• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 2
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Les effets de la violence organisée sur le processus d'intégration des réfugiés : le cas des Colombiens au Québec

Cledon, Roxana 06 1900 (has links)
Le conflit armé en Colombie est le troisième conflit le plus long du monde, après le problème entre la Palestine et l’Israël et celui entre l’Inde et le Pakistan. La violence organisée qui caractérise ce conflit a des conséquences sur le plan individuel (souffrance psychologique, etc.) et sur le plan collectif (démobilisation sociale par la terreur, modification de la pensée critique, augmentation de la violence commune). Cette violence a poussé des milliers de Colombiens à l’exil. Certaines de ces personnes arrivent au Québec en tant que réfugiés. La présente étude décrit et analyse les effets de la violence organisée subie en Colombie par ces personnes. Elle fait le lien entre ces conséquences et le processus d’intégration des refugiés colombiens dans une région du Québec, la Haute-Yamaska. Le principal objectif de ce mémoire est de répondre à cette question : selon l’expérience des immigrants réfugiés colombiens victimes de violence organisée, quels sont les effets de cette violence sur leur vie actuelle au Québec? Douze récits d’expériences ont été recueillis et analysés à partir d’entrevues semi dirigées auprès des refugiés colombiens. Les résultats de cette étude montrent la nécessité, pour les réfugiés, d’un travail d’élaboration autour de leur propre identité à travers l’expérience vécue; la présence du retrait et de l’isolement comme mécanismes de protection qui se manifestent en terre d’accueil; la reproduction, par un groupe minoritaire, de certains des comportements qui sont jugés violents en terre d’accueil et qui dans le contexte de la terre d’origine avaient un autre sens. Cette différence de sens est accompagnée d’une tolérance différente à la violence dans un groupe de réfugiés et la société d’accueil. L’attitude personnelle positive face aux difficultés ainsi que le soutien du réseau familial ou des nouveaux amis sont des facilitateurs de l’intégration. Finalement, on constate que les effets d’un deuil prolongé freinent l’investissement affectif et personnel en terre d’accueil. / The armed conflict in Colombia is the third longest conflict in the world after the problem between Palestine and Israel and the one between India and Pakistan. Organized violence that characterizes this conflict has consequences at the individual level (psychological distress, etc.) and the collective (social demobilization by terror, modification of critical thinking, increased common violence).This kind of violence has forced thousands of Colombians into exile. Some of these people come to Quebec as refugees. This study describes and analyzes the effects of organized violence suffered by these persons in Colombia. It links these consequences and the integration of Colombian refugees in a region of Quebec, Haute-Yamaska. The main objective of this master’s thesis is to answer this question: According to the experiences of refugee Colombian victims of organized violence, what are the effects of this experience on their lives today in Quebec? Twelve stories were collected and analyzed based on interviews with Colombian refugees. The results of this study show that refugees need to work out their own identity trough these particular experiences; the presence of withdrawal and isolation as protective mechanisms that occur in their host country; the reproduction, for a minority, of some behaviors that are considered violent in their host country but, in the context of their land of origin, had another meaning. This difference is accompanied by a different tolerance for violence for refugees and the host society. A personal positive attitude in face of difficulties and the support of a family network or friends are enablers of integration. Finally, the effects of a long-term bereavement slow emotional and personal investment in the new country. / RESUMEN DE LA INVESTIGACION El conflicto armado en Colombia es el tercero más largo del mundo después del problema entre Palestina e Israel y entre la India y Pakistán. La violencia organizada que caracteriza este conflicto causa consecuencias a nivel individual (problemas psicológicos, etc.) y colectivo (inmovilización social por terror, modificación del pensamiento crítico, aumento de la violencia común). Esa violencia ha obligado a miles de colombianos a partir al exilio. Algunas de estas personas llegan a Quebec como refugiados. Este estudio describe y analiza los efectos de la violencia organizada que sufren estas personas en Colombia y sus consecuencias sobre su integración en una región de Quebec, la Haute Yamaska. El principal objetivo de esta tesis de maestría es de responder a la siguiente pregunta: según la experiencia de los refugiados colombianos ¿Cuáles son los efectos de la violencia organizada en sus vidas hoy en Quebec? Doce relatos fueron recogidos y analizados a partir de entrevistas semidirigidas con refugiados colombianos. Los resultados de este estudio muestran diversos procesos de integración donde se observa la necesidad, para los refugiados, de un trabajo de elaboración de la propia identidad a través la experiencia vivida; la retirada y el aislamiento como mecanismos de protección que se reproducen en el país de acogida; la reproducción de conductas violentas que no son percibidas de la misma manera en Colombia y Quebec, teniendo diferente sentido en ambos contextos, los límites de tolerancia a la violencia son diferentes; la actitud personal positiva y una red de apoyo de familiares o amigos son facilitadores de la integración; finalmente los efectos del duelo no resuelto hacen mas lenta la implicación personal y afectiva en el nuevo país.
2

