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Bucarest face aux enjeux urbains contemporains : les dynamiques du développement et de l’aménagement dans une capitale de la "nouvelle Europe" / Bucharest confronted to its contemporary urban issues : the dynamics of development and planning in a capital city of the "new Europe"

Baidan, Ana Magdalena 24 November 2016 (has links)
La ville de Bucarest est, depuis 25 ans, mitigée entre deux réalités urbaines qui se superposent : les résultats de la planification communiste – toujours fort visibles dans le tissu urbain – et l’approche contemporaine, qui essaie de s’adapter et de transformer l’ancien bâti (Vanau, G., 2010, Ticana, N., 2013, Ianos, I., 2004, Ioja, C., 2011, Erdeli, G., Nae, M., 2008, etc.). Cette nouvelle vision de la ville et façon de la créer mène à un questionnement : comment est-ce que cette ville évolue-t-elle actuellement ? Qui maitrise son développement et qui s’implique dans sa construction ? Est-ce que les éléments qui composent le cadre règlementaire, légal, opérationnel de ce développement sont capables de répondre aux besoins des habitants et aux attentes européennes ?Afin de répondre à ce questionnement, notre recherche vise à comprendre la dynamique de développement urbain à Bucarest, en s’axant sur trois domaines qui, à notre avis, ont une influence accrue sur la construction de la ville d’après 1989 : la croissance des zones résidentielles, les nouveaux grands espaces commerciaux et de bureaux et enfin le réseau de transport et mobilité urbaine. L’échelle d’analyse part du cadre européen, par l’étude de plusieurs capitales postsocialistes, pour se concentrer sur notamment la ville de Bucarest, dans son territoire de soutien. La démarche prend en compte les politiques, les outils et les acteurs qui s’impliquent dans les domaines ciblés, ainsi que les résultats des dernières deux décennies d’évolution urbaine. / The city of Bucharest has been, for the past 25 years, torn between two overlapping urban realities: the results of communist planning - still very visible in the urban fabric - and the contemporary approach, which tries to adapt to, but also to transform the existing built areas (Vanau, G., 2010 Ticana, N., 2013, Ianos, I., 2004 Ioja, C., 2011 Erdeli, G., Nae M., 2008, etc.). This new vision of the city and the process of its “creation” lead to several questions: how is the city changing now ? Who masters its development and who is involved in its construction? Are the components of the regulatory, legal, operational frameworks of this development able to meet both the needs of the residents and the European expectations ? In order to answer these questions, our research aims at understanding the dynamics of Bucharest’s urban development, by focusing on three domains which, in our opinion, have a major influence on the development of the city after 1989: the growth of residential areas, the new commercial and office spaces and, finally, the transportation system and urban mobility. The analysis ranges from the European framework, through the study of several post-socialist capitals to the capital city of Bucharest within its territory. The approach takes into account the policies, tools and actors related to our targeted domains, as well as the results of the last two decades of urban evolution.
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La ville comme exclusion : le rôle de l'État local dans la gentrification du centre de Montréal

Kilfoil, Patrick 05 January 2012 (has links)
Dans l’optique d’ajouter à la compréhension de la gentrification et en réponse aux développements récents au niveau de la théorisation, cette recherche analyse le rôle des gouvernements locaux dans la production du discours. Pour y arriver, nous utilisons une méthode tripartite qui situe la gentrification à Montréal, identifie et spatialise le discours de l’État local et analyse la perception sociale face à sa concrétisation. Nous expliquons que le lien de causalité entre la gentrification et l’exclusion doit être renversé lorsque le rôle de l’État local est considéré. Ainsi, le gouvernement local crée des catégories d’inclus et d’exclus en construisant un discours autour d’un idéal de développement urbain particulier et encourage par le fait même la gentrification. Ces résultats soulignent l’importance d’insérer la gentrification dans un processus de construction sociopolitique de l’espace urbain et non pas de la considérer simplement comme symptôme de la logique économique capitaliste contemporaine.
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La ville comme exclusion : le rôle de l'État local dans la gentrification du centre de Montréal

