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Le quaternaire de la haute vallée de l'Arc : stratigraphie, sédimentologie et chronologie - Alpes françaises

Hugonin, François 28 October 1988 (has links) (PDF)
Le but de ce travail est de reconstituer l'histoire du Quaternaire récent de la Haute Vallée de l'Arc. Deux unitées morphologiques et stratlgraphlques sont distinguées dans le baasln de Bessans : l"Ecroulement de la Madeleine" composé de formations diverses ; la "Cuvette de Bessans" presqu'entlèrement remplie de sédlments lacustres découpées en terrasses de niveaux multlples. Au Nord du bassin les moralnee du VIllaron marquent un stationnement du glacler de l'Arc. Dans le bassln de Lanslebourg, le verrou de Lenslevillard indique un autre stationnement glaciaire. La stratigraphle du bassin de Lanslebourg montre quelques eédlmenta lacustres qui disparaissent vers l'amont sous une formation fluviatile épaisse (cailloutis de Lanslebourg) surmontée de dépôts torrentlels. Dana le bassin de Bramans-Termignon sont conservées les traces de deux statlonnements du glacier du Doron (Solllères et Fontalgnous). Sur les moraines, reposent des alluvions deltaïques couronnées par les cailloutis de Solllères et les alluvions torrentlelles. La description des formos d'érosion et d'accumulation au cours du Quaternalre récent permet d'établir la chronologie suivante: 1. Statlonnement glaciaire de Lanslevlllard (Arc) et des Fontalgnous (Doron), et lac de Lanslebourg. 2. Episode lacustre du Verney pendant le recul des fronts glaciaires entre deux statIonnements. 3. Stationnement glaciaire du Villaron et des Fontalgnous accompagné du dépôt das cailloutis. 4. Alluvionnement torrentiel, façonnement des hautes et basses terrasses, écroulement de la Madelelne et épisode lacustre de Bessans. 5. Evolution finale: creusement du lit actuel de l'Arc et dépôt dea formations de versants. Seule la dernière étape paléogéographlque serait holocène, les 4 autres se situeralent à la fin du retrait wurmien et durant le Tardlglaclalre.
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La construction d'une mémoire collective de la Résistance en Haute-Savoie : Les Glières / The building of a collective memory of the Resistance in Haute-Savoie : Les Glières

Guichard-Croset, Marina 28 January 2011 (has links)
Au cœur de la Haute-Savoie, entre janvier et mars 1944, un rassemblement d'hommes a lieu sur le Plateau des Glières. Sous les ordres du Lieutenant Tom Morel puis du capitaine Maurice Anjot, tous deux chasseurs alpins au 27eme BCA, ils ont pour mission de recevoir les parachutages d'armes dont les maquis du département ont besoin. Portés par la devise « Vivre Libre ou Mourir », les résistants mènent jusqu'à la fin mars 1944 contre les forces de Vichy puis de la Wehrmacht, un combat disproportionné. Si l'on ne peut parler de sacrifice, plus d'une centaine de maquisards y laissent leur vie. S'ensuit une reconstitution organisée des maquis jusqu'au 1er août 1944, date où trois milles hommes se rassemblent à nouveau aux Glières pour accueillir les parachutages les plus massifs jamais reçus par la résistance. Dès la mi-août 1944, les forces de la Résistance libèrent leur département. La défaite des armes se transforme en victoire. Dès 1944, les rescapés se regroupent au sein d'une association. Ils enterrent leurs morts, rédigent un premier livre-témoignages et publient le premier numéro de Messages. En 1973, ils lancent un concours international pour la construction d'un monument. De temps forts en temps de latence, la mémoire des Glières s'érige progressivement autour d'un récit enrichi de références mythologiques, qui devient une source potentielle d'inspiration d'un« vouloir vivre ensemble ». Soixante-cinq ans plus tard, la mémoire du maquis des Glières est toujours vivante, portée par des acteurs engagés dans le partage d'un héritage citoyen. Le processus de construction de la mémoire des Glières constitue le véritable enjeu herméneutique de cette thèse de doctorat. / At the heart of Haute-Savoie, between January and March 1944, a gathering of men took place on the Plateau des Glières. Under the command of Lt. Tom Morel and of Captain Maurice Anjot, both chasseurs alpins at the 27th BCA, they are mandated to receive air drops of weapons whose the "maquis" of the Department have a pressing need. Driven by the motto "Live Free or Die", the resistance lead a disproportionate fight against the Vichy forces and then against those of Wehrmacht up to the end of March 1944. Even if one can not talk about sacrifice, more than one hundred "maquisards" lose their lives. There then followed an organized reconstruction of the maquis until the 1st August 1944, when three thousand men gather again to receive the most massive air drops ever received by resistance during daylight. At the middle of August 1944 and due to successful air drops, the Resistance forces liberate their department. The defeat of weapons becomes a victory. Since 1944, the survivors gather in a organization called "the association of survivors of Glières".' They bury their dead, write a first testimonial book and publish the first issue of "Messages". In 1973, they launch an international competition to build a monument. Going alternatively through successful and troubled times, the memory of the Glières stands gradually around a co-constructed story enriched with mythological references. Sixty-five years later, the memory of the Glières "maquis" is still alive, driven by players and commonly engaged in the share of a citizen heritage. So, the process of building the Glières memory is the real hermeneutics issue of this thesis.
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French military occupations of Lorraine and Savoie, 1670-1714

