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The Psychiatric Rating Scale for Diagnostic Classification of Children and Adolescents Interrater Reliability

Henning, E. Glenn (Elbert Glenn) 12 1900 (has links)
This study was designed to assess the reliability of "The Psychiatric Rating Scale for Diagnostic Classification of Children and Adolescents" as an instrument for determining diagnoses congruent with DSM-III criteria. In Phase I graduate students from a University doctoral program in psychology independently rated case vignettes and completed the 64-item rating scale to arrive at Axis I or II diagnoses consistent with DSM-III classifications for Disorders Usually First Evident in Infancy, Childhood, or Adolescence. Subsequent correlations to determine individual scale reliability yielded significantly positive correlations. Clinicians practicing in three diverse metropolitan mental health settings acted as raters in Phase II of the study. Paired raters jointly interviewed a total of 54 child or adolescent patients and independently completed the rating scale to arrive at Axis I or II diagnoses. These diagnoses were subsequently correlated with diagnoses previously obtained by traditional psychometric methods. Phase II interrater agreement was 92 percent for Axis I and II combined, with a .96 correlation. Rating scale diagnoses when correlated with traditional psychometic diagnoses yielded an overall rate of agreement on Axis I of 95 percent for Rater 1 and 90 percent for Rater 2 and correlations of .96 and .95 respectively. Clinicians were asked to rate a case vignette having previously been given an erroneous diagnosis. This attempt to assess rater expectancy effects yielded an agreement rate of 100 percent for the correct diagnosis. These results supported both major hypotheses of the study at a minimum of the .001 level of significance. They also confirmed a prior belief concerning limited intrusion upon rating scale reliability from rater expectancies. As a reliable and objective method of eliciting, structuring, and evaluating patient information, the rating scale could aide in reducing interdisciplinary interview variability and time expenditures among clinicians while providing an appropriate foundation for entry into treatment.
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Etude des facteurs cliniques et pharmacogénétiques prédictifs de la réponse (efficacité) aux traitements neuroleptiques atypiques dans la schizophrénie

Brousse, Georges 10 July 2009 (has links) (PDF)
La schizophrénie est une pathologie fréquente et grave qui touche environ 1% de la population adulte jeune et constitue un problème majeur de santé public. Son mode évolutif reste marqué par la chronicité et la fréquence des rechutes. Depuis les années 1950 l'apport des neuroleptiques, puis celui des neuroleptiques atypiques présentant une meilleure tolérance neurologique, a considérablement modifié la prise en charge des patients souffrant de schizophrénie. Toutefois, les effets latéraux des neuroleptiques ont toujours constitués une des principales limites de cet apport thérapeutique la seconde étant l'importance des non réponses au traitement voire des résistances. Le pourcentage d'échec au traitement en phase aigue reste encore très élevé sans que l'on soit capable de prédire le risque de non réponse en fonction du traitement choisi. En pratique clinique, le choix thérapeutique se fait souvent de façon empirique. L'utilisation de critères diagnostics fiables et harmonisés (DSMIV) ainsi que l'approche de la réponse au traitement à l'aide d'outils de mesures dimensionnels (PANSS, BPRS, CGI) ont permis de réaliser une progression majeure dans l'abord de la recherche clinique dans la schizophrénie. En particulier les critères associés au pronostic évolutif ont pu être mieux appréhendés. Des facteurs prédictifs cliniques et précliniques d'une mauvaise réponse au traitement chez les patients principalement traités par des neuroleptiques conventionnels ont été décrits : l'âge de début de la maladie, la durée d'évolution sans traitement et la gravité de l'atteinte pour des critères cliniques. La pharmacogénétique étudie les mécanismes d'origine génétique impliqués dans la réponse aux médicaments et permet de mettre en évidence des critères prédictifs individuels en termes d'efficacité des traitements. Les données pharmacogénétiques concernant la réponse aux neuroleptiques sont présentées au cours de ce travail à travers une revue de la littérature. Les travaux effectués dans ce domaine concernent en particulier les hypothèses pharmacodynamiques et les gènes impliqués dans la synthèse des récepteurs aux monoamines. Les carences méthodologiques des 1ères études réalisées; en particulier en termes d'homogénéité ethnique des populations étudiées et d'évaluation du phénotype, expliquent que peu de résultat soient répliqués à ce jour. Dans une cohorte de patients schizophrènes caucasiens traités par olanzapine ou rispéridone et évaluée prospectivement pour l'efficacité et la tolérance du traitement, nous avons recherché des critères cliniques et socio-démographiques permettant de prédire la réponse au traitement. L'âge précoce de début des troubles et la durée de la maladie sont des prédicteurs individuels de la mauvaise réponse au traitement. Nous avons également étudié l'implication de variants génétiques du transporteur de la noradrénaline, inhibé par l'olanzapine et la rispéridone, dans l'efficacité des traitements antipsychotiques. Nous avons observé l'implication de 2 polymorphismes de ce transporteur dans la décroissance des symptômes positifs sous traitement. Ces travaux ont permis de confirmer la difficulté de prédire la réponse au traitement dans la schizophrénie sans développer des marqueurs biologiques fiables. L'apport de la pharmacogénétique semble une voie essentielle dans cette perspective.

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