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The mammals of southwestern Quebec, south of the St. Lawrence River.Wrigley, Robert E. January 1967 (has links)
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Evaluation de l'impact alimentaire du programme nutrionnel "Mangeons en coeur" et validation d'un questionnaire de comportement alimentaireWard, Ellen, 1969- January 1998 (has links)
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Outdoor play areas for children in high-density housing in MontrealAggarwal, Monica January 2001 (has links)
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Soft maple (Acer rubrum L. and Acer saccharinum L.) productivity studies.Ambrose, John Edward January 1970 (has links)
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Faulting and ore deposition in the Rouyn-Bell River region. --.Asbury, Winfred Nowers January 1941 (has links)
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Under military chaplains : a study of the Anglican Church in the Province of Quebec, 1759-1768Asbil, Walter Gordon January 1967 (has links)
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Storage rots of potato tubers in Quebec and their control.Asiedu, Samuel Kwaku January 1979 (has links)
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Public school teachers' concerns about their professional livesTzavellas, Georgia. January 2006 (has links)
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Couverture vaccinale contre la rougeole et distribution de l'âge à la 1ère et la 2ième dose de vaccin dans la région affectée par l'épidémie de 2011 dans le reste du QuébecBillard, Marie-Noëlle 20 April 2018 (has links)
L'éclosion de rougeole de 2011 a affecté 8 régions du Québec, mais 65% des cas résidaient dans deux territoires de CLSC. Pour prévenir de nouvelles éclosions, une campagne de vaccination a été menée dans toutes les écoles du Québec. Cette étude rétrospective, basée sur le ficher provincial de vaccination, a montré qu’avant l’éclosion, la couverture vaccinale à deux doses était inférieure dans les deux CLSC les plus touchés (81%) que dans le reste de la région (87%, p<0,001). L’âge à la première dose y était plus tardif (moyenne 16 vs 14 mois, p<0,001). Après la vaccination scolaire provinciale, 85% des étudiants avaient reçu 2 doses de vaccin, 4,2% une dose mais 11% n’avaient aucune information vaccinale. La concentration des cas de rougeole de 2011 pourrait s’expliquer en partie par une couverture vaccinale légèrement plus faible qu’ailleurs. Malgré une grande campagne de vaccination scolaire, 11% restaient sans preuve de vaccination.
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La coqueluche au Québec depuis l'introduction du vaccin acellulaire : bilan épidémiologiqueSonfack Tsafack, Elodie Pamela 18 April 2018 (has links)
En 1998, le Québec a changé de vaccin et introduit dans le calendrier vaccinal des enfants le vaccin acellulaire contre la coqueluche. Par la suite, en 2004 la formulation adolescent/adulte du vaccin acellulaire combinée avec celui contre la diphtérie et le tétanos (dcaT) a commencé à être administrée dans le cadre de la vaccination scolaire aux adolescents de 14-16 ans. Près de 12 ans après l’introduction du vaccin acellulaire, nous avons fait un bilan épidémiologique portant sur le taux d’incidence de la maladie tel que déclaré au fichier des maladies à déclaration obligatoire (MADO) ainsi que sur les taux d’incidence des hospitalisations provenant du fichier administratif des hospitalisations au Québec (MED-ECHO) pour pouvoir décrire l’évolution de la coqueluche au Québec. L’analyse a montré trois périodes en fonction du vaccin utilisé. La période 1990-1998 où tous les enfants étaient vaccinés au vaccin entier, la période 1999-2002 où la majorité des enfants de moins de cinq ans avaient reçu un mélange de vaccin entier et acellulaire et la période 2003-2009 où les enfants étaient tous vaccinés au vaccin acellulaire. Du 1er janvier 1990 au 31 décembre 2009 le total des cas de coqueluche déclarés s’élève à 32 692 dont 5 216 cas hospitalisés. L’incidence moyenne a été de 38 et 6,2 pour 100 000 habitants de 1990 à 1998, de 16 et 2,1 pour 100 000 habitants entre 1999 et 2002 et de 7 et 1,1 pour 100 000 habitants de 2003 à 2009. Parmi les enfants de 6 à 12 ans ayant reçu uniquement du vaccin acellulaire on n’observe pas d’augmentation significative du risque avec l’intervalle depuis la dose de rappel à 4-6 ans. Les taux d’incidence chez les adultes sont restés bas de 2000 à 2009 et ne suggèrent pas un besoin de faire des changements dans la vaccination de ces derniers. La stratégie de cocooning qui consiste à vacciner les parents des nouveau-nés pour prévenir une hospitalisation chez les nourrissons de moins de six mois requerrait de vacciner entre 7 545 et 11 857 parents par hospitalisation prévenue. Cette stratégie semble donc peu efficiente pour le contrôle de la morbidité lie à la coqueluche du nourrisson.
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