• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La sémantique du parfait étude des "temps composés" dans un choix de langues germaniques et romanes /

Schaden, Gerhard Laca, Brenda. January 2007 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences du langage : Paris 8 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. p. 297-308.
2

Etude diachronique du système verbal persan (Xe-XVIe siècles) : d'un équilibre à l'autre ?

Lenepveu-Hotz, Agnès 24 November 2012 (has links) (PDF)
Ce travail établit les changements morphologiques et syntaxiques du système verbal persan entre les Xe et XVIe siècles. Dix textes en prose représentatifs (régions et dialectes, judéo-persan compris) ont pu faire apparaître les évolutions suivantes. Le nouveau passif analytique recourt à différents auxiliaires avant qu'un seul ne s'impose, šudan, " devenir " (XIIe). L'infinitif et le participe passé évoluent conjointement : les formes d'infinitif plein, en -an, disparaissent au profit de l'infinitif apocopé (kard), quand l'ancien participe passé kard est remplacé par le participe en karda (XIIIe-XIVe). L'adverbe moyen-perse hamē s'est grammaticalisé en préfixe mē et sa valeur principale de concomitance s'est progressivement affaiblie. Le suffixe ē, marqueur d'habitude dans le passé et d'irréel, a décliné au bénéfice de mē (XVe). Peu à peu, le parfait a aussi été utilisé pour l'expression du médiatif. Le futur périphrastique, formé avec xvāstan, " vouloir ", marque à l'origine un futur d'intention, puis exprime également un futur de prédiction (XIVe). Même si le système se délite à partir du XVe siècle, le préfixe bi est un indice de rhématicité tout au long de la période et l'opposition indicatif/subjonctif n'est pas encore recréée. buvad, " est ", a cédé la place à bāšad ; aux époques où ils coexistent (Xe-XIe), buvad marque l'inhérent et bāšad, le transitoire. Quant à la construction des modaux, elle est passée de la rection d'un infinitif à celle d'un verbe conjugué, à la morphologie plus riche (XIVe-XVIe). Il en résulte que, sans en cristalliser tous les changements, le XVe siècle constitue une date charnière dans l'évolution du système verbal persan.
3

Estimation temporelle avec interruption : les effets de localisation et de durée d'interruption sont-ils sensibles à l'incertitude ?

Blier, Mylène 16 April 2018 (has links)
Lors d'études portant sur la production d'intervalles temporels avec interruption, deux principaux effets sont généralement retrouvés lorsque la localisation et la durée de l'interruption varient: les productions temporelles sont plus courtes 1) lorsque l'interruption arrive tôt dans l'intervalle de temps et 2) lorsque la durée de l'interruption est plus longue. L'effet de localisation s'explique principalement par un partage attentionnel lors de la période qui précède l'interruption, mais peut aussi refléter en partie l'effet de processus préparatoires précédant l'interruption. L'effet de durée d'interruption est expliqué par les processus de préparation qui prennent place durant l'interruption. Une façon de réduire les effets préparatoires est d'augmenter l'incertitude quant au moment d'arrivée du signal auquel on doit réagir. L'objectif principal du mémoire doctoral est de tester la sensibilité des effets de localisation et de durée d'interruption à l'incertitude dans trois expériences. Les deux premières expériences portent sur la production d'intervalle temporelle avec interruption. La dernière expérience vérifie l'effet de l'incertitude sur la préparation dans un paradigme de temps de réaction. Pour chaque expérience, deux conditions sont utilisées, soient un groupe où l'incertitude est faible et un autre où l'incertitude est élevée. Dans la première expérience, l'effet de localisation est plus fort dans le groupe où l'incertitude est faible. Aucun effet significatif n'est retrouvé dans l'expérience où la durée de l'interruption est manipulée, ce qui est expliqué principalement par la taille de l'effet de durée d'interruption. Dans la tâche de temps de réaction, l'effet de la période préparatoire est plus prononcé dans le groupe où l'incertitude est faible contrairement au groupe où l'incertitude est élevée. Les résultats permettent de conclure que l'incertitude affecte le partage attentionnel dans l'effet de localisation, mais affecte surtout l'effet de préparation qui serait impliqué dans les trois expériences. Ces résultats s'expliquent du fait que les participants montrent une meilleure préparation lorsque l'incertitude est faible.
4

Étude des phénomènes itératifs en langue : Inscription discursive et Calcul aspectuo-temporel, vers un traitement automatisé

