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Essays on environmental and development economics : Public policy, resource prices and global warming

Sahlén, Linda January 2008 (has links)
This thesis consists of four self-contained papers, which are all related to important environmental and natural resource issues from a developing country perspective. Paper [I] concerns climate policy and addresses the potential welfare gains of introducing a technology transfer from the North (richer countries) to the South (poorer countries). The results largely depend on the environmental policy in the pre- transfer resource allocation and, in particular, whether or not the South abates its own emissions. Although the technology transfer is desirable from a “global social planners” point of view, it is shown that the incentives to use the transfer might be weak from the perspective of the North; at least if the South takes its own measures to reduce emissions. However, in a situation where the North is committed to emission reductions according to the Kyoto protocol, it is shown that there will clearly be incentives for the North to use the technology transfer in order to reach the Kyoto targets in a more cost efficient way. In paper [II], the likely effects of an environmental fiscal reform in Namibia are examined by means of a Computable General Equilibrium (CGE) model. The results show that the introduction of an environmental fiscal reform, where taxes on natural and environmental resources (fish rents, energy and water) are recycled to the economy in different ways might give rise to benefits in terms of GDP, employment and income distribution, in addition to the environmental impacts. While subsidizing unskilled labour would give the most favourable outcome in terms of real GDP and employment impacts, a decrease in food taxes might be a more interesting option if GDP, employment, income distribution and environmental impacts are considered in combination. In paper [III], the value of irrigation water used for different crop alternatives in the Hardap region in Southern Namibia is estimated. The study finds that all crop alternatives that farmers in the region currently choose among, will remain financially viable after the planned increases in user charges. However, if full cost recovery is to be achieved in the future, substantial changes in the agricultural production will most likely be necessary. The method is also extended in order to study the potential effects on total water demand if further increases in user charges are implemented. Paper [IV] studies the likely effects of exogenous international food and oil price shocks on the Namibian economy. This is particularly interesting in a country where the domestic consumption of corn and petroleum products is mainly imported, and where water scarcity represents one of the main constraints to agricultural expansion. The results show that the Namibian economy will be negatively affected from the food and oil price increases, and water scarcity will further limit the ability of the economy to adapt to international oil and food price increases.
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Hotelling's Rule and Oil Prices : An Empirical Study / Hotelling's regel och oljepris : En empirisk studie

Ukani, Uzair January 2016 (has links)
The general objective has been to empirically analyze how Hotelling’s rule has predicted the crude oil price development over the last 100 years and if the rule can work as a framework to predict future resource prices. Hotelling’s rule has been perceived as both outdated and relevant, during the last decades. A general conclusion from previous research is that resource price-developments are more complex than Hotelling assumed. The analysis has been conducted through tests of variables like interest rates, time spans and extraction costs. The assumption of exponentially increasing resource prices has also been tested. The results obtained show no general support for the Hotelling-rule’s ability to predict future prices. Our results suggest that Hotelling’s rule predicts price paths best when a short time-span is considered. The lack of predictability is due to high volatility in resource prices, something Hotelling’s rule does not account for. / Det övergripande syftet med denna studie har varit att empiriskt analysera hur väl Hotellings-regel har förutspått utvecklingen av oljepriset under de senaste hundra åren och om regeln fungerar som ett bra ramverk för att kunna förutspå framtida resurspriser. Hotellings-regel har uppfattats som både föråldrad samt relevant under de senaste årtiondena. En generell slutsats från tidigare forskning är dock att utvecklingen av icke-förnybara resursers priser är mer komplex än vad Hotelling antog. Analysen har utförts genom tester av olika variabler som räntor, tidsperioder och utvinningskostnader. Antagandet om exponentiellt ökande resurspriser har också testats. De erhållna resultaten ger inget generellt stöd för Hotelling regeln som ett bra ramverk till att förutspå framtida resurspriser. Resultaten tyder dock på att Hotellings-regel förutspår framtida priser bäst när en kortare tidsperiod antas. Modellens avsaknad av förutsägbarhet är sannolikt på grund av volatilitet i resurspriser, något som Hotellings-regel inte tar fullt hänsyn till.
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Trois essais en économie des ressources naturelles

