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Perception des objets en mouvement<br />Composition bayésienne du flux optique et du mouvement de l'observateur

Colas, Francis 27 January 2006 (has links) (PDF)
La perception est le regroupement d'informations en vue de comprendre son environnement. Pour cela, l'homme utilise plusieurs modalités sensorielles consistuées de plusieurs types d'information. L'une d'entre elles est le flux optique, le déplacement de l'image sur la rétine.<br />Le flux optique permet de recouvrer une partie de la géometrie de la scène observée, mais il s'agit d'un problème très complexe car inverse, mal-posé et incertain.<br />Ces difficultés peuvent être surmontées à l'aide du formalisme de la programmation bayésienne qui s'appuie sur l'usage des probabilités, pour manipuler l'incertitude et le caractère mal-posé, et de la règle de Bayes pour résoudre l'inversion.<br />Nous proposons un modèle bayésien de la perception de plans par le flux optique basé sur quelques hypothèses explicites. Ces hypothèses sont principalement la rigidité, qui considère que l'on observe plus probablement un plan rigide qu'une collection de points de mouvements indépendants et la sationnarité, qui suppose que le mouvement du plan est plus probablement petit.<br />Nous validons notre modèle en nous basant sur cinq expériences issues de la littérature. Pour chacune d'elles, nous expliquons les détails du fonctionnement du modèle et les hypothèses qui conditionnent la bonne reproduction des résultats. Enfin, nous montrons d'une part comment intégrer notre modele au sein de systèmes plus complexes et, d'autre part, l'applicabilité du modèle bayésien à des expériences de perception du flux optique différentes de part leurs protocoles, mais similaires dans leurs ambiguités.
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Learning objects model and context for recognition and localisation / Apprentissage de modèles et contextes d'objets pour la reconnaissance et la localisation