McCluskey, Phil January 2009 (has links)
Lorraine and Savoie were both occupied twice by French armies during the personal rule of Louis XIV. Lorraine was initially invaded and occupied in 1670 to support the French strategic and logistic position in the Dutch War, yet due to political expediency this developed into a policy of outright annexation. The French relinquished Lorraine due to international pressures in 1697, but partially reoccupied it from 1702 to 1714, again as a result of strategic and logistical necessity. Savoie was occupied from 1690 to 1696 and again from 1703 to 1713 as a response to successive breakdowns in Franco-Savoyard relations, and to guarantee the south-eastern frontier of the kingdom. There was no pre-conceived or uniform policy practiced by the French when it came to the occupations of these territories, and these instead developed on the basis of events and pressures that were often beyond the control of the French government. In essence, the principal French approach to occupied territories was paternalistic, their main priority being to uphold Louis’s newly-asserted sovereignty and pay the costs of the occupation while impressing upon the local elites the benefits of collaboration and the pitfalls of continued loyalty to their old ruler. The French became more sophisticated generally towards occupied territories as the reign progressed, at least as far as circumstances allowed. In sum, the key variables that influenced how the French handled these lands, other than time and place, were security issues, local loyalties, and the expectation of either retention by France or restitution to the original sovereign.
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Comportement hydrogéologique des terrains karstiques et molassiques du sud du Bugey savoyard.

Lamy, Pierre 23 April 1986 (has links) (PDF)
Situé à l'extrémité sud du massif jurassien, au contact de la Chartreuse et du Ba.s Dauphiné, le Bugey Savoyard est constitué de formations carbonatées mésozoïques et de terrains détritiques du Tertiaire et du Quaternaire. La tectonique compressive de cette région a conduit les karsts urgoniens et antéhauteriviens à chevaucher le synclinal médian. Deux périodes de kartstifications ont été distinguées, l'une antémiocène a été occultée par ia tectonique miocène qui a refermé les galeries. La seconde, s'est développée le long des fractures méridiennes ouvertes lors de la surrection alpine. Le comportement hydrogéologique de la molasse est essentiellement celui d'un aquiclude de grès compacts. Mais, localement la dissolution du ciment carbonaté a permis le développement de nappes aquifères et même par entraînement des particules siliceuses vus l'exutoire une morphologie rappelant le karst peut-être obtenue, des horizons argileux formant le niveau de base, !e développement de ce faciès reste limité à la tranche superficielle des terrains. Le Quaternaire est représenté par des faciès très diversifiés dont le rôle hydraulique est de masquer les exutoires du karst. Les formations glaciaires sont à dominante aquiciude tandis que dans les formations alluviales des nappes aquifères alimentées par les cours d'eau sont bien développées. Les traçages ont montré ,que les relations hydrauliques entre karst et molasse sont très limitées du fait du caractère aquifère réduit de la molasse. Le calcul du bilan hydrogéologique a montré que cette région très arrosée (1400 mm/an, en moyenne) présente une lame d'eau écoulée fortement perturbée à l'exutoire des bassins naturels du fait de transits latéraux. La source ferrugineuse de la Bauche présente une minéralisation due à des circulations internes à la molasse. La durée du transit montrée par les isotopes est de quelques années, le fer étant mis en solution dans des milieux réducteurs qui sedéveloppent à proximité de lits ligniteux.
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Etude géologique de la haute vallée de la Valloirette entre Valloire, le Col du Galibier et les Aiguilles d'Arves (Alpes occidentales - Savoie)

