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Le relationnisme philosophique de Georg Simmel : une idée de la culture / Georg Simmel's philosophical relationism : an idea of culture

Amat, Matthieu 25 November 2016 (has links)
Nous proposons de lire l'oeuvre de Georg Simmel comme un effort de détermination d'une idée de culture adéquate à une modernité dominée par des processus d'objectivation et de fonctionnalisation, et où s'observe partout la « discordance » entre la « culture subjective » et la « culture objective ». Simmel n'est pas seulement un Kulturkritiker, qui s'arrêterait à la description de ce problème, mais un philosophe de la culture, qui cherche à déterminer la structure ontologique et axiologique du problème et à le résoudre. Cet effort se présente comme l'accomplissement d'un programme théorique, nommé « relativisme », et que nous rebaptisons « relationnisme philosophique ». Ce relationnisme voudrait, après avoir rendu compte de la validité propre aux formations culturelles – dans la forme d'une théorie de la valeur et de l'esprit objectif –, l'élever à une validité de second ordre, individuelle et vivante : à la forme de la culture individuelle. Ce faisant, le relationnisme se constitue en « concept cosmique » de philosophie, non sous la forme d'un système, mais d'une métaphysique fonctionnelle, tandis que l'opposition statique du sujet et de l'objet est dépassée en direction d'une « objectivation du sujet » et d'une « désubjectivation de l'individuel ». / We suggest reading Georg Simmel's work as an endeavor to determine an idea of culture that is suitable to a modernity dominated by objectivation and functionalization processes, and where one can observe the "discrepancy" between the "subjective culture" and the "objective culture". Simmel is not only a Kulturkritiker, who would merely describe this problem, he is also a philosopher of culture, who seeks to determine the ontological and axiological structure of the problem and solve it. This effort appears as the fulfillment of a theoretical program known as "relativism", which we rename "philosophical relationism". This relationism, after having accounted for the specific validity of the cultural formations - within the form of a theory of value and objective spirit -, aims at promoting it to a second order validity, individual and alive, that is: to the form of individual culture. Thus, relationism constitutes itself as a "cosmic concept" of philosophy, which doesn't take the form of a system, but that of a functional metaphysics, while the static opposition between the subject and the object is outmatched towards an "objectivation of the subject" and a "desubjectivation of the individual".
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Une reconstruction éliasienne de la théorie d'Alexander Wendt : pour une approche relationniste de la politique internationale

Lacassagne, Aurélie 09 January 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une démonstration critique de l'œuvre d'Alexander Wendt. On mettra en lumière la généalogie de sa pensée qui se retrouve en théorie sociale et en relations internationales. Ainsi, on peut dire que la théorie wendtienne, loin d'apporter une réponse au traditionnel débat agency-structure, met en réalité en évidence le problème fondamental posé par les termes mêmes de ce débat. La volonté affichée par Wendt de synthétiser les deux approches co-déterministes que sont le constructivisme et le réalisme critique, démontre notamment l'impasse théorique d'un tel mode de pensée. Une reformulation sémantique des termes du débat apparaît nécessaire d'où le développement de concepts tels que le processus, relations, habitus et configurations issus de la pensée éliasienne.<br /> Nous proposons également de faire une reconstruction de la théorie wendtienne qui se fonde en grande partie sur la sociologie relationniste ou sociologie des processus développée par Norbert Elias. Une approche relationniste permet de mettre l'emphase sur caractère processuel de toute réalité sociale. On évite ainsi les réifications si courantes dans la pensée sociale traditionnelle. Par ailleurs, afin de comprendre et d'expliquer la politique internationale, il faut travailler sur la longue durée, seule façon de voir l'évolution (souvent lente) des processus sociaux. Enfin, avec Elias, nous réintégrons une dimension psychologique à la compréhension de la politique internationale au travers du concept d'habitus qui se révèle à la fois social et psychique. Il y a donc une discussion sur le rôle des émotions, des affects et de leur autocontrôle dans le rapport à la violence sur la scène internationale. L'ultime objectif s'avère d'humaniser, de socialiser et d'historiciser les théories des relations internationales.

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