Les effets de la violence organisée sur le processus d'intégration des réfugiés : le cas des Colombiens au Québec

Cledon, Roxana 06 1900 (has links)
RÉSUMÉ DE LA RECHERCHE Le conflit armé en Colombie est le troisième conflit le plus long du monde, après le problème entre la Palestine et l’Israël et celui entre l’Inde et le Pakistan. La violence organisée qui caractérise ce conflit a des conséquences sur le plan individuel (souffrance psychologique, etc.) et sur le plan collectif (démobilisation sociale par la terreur, modification de la pensée critique, augmentation de la violence commune). Cette violence a poussé des milliers de Colombiens à l’exil. Certaines de ces personnes arrivent au Québec en tant que réfugiés. La présente étude décrit et analyse les effets de la violence organisée subie en Colombie par ces personnes. Elle fait le lien entre ces conséquences et le processus d’intégration des refugiés colombiens dans une région du Québec, la Haute-Yamaska. Le principal objectif de ce mémoire est de répondre à cette question : selon l’expérience des immigrants réfugiés colombiens victimes de violence organisée, quels sont les effets de cette violence sur leur vie actuelle au Québec? Douze récits d’expériences ont été recueillis et analysés à partir d’entrevues semi dirigées auprès des refugiés colombiens. Les résultats de cette étude montrent la nécessité, pour les réfugiés, d’un travail d’élaboration autour de leur propre identité à travers l’expérience vécue; la présence du retrait et de l’isolement comme mécanismes de protection qui se manifestent en terre d’accueil; la reproduction, par un groupe minoritaire, de certains des comportements qui sont jugés violents en terre d’accueil et qui dans le contexte de la terre d’origine avaient un autre sens. Cette différence de sens est accompagnée d’une tolérance différente à la violence dans un groupe de réfugiés et la société d’accueil. L’attitude personnelle positive face aux difficultés ainsi que le soutien du réseau familial ou des nouveaux amis sont des facilitateurs de l’intégration. Finalement, on constate que les effets d’un deuil prolongé freinent l’investissement affectif et personnel en terre d’accueil. / ABSTRACT The armed conflict in Colombia is the third longest conflict in the world after the problem between Palestine and Israel and the one between India and Pakistan. Organized violence that characterizes this conflict has consequences at the individual level (psychological distress, etc.) and the collective (social demobilization by terror, modification of critical thinking, increased common violence).This kind of violence has forced thousands of Colombians into exile. Some of these people come to Quebec as refugees. This study describes and analyzes the effects of organized violence suffered by these persons in Colombia. It links these consequences and the integration of Colombian refugees in a region of Quebec, Haute-Yamaska. The main objective of this master’s thesis is to answer this question: According to the experiences of refugee Colombian victims of organized violence, what are the effects of this experience on their lives today in Quebec? Twelve stories were collected and analyzed based on interviews with Colombian refugees. The results of this study show that refugees need to work out their own identity trough these particular experiences; the presence of withdrawal and isolation as protective mechanisms that occur in their host country; the reproduction, for a minority, of some behaviors that are considered violent in their host country but, in the context of their land of origin, had another meaning. This difference is accompanied by a different tolerance for violence for refugees and the host society. A personal positive attitude in face of difficulties and the support of a family network or friends are enablers of integration. Finally, the effects of a long-term bereavement slow emotional and personal investment in the new country. / RESUMEN DE LA INVESTIGACION El conflicto armado en Colombia es el tercero más largo del mundo después del problema entre Palestina e Israel y entre la India y Pakistán. La violencia organizada que caracteriza este conflicto causa consecuencias a nivel individual (problemas psicológicos, etc.) y colectivo (inmovilización social por terror, modificación del pensamiento crítico, aumento de la violencia común). Esa violencia ha obligado a miles de colombianos a partir al exilio. Algunas de estas personas llegan a Quebec como refugiados. Este estudio describe y analiza los efectos de la violencia organizada que sufren estas personas en Colombia y sus consecuencias sobre su integración en una región de Quebec, la Haute Yamaska. El principal objetivo de esta tesis de maestría es de responder a la siguiente pregunta: según la experiencia de los refugiados colombianos ¿Cuáles son los efectos de la violencia organizada en sus vidas hoy en Quebec? Doce relatos fueron recogidos y analizados a partir de entrevistas semidirigidas con refugiados colombianos. Los resultados de este estudio muestran diversos procesos de integración donde se observa la necesidad, para los refugiados, de un trabajo de elaboración de la propia identidad a través la experiencia vivida; la retirada y el aislamiento como mecanismos de protección que se reproducen en el país de acogida; la reproducción de conductas violentas que no son percibidas de la misma manera en Colombia y Quebec, teniendo diferente sentido en ambos contextos, los límites de tolerancia a la violencia son diferentes; la actitud personal positiva y una red de apoyo de familiares o amigos son facilitadores de la integración; finalmente los efectos del duelo no resuelto hacen mas lenta la implicación personal y afectiva en el nuevo país.
3

