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Évaluation du burn out chez les internes de médecine générale et étude des facteurs associés

Guinaud, Marianne. Compagnon, Laurence. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 72-79.
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Le phénomène de fatigue en conditions extrêmes : le « flush model » à l'épreuve des Jeux olympiques / The fatigue phenomenon in extreme conditions : the “flush model” facing Olympics

Schmit, Cyril 21 November 2016 (has links)
Les modèles explicatifs de l’état d’épuisement lors de performances en endurance se sont récemment distancés des seules implications périphériques pour magnifier le rôle du système nerveux central dans le développement de la fatigue. En particulier, le « Flush Model » (Millet, 2011) a rassemblé les opinions en introduisant la pénibilité perçue de l’effort en tant que régulateur princeps de la performance. Brièvement, cette sensation émergerait de l’ensemble des interactions psycho-physiologiques inhérentes à l’accomplissement de l’exercice et demeurerait modulable pour retarder l’atteinte de l’état d’épuisement. Au sein de cette thèse et dans la perspective des Jeux Olympiques (JO) de Rio, nos efforts se sont concentrés autour de la mise en pratique de ce modèle au service de la performance des athlètes. Les aspects fonctionnels du Flush Model ont ainsi été revisités tant à l’égard des contraintes de l'entraînement que de celles propres à cette compétition (i.e., l’éventualité d’un stress thermique important). Plus précisément, le développement du phénomène de fatigue a été confronté aux problématiques de charges d’entraînement et d’effort en chaleur à travers une double approche de la compétition, aigue et chronique. Une approche aigüe de la compétition renvoie à l’ensemble des stratégies ponctuelles dont dispose l’athlète pour moduler l’évolution de la pénibilité de son effort et optimiser le rapport « difficulté perçue / intensité d’exercice » au cours de l’épreuve. De façon spécifique aux efforts en endurance et au contexte potentiellement chaud des JO, cinq travaux ont alors été entrepris. Deux d’entre eux ont appréhendé les effets sur la performance en endurance en conditions chaudes de stratégies à court-terme i.e., la familiarisation à la chaleur, et le port d’une veste réfrigérante lors de la période d’échauffement. Les résultats indiquent une évolution des stratégies d’allure possiblement induite par des adaptations psycho-physiologiques spécifique à l’intervention. En complément, trois autres travaux ont analysé la réponse cognitive à l’exercice aigu, en conditions tempérées et de chaleur, afin de mieux comprendre l’évolution des paramètres d’autorégulation comportementale (i.e., les fonctions exécutives) impliqués dans la performance sportive. Les dynamiques cognitives identifiées suggèrent l’utilisation de stratégies ponctuelles susceptibles de préserver le niveau d’efficacité de l’individu à l’exercice. Une approche chronique de la compétition fait écho aux interventions durables mises en place par l’athlète en phase précompétitive et visant à maximiser son niveau de performance le jour de l’épreuve. Trois travaux ont été entrepris dans cette perspective. Deux d’entre eux ont investi les problématiques de charge d’entraînement et d’acclimatation à la chaleur afin de déterminer les effets sur la performance et les composantes psycho-physiologiques de stages d’acclimatation à la chaleur. Ces études démontrent la nécessité d’un ajustement précis des charges d’entraînement en chaleur afin de ne pas conduire l’athlète à un état de surmenage contre-productif. Un travail complémentaire a consisté à analyser, via imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, les soubassements neuronaux de l’état de surmenage possiblement rencontré par les athlètes en phase précompétitive. Les résultats indiquent une moindre activation du cortex préfrontal lors de la réalisation de tâches cognitives, accompagnée de réponses comportementales tendant vers un plus grand degré d’impulsivité. Ensemble, ces travaux autorisent une approche complexe du phénomène de fatigue, à partir d’angles de vue aigu et chronique, mais aussi physiologique et central, de ses composantes. (...) / Explanatory models of endurance performance-based physical exhaustion recently moved from peripheral implications to highlight the role of the central nervous system in the phenomenon of fatigue development. In particular, the “Flush Model” (Millet, 2011) underpins a consensus in that it introduces the rate of perceived exertion as the main regulator of performance. Briefly, this sensation would emerge from the whole psychophysiological interactions inherent to exercising and would be modulable to delay exhaustion. Within this thesis and in the perspective of the Olympic Games in Rio, we focused on the practical dimension of this model at the service of athletes’ performance. Accordingly, functional aspects of the Flush Model were revisited both in regards of training and competition constraints (i.e., the possibility of an important thermal stress). More precisely, the development of the fatigue phenomenon has been challenged to training load and heat strain issues through a chronological approach of the competition, acute and chronic. An acute perspective of the competition relates to all punctual strategies that the athlete can use to modulate his/her perceived exertion and optimize the ratio “perceived strain / exercise intensity” during the event. Specific to endurance effort and to the potential hot climate of Olympic Games, five works have been driven. Two of them investigated the effects on endurance performance of short-term strategies i.e., heat-familiarization, and the wearing of an ice vest during the warm-up phase. Results indicate changes in pacing strategies that possibly result from psychophysiological adaptations specific to the intervention. In complement, three other works have analyzed the cognitive response to acute exercise, both in temperate and hot conditions, to better understand the evolution of behavioral self-regulatory parameters (i.e., executive functions) during endurance performance. The cognitive dynamics that have been identified suggest the use of punctual strategies that could protect athlete’s efficacy during exercise. A chronic perspective of the competition reflects medium-term interventions used by athlete during the precompetitive phase and aiming at maximizing his/her performance level the day of the event. Three studies have been conducted in this direction. Two of them have investigated training load and heat-acclimation issues to determine performance effects and psychophysiological correlates of heat camps. Results demonstrate the requirement of an accurate adjustment of training load in the heat in order to optimize athlete’s performance while preserving from overreaching development. A complementary work aimed, using functional magnetic resonance imaging, at identifying neural underpinnings of the overreaching state that athletes could meet during the precompetitive period. Results display a reduced activation of a specific part of the prefrontal cortex during the completion of cognitive tasks, associated to increased choice impulsivity. Together, these studies attempt to apprehend the fatigue phenomenon from a complex perspective i.e., combining acute and chronic, and physiological and central components of fatigue during exercise. On the basis of a better understanding of this phenomenon, and of the functional dimension of the Flush Model, practical strategies can then be recommended for athletes to optimize both their physical condition during pre-competition and their level of efficacy in situ of the competition.
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Attitude des médecins généralistes envers leur propre santé enquête menée auprès de 530 médecins libéraux du département de Meurthe-et-Moselle /

