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La région du Jari, un laboratoire en Amazonie

Greissing, Anna 24 March 2012 (has links) (PDF)
Ce travail étudie les composants de l'évolution territoriale et socio-économique de la région du Jari, située au nord de l'Amazonie brésilienne, en identifiant les différents processus de transformation ainsi que les structures spatiales actuelles. Longtemps à l'écart des dynamiques nationales du peuplement et du développement, celle-ci connait, au XXe siècle, un développement socioéconomique en deux étapes : Le premier, au début du siècle, à partir d'une occupation conditionnée par l'extractivisme (exploitation de ressources naturelles de la forêt, comme le caoutchouc ou la noix du Brésil), et organisée autour d'un latifundiaire sur environ 2 millions d'hectares. Le deuxième, plus important, à la fin des années 1960, à partir de l'installation, sur ce même territoire, d'une grande entreprise agro-industrielle, le " projet Jari ", par l'entrepreneur et multimillionnaire Américain D.K. Ludwig, qui visait à la production de la cellulose à grande échelle, et entraînait la construction d'une première infrastructure urbaine et industrielle dans une région de forêt primaire jusque-là intacte. Désormais indissociablement liées, les transformations socioéconomiques et territoriales de la région du Jari se sont depuis produites en tant qu'influence ou interaction directe avec l'évolution du projet Jari. Celui-ci, toujours en fonction dans la région aujourd'hui, a lui-même connu des transformations significatives depuis son installation en 1967: fortement polémiquée pour la non rentabilité économique, l'impact environnemental, et le gaspillage en ressources humaines de ses activités d'agrobusiness, le projet Jari du XXIe siècle émerge aujourd'hui, sous une nouvelle gestion (Orsa), comme une entreprise viable, certifiée, et pionnière en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises en contexte amazonien. Les nouvelles stratégies territoriales développées par celle-ci et basées dans un discours de responsabilité sociale et environnementale des entreprises, ont permis à la Jari non seulement de conquérir une place stable sur le marché national et international de la cellulose, mais aussi à atténuer une conflit foncier de long date dans la région du Jari, qui a durablement marqué les relations entre l'entreprise, le gouvernement et les populations locales, dont plusieurs ont été déplacées de leurs terres lors de la transformation de larges parties de forêt primaire en plantations d'eucalyptus. La création, par la " nouvelle " entreprise, d'une Fondation sociale, censée de mettre en œuvre des petits projets socio-économiques dans la région, a en outre permis d'avancer le processus d'intégration territoriale visant à inclure enfin les communautés locales et les acteurs politiques à la gestion régionale et à l'utilisation des ressources, jusque-là monopolisée par l'entreprise. Sans être achevé, ce processus forme aujourd'hui la base solide pour une transformation " durable " du Jari, d'une vieille "enclave " économique de l'Américain à une région intégrée dont le potentiel est partagé parmi ses habitants.
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Commercialisation de Microfinance : comment les Institutions de Microfinance (IMFs) peut attirer les investisseurs ? / Commercialization of Microfinance : How Microfinance Institutions (MFIs) can attract investors?

Amin Azmat, Najma 23 October 2017 (has links)
Cette recherche examine le lien entre la Responsabilité Sociale d’Enterprise (RSE) des Institutions de Microfinance (IMFs) et les investisseurs étrangers (F.Is) dans le contexte où la micro finance commercialisée a un double objectif (DBL). Le cadre théorique et conceptuel de cette étude comprend la théorie de l'agence, la théorie des parties prenantes, la théorie de la dépendance aux ressources et le concept d'Investissement Socialement Responsable (ISR). L'étude empirique est basée sur un processus en deux étapes, une première étude qualitative exploratoire réalisée à travers des entretiens semi-directif avec 9 gestionnaires de fonds (ISR) afin de bien comprendre le sujet et d'enrichir les théories et les concepts. La deuxième étape consiste en une analyse quantitative à l'aide des modèles des moindres carrés ordinaires (OLS) et de la régression logistique en utilisant les données de 615 IMF pour l'année 2012 pour vérifier le lien entre les F.Is et la RSE et si la performance financière joue un rôle de médiateur ou de modérateur. Pour la première fois en microfinance, une définition globale / multi dimensionnelle de la RSE est utilisée et des indicateurs calculés sur la base de cela. Les résultats montrent que la RSE est un facteur clé dans les décisions d'investissement de F.Is et il montre un effet de médiation de la performance financière sur la relation entre la RSE et F.Is. Afin d'assurer l'accès aux services financiers au bas de la pyramide, les IMFs ont besoin d'avoir accès aux investisseurs étrangers. Comme la RSE est prise en compte par les investisseurs dans leur décision d'investissement, les IMF doivent donc se concentrer sur la gestion et la présentation des activités pertinentes de RSE afin d'attirer et de satisfaire ces investisseurs. / This research examines the link between Corporate Social Responsibility (CSR) of Microfinance Institutions (MFIs) and foreign investors (F.Is) in the context that commercialized Microfinance has double-bottom-line. The theoretical and conceptual framework for this study includes the agency theory, stakeholder’s theory, resource dependence theory and the concept of Socially Responsible Investment (SRI). The empirical study is based on a two-step process, an initial exploratory qualitative study carried out through semi-structured interviews with 9 fund managers (SRI) in order to understand well the topic and enrich the theories and concepts. The second step is a quantitative analysis through ordinary least squares (OLS) and logistic regression models using data of 615 MFIs for the year 2012 to verify the link between F.I and CSR and if financial performance plays a mediator or moderator role. For the first time in microfinance, a comprehensive/multi-dimensional definition of CSR is used and indicators calculated based on that. The results show that CSR is a key factor in investment decisions of F.Is and it shows a mediation effect of financial performance on the relationship between CSR and F.Is. In order to provide access to financial services at the bottom of the pyramid, MFIs need access to foreign investors. As CSR is taken into account by investors in their investment decision, therefore, MFIs need to focus on managing and reporting relevant CSR activities in order to attract and satisfy these investors.
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La region du Jari, un laboratoire en Amazonie. Entre conservation et developpement / The Jari River region, a laboratory in the Amazon