Alliance Politics in Hybrid Regimes : Political Stability and Instability since World War II

Gagné, Jean-François 08 1900 (has links)
Cette thèse étudie la stabilité et l’instabilité politique des régimes hybrides. Elle pose la question suivante : dans quelles conditions l’autorité des élites au pouvoir est-elle reconnue ou contestée? Notre réponse s’articule en lien avec le caractère inclusif ou exclusif de la coalition dirigeante : c’est-à-dire, l’alliance stratégique des élites dirigeantes avec les groupes sociaux dominants. L’inclusion de ces derniers favorise le consentement et la stabilité; leur exclusion entraîne l’affrontement et l’instabilité politique. Sa composition dépend (i) du degré de violence organisée extra-légale et (ii) du degré de pénétration de l’État sur le territoire et dans l’économie. La première variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (militaires) ou du régime (partis d’opposition) est dominant et influence les formes de communication politique avec les élites dirigeantes. La deuxième variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (fonctionnaires) ou de la société (chefs locaux) est dominant et oriente les rapports entre les régions et le pouvoir central. L’apport de la recherche est d’approfondir notre compréhension des institutions politiques dans les régimes hybrides en mettant l’accent sur l’identité des groupes sociaux dominants dans un contexte donné. La thèse propose un modèle simple, flexible et original permettant d’appréhender des relations causales autrement contre-intuitives. En ce sens, la stabilité politique est également possible dans un pays où l’État est faible et/ou aux prises avec des mouvements de rébellion; et l’instabilité dans un contexte inverse. Tout dépend de la composition de la coalition dirigeante. Afin d’illustrer les liens logiques formulés et d’exposer les nuances de notre théorie, nous employons une analyse historique comparative de la coalition dirigeante en Malaisie (1957-2010), en Indonésie (1945-1998), au Sénégal (1960-2010) et au Paraguay (1945-2008). La principale conclusion est que les deux variables sont incontournables. L’une sans l’autre offre nécessairement une explication incomplète des alliances politiques qui forgent les conditions de stabilité et d'instabilité dans les régimes hybrides. / The thesis studies stability and instability in hybrid regimes. The research question is: under which conditions the authority of the elites in power is recognized or contested? Our answer rests on the inclusive or exclusive dimension of the ruling coalition: that is, the strategic alliance between the ruling elites and dominant social groups. Inclusion favors consent and stability whereas exclusion favors contention and instability. The composition of the ruling coalition depends on (i) the degree of extra-legal organized violence and (ii) the degree of state penetration over the territory and in the economy. The first variable identifies which social group in the state (military officers) or in the regime (opposition parties) is dominant and influences the forms of political communication with the ruling elites. The second variable identifies which social group in the state (bureaucrats) or in society (local leaders) is dominant and shapes the relation between regions and the center. The thesis contribution is to deepen our understanding of political institutions in hybrid regimes by focusing on the identity of dominant social groups according to a given context. It offers a simple, flexible and original model that allow us to grasp causal relations that would otherwise be counter-intuitive. Hence, political stability is also possible in a country where the state is weak and/or rebellion movements exist; and instability in the opposite context. It all comes down to the composition of the ruling coalition. In order to illustrate the line of reasoning and unfold the richness of our framework, a comparative historical analysis of the ruling coalition in Malaysia (1957-2010), Indonesia (1945-1998), Senegal (1960-2010) and Paraguay (1945-2008) is used. The main conclusion is that the two variables are key. One without the other necessarily amounts to an incomplete explanation of political alliances at stake when dealing with conditions of stability and instability in hybrid regimes.
4

