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Le Collège-séminaire de Nicolet, 1863-1935.

Lessard, Claude 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Laurent schwartz (1915-2002) et la vie collective des mathématiques / Laurent schwartz (1915-2002) and the collective life of mathematics

Paumier, Anne-Sandrine 30 June 2014 (has links)
Ce travail se saisit de la figure de Laurent Schwartz (1915-2002) pour étudier la vie collective des mathématiques dans la seconde moitié du XXème siècle.Il vise à montrer comment les pratiques collectives sont alors constitutives du travail et de la communauté mathématiques et comment elles évoluent au cours de cette période. Par le biais biographique, en considérant Schwartz à la fois comme un acteur important qui laisse de nombreuses traces ou comme un simple témoin, nous présentons plusieurs tableaux du collectif. Nous étudions la rencontre que Schwartz fait de la vie collective des mathématiques pendant la Seconde Guerre mondiale, notamment par son interaction avec le groupe Bourbaki. Nous analysons ensuite la diffusion de la théorie des distribu- tions dans les mathématiques et son historiographie et montrons le rôle actif de Schwartz dans ces processus. Un chapitre consacré au théorème des noyaux de Schwartz et ses écritures ultérieures permet d'approfondir l'étude des interactions entre pratiques d'écriture en mathématiques et différents types de collectifs. Ce sont ensuite sur trois formes d'organisation collective du travail mathématique que nous nous penchons : le colloque (en proposant une étude de cas sur le colloque d'analyse harmonique de 1947), le séminaire et, enfin, le laboratoire de mathématiques (en prenant l'exemple du Centre de Mathématiques de l'École polytechnique). Enfin, nous abordons la question de l'engagement politique de Schwartz en tant que mathématicien. Nous cherchons à montrer comment cet engagement traduit une certaine conception de la communauté mathématique, tout en s'inspirant de ses pratiques sociales particulières. / This work takes the case of laurent schwartz (1915-2002) to study the collective life of mathematics in the second half of the 20th century.Its goal is to show how collective practices have then been constitutive of mathematical work and community, as well as how they evolved over this period. through a biographical lens, by considering schwartz both as an important actor who has left numerous traces and as a simple witness, we present several tableaus of the collective. we study the encounter between schwartz and the collective life of mathematics during world war ii, in particular through his interaction with the bourbaki group. we then analyze the diffusion of the theory of distributions in mathematics and its historiography, and show schwartz?active role in these processes. a chapter devoted to the kernel theorem (théorème des noyaux) and its later written incarnations allows us to deepen our study of interactions between writing practices in mathematics and various kinds of collectives. Three forms of collective organization of the mathematical work are then investigated: the conference (through a study of the 1947 colloquium on harmonic analysis), the seminar, and, finally, the mathematical research center (taking as an example the centre de mathématiques de l'ecole polytechnique). Finally, we take on the question of schwartz's political engagement as a mathematician. we wish to show how this engagement embodies a certain conception of the mathematical community, while taking some inspiration from its particular social practices
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Le Séminaire de Québec et la fondation des missions de la Louisiane, 1698-1699

Baillargeon, Noël 09 August 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019
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Le catalogue de la bibliothèque du Séminaire de Québec, 1782