Kilfoil, Patrick 05 January 2012 (has links)
Dans l’optique d’ajouter à la compréhension de la gentrification et en réponse aux développements récents au niveau de la théorisation, cette recherche analyse le rôle des gouvernements locaux dans la production du discours. Pour y arriver, nous utilisons une méthode tripartite qui situe la gentrification à Montréal, identifie et spatialise le discours de l’État local et analyse la perception sociale face à sa concrétisation. Nous expliquons que le lien de causalité entre la gentrification et l’exclusion doit être renversé lorsque le rôle de l’État local est considéré. Ainsi, le gouvernement local crée des catégories d’inclus et d’exclus en construisant un discours autour d’un idéal de développement urbain particulier et encourage par le fait même la gentrification. Ces résultats soulignent l’importance d’insérer la gentrification dans un processus de construction sociopolitique de l’espace urbain et non pas de la considérer simplement comme symptôme de la logique économique capitaliste contemporaine.
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La ville comme exclusion : le rôle de l'État local dans la gentrification du centre de Montréal

Kilfoil, Patrick 05 January 2012 (has links)
Dans l’optique d’ajouter à la compréhension de la gentrification et en réponse aux développements récents au niveau de la théorisation, cette recherche analyse le rôle des gouvernements locaux dans la production du discours. Pour y arriver, nous utilisons une méthode tripartite qui situe la gentrification à Montréal, identifie et spatialise le discours de l’État local et analyse la perception sociale face à sa concrétisation. Nous expliquons que le lien de causalité entre la gentrification et l’exclusion doit être renversé lorsque le rôle de l’État local est considéré. Ainsi, le gouvernement local crée des catégories d’inclus et d’exclus en construisant un discours autour d’un idéal de développement urbain particulier et encourage par le fait même la gentrification. Ces résultats soulignent l’importance d’insérer la gentrification dans un processus de construction sociopolitique de l’espace urbain et non pas de la considérer simplement comme symptôme de la logique économique capitaliste contemporaine.
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La ville comme exclusion : le rôle de l'État local dans la gentrification du centre de Montréal

Kilfoil, Patrick January 2012 (has links)
Dans l’optique d’ajouter à la compréhension de la gentrification et en réponse aux développements récents au niveau de la théorisation, cette recherche analyse le rôle des gouvernements locaux dans la production du discours. Pour y arriver, nous utilisons une méthode tripartite qui situe la gentrification à Montréal, identifie et spatialise le discours de l’État local et analyse la perception sociale face à sa concrétisation. Nous expliquons que le lien de causalité entre la gentrification et l’exclusion doit être renversé lorsque le rôle de l’État local est considéré. Ainsi, le gouvernement local crée des catégories d’inclus et d’exclus en construisant un discours autour d’un idéal de développement urbain particulier et encourage par le fait même la gentrification. Ces résultats soulignent l’importance d’insérer la gentrification dans un processus de construction sociopolitique de l’espace urbain et non pas de la considérer simplement comme symptôme de la logique économique capitaliste contemporaine.
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Pour des approches intégrées de développement urbain durable : analyse de trois projets de revitalisation : Lyon: le quartier La Croix-Rousse, Montréal: le quartier Sainte-Marie, Trois-Rivières: les premiers quartiers