Greissing, Anna 24 March 2012 (has links)
Ce travail étudie les composants de l’évolution territoriale et socio-économique de la région du Jari, située au nord de l’Amazonie brésilienne, en identifiant les différents processus de transformation ainsi que les structures spatiales actuelles. Longtemps à l’écart des dynamiques nationales du peuplement et du développement, celle-ci connait, au XXe siècle, un développement socioéconomique en deux étapes : Le premier, au début du siècle, à partir d’une occupation conditionnée par l’extractivisme (exploitation de ressources naturelles de la forêt, comme le caoutchouc ou la noix du Brésil), et organisée autour d’un latifundiaire sur environ 2 millions d’hectares. Le deuxième, plus important, à la fin des années 1960, à partir de l’installation, sur ce même territoire, d’une grande entreprise agro-industrielle, le "projet Jari", par l’entrepreneur et multimillionnaire Américain D.K. Ludwig, qui visait à la production de la cellulose à grande échelle, et entraînait la construction d’une première infrastructure urbaine et industrielle dans une région de forêt primaire jusque-là intacte. Désormais indissociablement liées, les transformations socioéconomiques et territoriales de la région du Jari se sont depuis produites en tant qu’influence ou interaction directe avec l’évolution du projet Jari. Celui-ci, toujours en fonction dans la région aujourd’hui, a lui-même connu des transformations significatives depuis son installation en 1967: fortement polémiquée pour la non rentabilité économique, l’impact environnemental, et le gaspillage en ressources humaines de ses activités d’agrobusiness, le projet Jari du XXIe siècle émerge aujourd’hui, sous une nouvelle gestion (Orsa), comme une entreprise viable, certifiée, et pionnière en matière de responsabilité sociale et environnementale des entreprises en contexte amazonien. Les nouvelles stratégies territoriales développées par celle-ci et basées dans un discours de responsabilité sociale et environnementale des entreprises, ont permis à la Jari non seulement de conquérir une place stable sur le marché national et international de la cellulose, mais aussi à atténuer une conflit foncier de long date dans la région du Jari, qui a durablement marqué les relations entre l’entreprise, le gouvernement et les populations locales, dont plusieurs ont été déplacées de leurs terres lors de la transformation de larges parties de forêt primaire en plantations d’eucalyptus. La création, par la "nouvelle" entreprise, d’une Fondation sociale, censée de mettre en œuvre des petits projets socio-économiques dans la région, a en outre permis d’avancer le processus d’intégration territoriale visant à inclure enfin les communautés locales et les acteurs politiques à la gestion régionale et à l’utilisation des ressources, jusque-là monopolisée par l’entreprise. Sans être achevé, ce processus forme aujourd’hui la base solide pour une transformation "durable" du Jari, d’une vieille "enclave" économique de l’Américain à une région intégrée dont le potentiel est partagé parmi ses habitants. / This thesis studies the components and phases of the socioeconomic and territorial evolution of the Jari river region, located at the north of the Brazilian Amazon, by identifying its different transformation processes and contemporary spatial structures. Longtime left aloof from national population and development dynamics, the region experiences a two-step economic and social evolution in the XX century: A first occupation, at the beginning of the century, that was conditioned by the exploitation of natural resources (rubber, Brazil nut) and led to the establishment of a "latifundium" covering about 2 million ha; and a second, more important occupation at the end of 1960ies by the an American businessman and multimillionaire D.K. Ludwig. The initiation, by the latter, of a huge agro-industrial enterprise, the "Jari project", aiming at a large-scale production of cellulose, lead to the construction of first urban infrastructures and industrial facilities in a region until then covered with intact primary forest. The socio-cultural, economical and political development of the Jari River region has since been intrinsically linked to the evolution of the Jari project. The project itself, which is still active in the region, has itself known significant change since its building up in 1967: strongly criticized during the 1970ies and 1980ies due to the lack of economic viability of its agro-industrial activities, as well as its ecological impact and its waste of human resources, the project of the XXI century, revived by a new management (Orsa), presents itself as an innovative, lucrative and certified firm, henceforth conscious of its social and environmental responsibility and thus of its pioneer role for the socioeconomic development of the Jari River region where it operates. The territorial strategies developed in this context by the company, which are embedded in a discourse of social and environmental corporate responsibility, have indeed permitted the company not only to establish itself on the national and international pulp market, but also to mitigate the long-standing land conflict between the Jari firm, the government and the local populations, who had been partly displaced from their lands by the transformation of huge parts of the rainforest into eucalyptus plantations. The creation of a firm-interne social Foundation in 2000, commissioned to carry into action small socioeconomic projects in the region, has also allowed to accelerate a process of territorial integration, aiming at including the local communities and political actors into the management of the region and its use of its natural resources, until then monopolized by the company. Not yet fully achieved, this process of territorial integration constitutes today a solid basis for a sustainable transformation of the region in the future, from the old "enclave" of the American into an integrated region whose potential is commonly shared by its habitants.

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