Alliance Politics in Hybrid Regimes : Political Stability and Instability since World War II

Gagné, Jean-François 08 1900 (has links)
Cette thèse étudie la stabilité et l’instabilité politique des régimes hybrides. Elle pose la question suivante : dans quelles conditions l’autorité des élites au pouvoir est-elle reconnue ou contestée? Notre réponse s’articule en lien avec le caractère inclusif ou exclusif de la coalition dirigeante : c’est-à-dire, l’alliance stratégique des élites dirigeantes avec les groupes sociaux dominants. L’inclusion de ces derniers favorise le consentement et la stabilité; leur exclusion entraîne l’affrontement et l’instabilité politique. Sa composition dépend (i) du degré de violence organisée extra-légale et (ii) du degré de pénétration de l’État sur le territoire et dans l’économie. La première variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (militaires) ou du régime (partis d’opposition) est dominant et influence les formes de communication politique avec les élites dirigeantes. La deuxième variable permet d’identifier quel groupe social au sein de l’État (fonctionnaires) ou de la société (chefs locaux) est dominant et oriente les rapports entre les régions et le pouvoir central. L’apport de la recherche est d’approfondir notre compréhension des institutions politiques dans les régimes hybrides en mettant l’accent sur l’identité des groupes sociaux dominants dans un contexte donné. La thèse propose un modèle simple, flexible et original permettant d’appréhender des relations causales autrement contre-intuitives. En ce sens, la stabilité politique est également possible dans un pays où l’État est faible et/ou aux prises avec des mouvements de rébellion; et l’instabilité dans un contexte inverse. Tout dépend de la composition de la coalition dirigeante. Afin d’illustrer les liens logiques formulés et d’exposer les nuances de notre théorie, nous employons une analyse historique comparative de la coalition dirigeante en Malaisie (1957-2010), en Indonésie (1945-1998), au Sénégal (1960-2010) et au Paraguay (1945-2008). La principale conclusion est que les deux variables sont incontournables. L’une sans l’autre offre nécessairement une explication incomplète des alliances politiques qui forgent les conditions de stabilité et d'instabilité dans les régimes hybrides. / The thesis studies stability and instability in hybrid regimes. The research question is: under which conditions the authority of the elites in power is recognized or contested? Our answer rests on the inclusive or exclusive dimension of the ruling coalition: that is, the strategic alliance between the ruling elites and dominant social groups. Inclusion favors consent and stability whereas exclusion favors contention and instability. The composition of the ruling coalition depends on (i) the degree of extra-legal organized violence and (ii) the degree of state penetration over the territory and in the economy. The first variable identifies which social group in the state (military officers) or in the regime (opposition parties) is dominant and influences the forms of political communication with the ruling elites. The second variable identifies which social group in the state (bureaucrats) or in society (local leaders) is dominant and shapes the relation between regions and the center. The thesis contribution is to deepen our understanding of political institutions in hybrid regimes by focusing on the identity of dominant social groups according to a given context. It offers a simple, flexible and original model that allow us to grasp causal relations that would otherwise be counter-intuitive. Hence, political stability is also possible in a country where the state is weak and/or rebellion movements exist; and instability in the opposite context. It all comes down to the composition of the ruling coalition. In order to illustrate the line of reasoning and unfold the richness of our framework, a comparative historical analysis of the ruling coalition in Malaysia (1957-2010), Indonesia (1945-1998), Senegal (1960-2010) and Paraguay (1945-2008) is used. The main conclusion is that the two variables are key. One without the other necessarily amounts to an incomplete explanation of political alliances at stake when dealing with conditions of stability and instability in hybrid regimes.

Page generated in 0.0445 seconds