Laurence, Pierre January 2007 (has links) (PDF)
Le concept d'approches intégrées de développement urbain durable, en matière de la revitalisation des quartiers, est inspiré des pratiques observées dans divers pays européens depuis une trentaine d'années. Il n'y a pas encore de définitions reconnues de ce concept. On retrouve plusieurs appellations, notamment les approches intégrées de développement urbain, le développement social durable des villes, qui visent plus ou moins à intégrer simultanément lors des interventions des enjeux reliés au développement économique, social, culturel et durable, en particulier autour de la lutte contre la pauvreté et l'exclusion, la participation citoyenne, l'aménagement des espaces urbains, l'habitation, la sécurité urbaine, le développement de l'emploi, l'accueil et l'intégration des nouveaux arrivants, le transport, les espaces verts, etc. Les villes désormais occupent une place centrale dans l'organisation et la transformation des pays. Essentiellement, le développement des pays se prépare dans les villes. Toutes les villes connaissent des quartiers qui sont des lieux d'accueil des populations en situation difficile qu'on qualifie de quartiers populaires, sensibles ou simplement pauvres. Ce constat n'est pas nouveau. De tout temps les villes ont connu ces quartiers fortement stigmatisés, des sortes de zones refuges de populations exclues du reste de la ville. À cette étape de la modernisation des villes, l'écart s'accentue entre la ville qui gagne et qui est inscrite dans le processus de mondialisation, et cette ville-là qui jour après jour semble être exclue des retombées de la création de la richesse. Ce mémoire présente les résultats d'une analyse comparative de trois projets de revitalisation urbaine touchant des quartiers dans trois villes, soit: Lyon et le quartier La Croix-Rousse, Montréal et le quartier Sainte-Marie, Trois-Rivières et les premiers quartiers. Le mémoire est divisé en quatre parties. La première partie identifie les caractéristiques des villes actuelles en ce qui a trait à leur mutation, leur contexte et leurs quartiers, le renouvellement de la conception de la gouvernance, la revitalisation des quartiers en situation d'exclusion et les politiques urbaines de revitalisation dans les endroits suivants: Canada, Québec, États-Unis et Europe. L'emphase est mise sur l'historique, la mise en oeuvre et les résultats de ces politiques de régénération, en plus d'aborder les approches intégrées de développement urbain durable et les composantes en matière de revitalisation. La seconde partie expose les objectifs, les questions de recherche et la méthodologie étudiés. La troisième section présente les quartiers analysés et la quatrième partie met en lumière la présence et la variation des composantes des approches intégrées de développement urbain durable en regard des trois sites étudiés. Enfin, la conclusion fait ressortir un certain nombre de considérations générales sur le déploiement de chacun des projets, en particulier la reconfiguration profonde des modes d'intervention en matière de revitalisation. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Approches intégrées de développement urbain durable, Revitalisation urbaine, Quartiers anciens, Lyon, Le quartier La Croix-Rousse, Montréal, Le quartier Sainte-Marie, Trois-Rivières, Les premiers quartiers.
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La transformation des bidonvilles péruviens en nouvelles villes émergentes : de la solidarité sociale à la création de marchés

Enriquez Santibanez, Dario January 2008 (has links) (PDF)
Au cours des dernières cinquante années, la croissance vertigineuse et chaotique des villes latino-américaines a été fortement alimentée par la migration vers les villes à partir de la campagne habitée par des paysans appauvris et en chômage. Aucune ville n'était préparée à recevoir un tel nombre de paysans cherchant à survivre. Tous les services sont tombés en ruines. Toutes les relations économiques, politiques et sociales ont été changées. La faible planification d'origine n'a pas été respectée. Les logements existants étaient insuffisants pour accueillir les nouveaux arrivants. La paysannerie qui arrivait aux villes et les plus pauvres de citadins ne comptaient sur l'argent pour acheter les terrains propices à la construction de logements. Ils ont décidé d'occuper illégalement n'importe quel terrain, généralement dépourvu de services de base et dans la périphérie de la ville. Ce sont alors les premières « invasions » et les premiers bidonvilles. Les bidonvilles, en couvrant de plus en plus tous les espaces autour des grandes villes latino-américaines, sont l'expression la plus remarquable d'une population pauvre cherchant les opportunités que le système économique légal leur refuse. Les premiers ans d'un bidonville sont saturés d'expressions de pauvreté, quelquefois extrême. Cependant, il y a en même temps beaucoup d'expériences solidaires collectivistes de développement local. Par la suite, les bidonvilles sont devenus l'espace privilégié de la germination et de l'évolution de l'économie populaire informelle, c'est-à-dire un espace d'activités de production et de commercialisation dont la plupart se déroulent en dehors de tout schéma légal et où se trouvent souvent les secteurs de la population dits « exclus » de la modernité relative dans les pays sous-développés. Une vraie solution que les pauvres urbains ont trouvée pour résoudre leurs propres problèmes. Après leurs consolidations, les anciens bidonvilles démontrent un processus plutôt d'individualisme, par opposition au collectivisme initial, et ce, à partir du développement d'une économie populaire, mais pas nécessairement solidaire et très proche de l'économie de marché. Ainsi, ce mémoire vise à mieux comprendre la transformation d'anciens bidonvilles en nouvelles villes émergentes dans la périphérie urbaine des grandes villes des pays du sud, notamment Lima, la capitale péruvienne. En utilisant des études de cas, l'évolution de quatre bidonvilles autour de cette ville a été étudiée plus en profondeur. Les sources d'information ont été diverses, parmi celles-ci nous comptons des documents gouvernementaux et d'autres sources, des observations sur place, des photographies et surtout des entrevues semi-dirigées et des entretiens de groupes avec des informateurs clés. Également, il sera question de facteurs qui ont rendu possible cette transformation, en examinant les processus d'un certain nombre de bidonvilles liméniens. Notre recherche considère l'expérience des bidonvilles comme étant l'émergence d'un « savoir-faire » parmi les groupes de population les plus défavorisés et dans le contexte d'une nouvelle façon d'organiser l'économie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amérique latine, Bidonvilles, Économie informelle, Économie populaire, Exclusion, Lima, Pauvreté urbaine, Périphérie urbaine, Pérou, Ville émergente.
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Le comité populaire de Hanoï et la question du logement