Suty, Romain Aubrège, Alain January 2006 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre.
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De l'épuisement du corps à l'affaissement de soi : effets des transformations des freins et des contrepoids au travail sur la vie des individus / From body exhaustion to self subsidence : effects of the transformations of work brakes and counterweights on the lives of individuals

Kirouac, Laurie 08 March 2012 (has links)
Le travail contemporain est de plus en plus reconnu comme une expérience ambivalente, c'est-à-dire porteuse de satisfactions intrinsèques pour l'individu et des moyens pour s'accomplir et, en même temps, à l'origine de souffrances et malaises psychologiques divers : burn-out, stress, anxiété, dépression, etc. Prenant appui sur les contributions conjointes de l'approche française de la sociologie de l'individu et des sociologies du travail et de la santé mentale, l'objectif de la thèse est de poser un regard renouvelé sur les processus sociaux derrière les retombées foncièrement ambivalentes de l'expérience du travail contemporain. De la même manière que la sociologie a toujours reconnu le rôle irrémédiablement central joué par le travail dans la socialité moderne, la thèse postule que la société a toujours dû trouver les moyens de l'enchâsser, sa valeur morale comme son potentiel d'envahissement pratique, dans le reste de la vie sociale. La société a sans cesse eu à confectionner pour cela des mécanismes sociaux aptes à réguler le poids du travail sur la vie des gens : les freins et contrepoids du travail. Ces derniers réfèrent à l'ensemble des composantes de la socialité qui régissent la part de lui-même que l'individu engage dans le travail, ce qui revient à en baliser l'emprise objective et subjective sur l'existence. Cette recherche doctorale pose l'hypothèse que c'est en retraçant quelques-unes des transformations qu'ont connues les freins et contrepoids du travail, depuis la période fordiste (1940-1970) jusqu'à nos jours, qu'elle pourra éclaircir ce qui par-delà les normes et injonctions managériales amène les contemporains à se mobiliser si intensément vis-à-vis du travail et à accorder autant d'importance à ses rétributions expressives (reconnaissance, accomplissement de soi, etc.). Deux formes de « pathologie » professionnelle, le surmenage professionnel et le burn-out, respectivement liées à l'expérience du travail taylorien et contemporain (ou post-taylorien), lui servent d'ancrage empirique. À partir d'un corpus d'enquêtes interrogeant la plainte du surmenage professionnel et du burn-out, puisé à même la littérature existante, la thèse porte un éclairage sur certaines difficultés susceptibles d'avoir participé aux conditions d'apparition du surmenage professionnel et du burn-out au cours de l'histoire, au Québec et en France. Plus précisément, l'étude comparée de leur plainte cherche à voir si l'une ou l'autre des difficultés qu'elle recèle laisse deviner certaines transformations qu'auraient connues les freins et contrepoids du travail, entre la période fordiste et la période post-fordiste actuelle, et à en traduire certaines conséquences possibles pour l'individu de chacune des époques concernées. / Contemporary work is recognized as an ambivalent experiment, i.e. carrying intrinsic individual satisfactions and the means to achieve them and, at the same time, bringing various kinds of sufferings and psychological sicknesses: burn out, stress, anxiety, depression, etc. Our thesis is based on joint contributions of industrial sociology, mental health sociology and the French branch of individual sociology, and its purpose is to give a renewed approach on the social processes of the experiment of contemporary work. In the same manner as sociology always recognized the central part played by work in modern sociality, the thesis postulates that the society always had to find the ways to fit it into social life (both its moral value and its potential of practical invasion). For this purpose the society unceasingly had to create social mechanisms able to control the part of work on the life of people: brakes and counterweights of work. They refer to whole components of sociality which govern the personal part an individual engages in work, marking out the objective and subjective influence on the existence. Our research hypothesis is: by recalling some transformations within the brakes and counterweights of work since Fordism (1940-1970) until nowadays, we will be able to clarify what, beyond managerial standards and injunctions, leads our contemporaries to be mobilized so intensely with respect to work and to grant such importance to its expressive remunerations (recognition, oneself achievement, etc). Two forms of professional “pathology”, professional overwork and burn out, linked to the experiment of Taylorist work and contemporary work (or post-Taylorist), are used as empirical anchoring. Starting from a corpus of investigations questioning the complaint of burn out and professional overwork (drawn on the existing literature), the thesis casts new light on certain difficulties which took part in the appearance of professional overwork and burn out during the History, in Quebec and in France. More precisely, the compared study of their complaint seeks to see whether one or other difficulty lets guess some transformations which the brakes and counterweights of work would have known, between Fordism and the current post-Fordism, and to bring out some possible consequences for an individual of each period concerned.
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Compréhension du phénomène de surmenage fonctionnel induit par le travail en endurance : implications pour l’entraînement et la performance / Understanding the phenomenon of functional overreaching resulting from endurance training : implications for the training and the performance

