximately Poisson distributed
when 1 ⩽ k ⩽ A log n for some constant A > 0. Later Hwang studied the function Π_q(n,k) for the
full range 1 ⩽ k ⩽ n. We will first prove an asymptotic formula for Π_q(n,k) using a classical
analytic technique developed by Sathe and Selberg. We will then reproduce a simplified version
of Hwang’s result using the Sathe-Selberg formula in the function field. We also compare our
results with the analogous existing ones in the integer case, where one studies all the natural
numbers up to x with exactly k prime factors. In particular, we show that the number of monic
polynomials grows at a surprisingly higher rate when k is a little larger than logn than what one
would speculate from looking at the integer case. To present the above work, we first start with basic analytic number theory in the context of polynomials. We then introduce the key arithmetic functions that play a major role in our thesis and briefly discuss well-known results concerning their distribution from a probabilistic
point of view. Finally, to understand the key results, we give a fairly detailed discussion on the
function field analogue of the Sathe-Selberg formula, a tool recently developed by Porrit and
subsequently use this tool to prove the claimed results.
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