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1

Intimité et individualité au pensionnat : la pratique du journal intime de Léandre-Coyteux Prévost 1869-1870

Deschênes, Amélie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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"Frères, nous sommes libres" : la microculture du pouvoir, les paradoxes, la résistance-complicité et les politiques du soi en Roumanie socialiste

Bealcovschi, Simona Elena January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le "mauvais corps", entre médecine, psychologie et normativité : essai de problématisation sociologique du transsexualisme

Dubois, Dominic January 2008 (has links) (PDF)
Le transsexualisme, ou trouble de l'identité de genre, équivaut en psychiatrie à un trouble mental caractérisé par un sentiment d'inconfort face à son sexe et le souhait que celui-ci soit médicalement transformé pour correspondre au sexe opposé. Dans le langage commun, le transsexualisme réfère à une "femme qui a un corps d'homme" ou encore l'inverse, un homme qui a "un corps de femme". Le transsexualisme renvoie donc à un mauvais corps, celui de l'homme dans un corps de femme ou celui d'une femme dans un corps d'homme, ainsi qu'à une catégorie médicale, définie par Harry Benjamin en 1954. Si l'objet médical apparaît comme réponse à un besoin individuel, à la revendication d'un changement de sexe, comment penser la nature de la réponse? Il s'agira dans cet essai de démontrer comment la clinique du transsexualisme doit être pensée comme mise en forme d'une problématique de l'ambiguïté sexuelle, c'est-à-dire comme procès de normalisation de l'identité sexuelle transsexuelle en fonction des représentations savantes de l'homme et de la femme. Ces deux schèmes d'intelligibilité, l'homme et la femme, viennent régler ce que la médecine et la psychologie ont pu dire et faire de l'énoncé du mauvais corps, en l'inscrivant comme forme pathologique par rapport à la norme. Nous présentons dans cet essai différentes formes de problématique de l'ambiguïté sexuelle: le troisième sexe, les psychiatrisations des perversions et le trouble de l'identité de genre. Notre analyse des constructions discursives auxquelles réfèrent ces problématiques, distinctes quant à leurs contenus mais similaires dans la relation qui les définit à la normalité, permet de comprendre la spécificité de la problématique du transsexualisme, entre genre et sexe, entre nature et culture, entre normal et pathologique. Ces diverses dichotomies permettent à la médecine et la psychologie de réaffirmer le caractère naturel, voire ontologique, des sexes et de leurs différences, tout en transformant le phénomène transsexuel en clinique de normalisation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Transsexualisme, Identité sexuelle, Individualité, Normes, Médecine, Psychologie.
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Intimité et individualité au pensionnat : la pratique du journal intime de Léandre-Coyteux Prévost 1869-1870

Deschênes, Amélie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Du déploiement de l'individualité ou genèse du singulier par le vouloir-exister

Gagnon, Rémy 11 April 2018 (has links)
Cette thèse s'articule autour de deux questions. La compréhension que nous avons de la subjectivité épuise-t-elle le sens de l'individualité ? Et si ce n'est pas le cas, se pourrait-il que l'individualité (comprise à partir d'une lecture phénoménologique) soit un élément irréductible, et donc concret, de la pensée qui s'interroge sur les rapports que l'homme entretient avec le monde ? De ces interrogations se dégage un objectif double. Tout en cultivant notre attache particulière à la méthode phénoménologique (celle développée par Edmund Husserl), il s'agit de déterminer si la structure de l'individualité doit être ancrée beaucoup plus profondément au niveau ontique et, ainsi, de voir ce qui la fait être de manière irréductible. Nous pourrions présenter cette recherche comme une incursion au cœur de l'essence (concrète) de l'individualité, ayant pour objectif de dégager une ontologie du monde réel. Ce programme ne peut cependant avoir de sens que sur le fond, pour ainsi dire, de la restauration, qui consiste en un effort de requalification de l'individualité. Pour être crédible, cet effort doit se projeter dans deux directions : d'un côté, il s'agit de rejoindre le problème de la subjectivité ; de l'autre, de s'attacher à relever et à décrire l'essence de l'individualité. Dans le premier cas, la démarche est de nature critique. Dans le second cas, elle prend la forme d'une exploration, d'une recherche du fondement. Sur la question de la subjectivité, la démarche critique consiste essentiellement à mettre en doute la corrélation formalisée entre le moi et le flux de conscience et, ce faisant, la capacité de cette relation de nous informer sur la nature concrète des choses. Nous savons quelle impulsion la psychologie scientifique a donné à cette conception de l'identité du moi, conception en partie reprise par la phénoménologie (husserlienne notamment). C'est en inscrivant la conscience dans une structure stable où les différents vécus pouvaient se présenter comme des entités autonomes et invariables que l'on a pu traduire le réel en décomposant les vécus en représentations. Or comme cette thèse veut le montrer, cette manière (transcendantale) de concevoir notre rapport au monde nous reconduit à un sujet désincarné qui nous dit bien peu de choses sur la nature concrète de l'individualité, pour ne pas dire qu'il la disqualifie. Du moins, il semble que la subjectivité, à qui appartient le flux unitaire de la conscience, obstrue la voie qui conduit aux conditions de possibilité de l'individualité, de ce qui est pourtant senti comme indubitable. Là se situe l'enjeu de cette recherche : reprendre l'étude de la subjectivité afin de relever un fait primitif, un fait qui, s'il peut être amené sous la lumière du jour, doit pouvoir nous révéler un existant qui possède en soi sa raison d'être et le principe de sa propre existence, c'est-dire l'individu.
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L'angoisse chez Søren Kierkegaard et chez Martin Heidegger