Toury, Anne 10 July 1984 (has links) (PDF)
La haute vallée de la Valloirette creuse son lit dans "l'édifice de nappes" des Alpes occidentales classiquement composé ici, d'ouest en Est, des zones dites ultradauphinoise (flysch des Aiguilles d'Arves), subbriançonnaise et briançonnaise. Nous avons été amenés à modifier ce schéma. 1°/- Du point de vue stratigraphique : * l'ancienne zone ultradauphinoise doit être divisée en deux unités structurales : - une unité inférieure, dont on n'a, sur le versant valloirin, que le flysch tertiaire, montrant ici des niveaux conglomératiques, turbiditiques et gréseux (les schistes à blocs de la base n'affleurent pas dans la région e t l'olistostrome sommital n'est visible que dans le vallon du Goléon). Ce flysch tertiaire repose sur des terrains mésozoiques d'affinité dauphinoise et par analogie avec A. Serre (1983), nous l'appellerons dauphinoise orientale ; - une unité supérieure, constituée ici essentiellement de flysch gréseux (vers le Nord, un peu de flysch turbiditique existe à sa base tandis que vers le Sud, le flysch olistostromique montre quelques gros blocs). Cette unité prolonge vers le Sud l'unité de flysch à substratum briançonnais décrite par J. Martinez-Reyes (1979, 1980) et nommée plus récemment (A. Serre, 1983) unité Cheval Noir - Casse Massion. * La zone subbriançonnaise présente des faciès de plate-forme entre le Lias et le Jurassique moyen avec des indices d'approfondissement au sommet ou du moins de la proximité d'une mer ouverte. Ces premiers niveaux sont d'affinité dauphinoise. Dès l'Oxfordien s'individualise une épaisse séquence flyschoïde mal caractérisée du point de vue des âges et dont le domaine de sédimentation longuement discuté est probablement assez interne. Il pourrait s'agir d'un domaine "ultrabriançonnais". Une klippe de flysch à Helminthoïdes ajoute encore une petite touche interne à cet édifice. * La zone briançonnaise : la série briançonnaise est assez complète, bien développée entre le Westphalien et le Trias moyen, réduite ensuite. C'est une série typique du Briançonnais externe. 2°/- Du point de vue tectonique : Nous avons pu mettre en évidence de grandes failles verticales subméridiennes à jeu décrochant sénestre. Elles sont bien exprimées dans l'unité inférieure du flysch mais existent aussi dans l'unité supérieure ainsi que dans la zone briançonnaise. Dans le Subbriançonnais, la présence de gypse diapirique au Col du Galibier traduit l'existence d'une grande fracture Nord-Sud. Partout, on trouve les fractures de Riedel associées à ces failles importantes. Du point de vue des déformations : * La zone du flysch : les deux unités sont déformées différemment de part et d'autre d'un cisaillement plat, visible dans le Vallon des Aiguilles, dans les Gorges de l'Enfer et sous la Grande Chible, décelable ailleurs et prolongeant le contact décrit au Nord par J. Martinez-Reyes (1980) et A. Serre (1983). L'unité inférieure est peu (ou pas) déformée, tandis que l'unité supérieure présente des replis désorganisés mais assez généralement déversés vers l'Est. Un modèle synthétique pour expliquer ces déformations est proposé. * La zone subbriançonnaise : elle montre deux types de déformations : des plis d'axe subméridien à grand rayon de courbure dans les terrains du Lias au Jurassique moyen d'une part, deux familles de plis (NI20 e t N180) serrés et couchés, dans la série flyschoïde supérieure d'autre part. Cet argument structural nous permet d'envisager un décollement de la partie supérieure de la série (de l'Oxfordien au Nummulitique) au niveau de l'Oxfordien schisteux et plastique. * La zone briançonnaise : nous n'ajoutons rien au schéma classique donné pour le Briançonnais. Néanmoins, certains chevauchement de faible ampleur (vallon de la Ponsonnière, flanc occidental du massif des Sétaz) doivent pouvoir trouver leur origine dans un modèle de transpression : une faille verticale à jeu décrochant évoluant en nappe de charriage en régime compressif. 3°/- Du point de vue géodynamique : Nous proposons un modèle d'évolution de la région considérée. Pour rapprocher et empiler des unités d'origines paléogéographiques parfois très différentes, nous avons fait appel à un jeu décrochant sénestre tel que L.E. Ricou (1980) l'envisage pour toute l a "zone subbriançonnaise" et dont on a les traces sous forme de failles décrochantes sénestres e t de fractures de Riedel associées. Le régime général en compression provoque des charriages de nappes qui s'ajoutent aux décrochements en une succession de phases de déplacements Sud-Nord (décrochements) puis Est-Ouest (serrages) plus ou moins synchrones. Il en résulte un empilement tout à fait hétéroclite où nous avons sur l'autochtone relatif dauphinois une nappe d'origine briançonnaise (l'unité Cheval Noir - Casse Massion), puis un lambeau de terrains d'affinité dauphinoise, puis une unité d'origine très interne ("ultrabriançonnaise") supportant une klippe de flysch à Helminthoïdes et, enfin, le Briançonnais (cf. Quatrième partie, évolution géodynamique).
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Les glaciers du Haut Arc (Savoie) : caractérisation et impacts de la décrue post-Petit Age Glaciaire

