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Berlin, histoire d'une modernité continue : réflexions sur les lieux reconstruits de la capitale allemande

Baillargeon, Taïka January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Germany, the European Union and the Economist 1989-1999

Rabkin, Miriam January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
3

Le discours miterrandien envers l'Allemagne de 1981 à 1991 : une rhétorique pour la grandeur et l'indépendance de la France

Clermont, Frédéric 08 1900 (has links)
Ce mémoire tente de présenter la politique allemande de François Mitterrand de 1981 à 1991 à travers le discours public du président français. À cette fin, il présente la position du chef d’État socialiste sur le rôle de l’Allemagne dans la construction de l’unité européenne et dans la politique de défense et de sécurité française, ainsi que sur la question de la réunification allemande. Il tente ensuite de situer la politique allemande de François Mitterrand par rapport à celle du général de Gaulle, et de juger de la valeur du discours public du président français comme source primaire. L’hypothèse principale que nous soutenons est que le président socialiste tente, de 1981 à 1991, de s’appuyer sur la République fédérale d’Allemagne pour atteindre les objectifs de grandeur et d’indépendance fixés pour la France par de Gaulle dans les années 1960. Nous croyons qu’il souhaite d’abord se rapprocher de la RFA pour que celle-ci l’aide à unifier politiquement, économiquement et militairement l’Europe autour du couple franco-allemand. Nous croyons également que Mitterrand veut s’assurer, au début des années 1980, que la RFA restera ancrée solidement au camp occidental et qu’elle ne glissera pas vers le neutralisme, ce qui doit, selon le président français, permettre à la France d’augmenter son niveau de protection face à l’URSS et accroître son indépendance face aux États-Unis. Enfin, nous croyons que le président socialiste ne tente pas d’empêcher la réunification de l’Allemagne, mais qu’il tente d’en ralentir le processus afin de pouvoir mettre en place l’unité européenne au sein de laquelle il souhaite exercer une influence sur l’Allemagne réunifiée, et à partir de laquelle il prévoit développer sa politique d’après-guerre froide. Ces initiatives doivent permettre à la France d’absorber les contrecoups de la réunification allemande et de sauvegarder ses intérêts nationaux. Dans l’ensemble, la politique allemande de François Mitterrand est en continuité avec la politique allemande développée par le général de Gaulle de 1958 à 1964. Les deux hommes cherchent ainsi à s’appuyer sur la RFA pour créer l’unité européenne afin que celle-ci serve de tremplin à la France pour qu’elle atteigne ses objectifs de grandeur et d’indépendance. Enfin, nous croyons que le discours public du président socialiste peut être utilisé comme source primaire car il renferme une quantité importante d’information, mais son utilisation doit se faire avec précaution car comme tous les discours politiques, il vise d’abord et avant tout à convaincre l’opinion publique du bien fondé des politiques avancées. / This memoir presents the German policy of former French president François Mitterrand from 1981 to 1991 through his public speech. For this purpose, it shows the former president’s position on the role of Germany in building the European community, in the development of the French defence policy, and on the German reunification. It also locates the German policy of Mitterrand by comparing it to Charles de Gaulle’s, as well as it analyses the value of this public speech as a primary source. The main assumption is that François Mitterrand tries, from 1981 to 1991, to lean on the Federal Republic of Germany to achieve the goals of grandeur and independance wished for France by de Gaulle in the 1960’s. We believe that Mitterrand wishes initially to get closer to the FRG in order, along with Germany, to unify Europe politically, economically and militarily around the Franco-German couple. We also believe that Mitterrand wants to make sure, at the beginning of the 1980’s, that the FRG will stay firmly anchored to the West and will not slide towards neutralism, thus allowing, according to the French president, to increase France’s protection towards USSR and independence towards the United States. Finally, we believe that Mitterrand does not try to prevent the German reunification but that he instead tries to slow down the process in order to realize the European unity within which he wishes to exert an influence on the reunified Germany, and from which he envisages his post-cold war policy. These initiatives must allow France to absorb the by-effects of the German reunification and preserve its national interest. Globally, the German policy of François Mitterrand is in continuity with the German policy developed by general de Gaulle from 1958 to 1964. Both men seek to lean on the FRG to create European unity in order to use it as a springboard for the achievement of France’s goals of grandeur and independance. Finally, we believe that Mitterrand’s public speech can be used as primary source because it contains a significant amount of information. But its use must be done with precaution in order to avoid the usual traps provided by these sources: convincing the public opinion of the good of the advanced policies.
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La réunification allemande à Bonn, Washington et Moscou : les mémoires politiques et le processus menant à l'unité de l'Allemange de 1989-1990

