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Accoucher la citoyenneté. Expériences et témoignages de femmes sans-papiers à propos de leur travail maternel.

Brouckaert, Tine 01 October 2013 (has links) (PDF)
La thèse traite des questions de maternité en relation avec la citoyenneté et la migration à partir d'une perspective postcoloniale, féministe (dont maternalistes et intersectionelles) et anthropologique. Elle suivra les parcours post-migratoires et les pratiques maternelles de 10 femmes sans-papiers au sein de leur entourage, découvrant des domaines de vie divergents dont le combat juridique, l'accompagnement scolaire, le marché du travail informel, la menace d'un placement pour leurs enfants et le travail maternel chez-soi.
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Le refus de la violence. Vies de femmes, entre l'Algérie et la France

Lebas, Clotilde 15 November 2013 (has links) (PDF)
Ma thèse découle d'un vif intérêt pour les expériences et les explorations à même de brouiller les lignes de partage entre les sexes. Anthropologue, je me suis attachée à saisir ce trouble via une enquête permettant de mettre à jour les modalités de l'incorporation des assignations de l'ordre sexué et les possibles créés par celles qui, à un moment donné de leur vie, les ont rejetées. J'ai tout d'abord observé, aux côtés de féministes algériennes installées à Paris, la formulation d'une énonciation particulière. Tout en relayant l'actualité du mouvement féministe qui, en Algérie, dénonçait publiquement les violences faites aux femmes, elle dévoilait une tentative de dénoncer les violences subies par des femmes se réfugiant en France sans pour autant faire le jeu de l'islamophobie. J'ai ensuite cherché à rencontrer des femmes ayant fui leur domicile en raison des coups, des insultes et des humiliations qu'elles y subissaient. Je me suis alors rendue, en France et en Algérie, dans les associations vers lesquelles m'orientaient mes précédentes rencontres. Enfin, je me suis éloignée de ces cadres pour suivre des femmes dans leur mouvement infini pour reconfigurer leurs vies. Me saisissant de leurs témoignages, j'ai montré comment, dans un contexte de migration, les logiques de l'incorporation des assignations de l'ordre sexué sont troublées par le refus de la brutalité et de l'autorité masculines. Pour appréhender ce refus dans toute sa complexité, il importe de le considérer comme processus. Longtemps, fuite et refus ont semblé se superposer. Ce n'est qu'à mesure que nos relations se tissaient qu'elles m'ont livré la série d'allers-retours ayant précédé un départ irréversible. Revenir n'a pour autant jamais signifier consentir. Cela a nécessité des mesures incessantes visant à anticiper coups et injures. Et pour que la fuite opère, il leur a fallu anéantir ce régime d'anticipation propre à la peur. Ce qui les a poussées à fuir a ainsi excédé la répétition des brimades, des insultes et des humiliations. Si elles ont mis un terme à un quotidien dont elles s'étaient jusque-là accommodées, c'est que des désirs continuaient de les animer - vivre une sexualité épanouie, témoigner pour inciter les femmes des générations suivantes à ne pas reproduire ce qu'elles-mêmes avaient fait (rester en pensant que la situation allait s'arranger)... La fuite a également nécessité un lieu où s'arrêter pour entrevoir un autre sens à donner à leur vie. C'est là qu'histoires individuelle et collective se sont croisées. Toute prise de décision n'est que l'aboutissement d'une série de choix qui s'inscrit dans une conjoncture historique donnée. Dans les années 1990, des militantes algériennes se sont réapproprié la rhétorique étatique de dénonciation des violences commises par des groupes armés pour proposer une autre énonciation : toute forme de violence, et non la seule armée, est intolérable. Elles ont également créé les lieux dans lesquels des femmes ont pu se réfugier. Depuis, des femmes transitant par ces lieux ont pu y trouver un abri, condition d'effectuation du refus. Dès lors, la puissance contenue dans ce refus initial a pu être libérée, créant un nouveau possible : énoncer une multitude d'autres refus, ce qui ne peut se comprendre qu'au regard des épreuves auxquelles ces femmes ont été confrontées. En effet, en se détachant d'une figure d'autorité masculine, elles ont été exposées au stigmate de la rupture, contraintes à vivre une autre forme d'isolement et d'exclusion. Capté par les institutions auxquelles elles demandaient protection, le sens de leur fuite a été inséré dans la catégorie préexistante des victimes d'un ordre sexué rétrograde. Ces mécanismes de captation ont invisibilisé la part du politique contenue dans le refus. De plus, elles ont été reléguées dans la sphère de la domesticité pour survivre. En d'autres termes, la reconfiguration de leurs vies s'est retrouvée piégée par le redéploiement, en France comme en Algérie, des assignations de l'ordre sexué. Refuser de se marier pour obtenir des papiers ou de faire des ménages pour subvenir à ses besoins sont autant de refus qui ont ainsi pris forme et sens dans ce jeu de distance et de rapprochement qu'elles ont instauré avec le reste des sociétés les marginalisant. Et dans les conditions même de la survie, elles ont dû modifier les modalités de leurs déplacements dans la sphère publique, en dépassant leurs peurs. Dans cette distanciation d'avec l'ordre sexué s'est alors opéré un déplacement dans la perception et la qualification d'elles-mêmes comme sujets. Objets de volontés masculines d'appropriation, elles sont devenues sujets de désirs et de projections dans l'avenir. À partir des multiples bifurcations empruntées par des vies irrémédiablement transformées par le rejet de l'autorité et de la brutalité masculines, ma thèse a ainsi proposé une exploration de la mémoire de corps qui portent en eux le résidu des assignations de l'ordre sexué.
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Les ingénieurs-conseils dans l'architecture en France, 1945-1975 : réseaux et internationalisation du savoir technique

Frapier, Christel 04 December 2009 (has links) (PDF)
Cette étude se penche sur une catégorie particulière des ingénieurs-conseils exerçant dans le milieu de l'architecture en France entre 1945 et 1975. Ingénieurs d'origine étrangère non diplômés en France ; autodidactes ; ingénieurs diplômés en tant qu'architectes ou issus de grandes écoles françaises mais ayant décidé de quitter les secteurs publics ou privés pour s'installer en tant que libéraux, ces cas particuliers ne sont pourtant pas des cas isolés, dix ans après la loi qui réglemente en France le titre d'ingénieur. Exerçant en marge des circuits classiques, nous avons cherché à comprendre comment ces ingénieurs-conseils parviennent à produire, mais également à enseigner ou à diffuser leur savoir. L'étude de leurs réseaux, professionnels et amicaux nous a ainsi permis de porter un éclairage sur leurs différentes activités et modes d'exercice, mais également sur leurs relations avec les architectes. Forts de leurs différents réseaux établis sur le territoire national, les ingénieurs-conseils cherchent ensuite à s'organiser sur une échelle européenne puis mondiale afin de coordonner leurs recherches avec leurs homologues de toutes nationalités. La circulation de ces hommes, mais également de leurs systèmes ou de leurs idées montre ainsi d'importants échanges techniques au niveau international.

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