Ho, Thi Huong Giang January 2006 (has links) (PDF)
Avec la politique de Renouveau économique de la fin des années 1980, le Vietnam est sorti de son isolement pour entrer dans un cycle de transformations profondes. De nombreuses constructions, qui sont apparues tant au centre-viIle qu'en périphérie de grandes viIles comme Hanoi ou Ho Chi Minh ville, expriment unc intention politique de renforcer leur fonction métropolitaine. La ville de Hanoi traverse une période de transition, passant d'une économie centralisée à une économie de marché. Le Renouveau a entraîné non seulement une forte croissance économique mais aussi un remarquable développement urbain. L'urbanisation rapide engendre également de nouveaux défis dans les zones urbaines. Dans ce contexte, les bouleversements des mécanismes et des systèmes urbains soulèvent une multitude d'interrogations. Nous traitons donc tout d'abord du concept d'urbanisation pour ensuite nous attarder aux défis qu'il engendre. Nous abordons aussi la question du logement -un secteur fondamental pour toute société en raison de son importance sociale et économique, dans les villes des pays en développement et particulièrement à Hanoi. Cette recherche a pour objectif de comprendre comment l'intervention de l'État et celle du Comité populaire de Hanoi influent sur l'accès au logement actuel de la population de la capitale dans le contexte de la libération de l'économie et du changement de politique relative à la production et à la gestion du logement. Elle vise à analyser les problèmes pour savoir quelles sont les origines de l'insuffisance du logement à Hanoi en se concentrant sur les politiques et l'intervention des autorités locales en matière de logement. Notre étude porte sur les neuf arrondissements urbains de Hanoi où l'accès au logement d'une grande partie des citadins devient de plus en plus difficile. Notre hypothèse est, d'une part, en raison des politiques foncières et de logement en période de transition, et d'autre part, du manque d'expérience en matière d'urbanisme. L'hypothèse et les objectifs de notre recherche nous ont conduit à préconiser un modèle de recherche exploratoire-descriptive à partir de divers documents et d'une quinzaine d'entrevues réalisées à Hanoi. Cc modèle nous a aidé à comprendre les enjeux de la transition urbaine, où la question du logement est considérée comme un point chaud. Les résultats montrent que Ie marché immobilier a connu d'importantes transformations à Hanoi grâce à l'instauration de politiques et de réglementations des autorités nationales et locales en la matière au cours des dernières années. Cependant, le secteur public joue encore un rôle dominant dans l'aménagement foncier et n'arrive pas à faire fonctionner le marché immobilier correctement. De plus, en raison de la période de transition que traverse ce secteur, les politiques de logement sont parfois non coordonnées et incohérentes, ce qui conduit à différentes interprétations des règlements, à diverses formes de corruption et à des transactions immobilières irrégulières. Faute de moyens financiers et d'expérience en matière d'urbanisme, la ville de Hanoi n'arrive pas à améliorer ses infrastructures urbaines. Le problème de logement n'est pas causé par une pénurie globale de l'offre. mais plutôt par le manque de certaines catégories de logements pour les ménages à moyens et faibles revenus. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Logement, Urbanisation, Pays en développement, Hanoi, Vietnam.
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De l'espace rural à la banlieue industrielle : le quartier Rosemont, 1892-1911

