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Les flux de langues en milieu urbain : espaces diglossiques VS espaces ditopiques. Situation sociolinguistique de la ville de Fort-de-France

Labridy, Lorène 19 June 2009 (has links) (PDF)
La Martinique, île carrefour de la Caraïbe, voit arriver chaque année sur son sol des milliers de migrants étrangers qui transitent ou s'installent. Son chef-lieu (puisque qu'il s'agit d'un département français) constitue la scène principale de ces importants déplacements, de par sa situation géographique – elle est située au centre de l'île – mais aussi de par son « statut de capitale ». Elle est aussi génératrice de migrations à l'intérieur de l'île : la ville est incontournable malgré un effort de décentralisation croissant. De ce fait, les langues en présence s'affrontent, s'entremêlent, cohabitent. Les langues des migrants s'ajoutent aux deux langues présentes sur le terrain, le français et le créole. Ils utiliseraient cette dernière comme un moyen d'intégration. Notre objectif principal est de dépasser la vision diglossique présente jusqu'à présent dans la littérature sociolinguistique. Nous cherchons à montrer qu'il existe une polyglossie, à l'intérieur du rapport diglossique français/créole, que les contacts de langues en milieu urbain favoriseraient. De plus, la diglossie ne considérant pas la spatialité, nous lui préférons la notion de ditopie qui rend compte des représentations spatiales des locuteurs en situation diglossique. Nous nous attachons essentiellement aux discours : ceux des migrants, des Foyalais et ce, au sujet d'un thème central, les langues, en particulier, le créole, et la ville. Nous travaillons à la lumière des recherches effectuées dans le cadre de la sociolinguistique urbaine et des outils qu'elle propose.
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Le rap comme activité (s) sociale (s) : dynamiques discursives et genre à Montréal (approche sociolinguistique) / Rap as a social activity : socio-discursive and gender dynamics in Montreal (a sociolinguistical approach)

Lesacher, Claire 13 October 2015 (has links)
Cette recherche propose d’interroger l’activité rap montréalaise d’un point de vue sociodiscursif et à l’aune du genre, à travers le prisme des pratiques, des représentations, des expériences et des trajectoires de rappeuses à Montréal. Inscrite dans le champ de la sociolinguistique et arrimée aux, ancrages théoriques et épistémologiques qui envisagent le genre comme un rapport social coproduit et les subjectivités en tant que traversées des rapports sociaux, mais jamais Pleinement déterminées par ces derniers, cette étude se base sur une enquête de terrain réalisée en 2011 auprès de rappeuses à Montréal. Axée sur un corpus discursif et interprété selon une méthode qui croise analyse du discours et analyse de contenu thématique, elle engage une approche des phénomènes et des processus à l’œuvre en tant qu’ils sont territorialisés.Les pratiques, les expériences et les représentations des rappeuses seront envisagées dans un contexte marqué par leur « rareté ». Il sera constaté qu’outre une actualisation des rapports sociaux de sexe, les pratiques et les expériences des rappeuses sont aussi impactées par les enjeux sociolinguistiques de l’espace montréalais, ainsi que par ce qui relève du concept de québéquicité. Ainsi, les rappeuses composent leurs pratiques et leurs trajectoires en étant toujours situées à une place unique, dynamique et forcément ambivalente au sein de la matrice de la domination, et qui se façonne notamment par l’imbrication du genre, du langage, des représentations sur le rap, et des héritages d’une idéologie de la francophonie canadienne-française, que réactualise notamment le concept de québéquicité contemporain. / This research offers a socio-discursive insight on the Montréal rap scene, by looking into the practices, representations, experiences and trajectories of female rappers in Montréal, through the prism of gender. Grounded in the field of sociolinguistics – and even more so in urban sociolinguistics for the originality of its questionings – and anchored to the theoretical and epistemological frameworks that envisage gender as a coproduced social relation (“rapport social”) and subjectivities as permeated by social relations, but never completely determined by them, this study is based on a fieldwork among female Montréal rappers, which took place in 2011. Based on a discursive corpus, interpreted using both discourse analysis and thematic analysis, it engages an interpretation of the phenomena and of the processes as territorialized. The practices, experiences and representations of the female rappers will be analyzed in a context marked by their scarcity. Beside the actualization of gender relations and formation processes, I find that the sociolinguistic features of Montréal’s social space, and what is referred to as “québéquicity”, also impact the practices and the experiences of the rappers. Thus, the rappers compose their practices and their trajectories while being constantly positioned in a unique, dynamic, and bound to be ambivalent place inside the “matrix of domination”, shaped by the interweaving of gender, language, perspectives on rap music, and the heritage of an ideology of the French-Canadian “francophonie”, that notably actualizes the contemporary concept of “québéquicity”.
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La construction discursive de la justice et des injustices spatiolinguistique.s dans le capitalisme contemporain : l’exemple de l’action et de l’organisation communautaires à Verdun – Montréal