Manfredi, Guido 18 September 2015 (has links)
Cette thèse traite des problèmes de modélisation, reconnaissance, localisation et utilisation du contexte pour la manipulation d'objets par un robot. Le processus de modélisation se divise en quatre composantes : le système réel, les données capteurs, les propriétés à reproduire et le modèle. En spécifiant chacune des ces composantes, il est possible de définir un processus de modélisation adapté au problème présent, la manipulation d'objets par un robot. Cette analyse mène à l'adoption des descripteurs de texture locaux pour la modélisation. La modélisation basée sur des descripteurs de texture locaux a été abordé dans de nombreux travaux traitant de structure par le mouvement (SfM) ou de cartographie et localisation simultanée (SLAM). Les méthodes existantes incluent Bundler, Roboearth et 123DCatch. Pourtant, aucune de ces méthodes n'a recueilli le consensus. En effet, l'implémentation d'une approche similaire montre que ces outils sont difficiles d'utilisation même pour des utilisateurs experts et qu'ils produisent des modèles d'une haute complexité. Cette complexité est utile pour fournir un modèle robuste aux variations de point de vue. Il existe deux façons pour un modèle d'être robuste : avec le paradigme des vues multiple ou celui des descripteurs forts. Dans le paradigme des vues multiples, le modèle est construit à partir d'un grand nombre de points de vue de l'objet. Le paradigme des descripteurs forts compte sur des descripteurs résistants aux changements de points de vue. Les expériences réalisées montrent que des descripteurs forts permettent d'utiliser un faible nombre de vues, ce qui résulte en un modèle simple. Ces modèles simples n'incluent pas tout les point de vus existants mais les angles morts peuvent être compensés par le fait que le robot est mobile et peut adopter plusieurs points de vue. En se basant sur des modèles simples, il est possible de définir des méthodes de modélisation basées sur des images seules, qui peuvent être récupérées depuis Internet. A titre d'illustration, à partir d'un nom de produit, il est possible de récupérer des manières totalement automatiques des images depuis des magasins en ligne et de modéliser puis localiser les objets désirés. Même avec une modélisation plus simple, dans des cas réel ou de nombreux objets doivent être pris en compte, il se pose des problèmes de stockage et traitement d'une telle masse de données. Cela se décompose en un problème de complexité, il faut traiter de nombreux modèles rapidement, et un problème d'ambiguïté, des modèles peuvent se ressembler. L'impact de ces deux problèmes peut être réduit en utilisant l'information contextuelle. Le contexte est toute information non issue des l'objet lui même et qui aide a la reconnaissance. Ici deux types de contexte sont abordés : le lieu et les objets environnants. Certains objets se trouvent dans certains endroits particuliers. En connaissant ces liens lieu/objet, il est possible de réduire la liste des objets candidats pouvant apparaître dans un lieu donné. Par ailleurs l'apprentissage du lien lieu/objet peut être fait automatiquement par un robot en modélisant puis explorant un environnement. L'information appris peut alors être fusionnée avec l'information visuelle courante pour améliorer la reconnaissance. Dans les cas des objets environnants, un objet peut souvent apparaître au cotés d'autres objets, par exemple une souris et un clavier. En connaissant la fréquence d'apparition d'un objet avec d'autres objets, il est possible de réduire la liste des candidats lors de la reconnaissance. L'utilisation d'un Réseau de Markov Logique est particulièrement adaptée à la fusion de ce type de données. Cette thèse montre la synergie de la robotique et du contexte pour la modélisation, reconnaissance et localisation d'objets. / This Thesis addresses the modeling, recognition, localization and use of context for objects manipulation by a robot. We start by presenting the modeling process and its components: the real system, the sensors' data, the properties to reproduce and the model. We show how, by specifying each of them, one can define a modeling process adapted to the problem at hand, namely object manipulation by a robot. This analysis leads us to the adoption of local textured descriptors for object modeling. Modeling with local textured descriptors is not a new concept, it is the subject of many Structure from Motion (SfM) or Simultaneous Localization and Mapping (SLAM) works. Existing methods include bundler, roboearth modeler and 123DCatch. Still, no method has gained widespread adoption. By implementing a similar approach, we show that they are hard to use even for expert users and produce highly complex models. Such complex techniques are necessary to guaranty the robustness of the model to view point change. There are two ways to handle the problem: the multiple views paradigm and the robust features paradigm. The multiple views paradigm advocate in favor of using a large number of views of the object. The robust feature paradigm relies on robust features able to resist large view point changes. We present a set of experiments to provide an insight into the right balance between both. By varying the number of views and using different features we show that small and fast models can provide robustness to view point changes up to bounded blind spots which can be handled by robotic means. We propose four different methods to build simple models from images only, with as little a priori information as possible. The first one applies to planar or piecewise planar objects and relies on homographies for localization. The second approach is applicable to objects with simple geometry, such as cylinders or spheres, but requires many measures on the object. The third method requires the use of a calibrated 3D sensor but no additional information. The fourth technique doesn't need a priori information at all. We apply this last method to autonomous grocery objects modeling. From images automatically retrieved from a grocery store website, we build a model which allows recognition and localization for tracking. Even using light models, real situations ask for numerous object models to be stored and processed. This poses the problems of complexity, processing multiple models quickly, and ambiguity, distinguishing similar objects. We propose to solve both problems by using contextual information. Contextual information is any information helping the recognition which is not directly provided by sensors. We focus on two contextual cues: the place and the surrounding objects. Some objects are mainly found in some particular places. By knowing the current place, one can restrict the number of possible identities for a given object. We propose a method to autonomously explore a previously labeled environment and establish a correspondence between objects and places. Then this information can be used in a cascade combining simple visual descriptors and context. This experiment shows that, for some objects, recognition can be achieved with as few as two simple features and the location as context. The objects surrounding a given object can also be used as context. Objects like a keyboard, a mouse and a monitor are often close together. We use qualitative spatial descriptors to describe the position of objects with respect to their neighbors. Using a Markov Logic Network, we learn patterns in objects disposition. This information can then be used to recognize an object when surrounding objects are already identified. This Thesis stresses the good match between robotics, context and objects recognition.

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