Laurent, Monique. 25 April 2018 (has links)
L'étude d'une bibliothèque ancienne fournit toujours quelques attraits pour un historien. Ce qu'on lisait - ou qu'on ne lisait pas - à une époque lointaine peut éclairer parfois les comportements d'une génération. Le séminaire de Québec est, en 1782, la seule maison de formation classique pour les jeunes gens de la région de Québec. Aussi le contenu de sa bibliothèque nous renseigne-t-il sur l'enseignement dispensé au Canada durant le dix-huitième siècle. Dix-neuf ans après la signature du traité de Paris, le séminaire de Québec maintient un enseignement qui avait cours sous le régime français. Des communications pas toujours faciles avec la France, notamment pour l'envoi de manuels scolaires, favorisent cette situation. Pourtant ce n'est pas la seule explication. Il faut y voir plutôt un état d'esprit qui attachait à l'enseignement latin une valeur hautement morale. Le monde romain servait d'exemple pour illustrer les vertus humaines. Pourtant le séminaire est perméable à certains courants du dix-huitième siècle. Les oeuvres des encyclopédistes ont atteint plus facilement le séminaire de Québec que les ouvrages de Molière, Corneille ou Racine. La bibliothèque reflète la profession et la mentalité de ses propriétaires. Elle est hautement religieuse. Sur les onze catégories inscrites au manuscrit de 1782, sept se rapportent à des aspects religieux. La religion est surtout comprise en tant qu'ascétisme et mysticisme. Cette bibliothèque religieuse comprend également des ouvrages de médecine, de droit; des fonctions que souvent le prêtre canadien devait remplir. Tout en accomplissant la mission de former des ecclésiastiques, le séminaire de Québec éduquait la jeunesse canadienne. Aussi son catalogue comprend-il plusieurs manuels scolaires et ouvrages de culture générale. Dans un premier chapitre nous ferons connaissance avec le catalogue et son auteur, l'abbé Dudevant. Il sera également question de la formation de la bibliothèque. Les deuxième et troisième chapitres seront consacrés à l'analyse sérielle et quantitative de chacune des sections du catalogue. Une étude plus détaillée d'au moins une catégorie du catalogue s'imposait. Nous avons choisi l'histoire; cette dernière fera l'objet du quatrième chapitre. En dernier lieu nous parlerons des ouvrages à l'enfer que le séminaire de Québec possédait dans sa bibliothèque en 1782. Cette étude se limite à voir comment on classait les livres au dix-huitième siècle, quels genres d'ouvrages le séminaire possédait. En bref nous avons tenté de quantifier et de grouper sous un titre générique les volumes des diverses catégories. Pour une seule section, l'histoire, nous avons retracé l'auteur et l'année d'édition. Le titre a également été complété, lorsqu'il y avait lieu. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les collections de gravures du Séminaire de Québec : (histoire et destins culturels)

Martin, Denis, Martin, Denis 05 April 2024 (has links)
« Tout au long de cette étude, nous avons essayé de conserver une perspective chronologique, pour autant que celle-ci recoupe l'évolution culturelle des collections du Séminaire. Notre travail est divisé en trois chapitres couvrant chacun un ou des aspects de cette histoire. Le premier chapitre est consacré à l'utilisation de l'imagerie religieuse au Séminaire depuis sa fondation jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, avec un bref regard sur le XIXe siècle. Que ce soit dans un contexte dévotionnel ou missionnaire, ou encore dans le cadre de l'instruction, pour édifier ou récompenser, l'usage de la gravure était courant. Le Séminaire, de Québec, de par ses vocations premières d'instruction et d'évangélisation, était particulièrement destiné à devenir un centre de diffusion d'imagerie. Les nombreuses dévotions implantées par les fondateurs du Séminaire, ou répandues par les oeuvres spirituelles circulant à l'époque, rendaient nécessaire le recours à l'imagerie comme support matériel du culte. Nous traiterons de ces aspects ainsi que de l'approvisionnement du Séminaire en gravures, effectué principalement par le biais du Séminaire des Missions Etrangères de Paris. Dans un second chapitre, nous aborderons la question de l'évolution historique et matérielle des collections du Séminaire. Le XIXe siècle et le début du XXe siècle sont témoins d'un accroissement rapide de celles- ci : les acquisitions du Séminaire, les dons venant de religieux et de laïcs, de collectionneurs privés, se succèdent à un tel rythme qu'en 1901 l'artiste Raab, venu restaurer quelques toiles du Musée du Séminaire, s'émerveillera devant les gravures conservées à la voûte des Archives ; selon lui, le Séminaire possède alors "... la plus belle collection qu'il y ait en Amérique." Après avoir passé en revue les diverses acquisitions du Séminaire, nous nous arrêterons sur les moyens par lesquels les religieux se procuraient des estampes. Les voyages en Europe, notamment, étaient l'occasion d'une recherche active de gravures. Enfin, nous verrons quel rôle "culturel" était assigné à la gravure au Séminaire (documentation, décoration). Dans le troisième et dernier chapitre, nous traiterons plus particulièrement des collectionneurs et de leur apport aux collections du Séminaire. Dans un premier temps, nous étudierons les sources, les intérêts, les idées des principaux amateurs, à partir de leur correspondance ou de leur catalogue de collection. Nous verrons comment, pour la plupart, l'activité de collectionneur était mêlée de près à leurs occupations d'historiens, de bibliographes, de bibliothécaires et de chercheurs. En fait, l'intérêt pour la gravure semble avoir été de mise chez tous ceux qui s'occupaient d'histoire canadienne au XIXe siècle. Dans un second temps, nous essaierons de voir en quoi la gravure reflétait les conceptions historiques de cette époque. A cette fin, nous passerons en revue les divers projets de collections historiques élaborés par les collectionneurs ou encore par le Séminaire, notamment à l'occasion de fêtes commémoratives. »--Pages 6-8
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Le Petit Séminaire de Saint-Georges de Beauce (1946-1968)