Cyr, Frédéric January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le discours miterrandien envers l'Allemagne de 1981 à 1991 : une rhétorique pour la grandeur et l'indépendance de la France

Clermont, Frédéric 08 1900 (has links)
Ce mémoire tente de présenter la politique allemande de François Mitterrand de 1981 à 1991 à travers le discours public du président français. À cette fin, il présente la position du chef d’État socialiste sur le rôle de l’Allemagne dans la construction de l’unité européenne et dans la politique de défense et de sécurité française, ainsi que sur la question de la réunification allemande. Il tente ensuite de situer la politique allemande de François Mitterrand par rapport à celle du général de Gaulle, et de juger de la valeur du discours public du président français comme source primaire. L’hypothèse principale que nous soutenons est que le président socialiste tente, de 1981 à 1991, de s’appuyer sur la République fédérale d’Allemagne pour atteindre les objectifs de grandeur et d’indépendance fixés pour la France par de Gaulle dans les années 1960. Nous croyons qu’il souhaite d’abord se rapprocher de la RFA pour que celle-ci l’aide à unifier politiquement, économiquement et militairement l’Europe autour du couple franco-allemand. Nous croyons également que Mitterrand veut s’assurer, au début des années 1980, que la RFA restera ancrée solidement au camp occidental et qu’elle ne glissera pas vers le neutralisme, ce qui doit, selon le président français, permettre à la France d’augmenter son niveau de protection face à l’URSS et accroître son indépendance face aux États-Unis. Enfin, nous croyons que le président socialiste ne tente pas d’empêcher la réunification de l’Allemagne, mais qu’il tente d’en ralentir le processus afin de pouvoir mettre en place l’unité européenne au sein de laquelle il souhaite exercer une influence sur l’Allemagne réunifiée, et à partir de laquelle il prévoit développer sa politique d’après-guerre froide. Ces initiatives doivent permettre à la France d’absorber les contrecoups de la réunification allemande et de sauvegarder ses intérêts nationaux. Dans l’ensemble, la politique allemande de François Mitterrand est en continuité avec la politique allemande développée par le général de Gaulle de 1958 à 1964. Les deux hommes cherchent ainsi à s’appuyer sur la RFA pour créer l’unité européenne afin que celle-ci serve de tremplin à la France pour qu’elle atteigne ses objectifs de grandeur et d’indépendance. Enfin, nous croyons que le discours public du président socialiste peut être utilisé comme source primaire car il renferme une quantité importante d’information, mais son utilisation doit se faire avec précaution car comme tous les discours politiques, il vise d’abord et avant tout à convaincre l’opinion publique du bien fondé des politiques avancées. / This memoir presents the German policy of former French president François Mitterrand from 1981 to 1991 through his public speech. For this purpose, it shows the former president’s position on the role of Germany in building the European community, in the development of the French defence policy, and on the German reunification. It also locates the German policy of Mitterrand by comparing it to Charles de Gaulle’s, as well as it analyses the value of this public speech as a primary source. The main assumption is that François Mitterrand tries, from 1981 to 1991, to lean on the Federal Republic of Germany to achieve the goals of grandeur and independance wished for France by de Gaulle in the 1960’s. We believe that Mitterrand wishes initially to get closer to the FRG in order, along with Germany, to unify Europe politically, economically and militarily around the Franco-German couple. We also believe that Mitterrand wants to make sure, at the beginning of the 1980’s, that the FRG will stay firmly anchored to the West and will not slide towards neutralism, thus allowing, according to the French president, to increase France’s protection towards USSR and independence towards the United States. Finally, we believe that Mitterrand does not try to prevent the German reunification but that he instead tries to slow down the process in order to realize the European unity within which he wishes to exert an influence on the reunified Germany, and from which he envisages his post-cold war policy. These initiatives must allow France to absorb the by-effects of the German reunification and preserve its national interest. Globally, the German policy of François Mitterrand is in continuity with the German policy developed by general de Gaulle from 1958 to 1964. Both men seek to lean on the FRG to create European unity in order to use it as a springboard for the achievement of France’s goals of grandeur and independance. Finally, we believe that Mitterrand’s public speech can be used as primary source because it contains a significant amount of information. But its use must be done with precaution in order to avoid the usual traps provided by these sources: convincing the public opinion of the good of the advanced policies.
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Identité et mémoire : art contemporain en RDA et dans les nouveaux Länder à partir de 1971 : Lutz Dammbeck, Karla Sachse / Identity and Memory : Contemporary art in the GDR and in the new Länder from 1971 : Lutz Dammbeck, Karla Sachse