Aubry, Anaël 21 November 2016 (has links)
L’entraînement dans les sports d’endurance à haut niveau passe traditionnellement par des périodes de très fortes charges visant à imposer de forts stress. La littérature suggère que ces périodes seront d’autant plus intéressantes si elles sont associées à un important niveau de fatigue et à une diminution de performance (surmenage fonctionnel, SF). Cependant, il n’a jamais été comparé à une surcharge d’entraînement sans diminution de performance (fatigue aigüe, FA). La première partie a montré que la surcompensation de performance au cours de l’affûtage peut répondre de façon Gaussienne à la charge d’entraînement imposée avant l’affûtage. Plus précisément, les résultats ont démontré que l’augmentation de la charge d’entraînement avant l’affûtage peut maximiser la réponse positive à l’entraînement, seulement à condition que le stress d’entraînement ne dépasse pas la capacité de récupération de l’athlète et ne précipite pas de SF. Par ailleurs, il s’avère que les réponses d’affûtage semblent individuelles et non influencées par le niveau de fatigue généré en amont. Ces différences de performance s’expliquent notamment par une bonne adaptation à l’entraînement après une période de surcharge sans SF, quand un état de SF sera à l’inverse associé à une moins bonne adaptation et à une plus grande survenue d’états de santé infectieux. La seconde partie a suggéré que la fatigue observée au sein du groupe SF pouvait également avoir été causée par un phénomène de fatigue cardiaque. En effet, le développement du SF chez l’athlète entraîné est associé à une réduction des valeurs de débit cardiaque à l’exercice / The purpose of this work is to examine whether performance supercompensation during taper is maximized in endurance athletes after experiencing overreaching during an overload training period. This first study showed that 1) greater gains in performance and V˙O2max can be achieved when higher training load is prescribed before the taper but not in the presence of functional overreaching (F-OR); 2) peak performance is not delayed during taper when heavy training loads are completed immediately prior; and 3) F-OR provides higher risk for training maladaptation, including increased infection risks. The second study confirms sleep disturbances and increased illness in endurance athletes who present with symptoms of F-OR during periods of high volume training. The third study shows a lower cardiac output and systolic blood pressure with greater arteriovenous O2 difference were reported in F-OR subjects at all exercising intensities, while no significant change was observed in the control and acute fatigue (AF) groups. A concomitant decrease in epinephrine excretion was reported only in the F-OR group. All values returned to baseline at Post. Following an overload endurance training program leading to F-OR, the cardiac response to exhaustive exercise is transiently impaired, possibly due to reduced epinephrine excretion. This finding is likely to explain the complex process of underperformance syndrome experienced by F-OR endurance athletes during heavy load programs

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