Tran-Khanh, Sylvia Berberi 25 April 2018 (has links)
Le sujet de notre travail se situe à la fin de la deuxième guerre mondiale 1939-1945. La Beauce, comme le reste de la Province de Québec et du Canada connaît une expansion sur le plan économique, due â la hausse de production, notamment dans le secteur manufacturier. D'autre part, sur le plan politique, ce sont des années bien remplies. D'abord, la crise de la conscription met la Beauce au premier rang des Canadiens français qui refusent la conscription, avec 95 pour cent de "non". C'est une région isolée, certes, aménagée de chaque côté 1 de la rivière Chaudière, le long de la route Lévis-Jackman. C'est aussi une région parfois contradictoire. En 1944, Lorsque Edouard Lacroix, ancien député libéral au fédéral, se présente candidat du Bloc populaire lors des élections provinciales, il est élu avec cent cinquante-huit voix de majorité sur son plus proche adversaire. Or, ce même homme obtenait quatorze mille voix de majorité dans les élections fédérales précédentes, en 1940. Pendant ce temps, certains esprits réfléchissent sur le problème de la formation de futurs prêtres dans la région. Les collèges classiques les plus proches sont ceux de Lévis, de Québec ou de Sainte-Anne de la Pocatière. Pour accéder à ces institutions, il faut "avoir les moyens" ou être pris en charge par un parent-prêtre qui assure les déboursés qu'exigent les études classiques. De plus, la région ne fait pas oeuvre à part, puisque des collèges classiques, dans des milieux parfois éloignés des centres, naissent à Arvida en 1944, à Dolbeau et à Port-Alfred en 1945, à Laprairie en 1946. Il y a un besoin certain dans la région. Pour le combler, il faut aussi songer aux conséquences: tout d'abord, fournir un cadre matériel adéquat aux élèves. Puis, ce sont les problèmes de financement qui s'imposeront. Nous sommes dans un milieu rural, où les groupes sociaux les plus nombreux ne seront pas nécessairement intéressés à inscrire leurs enfants à un cours de huit ans, alors qu'ils sont destinés à travailler la terre ou à prendre charge du commerce familial. Un autre point est aussitôt soulevé: celui de la préparation des élèves pour le cours classique dans les villes et les villages de la région. A cette question, se rattache celle du recrutement professoral. Mais, le collège classique est la seule forme d'enseignement à cette période qui offre une préparation à l'Université et au sacerdoce. Il n'y a pas deux solutions possibles au problème beauceron. Il faut donc une institution adéquate: un séminaire-collège. La première partie de ce travail porte sur les circonstances qui conduisent à la fondation du Petit Séminaire de Saint-Georges, sur ses buts, sur les financements populaires successifs et sur l'évolution de l'institution de 1946 â 1968. Dans la deuxième partie, nous étudions les différents groupes de l'institution. D'une part, nous cherchons à dégager les lignes directrices qui guident le travail des enseignants, leur préparation, leur milieu, leurs responsabilités. Puis, nous présentons les enseignés dans leurs relations avec le milieu géographique, social ainsi que leur persévérance scolaire et leur choix de carrière. Nous voulons établir un lien entre ces divers éléments et le but fondamental de l'institution. La troisième partie vise à percevoir la vie au Séminaire à partir des élèves, des enseignants et dans certains cas, des parents. Il convient de définir ce que nous entendons par les mots "notre région", qui reviennent sans cesse tout le long du texte. Il s'agit des comtés de Beauce, Dorchester et Frontenac, tels qu'ils sont délimités avant la dernière réforme de la carte électorale. A l'intérieur de ces comtés, nous n'apportons pas de réserves, même si nous savons qu'une partie de Dorchester n'entre pas dans la zone d'influence économique et même culturelle de la Beauce dont le noyau est Saint-Georges. Il