Lebranchu, Julien 15 December 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse s'inscrit dans le domaine du traitement automatique des langues, et concerne l'étude des phénomènes itératifs en langue. Il s'agit notamment de rendre compte de la sémantique de procès exprimant une répétition (d'événements ou d'états) au sein d'un même texte, tant du point de vue de l'aspect que du temps. Nous avons mené nos travaux dans le cadre d'un travail d'équipe pluridisciplinaire couvrant des orientations linguistiques, logiques et informatiques. Ces travaux reposent sur une double appréhension commune d'un énoncé itératif : une entité événementielle en quelque sorte générique qui est présentée comme répétée dans le temps, d'une part ; l'itération proprement dite, conçue comme ensemble des occurrences du modèle, d'autre part. Nous nous focalisons pour notre part sur deux facettes : l'inscription discursive, en nous reposant sur une modélisation objet de la construction du sens des itérations (Mathet, 2007) ; et le calcul aspectuo-temporel au travers de la Sémantique de la temporalité (SdT) (Gosselin, 2011). Nous menons en premier lieu une étude de corpus, sur des articles de journaux et des œuvres littéraires, qui vise à caractériser l'inscription discursive des phénomènes itératifs. Nous exposons sur cette base leurs propriétés discursives dans la perspective de circonscrire automatiquement les itérations, c'est-à-dire repérer la borne initiale et finale du segment textuel correspondant. Nous établissons également un modèle d'annotation pour cette automatisation permettant in fine d'instancier les itérations au sein du modèle objet. Dans un second temps, nous abordons les phénomènes itératifs sous l'angle du calcul aspectuo-temporel. Fondé sur les travaux de Laurent Gosselin sur le calcul aspectuel des procès semelfactifs, nous étudions les ajustements nécessaires pour l'appliquer aux procès itératifs, en intégrant la notion de double visée aspectuelle issue de la SdT, dans la perspective de l'automatisation du calcul. Enfin, nous complétons ces deux aspects de notre travail par l'intégration de nos résultats au sein de TimeML, un formalisme XML de structuration des connaissances temporelles.
5

L'impact environnemental des toitures végétalisées en conditions nordiques : approche de l'analyse du cycle de vie

Pique, Laurie 27 March 2023 (has links)
L'urgence d'agir fait de plus en plus consensus sur l'ensemble de la planète face aux changements climatiques. En effet, les bâtiments engendrent chaque jour une importante quantité d'impacts dans l'environnement. À cet égard, l'enveloppe des bâtiments est un facteur primordial à prendre en considération dans la lutte contre les changements climatiques. Ce projet propose donc d'améliorer l'enveloppe au niveau de la toiture. Pour ce faire, l'objectif de cette étude est d'identifier le point de découplage entre les coûts et les bénéfices environnementaux des toitures végétalisées versus une toiture conventionnelle considérant un contexte de mix énergétique renouvelable et une région climatique nordique. Une analyse du cycle de vie comparative a été réalisé sur quatre assemblages de toitures, dont trois toitures végétalisées à savoir, extensive, semi-intensive et intensive et une toiture conventionnelle. Les toitures ont été étudiées sur les phases de production, de construction, d'utilisation et de fin de vie. Le logiciel EnergyPlusᵀᴹ a été utilisé pour quantifier la consommation d'énergie du bâtiment lors de la phase d'utilisation. Le transport entre chacune des phases a été pris en compte dans cette étude. Les données ont été collectées à partir de la base de données d'EcoInvent et ont été incorporées au logiciel SimaPro duquel les résultats ont été extraits. Les émissions CO₂ libérées par le bâtiment de référence avec chacune des toitures durant la phase d'utilisation et le taux de la séquestration carbone des végétaux plantés sur les toitures végétalisées ont été quantifier et intégrer dans une analyse du cycle de vie dynamique. Les résultats indiquent que l'écart des impacts environnementaux des changements climatiques accumulés à l'année 45 entre les toitures végétalisées extensive, semi-intensive et intensive versus la toiture conventionnelle est de -10,97%, -10,25% et -2,60%, respectivement. Ces résultats suggèrent que les systèmes de toitures végétalisées extensives et semi-intensives sont avantageuses par rapport à une toiture conventionnelle pour une durée de vie de 45 ans dans un contexte de climat froid. En ce qui concerne la toiture végétalisée intensive, elles ne sont ni avantageuses ni désavantageuses par rapport à une toiture conventionnelle. Ce projet fait progresser les connaissances concernant les apports environnementaux de la couverture végétale des toitures végétalisées dans un contexte climatique froid pour les futures constructions. / The urgency to act front climate change is becoming more and more unanimous around the world. Indeed, every day, a large amount of environmental impact is generated by buildings. In this regard, the building envelope is a key factor to consider mitigating climate change. This project proposes to improve the envelope building at the level of the roof. To do this, the aim of this study was therefore to identify the point of decoupling between the environmental cost and the environmental benefits of green roofs versus a conventional roof considering a context of renewable energy mix and a cold climate. A comparative life cycle assessment was performed in SimaPro where four roof assemblies were compared: three green roof systems, namely extensive, semi-intensive and intensive and a conventional roof. Roof assemblies were studied in the production, construction, use and end life phases. EnergyPlusᵀᴹ software was performed to quantify the building energy consumption during the use phase. Transportation between each phase, maintenance and carbon sequestration of the plants on the green roofs were also taken into account in this study. Data was collected from the EcoInvent database and was incorporated into the SimaPro software from which the results were extracted. The CO₂ emissions released by the reference building with each of the roofs during the use phase and the rate of carbon sequestration of the plants planted on the green roofs were quantified and integrated into a dynamic life cycle analysis. The results indicate that the difference in environmental impacts of climate change accumulated at year 45 between extensive, semi-intensive and intensive green roofs versus conventional roofing is -10.97%, -10.25% and -2.60%, respectively. These results suggest that extensive and semi-intensive green roof systems are advantageous over conventional roofing for a 45-year life span in a cold climate. As for the intensive green roof, they are neither advantageous nor disadvantageous compared to a conventional roof. This project advances knowledge regarding the environmental contributions of green roofing in a cold climate context for future constructions.

Page generated in 0.1023 seconds