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La métropole-village(s) de Ouagadougou : explorer les potentiels d'un territoire, supports de processus de projet architectural / Ouagadougou the contemporary City-village(s) : exploring the territoty's potential, supports's architectural project's process

Mama Awal, Halimatou 12 January 2015 (has links)
La ville africaine s'étale et intègre les villages environnants en devenant métropole. Que ce soit le mouvement des ruraux vers les villes ou bien de la ville vers la campagne, ces phénomènes inquiètent les spécialistes. La pensée traditionnelle du monde qui opposait ville-campagne, ville-village, ville-brousse, n'est plus d'actualité. Les réalités du territoire sont devenues autres. Quels sont les outils qui nous permettent de lire ces nouvelles réalités? Comment opérer ce changement de «lunettes» que nous propose Bernardo Secchi pour lire et écrire la «ville contemporaine»?Pour nos recherches, nous considérons Ouagadougou comme un véritable observatoire. L'objectif est d'apprendre des lieux d'initiatives où se construisent de nouveaux modes de vie dans des dynamiques imprévues. Aujourd'hui, la capitale burkinabé est caractérisée par une double identité foncière. Une organisation foncière publique importée de la pensée coloniale dite « lotie », et une organisation foncière informelle issue de la culture villageoise dite « non-lotie ». À force de coexistence, le développement de métropole n'a t-il pas engendré d'autres phénomènes, avec des degrés et des intensités variés de planification et de spontanéité? La rencontre des deux modes opératoires ne définit pas un rapport dual, mais un intervalle. Dans ce contexte, le « village » entendu dans sa dimension sociale et communautaire devient, en milieu urbain, générateur d'espaces communs. Les structures communautaires testent les possibles et inventent la métropole au quotidien : elles rendent flexible toute forme de planification. Ainsi, nous formulons l'hypothèse que l'étude de la « Métropole-village(s)» de Ouagadougou peut amener à de nouvelles connaissances permettant la création d'outils de compréhension des territoires urbanisés contemporains / The African city spreads and incorporates the surrounding villages becoming metropolis. Whether the migration from rural to urban or from the city to the countryside, these phenomena became a concern for specialists. Traditional thinking of the world that opposed city-countryside, city-village, city-bush, is no longer valid. Territory's realities became different. What are the tools that allow us to read these new realities? How can we proceed to a change of "glasses" that Bernardo Secchi is proposing, in order to read and write the " contemporary city "?For our research, we consider Ouagadougou as a true observatory. The objective is to learning places of initiatives which build new lifestyles in unexpected dynamics. Today, the capital of Burkina Faso is characterized by a dual identity of the land. Public land organization imported from the colonial thinking called " lotie " (subdivided area) and an informal tenure arrangements after the village culture called “non-lotie” (non-subdivided area). To force to coexistence, hasn't the metropolis generated new phenomena, with different degrees and intensities of planification and spontaneity? The meeting of the two procedures does not define a dual report, but an interval. In this context, the "village" understood in its social and community dimension becomes an urban environment generating shared spaces. Communal structures are questioning what is possible and redefine what a metropolis is every day: they make flexible any form of planning. Thus, we hypothesize that the study of "City-village(s)” of Ouagadougou may lead to new knowledge to the creation of tools for understanding contemporary urbanized territories
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Pouvoirs urbains et gestion partagée à Ouagadougou. Equipements et services de proximité dans les périphéries

Jaglin, Sylvy 05 December 1991 (has links) (PDF)
Décennie de crise des villes africaines, mais aussi de revalorisation du rôle des cités dans le développement, les années 80 voient fleurir les politiques visant à restaurer, ou à susciter, l'efficacité économique urbaine. Pour les bailleurs de fonds internationaux, celle-ci est liée à une meilleure gestion des villes dont la responsabilité, à travers les décentralisations, revient partiellement aux collectivités locales : animatrices du développement, elles sont en effet supposées orchestrer des dynamismes catalyseurs jusqu'alors occultés par des bureaucraties technocratiques et centralisées. L'intérêt pour la gestion est aussi accompagné d'une résurgence des discours sur la « participation citadine ». Bien des incertitudes demeurent pourtant quant aux modalités concrètes de fonctionnement de ce triptyque gestion-décentralisation-participation. A quelle échelle décentraliser pour promouvoir le plus efficacement la gestion urbaine ? La participation des populations est-elle possible et souhaitable dans ce domaine ? Qu'entendre par participation et quelles formes lui donner ? Ces questions sont centrales dans le Burkina Faso révolutionnaire et des réponses originales leur sont apportées, notamment à Ouagadougou qui, de 1983 à 1991, affirme sa primauté. S'il ne l'a pas impulsée, le pouvoir révolutionnaire, initialement incarné par le Capitaine Sankara, contribue à cette dynamique urbaine. D'emblée l'habitat est un enjeu majeur de sa politique de modernisation et la capitale, lieu privilégié de mise en œuvre du projet urbain étatique, est rapidement livrée aux bouleversements de la rénovation, en centre-ville, à ceux de la régularisation foncière dans les périphéries, vastes aires non loties regroupant presque la moitié des citadins. Cette ample opération de restructuration, à double dimension technique et politique, est accompagnée d'efforts pour concevoir des mécanismes originaux de production des équipements et de gestion des services de proximité. Les procédures imaginées reposent sur le partage des charges et responsabilités gestionnaires entre les résidants et les acteurs institutionnels : ce sont avant tout ces formes inédites de contributions croisées, constituant la « gestion partagée » et inspirant aujourd'hui des urbanistes et opérateurs œuvrant ailleurs en Afrique de l'Ouest, qui sont au cœur de cet ouvrage.

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