s'agit en grande partie du territoire que nous connaissons sous l'appellation de région agricole no 3. On l'appelle en fait la-région de la Beauce. Elle couvre actuellement les comtés de Dorchester (22 paroisses), Beauce (33 paroisses), Mégantic (22 paroisses) et Frontenac (23 paroisses). Cependant, dans notre travail, nous emploierons "notre région", pour Beauce, Dorchester et Frontenac seulement. Cette région est limitée au nord par les comtés de Lévis et de Lotbinière, à l'ouest, par ceux d'Arthabaska et de Wolfe, à l'est et au sud-est, par celui de Bellechasse et par la frontière canado-américaine. Nous avons engagé notre recherche en travaillant sur plusieurs plans. Nous avons d'abord retrouvé au Séminaire même, une partie des documents manuscrits que nous recherchions: les dossiers des élèves, les listes et les tâches des, professeurs, les papiers non classés et conservés à la Procure du Séminaire, les Mémoires préparés par le Séminaire pour le gouvernement, les éphémérides tenus par les supérieurs ou parfois par une autre personne, sauf le premier cahier rédigé par l'abbé Joseph Lacroix, le premier supérieur du Séminaire. Le caractère très personnel de ce cahier imposait cette réserve. Nous avons aussi utilisé des papiers concernant les relations du Séminaire avec l'extérieur et venant de la Commission scolaire régionale de la Chaudière, des externats classiques, du Ministère de la Jeunesse, du Ministère de l'Education, de la Faculté des Arts de l'Université Laval et du Séminaire de Saint-Victor. Des albums souvenirs et des journaux de finissants ont été précieux pour suivre les événements importants du Séminaire et pour retracer l'origine et l'orientation des finissants. En ce sens, L'Eclaireur de Beauceville, Le Progrès de Saint-Georges et L'Eclaireur-Progrès nous ont aidée à préciser, en plus de l'origine des élèves, la carrière qu'ils ont choisie de 1954 à 1968. Egalement, L'Action catholique et 1'Almanach de l'Action sociale catholique ont permis d'une part de connaître le premier fondateur du Séminaire à partir de certains de ses écrits et, d'autre part, de vérifier l'importance accordée au Séminaire par ce journal qui lui a consacré une rubrique spéciale pendant des mois. Nous avons accordé également une part importante aux périodiques de la région, comme: L'Eclaireur, le Progrès, l'Eclaireur-Progrès, L'Amiante, Le Guide, Le Progrès de Thetford, La Voix des Mines ainsi qu'à L'Action catholique, journal du clergé de Québec. Nous avons voulu saisir les relations de la population avec le Séminaire de Saint-Georges de Beauce à partir des réactions et des comptes rendus de la presse locale. L'Acropole, le journal des étudiants du Séminaire de Saint-Georges de Beauce a fait l'objet d'une étude particulière. De 1951 à 1964, tous les numéros étaient à notre disposition, de 1964 à 1968 les séries étaient incomplètes. Encore là, les réactions nous intéressent, mais du point de vue des élèves. Pour compléter notre recherche, nous avons procédé à des interviews auprès des personnes suivantes: fondateur, supérieurs, anciens professeurs et professeurs actuels, anciens élevés, souscripteur et observateur. Nous avons pris soin d'enregistrer les réponses données dans un souci d’objectivité face aux opinions exprimées. A partir de toutes les données sociales et historiques locales recueillies, et à l'aide d'ouvrages généraux ou d'études spéciales, d'articles de revues, nous nous sommes proposé d'identifier les éléments sociaux qui ont permis la mise en place et la survie du Séminaire de Saint-Georges de Beauce, de voir l'impact culturel que le Séminaire a pu avoir ou ne pas avoir sur le milieu beauceron, ainsi que de vérifier la réussite du but premier de l'institution: former des élèves qui choisiront le sacerdoce. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les troubles de 1860-1880 à Oka : choc de deux cultures