Atewamba, Calvin 05 1900 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles en économie des ressources naturelles non-renouvelables. Nous considérons tour à tour les questions suivantes : le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables ; le taux d’extraction optimal et le prix des res- sources non-renouvelables et durables. Dans le premier article, nous estimons le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables en utilisant les données sur le coût moyen d’extraction pour obtenir une approximation du coût marginal. En utilisant la Méthode des Moments Généralisés, une dynamique du prix de marché derivée des conditions d’optimalité du modèle d’Hotelling est estimée avec des données de panel de 14 ressources naturelles non-renouvelables. Nous trouvons des résultats qui tendent à soutenir le modèle. Premièrement, le modèle d’Hotelling exhibe un bon pouvoir explicatif du prix de marché observé. Deuxièmement, bien que le prix estimé présente un changement structurel dans le temps, ceci semble n’avoir aucun impact significatif sur le pouvoir explicatif du modèle. Troisièmement, on ne peut pas rejeter l’hypothèse que le coût marginal d’extraction puisse être approximé par les données sur le coût moyen. Quatrièmement, le prix in-situ estimé en prenant en compte les changements structurels décroît ou exhibe une forme en U inversé dans le temps et semble être corrélé positivement avec le prix de marché. Cinquièmement, pour neuf des quatorze ressources, la différence entre le prix in-situ estimé avec changements structurels et celui estimé en négligeant les changements structurels est un processus de moyenne nulle. Dans le deuxième article, nous testons l’existence d’un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal des ressources non-renouvelables est linéaire par rapport au stock de ressource en terre. Tout d’abord, nous considérons un modèle d’Hotelling avec une fonction de demande variant dans le temps caractérisée par une élasticité prix constante et une fonction de coût d’extraction variant dans le temps caractérisée par des élasticités constantes par rapport au taux d’extraction et au stock de ressource. Ensuite, nous mon- trons qu’il existe un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal est proportionnel au stock de ressource si et seulement si le taux d’actualisation et les paramètres des fonctions de demande et de coût d’extraction satisfont une relation bien précise. Enfin, nous utilisons les données de panel de quatorze ressources non-renouvelables pour vérifier empiriquement cette relation. Dans le cas où les paramètres du modèle sont supposés invariants dans le temps, nous trouvons qu’on ne peut rejeter la relation que pour six des quatorze ressources. Cependant, ce résultat change lorsque nous prenons en compte le changement structurel dans le temps des prix des ressources. En fait, dans ce cas nous trouvons que la relation est rejetée pour toutes les quatorze ressources. Dans le troisième article, nous étudions l’évolution du prix d’une ressource naturelle non-renouvelable dans le cas où cette ressource est durable, c’est-à-dire qu’une fois extraite elle devient un actif productif détenu hors terre. On emprunte à la théorie de la détermination du prix des actifs pour ce faire. Le choix de portefeuille porte alors sur les actifs suivant : un stock de ressource non-renouvelable détenu en terre, qui ne procure aucun service productif ; un stock de ressource détenu hors terre, qui procure un flux de services productifs ; un stock d’un bien composite, qui peut être détenu soit sous forme de capital productif, soit sous forme d’une obligation dont le rendement est donné. Les productivités du secteur de production du bien composite et du secteur de l’extraction de la ressource évoluent de façon stochastique. On montre que la prédiction que l’on peut tirer quant au sentier de prix de la ressource diffère considérablement de celle qui découle de la règle d’Hotelling élémentaire et qu’aucune prédiction non ambiguë quant au comportement du sentier de prix ne peut être obtenue de façon analytique. / This thesis consists of three articles on the economics of nonrenewable natural re- sources. We consider in turn the following questions : the in-situ price of nonrenewable natural resources, the optimal extraction rate and the price of nonrenewable and durable resources. The purpose of the first article is to estimate the in-situ price of nonrenewable natural resources using average extraction cost data as proxy for marginal cost. Using the regime switching Generalized Method of Moments (GMM) estimation technique, a dynamic of the market price derived from the first-order conditions of a Hotelling model is estimated with panel data for fourteen nonrenewable resources. I find results that tend to support the model. First, it appears that the Hotelling model has a good explanatory power of the observed market prices. Second, although the fitted prices seem to be subject to structural breaks over time, this does not have a significant impact on the explanatory power of the model. Third, there is evidence that marginal extraction cost can be approximated by average extraction cost data. Fourth, when allowing for structural breaks, estimates of the in-situ price decrease or exhibit an inverted U-shape over time and appear to be positively correlated with the market price. Fifth, for nine of the fourteen minerals, the difference between the estimates of the in-situ price with and without allowing for structural breaks is a zero-mean process.
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Trois essais en économie des ressources naturelles

