La thèse étudie la façon dont le design urbain peut être une stratégie pour promouvoir les mobilités zéro émission, dans le cadre d’une mobilité quotidienne, telles que la marche, le vélo et les transports en commun. Ce travail explore les connaissances des praticiens du design urbain bâti, à savoir des urbanistes, des aménageurs, des architectes ainsi que des paysagistes, en tant qu’une source complémentaire s’ajoutant à celles issues de la recherché. Des enquêtes ont été menées en France et en Norvège. Les résultats ont été croisés avec la littérature scientifique ainsi qu’avec la littérature issue du design urbain. Un changement modal permanent requiert que l’utilisation de modes zéro émission soit à la fois une possibilité et un plaisir. L’influence du design urbain sur les choix modaux est particulièrement importante durant le voyage, lorsque l’usager se déplace à travers la ville et ses espaces publics. En particulier, les interactions avec l’environnement bâti, à l’échelle d’un quartier, influencent la manière dont la personne se souviendra de son déplacement. Ce souvenir impactera, dans un second temps, ses futurs choix modaux. Ces interactions sont d’autant plus importantes dans le cas de la marche et du vélo, ce qui impacte directement l’utilisation des transports en commun. / The doctoral thesis explores how urban design can be a mobility-mitigation strategy to promote the use of zero-emission modes such as walking, cycling, and public transport. What is the potential contribution of neighbourhood-scale built-environment interventions towards a sustainable modal shift? The work explores the experience-based knowledge of urban design practitioners (urban planners and designers, architects, landscape architects) as a source for new insights, complementary to those of research. A mixed-methods approach was employed in France and in Norway, consisting of workshops, interviews, and a survey. The results were crossed with findings from research and design literature, analyzed from an interdisciplinary, holistic perspective. The results show that achieving a permanent modal shift requires the use of zero-emission choices to be both possible and pleasurable. The influence of urban design is likely most significant during trips, when a person moves through a city and its public spaces. Interactions with the neighbourhood-scale built environment influences overall travel satisfaction, and the remembered trip experience matters for future modal choices. Modal choices are highly individual; people’s barriers for a zero-emission choice vary. Urban design interventions can help lower these, through bigger or smaller measures.
Identifer | oai:union.ndltd.org:theses.fr/2018ISAT0020 |
Date | 01 February 2018 |
Creators | Rynning, Maja karoline |
Contributors | Toulouse, INSA, Adolphe, Luc, Bonhomme, Marion |
Source Sets | Dépôt national des thèses électroniques françaises |
Language | English |
Detected Language | French |
Type | Electronic Thesis or Dissertation, Text |
Page generated in 0.0028 seconds