Harvey, Sophie 07 1900 (has links)
L’angoisse est un état qui se distingue des autres sentiments en ce qu’elle ne survient devant rien de précis, mais plutôt devant notre vie en général. Mais que signifie-t-elle? Pourquoi fait-elle jour? Le présent mémoire vise à mieux comprendre le phénomène de l’angoisse à travers les conceptions de deux philosophes s’y étant attardé de façon importante : Søren Kierkegaard et Martin Heidegger. Il cherche à cerner ce que ces deux conceptions, malgré des divergences importantes, peuvent amener comme éclairage philosophique à ce phénomène proprement humain. En fait, leurs conceptions philosophiques respectives de l’angoisse transforment – permettent un autre regard -, sur la question. Ils ne font pas vraiment état des effets psychologiques de l’angoisse, mais plutôt de ce que cette dernière peut permettre d’ouvrir comme perspective de saisie de l’être humain. Effectivement, l’angoisse, comme situation affective, permet d’atteindre l’être humain d’une façon plus profonde et plus originaire que ne le ferait n’importe quelle science. Elle permet de se positionner au cœur de ce qui constitue l’être humain, qui est une synthèse entre deux éléments contraires (l’âme et le corps, l’ontique et l’ontologique, etc.), dévoilant ainsi l’existence de l’être humain d’une manière toute particulière. De plus, l’angoisse assure aussi le lien entre le possible et le réel, mettant ainsi l’être humain devant un enjeu fondamental de sa condition, à savoir son possible, son destin. / Anxiety differs from other feelings and states in that it is not directed at anything specific, but rather towards life in general. But what does anxiety mean? Why does it come about? The present dissertation seeks to understand anxiety through the works of two philosophers who dealt with these questions at length: Søren Kierkegaard and Martin Heidegger. By taking into account various similarities and differences between these two conceptions, we will come to a better understanding of how philosophy has clarified this peculiarly human phenomenon. In fact, one might say that these conceptions have served to transform — or to open a new perspective on — the question of anxiety. No longer is anxiety treated in terms of its psychological effects, but rather in terms of how it allows us to grasp something essentially human. Anxiety, qua affective situation, provides a privileged mode of access to the human being, deeper and more original than any purely scientific approach. Anxiety thrusts us into the heart of what is constitutive of the human being: a synthesis of two contrary factors (be it the soul and the body or the ontic and the ontological). Moreover, anxiety articulates the connection between possibility and reality, placing the individual before a fundamental feature of human existence: one’s own most possibilities, or destiny.
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Refonder le lieu théâtral et la position spectatrice entre fiction et réalité : Vilar, Brook, Grotowski et Kantor face au public

Joli-Coeur, Sophie January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La construction de l'individualité chez les jeunes adultes québécois continuant à habiter au domicile familial

Bélanger, Maxime January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur le phénomène des jeunes adultes (20-29 ans) ayant terminé les études, occupant un emploi mais continuant à vivre chez leurs parents. Les recherches sur la cohabitation des jeunes adultes avec leurs parents, qui viennent surtout d'Europe, se sont principalement intéressées aux jeunes étudiants. Elles tendent à soutenir que le contexte actuel serait caractérisé par une libéralisation des moeurs familiales et par une marge de liberté accrue des acteurs. Cela favoriserait des relations familiales plus ouvertes à la négociation et permettrait aux jeunes adultes de se construire eux-mêmes et ainsi, de disposer d'une plus grande autonomie au sein du domicile familial (Cicchelli, 2001; de Singly, 2000; Maunaye et Molgat, 2003c; Ramos, 2002). Contrairement à ces études, la nôtre se centre plus spécifiquement sur le cas des jeunes adultes qui ne sont plus étudiants, mais qui occupent plutôt un emploi, c'est-à-dire qui disposent théoriquement de moyens financiers nécessaires pour quitter le domicile familial. Le but de cette recherche qualitative est d'analyser, d'une part, comment ces jeunes adultes arrivent (ou non) à répondre aux exigences de cet impératif d'autonomie qui leur est assigné socialement, dans un rapport contraint par une certaine dépendance et l'observance de certaines normes parentales, et, d'autre part, d'étudier l'impact de cette cohabitation prolongée sur les relations intergénérationnelles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autonomie, Cohabitation, Jeune adulte, Relation entre générations.
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Identité, religion et traditions culturelles : le cas d'une jeune femme Banjara du Karnataka en Inde