Deshayes, Thierry 12 1900 (has links)
Thèse en cotutelle (Programme de Sciences Humaines Appliquées de l'Université de Montréal et Département de Communication de l'Université Rennes 2 - France) / Cette recherche se propose de problématiser et d’interroger empiriquement la justice spatiolinguistique en sociolinguistique urbaine. Cette dernière notion, inspirée de celle de justice spatiale en géographie et en études urbaines, permet effectivement au chercheur de devoir interroger, au-delà des « inégalités », « discriminations », de l’« exploitation » ou de la « ségrégation » observées « sur le terrain », le travail de théorisation politique sous-jacent à partir duquel il les identifie comme telles. La justice spatiolinguistique constitue également une façon d’aborder la pluralité des conceptions de la justice des partenaires de la recherche autant que la façon dont s’instituent discursivement les injustices spatiolinguistiques et dont peut aussi s’instituer, par les pratiques langagières, des réalités spatiolinguistiques plus justes. Empiriquement, la justice spatiolinguistique est interrogée ici dans le contexte de l’action et de l’organisation communautaires dans l’arrondissement Verdun de Montréal au Québec. Dans une perspective à dominante marxienne, en problématisant centralement la question des institutions, des sujets et de l’idéologie, il s’agit alors d’étudier la façon dont l’espace urbain du capitalisme avancé et la gouvernementalité néolibérale contemporaine affectent le travail des acteurs de l’organisation communautaire. Dans la perspective croisée de la sociolinguistique urbaine prioritaire, de la linguistique sociale et des sociolinguistique critique et politique, ces phénomènes de justice et d’injustices spatiolinguistiques sont observées à travers l’étude des mises en mots des transformations spatiales, à travers les territorialisations sociales et sociolinguistiques des interlocuteurs de la recherche, notamment via la méthode de l’Analyse du Discours à Entrée Lexicale (ADEL) ainsi qu’à travers l’étude catégorielle de leurs « actes de discours » contre-interpellants, « scénographies », « discours rapportés » et autres pratiques langagières critiques. / This research problematizes and questions empirically the theoretical concept of spatiolinguistic justice, developed in French urban sociolinguistics. This term spatiolinguistic justice, inspired from spatial justice as used in critical geography and urban studies, requires that the researcher inquires his own political theorization behind his use of terms such as “inequality” “discrimination” “exploitation” and “segregation”, terms that are often considered as observed “realities” rather than as discursively constructed. Spatiolinguistic justice also allows the researcher to examine the diversity of approaches to justice as expressed by participants in ethnographic research, and the way justice and injustice are discursively institutionalized through language practices. In this thesis, spatiolinguistic justice is investigated through community action and organization in Verdun (a borough of Montreal) in Quebec. Adopting a (mainly) Marxian perspective to problematize institutions, ideology/ideologies and subjects, the purpose of this study is to examine the way capitalist urban space and neoliberal governmentality affect community organizing actors and their discourse. Weaving together theorization in urban sociolinguistics, social linguistics, critical sociolinguistics and political sociolinguistics, this study approaches spatiolinguistic justice and injustice through the analysis of discourse on spatial transformation and through social and sociolinguistics territorialization. This is done through a lexical entry method to discourse analysis but also through the study of the participants’ counter-interpelling “discourse acts”, “discursive scenography”, “reported speech” and other approaches to critical analysis of language practices.

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