Atewamba, Calvin 05 1900 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles en économie des ressources naturelles non-renouvelables. Nous considérons tour à tour les questions suivantes : le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables ; le taux d’extraction optimal et le prix des res- sources non-renouvelables et durables. Dans le premier article, nous estimons le prix in-situ des ressources naturelles non-renouvelables en utilisant les données sur le coût moyen d’extraction pour obtenir une approximation du coût marginal. En utilisant la Méthode des Moments Généralisés, une dynamique du prix de marché derivée des conditions d’optimalité du modèle d’Hotelling est estimée avec des données de panel de 14 ressources naturelles non-renouvelables. Nous trouvons des résultats qui tendent à soutenir le modèle. Premièrement, le modèle d’Hotelling exhibe un bon pouvoir explicatif du prix de marché observé. Deuxièmement, bien que le prix estimé présente un changement structurel dans le temps, ceci semble n’avoir aucun impact significatif sur le pouvoir explicatif du modèle. Troisièmement, on ne peut pas rejeter l’hypothèse que le coût marginal d’extraction puisse être approximé par les données sur le coût moyen. Quatrièmement, le prix in-situ estimé en prenant en compte les changements structurels décroît ou exhibe une forme en U inversé dans le temps et semble être corrélé positivement avec le prix de marché. Cinquièmement, pour neuf des quatorze ressources, la différence entre le prix in-situ estimé avec changements structurels et celui estimé en négligeant les changements structurels est un processus de moyenne nulle. Dans le deuxième article, nous testons l’existence d’un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal des ressources non-renouvelables est linéaire par rapport au stock de ressource en terre. Tout d’abord, nous considérons un modèle d’Hotelling avec une fonction de demande variant dans le temps caractérisée par une élasticité prix constante et une fonction de coût d’extraction variant dans le temps caractérisée par des élasticités constantes par rapport au taux d’extraction et au stock de ressource. Ensuite, nous mon- trons qu’il existe un équilibre dans lequel le taux d’extraction optimal est proportionnel au stock de ressource si et seulement si le taux d’actualisation et les paramètres des fonctions de demande et de coût d’extraction satisfont une relation bien précise. Enfin, nous utilisons les données de panel de quatorze ressources non-renouvelables pour vérifier empiriquement cette relation. Dans le cas où les paramètres du modèle sont supposés invariants dans le temps, nous trouvons qu’on ne peut rejeter la relation que pour six des quatorze ressources. Cependant, ce résultat change lorsque nous prenons en compte le changement structurel dans le temps des prix des ressources. En fait, dans ce cas nous trouvons que la relation est rejetée pour toutes les quatorze ressources. Dans le troisième article, nous étudions l’évolution du prix d’une ressource naturelle non-renouvelable dans le cas où cette ressource est durable, c’est-à-dire qu’une fois extraite elle devient un actif productif détenu hors terre. On emprunte à la théorie de la détermination du prix des actifs pour ce faire. Le choix de portefeuille porte alors sur les actifs suivant : un stock de ressource non-renouvelable détenu en terre, qui ne procure aucun service productif ; un stock de ressource détenu hors terre, qui procure un flux de services productifs ; un stock d’un bien composite, qui peut être détenu soit sous forme de capital productif, soit sous forme d’une obligation dont le rendement est donné. Les productivités du secteur de production du bien composite et du secteur de l’extraction de la ressource évoluent de façon stochastique. On montre que la prédiction que l’on peut tirer quant au sentier de prix de la ressource diffère considérablement de celle qui découle de la règle d’Hotelling élémentaire et qu’aucune prédiction non ambiguë quant au comportement du sentier de prix ne peut être obtenue de façon analytique. / This thesis consists of three articles on the economics of nonrenewable natural re- sources. We consider in turn the following questions : the in-situ price of nonrenewable natural resources, the optimal extraction rate and the price of nonrenewable and durable resources. The purpose of the first article is to estimate the in-situ price of nonrenewable natural resources using average extraction cost data as proxy for marginal cost. Using the regime switching Generalized Method of Moments (GMM) estimation technique, a dynamic of the market price derived from the first-order conditions of a Hotelling model is estimated with panel data for fourteen nonrenewable resources. I find results that tend to support the model. First, it appears that the Hotelling model has a good explanatory power of the observed market prices. Second, although the fitted prices seem to be subject to structural breaks over time, this does not have a significant impact on the explanatory power of the model. Third, there is evidence that marginal extraction cost can be approximated by average extraction cost data. Fourth, when allowing for structural breaks, estimates of the in-situ price decrease or exhibit an inverted U-shape over time and appear to be positively correlated with the market price. Fifth, for nine of the fourteen minerals, the difference between the estimates of the in-situ price with and without allowing for structural breaks is a zero-mean process.

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