Schwabe, Stefanie 30 November 2012 (has links)
Cette thèse propose un regard transitif sur l'art contemporain en RDA des années 1970 et 1980 et dans les nouveaux Länder en s'appuyant sur l'exemple de deux artistes, Lutz Dammbeck et Karla Sachse. Leurs productions artistiques réalisées avant et après la chute du mur de Berlin, reflètent le processus de construction identitaire en RDA et questionnent également la construction de la mémoire collective allemande. Le premier chapitre propose un aperçu des éléments d'histoire qui ont contribué à cette construction identitaire est-allemande qui touchait toute la société. Les artistes présenté-e-s dans le deuxième et troisième chapitre de cette thèse sont exemplaires pour un grand nombre d'artistes pouravoir refusé la doctrine du réalisme socialiste et n’avoir pas attendu la fin de la RDA pour créer des oeuvres pertinentes et subversives. Les années 1989 et 1990, l'année de la chute du mur et l'année de la réunification allemande, représentent bien un tournant géo-politique important, mais ne signifient pas réellement une rupture pour les artistes issu-e-s des scènes alternatives est-allemandes, comme c’est le cas pour Lutz Dammbeck et Karla Sachse / This thesis proposes a transitive view on contemporary art in the GDR in the 1970s and 1980s and in the new Länder based on the example of two artists, and Lutz Dammbeck and Karla Sachse. Their artistic productions performed before and after the fall of the Berlin Wall, reflect the process of identity construction in the GDR and also question the construction of Germany's collective memory. The first chapter provides an overview of the history that contributed to the construction of identity affecting the whole German society. The artists presented in the second and third chapter of this thesis are exemplary for many artists who refused the doctrine of socialist realism and did not wait for the end of the GDR tocreate important and subversive works. The years 1989 and 1990, the year the Berlin Wall fell and the year of German reunification, represent an important geo-political turn, but mean not really an aesthetic rupture for artists from east German alternative scenes as it is the case for Lutz Dammbeck and Karla Sachse
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Frankreich und die "Berliner Republik“ : Wandel nationaler Identität und politische Neuorientierung im vereinigten Deutschland aus Sicht der französischen Presse. / La France et la "République de Berlin" : Evolution de l'identité nationale et réorientation politique en Allemagne unifiée vues par la presse écrite français