Beaudet, Jacinthe 01 1900 (has links) (PDF)
Inspirée d'un premier séjour en Inde, la présente étude a comme questionnement général l'articulation de l'individualité au sein de la collectivité. L'objectif de notre recherche est plus précisément de comprendre comment la religion et les traditions culturelles pratiquées sur le sous-continent indien prennent place dans l'identité personnelle de l'individu. Dans cette optique est explorée l'identité d'une jeune femme banjara à l'aube de son mariage selon la méthodologie ethnographique. Ancienne tribu nomade aujourd'hui sédentarisée, les Banjaras de la province du Karnataka sont encore aujourd'hui fortement ostracisés par la population indienne en regard de leur origine culturelle. Les dimensions ciblées à l'observation de notre répondante sont le genre, l'identité culturelle, les pratiques et croyances religieuses, et l'état civil. Notre approche du phénomène identitaire se veut constructiviste. En cela, les travaux des sociologues Georges Herbert Mead, Max Weber et Peter Berger et Thomas Luckmann servent d'assises à la compréhension de notre objet. Notre cadre théorique, quant à lui, s'inspire principalement des travaux des anthropologues Luce Des Aulniers et Tzvetan Todorov concernant le rôle de l'altérité dans la construction identitaire. Le modèle de socialisation développé par Berger et Luckmann vient finalement appuyer l'interprétation de nos données recueillies en terrain. Notre expérience de l'Autre s'avère notamment l'occasion de réfléchir sur le rôle de la communication dans la compréhension du phénomène identitaire. Dans le contexte du vivre-ensemble contemporain, plus particulièrement de la cohabitation problématique d'appartenances culturelles et religieuses diverses, la réalisation et la diffusion d'un court documentaire ethnographique inspirée de la démarche de l'anthropologie visuelle partagée nous apparaît en cela non seulement une démarche communicationnelle créatrice et un médium permettant la co-construction et la transmission de la connaissance anthropologique, mais également un outil capable de favoriser la mobilisation d'individus vers de nouvelles formes de collectivités plus respectueuses de la différence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Inde, identité, religion, traditions culturelles, anthropologie visuelle
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L'angoisse chez Søren Kierkegaard et chez Martin Heidegger

Harvey, Sophie 07 1900 (has links)
L’angoisse est un état qui se distingue des autres sentiments en ce qu’elle ne survient devant rien de précis, mais plutôt devant notre vie en général. Mais que signifie-t-elle? Pourquoi fait-elle jour? Le présent mémoire vise à mieux comprendre le phénomène de l’angoisse à travers les conceptions de deux philosophes s’y étant attardé de façon importante : Søren Kierkegaard et Martin Heidegger. Il cherche à cerner ce que ces deux conceptions, malgré des divergences importantes, peuvent amener comme éclairage philosophique à ce phénomène proprement humain. En fait, leurs conceptions philosophiques respectives de l’angoisse transforment – permettent un autre regard -, sur la question. Ils ne font pas vraiment état des effets psychologiques de l’angoisse, mais plutôt de ce que cette dernière peut permettre d’ouvrir comme perspective de saisie de l’être humain. Effectivement, l’angoisse, comme situation affective, permet d’atteindre l’être humain d’une façon plus profonde et plus originaire que ne le ferait n’importe quelle science. Elle permet de se positionner au cœur de ce qui constitue l’être humain, qui est une synthèse entre deux éléments contraires (l’âme et le corps, l’ontique et l’ontologique, etc.), dévoilant ainsi l’existence de l’être humain d’une manière toute particulière. De plus, l’angoisse assure aussi le lien entre le possible et le réel, mettant ainsi l’être humain devant un enjeu fondamental de sa condition, à savoir son possible, son destin. / Anxiety differs from other feelings and states in that it is not directed at anything specific, but rather towards life in general. But what does anxiety mean? Why does it come about? The present dissertation seeks to understand anxiety through the works of two philosophers who dealt with these questions at length: Søren Kierkegaard and Martin Heidegger. By taking into account various similarities and differences between these two conceptions, we will come to a better understanding of how philosophy has clarified this peculiarly human phenomenon. In fact, one might say that these conceptions have served to transform — or to open a new perspective on — the question of anxiety. No longer is anxiety treated in terms of its psychological effects, but rather in terms of how it allows us to grasp something essentially human. Anxiety, qua affective situation, provides a privileged mode of access to the human being, deeper and more original than any purely scientific approach. Anxiety thrusts us into the heart of what is constitutive of the human being: a synthesis of two contrary factors (be it the soul and the body or the ontic and the ontological). Moreover, anxiety articulates the connection between possibility and reality, placing the individual before a fundamental feature of human existence: one’s own most possibilities, or destiny.

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