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Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'artEl Sonbati, Karim Alexandre 14 October 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
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Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'artEl Sonbati, Karim Alexandre 14 October 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
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Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'artEl Sonbati, Karim Alexandre 14 October 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
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Le chamanisme : une traduction socioanthropologique à travers l'artEl Sonbati, Karim Alexandre January 2011 (has links)
Comment traduire le chamanisme en termes socioanthropologiques? Pour répondre à cette question cette étude du chamanisme s'articule autour de trois niveaux d'analyse. Une compréhension des dynamiques, sociohistoriques et ontologiques, ainsi qu'une focalisation sur les facultés de médiation de l'art et de la science, entourant et animant des pratiques chamaniques; offrent un tremplin réflexif engendrant des parallèles entre des collectifs issus des deux hémisphères. Une sociologie phénoménologique, combinée à un empirisme post-positiviste, esquissent des trames théoriques et méthodologiques, s'appuyant sur une réflexivité expériencielle et institutionnelle. Elles se résument en une tentative d'attiser la réflexivité des savoirs. Cette mise en forme de l'agencéité, immanente aux science sociales, veut inviter aux possibilités d'assouplissement de contours conceptuels; induites par le travail intellectuel. L'art, aussi bien visuel que sonore, se trouve employé à la fois comme support empirique, et comme toile heuristique; dévoilant des modes de compréhension transcendant les marges de la physicalité cartésienne. Cette traduction tisse donc une matrice épistémologique, aiguisant des optiques inédites, pour cerner ce qui semblerait se profiler hors des marges de la scientificité communément entendue. Les sphères étudiés affichent des similarités, par moments ontologiques et, par d'autres, d'ordre historiques enrichissantes du point de vue sociologique. Aussi, cette thèse explore, et devient en soi, une tentative d'application d'un potentiel, à la fois structurant et transformateur, qui semble octroyé à certains acteurs sociaux que sont les artistes et les chamanes et les intellectuels.
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Sociologie des supporters de football : la persistance du militantisme sportif en France, Allemagne et ItalieBartolucci, Paul 28 September 2012 (has links) (PDF)
Le supporter de football n'est pas un spectateur ordinaire : c'est un " acharné ", un " spect'acteur ", qui n'entend pas vivre sa passion par procuration. Il s'approprie littéralement la notion de compétition dans ses activités de soutien. Mon travail se base sur une acception restrictive du terme " supporter ", défini en tant qu'individu qui s'investit émotionnellement de manière poussée et qui s'identifie fortement au club qu'il affectionne. Etre supporter, ce n'est pas le devenir : c'est le demeurer. Analyser le supportérisme revient à s'intéresser à ces fans qui continuent de soutenir une équipe indépendamment de ses performances sportives. J'ai choisi d'enquêter sur des populations qui se rattachent à des institutions-clubs " en situation de marasme ", à Strasbourg, Berlin et Turin. Pourquoi ces supporters se rendent-ils encore au stade quand bien même les perspectives de succès sont limitées voire inexistantes ? Quelle place accorder au conflit dans le supportérisme ? Et plus généralement, quels sont les principaux ressorts du militantisme sportif ?
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Sociologie des supporters de football : la persistance du militantisme sportif en France, Allemagne et Italie / Sociology of football supporters : sport militantism persistence in France, Germany and ltalyBartolucci, Paul 28 September 2012 (has links)
Le supporter de football n’est pas un spectateur ordinaire : c’est un « acharné », un « spect’acteur », qui n’entend pas vivre sa passion par procuration. Il s’approprie littéralement la notion de compétition dans ses activités de soutien. Mon travail se base sur une acception restrictive du terme « supporter », défini en tant qu’individu qui s’investit émotionnellement de manière poussée et qui s’identifie fortement au club qu’il affectionne. Etre supporter, ce n’est pas le devenir : c’est le demeurer. Analyser le supportérisme revient à s’intéresser à ces fans qui continuent de soutenir une équipe indépendamment de ses performances sportives. J’ai choisi d’enquêter sur des populations qui se rattachent à des institutions-clubs « en situation de marasme », à Strasbourg, Berlin et Turin. Pourquoi ces supporters se rendent-ils encore au stade quand bien même les perspectives de succès sont limitées voire inexistantes ? Quelle place accorder au conflit dans le supportérisme ? Et plus généralement, quels sont les principaux ressorts du militantisme sportif ? / Football supporters are not mere spectators: they can be described as "addicts" or "spect'actors". They do not want to live their passion by proxy, this is why they literally take over the concept of competition. My research is based on a restrictive definition of the term "supporter" as an individual who deeply gets emotionally involved and fully identifies with one's club. Being a supporter does not consist in becoming one but remaining one. Analysing supporterism amounts to taking an interest in these fans who continue to support their team regardless of the performances and outcomes. I chose to investigate populations linked to "decadent" club-institutions in Strasbourg, Berlin and Turin. Why are these supporters still going to the stadium even with very low probability of success ? What is the status of conflict in supporterism ? And more broadly: what are the main features of sport militantism ?
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