Pariseau, Claude L. January 1975 (has links)
No description available.
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L'église catholique au Gabon. De l'entreprise missionnaire à la mise en place d'une église locale 1844 - 1982 / The Roman catholic church in Gabon. From the missionary company to the implementation of a local church 1844 - 1982

Assoumou Nsi, Michel 05 September 2011 (has links)
La naissance des Eglises locales en Afrique, disons-le, est sans conteste l’œuvre première de vaillants missionnaires parfois désintéressés. La mise en place des premières structures sociales et chrétiennes est là pour le démontrer. Dans le cas du Gabon, ce privilège revient au Père Jean Rémy Bessieux et à ses nombreux successeurs. A court, moyen ou long terme, le mission chrétienne devait laisser la place à une organisation autochtone. Toutefois, une lecture attentive de ce passage de flambeau nous laisse comprendre que le chemin a été long et difficile. Dans bien des cas, la mise en place de l’Eglise locale au Gabon s’est souvent avérée plus évidente dans les dires que dans les faits. Contrairement à une certaine historiographie édifiante et apologétique habituée à nous présenter la création du clergé local comme une volonté héroïque et sans conditions des missionnaires, les sources nous indiquent plutôt que les indigènes, avec la première génération de prêtres gabonais ont été des agents précieux dans cette entreprise. La splendide croissance de l’Eglise catholique au Gabon dès le milieu du XXè siècle a été couronnée par l’élévation de l’ancien vicariat en diocèse autonome en 1958 et l’ordination de plusieurs évêques nationaux, formant désormais la hiérarchie locale. En quelque temps, l’Eglise catholique connaissait un développement rapide. Cela était un fait remarquable à tous points de vue, même si en réalité des problèmes cruciaux persistent. Si on considère l’épiscopat de certains nationaux comme un fait indéniable de la croissance de l’Eglise, il ne faut cependant pas oublier d’autres faits comme l’augmentation du nombre de circonscriptions ecclésiastiques, la croissance du nombre de membres autochtones du clergé, de séminaristes et de candidats dans les instituts de vie consacrée, sans omettre l’extension progressive du réseau de catéchistes et de laïcs, dont on sait le rôle dans la diffusion de l’évangile parmi les population gabonaises. Certes, les sources nous décrivent une évolution progressive de l’Eglise locale, mais elles nous présentent aussi une Eglise face à un certain nombre de dangers. Dès 1970, on assiste à des problèmes liés aux revendications de plusieurs clercs locaux. Au début des années 80, c’est face à une Eglise parsemée de difficultés diverses que Sa Sainteté Jean Paul II rend visite en 1982. / The birth of the local churches in Africa is unquestionably the first work of brave sometime made lose interest missionaries. The setting of the first social and Christian structures is here to show it. Concerning Gabon, Father Jean Remy Bessieux and his several successors enjoyed this priviledge. In short; average or long term, the christian missions had to leave the place to an autochthonous organization. However, an attentive reading of this passage of torch lets us understand that the road was long and difficult. In many case, the setting of the local church in Gabon often turned out more evident in the statements than in the facts. Contrary to a certain edifying and apologetic historiography which used to show the creation of the local clergy as a heroic will, and without any conditions from the missionaries, sources rather point out that the native have been some very precious factors in this enterprise with the first generation of Gabonese priests. The magnificent growth of the Roman Catholic Church in the Gabon from the middle of the XXth century was crowned by the rise of the former vicariate in autonomous diocese in 1958 and the ordination of several national bishops, forming henceforth the local hierarchy. From all sides, it appeared as a remarkable fact, even if some crucial problems are persisting. If one considers the episcopate of some native as an unmistakable fact of the growth of the church, you should not however forget the other facts as the increase in the number of aboriginal members of clergy, of seminarists and candidates in the institutes of consecrated life. Moreover, one should not omit the progressive expansion of the catechists and laics, of which have knows the role mattering in the broadcasting of the gospel among the Gabonese peoples. Indeed sources are describing a progressive evolution of the local church, but also show a church facing a certain number of dangers. From 1970, we attend problems connected to the demands of several local clerks. In the beginning of the 80s, it is in front of one church strewed with diverses difficulties that his Holiness, Jean Paul II visits in 1982.
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Les troubles de 1860-1880 à Oka : choc de deux cultures

Pariseau, Claude L. January 1975 (has links)
No description available.
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L'éducation morale au Petit séminaire de Québec, 1668-1857

Fleurent, Maurice 09 May 2019 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2019

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