Eidam, Elisa 13 June 2012 (has links)
Ledit projet de recherche se propose d'étudier les réactions dans la presse écrite française face à la restructuration identitaire et politique de l'Allemagne unifiée entre 1998 et 2005. Le corpus est composé en premier lieu d'articles provenant de différents quotidiens et hebdomadaires français, mais également d'essais politiques. Afin d'appréhender la notion d'identité nationale dans toute sa complexité, la partie analytique se base sur huit études de cas concernant différents domaines tels que l'unification allemande, l'intégration européenne, la politique de sécurité et la politique mémorielle. A la fin du projet de recherche, une synthèse globale des résultats de l'analyse de presse est proposée. L'objectif de cette étude est de nous éclairer sur l'impact réel qu'a eu la fondation de la „République de Berlin“ sur les relations franco-allemandes. / This thesis investigates the reactions in French written press to the identity restructuring process and political reorientation in reunified Germany during the period between 1998 and 2005. The corpus is mainly constituted by French daily and weekly newspaper articles, but also political essays. In order to capture the notion of ‘national identity' in all its complexity, the analytic part is based on eight case studies in different fields such as ‘German unification', European integration', ‘Security policy' and ‘Memorial Policy'. At the end of this thesis, a global synthesis of the results of the press analysis is proposed. The objective of this study is to elucidate the real impact that the foundation of the „Berlin Republic“ had on the Franco-German relationship.
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Influence et usage de la mémoire dans la vision officielle française de l’Allemagne réunifiée (1989-1995)

Giroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire part du constat que l’histoire et, a fortiori, la mémoire ont été largement sollicitées par le discours officiel français au moment et au lendemain de la réunification allemande. La fin définitive de l’après-guerre et le retour à la souveraineté diplomatique de l’Allemagne suscitent en France des questions qui inquiètent – en raison notamment du souvenir de l’histoire – et raniment la volonté d’encadrer la puissance allemande dans la communauté européenne. Pour comprendre le rôle que la mémoire a pu tenir dans la diplomatie française, l’étude tente d’analyser l’usage que les responsables français ont fait du passé en tant qu’instrument de la politique étrangère et le poids qu’il a représenté dans la vision française de l’unification allemande. Ce mémoire démontre que l’entendement du passé se conforme, sous toutes ses expressions, à la politique européenne de la France. Il atteste également que la France se saisit de ce moment charnière pour structurer un espace européen qui fait écho aux principes universalistes issus de la Révolution française, lesquels doivent être désormais portés par le binôme franco-allemand. L’invention de la tradition et l’usage métaphorique du passé répondent d’une préoccupation politique de réconciliation franco-allemande et accompagnent la mise en place d’un patriotisme historique sur lequel pourront s’établir les identités civique et juridique européennes. La mémoire officielle, qui est entièrement orientée vers la promotion et la justification de l’avenir communautaire, dénature certaines données historiques de manière à exorciser le présent d’un passé encombrant. Les limites de la mémoire officielle se trouvent donc dans cette représentation d’un passé aseptisé; un passé n’étant pas une finalité, mais un moyen déférant à l’intérêt national. / This dissertation analyzes references to history and, a fortiori, to memory in the official French discourse during and after German unification. Partly because of history, the definitive end of the post-war years and the return of German diplomatic sovereignty caused concern in France, and revived the resolve to contain German influence in the European community. In order to understand the role played by memory in French diplomacy, this dissertation assesses how French leaders used the past as an instrument of foreign policy, and to what extent it influenced the French vision of German unification. It shows that the understanding of the past complies, in all its expressions, with France’s European policy. Furthermore, it confirms that France seized this turning point to structure a European space appealing to the universalist principles stemming from the French Revolution, which, it was hoped, would henceforth be carried by the French-German couple. The invention of tradition and the metaphoric use of the past echo a concern to foster Franco-German reconciliation and are essential to the creation of an historical patriotism on which to build a common European civic and legal identity. Entirely oriented towards the promotion and justification of the European future, official memory distorts some historical facts in order to exorcise the present of a cumbersome past. Rather than an end in itself but a means deferring to the national interest, this representation of the past shows the limits of the official memory.
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Influence et usage de la mémoire dans la vision officielle française de l’Allemagne réunifiée (1989-1995)

Giroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire part du constat que l’histoire et, a fortiori, la mémoire ont été largement sollicitées par le discours officiel français au moment et au lendemain de la réunification allemande. La fin définitive de l’après-guerre et le retour à la souveraineté diplomatique de l’Allemagne suscitent en France des questions qui inquiètent – en raison notamment du souvenir de l’histoire – et raniment la volonté d’encadrer la puissance allemande dans la communauté européenne. Pour comprendre le rôle que la mémoire a pu tenir dans la diplomatie française, l’étude tente d’analyser l’usage que les responsables français ont fait du passé en tant qu’instrument de la politique étrangère et le poids qu’il a représenté dans la vision française de l’unification allemande. Ce mémoire démontre que l’entendement du passé se conforme, sous toutes ses expressions, à la politique européenne de la France. Il atteste également que la France se saisit de ce moment charnière pour structurer un espace européen qui fait écho aux principes universalistes issus de la Révolution française, lesquels doivent être désormais portés par le binôme franco-allemand. L’invention de la tradition et l’usage métaphorique du passé répondent d’une préoccupation politique de réconciliation franco-allemande et accompagnent la mise en place d’un patriotisme historique sur lequel pourront s’établir les identités civique et juridique européennes. La mémoire officielle, qui est entièrement orientée vers la promotion et la justification de l’avenir communautaire, dénature certaines données historiques de manière à exorciser le présent d’un passé encombrant. Les limites de la mémoire officielle se trouvent donc dans cette représentation d’un passé aseptisé; un passé n’étant pas une finalité, mais un moyen déférant à l’intérêt national. / This dissertation analyzes references to history and, a fortiori, to memory in the official French discourse during and after German unification. Partly because of history, the definitive end of the post-war years and the return of German diplomatic sovereignty caused concern in France, and revived the resolve to contain German influence in the European community. In order to understand the role played by memory in French diplomacy, this dissertation assesses how French leaders used the past as an instrument of foreign policy, and to what extent it influenced the French vision of German unification. It shows that the understanding of the past complies, in all its expressions, with France’s European policy. Furthermore, it confirms that France seized this turning point to structure a European space appealing to the universalist principles stemming from the French Revolution, which, it was hoped, would henceforth be carried by the French-German couple. The invention of tradition and the metaphoric use of the past echo a concern to foster Franco-German reconciliation and are essential to the creation of an historical patriotism on which to build a common European civic and legal identity. Entirely oriented towards the promotion and justification of the European future, official memory distorts some historical facts in order to exorcise the present of a cumbersome past. Rather than an end in itself but a means deferring to the national interest, this representation of the past shows the limits of the official memory.
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Identité et mémoire : art contemporain en RDA et dans les nouveaux Länder à partir de 1971 : Lutz Dammbeck, Karla Sachse

Schwabe, Stefanie 30 November 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse propose un regard transitif sur l'art contemporain en RDA des années 1970 et 1980 et dans les nouveaux Länder en s'appuyant sur l'exemple de deux artistes, Lutz Dammbeck et Karla Sachse. Leurs productions artistiques réalisées avant et après la chute du mur de Berlin, reflètent le processus de construction identitaire en RDA et questionnent également la construction de la mémoire collective allemande. Le premier chapitre propose un aperçu des éléments d'histoire qui ont contribué à cette construction identitaire est-allemande qui touchait toute la société. Les artistes présenté-e-s dans le deuxième et troisième chapitre de cette thèse sont exemplaires pour un grand nombre d'artistes pouravoir refusé la doctrine du réalisme socialiste et n'avoir pas attendu la fin de la RDA pour créer des oeuvres pertinentes et subversives. Les années 1989 et 1990, l'année de la chute du mur et l'année de la réunification allemande, représentent bien un tournant géo-politique important, mais ne signifient pas réellement une rupture pour les artistes issu-e-s des scènes alternatives est-allemandes, comme c'est le cas pour Lutz Dammbeck et Karla Sachse

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