Jobard, Sylvain 02 December 2005 (has links) (PDF)
La décrue post-Petit Age Glaciaire en Haute Maurienne est abordée dans cette étude par trois angles de vision complémentaires. Les évolutions de l'englacement du bassin versant du Haut Arc pendant la décrue glaciaire post Petit Age Glaciaire sont reconstituées sur un échantillon d'une trentaine de glaciers à l'aide de différentes sources documentaires (archives, témoins géomorphologiques, clichés aériens et scènes satellitales). Les résultats sont exprimés sous la forme d'une série de cartes d'extension des glaciers et de diagrammes des surfaces relatives sur la période d'étude (1850-2000). Ces données aboutissent à une typologie des modes de décrue, révèlant un couplage efficace entre les forçages climatiques et ces glaciers alpins. La décennie 1990-2000 est marquée par une accélération synchrone de la décrue sur l'ensemble des glaciers.<br />Dans un deuxième temps, les impacts de la décrue sur l'hydrosystème proglaciaire sont étudiés à travers les enregistrements pluri décennaux des débits journaliers d'un torrent glaciaire (l'Avérole). Les analyses montrent une modification majeure du régime du torrent proglaciaire au cours de la dernière décennie. Cette évolution est interprétée comme une intensification du forçage climatique actuel. L'analyse à un pas de temps très fin d'un glacier instrumenté de 2002 à 2005 aboutit à un outil de suivi quotidien des caractéristiques du réseau de drainage glaciaire. Il s'avère que l'efficacité du réseau de drainage augmente fortement au cours de la saison d'ablation, principalement par un accroissement de la perméabilité du glacier. L'analyse des hydrogrammes de crue nous renseigne sur l'intensité des processus d'ablation à un pas journalier reliant les phénomènes de surface à la structure du réseau de drainage glaciaire. <br />Les impacts de la décrue sur le milieu glaciaire montrent une modification significative de l'environnement des glaciers au cours des 150 dernières années. La genèse des aléas d'origine glaciaire se transforme avec cette évolution du milieu, avec des atténuations ou au contraire l'apparition de nouveaux phénomènes. L'intensification de la décrue au cours de la dernière décennie induit la formation d'aléas préoccupants.
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Le Bassin du Rhône au Quaternaire, géologie et préhistoire

Bourdier, Franck 02 February 1958 (has links) (PDF)
Cette thèse aborde - la description des dépôts quaternaires du Bassin du Rhône dans son cadre français. - la chronologie du IV° rhodanien
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Simulation des écoulements souterrains dans un aquifère alluvial : contribution à l'étude de la nappe de l'Isère dans la Combe de Savoie (France) - Alpes françaises

Monier, Thierry 30 March 1983 (has links) (PDF)
Dans la Combe de Savoie , entre Albertville et Montmélian, les alluvions modernes de l'Isère recèlent une nappe en étroite liaison avec les cours d ' eau qui empruntent la vallée. L'objet de cette étude est de définir avec précision le comportement hydrodynamique de l 'aquifère afin d' en déterminer les potentialités . Une première partie sera consacrée à l'analyse des nombreuses données fournies par diverses campagnes de reconnaissance (géophysique , hydrométrie des cours d ' eau , relevés piézométriques réguliers, etc ... ), elle portera essentiellement sur - la définition de la structure du remplissage alluvial, - l'évaluation des paramètres régissant les écoulements souterrains (transmissivité, emmagasinement, etc . .. ) à l ' aide de méthodes analytiques , - la caractérisation climatologique et hydrologique d'une période d'étiage de référence (octobre 1980). Dans une seconde partie, nous réaliserons, à partir des résultats précédents , plusieurs simulations numériques des écoulements souterrains à l'échelle de l'ensemble de la vallée. La mise en oeuvre de ce modèle mathématique conduit à évaluer sommairement les potentialités actuelles de l'aquifère qui permettent d'ores et déjà d'envisager un premier schéma d'exploitation de cette ressource en eau.
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Les Bauges entre projets institutionnels et dynamiques locales patrimoines, territoires et nouveaux lieux du politique /

Palisse, Marianne Martin, Jean-Baptiste January 2006 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sociologie et anthropologie : Lyon 2 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 417-434. Annexes.
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L’exercice de la justice en Bresse sous le règne d’Amédée VIII de Savoie (1420-1440)

Darrieu, Jérémie 08 1900 (has links)
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