Lachance, Marie-Hélène January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire met en lumière les mécanismes aboutissant à la naissance et les paramètres régissant la croissance d'un nouvel espace urbain dans la périphérie de Montréal. Cette étude s'intéresse au cas de Rosemont, banlieue de l'est de l'île, dont la première phase de développement se situe entre 1892 et 1910. Dans quel contexte particulier naît cette banlieue et quels sont les éléments moteurs de son développement? Le territoire étudié, aujourd'hui désigné comme le Vieux Rosemont, correspond à l'ancienne terre agricole Crawford et au lot cadastral 172. Il est convoité par les promoteurs fonciers au tout début du XXe siècle. Cet intérêt est étroitement lié à l'achat de terrains situés juste au sud du territoire en question par le Canadien Pacifique dans le but d'y construire les usines Angus. En 1903, la compagnie de promotion, la Rosemount Land Improvement Company, acquiert l'ensemble du lot 172 et le partage en 2 553 lots à bâtir, tandis que le battage publicitaire débute dans les journaux montréalais. Le chapitre Il s'attache à dévoiler la stratégie des promoteurs dans Rosemont, mais également à comprendre comment le territoire se transforme. Le chapitre III de ce mémoire se consacre à la population s'établissant dans cette nouvelle banlieue. La consultation de plusieurs sources, spécialement la liste nominative du recensement fédéral de 1911, permet un portrait de la population de Rosemont vers 1910. C'est une population ouvrière comptant une majorité de travailleurs qualifiés disposant de salaires relativement élevés. Contrairement à d'autres quartiers ouvriers, une proportion importante des chefs de ménage sont propriétaires de leur logement. Même si plusieurs groupes ethniques sont représentés, la population est surtout partagée entre Canadiens français et Canadiens anglais sans toutefois qu'il y existe de différenciation spatiale. Une grande part des lots demeurant vacants jusqu'en 1910 et même au-delà, le succès des promoteurs et l'attraction exercée par la présence des ateliers Angus méritent certaines nuances. Dans un contexte métropolitain où il existe une certaine forme de compétition entre banlieues, l'installation d'une grande entreprise n'entraîne pas nécessairement une croissance démographique rapide. Le territoire rosemontois est voisin de quartiers anciens, mieux dotés sur le plan des infrastructures et offrant un bassin d'emplois vaste et varié; ils attirent davantage les familles ouvrières. Manifestement, la stratégie de promotion de la Rosemount Land repose sur la seule présence d'Angus s'avère être, du moins avant la Première Guerre mondiale, insuffisante pour qu'une population s'installe massivement et rapidement dans Rosemont. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Montréal, Rosemont, Banlieues, Urbain, XXe siècle.
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Société civile et représentations socio-spatiales de la ville : le cas du Centre d'écologie urbaine de Montréal (CEUM)

Lozier, Nicolas 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire interroge la façon dont un acteur de la société civile intervient dans le devenir urbain. Il présente une étude des représentations socio-spatiales et discours sur le développement urbain construit par le Centre d'écologie urbaine de Montréal (CEUM), une organisation communautaire établie dans le quartier connu comme le « quartier Milton-Parc ». Son objectif consiste à voir dans quelle mesure un acteur de la société civile contribue au renouvellement des façons de penser et de faire le développement urbain. Dans le cadre de cette recherche, ont été interviewés 12 représentants du CEUM et une analyse documentaire a été réalisée. L'examen des résultats montre comment les représentations socio-spatiales du développement urbain montréalais produites par le CEUM, qui s'appuient sur des valeurs liées à l'écologie et à la démocratie participative, sous-tendent une vision du développement urbain à partir de laquelle s'arrime une combinaison de pratiques visant un changement politique et sociétal de la ville. Pour ce faire, l'appropriation des principes du développement durable et l'importance accordée à la participation des citoyens à la planification et à la gestion urbaines, basées sur une approche de l'écologie sociale, constituent les éléments sur lesquels reposent une façon de concevoir la production de son action. Dès lors, cette organisation de la société civile met de l'avant un projet urbain renouvelé qui s'appuie sur l'appropriation idéelle, matérielle et politique de la ville par les citoyens à la lumière des thématiques avec lesquelles le CEUM travaille. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Centre d'écologie urbaine de Montréal, quartier, Milton-Parc, développement urbain, représentations socio-spatiales, discours, développement durable, écologie, démocratie

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