Spelling suggestions: "subject:"[PHYS:NEXP] fhysics/buclear limexperiment"" "subject:"[PHYS:NEXP] fhysics/buclear experimentalment""
31 |
Diffusion élastique $\pi$He et $\rho$He à haute énergie et très faibles transfertsFay, Jean 15 May 1981 (has links) (PDF)
voir fichier pdf
|
32 |
Etude du transfert d'un agrégat alpha par des réactions (d $^6$Li) sur quelques noyaux légersBedjidian, M. 11 July 1972 (has links) (PDF)
voir fichier pdf
|
33 |
Observation des états excités des hypernoyaux de masse 4Bedjidian, M. 05 June 1980 (has links) (PDF)
voir fichier pdf
|
34 |
Etude des interactions entre enzymes immobilisées et inhibiteurs au moyen des radiotraceurs. Application à la réalisation d'électrodes enzymatiques pour le dosage des composés toxiquesGuyonnet, René 05 December 1978 (has links) (PDF)
La connaissance des poisons est fort ancienne. Si les premières intoxications observées ont eu pour origine la consommation, par ignorance ou par méprise de végétaux vénéneux, il semble que les premiers toxiques utilisés aient servi à empoisonner des flèches destinées à la chasse ou à la guerre. Le terme de toxique dérive d'ailleurs du mot grec "toxon" qui signifie "arc". L'utilisation durant la première Guerre Mondiale du fameux "gaz moutarde", jusqu'aux "Nerve Gases" et aux défoliants confirment que l'humanité s'est toujours préoccupée de trouver des moyens de tuer. De l'exécution de Socrate à la ciguë, à la Reine Catherine de Médicis qui fabriquait elle-même ses poisons dans son cabinet secret de Blois, on peut dire que la toxicologie classique a conduit aux premières études des inhibiteurs enzymatiques. La cinétique d'inhibition produite par une substance se liant réversiblement avec une enzyme fut développée dans une publication originale de MICHAELIS et MENTEN en 1913, mais il fallut attendre un certain nombre d'années avant que ce type d'inhibition fut caractérisé. L'isolement et la purification partielle de la première enzyme l'Uréase en 1926 par SUMMER fut l'étape déterminante pour la suite, car les études de l'inhibition de l'enzyme en solution devenaient alors possible. En 1930 alors que COOK démontrait expérimentalement le mécanisme de l'inhibition compétitive énoncée 17 ans plus tôt par MICHAELIS et MENTEN, à la même époque HALDANE établissait un autre type d'inhibition qu'il nommait "non compétitif ". Depuis SUMMER les études portant sur l'inhibition de l'enzyme en solution ou de suspension de cellules sont considérables et de grands noms restent attachés (WILSON, ALDRIDGE, NACHMANSON, MONOD), C'est sur ces travaux fondamentaux que reposent encore aujourd'hui les bases de l'enzymologie classique.
|
35 |
ISOSPIN DEPENDENCE OF THE AR+NI FUSION-EVAPORATION CROSS SECTIONMarini, Paola 14 May 2009 (has links) (PDF)
The role of the neutron-proton asymmetry (isospin) in the de-excitation of excited nuclei is investigated by studying the isospin dependence of the Ar+Ni fusion-evaporation cross sections. Compound nuclei of Pd, with mass number varying from 92 (close to the limit of stability for proton emission) to 104 (stable), are produced with the same excitation energy (~3 MeV/nucleon), impinging stable and radioactive Ar beams with energies around 13 MeV/nucleon on to isotopically enriched Ni targets. The de-excitation products are collected by the VAMOS magnetic spectrometer and the 4pi charged particle array INDRA. The study shows a decrease of the Ar+Ni fusion-evaporation cross section as the isospin of the system decreases, suggesting that the deexcitation of excited Pd nuclei is influenced by their neutron-proton asymmetry. Also, a larger decrease is observed for the N = Z 92Pd nucleus, explained as the opening of a new de-excitation channel (multifragmentation).
|
36 |
Mesure du moment dipolaire électrique du neutron: analyse simultanée de spin et analyse préliminaire de donnéesHelaine, V. 08 September 2014 (has links) (PDF)
Dans le cadre de la mesure du moment dipolaire electrique du neutron (nEDM) au Paul Scherrer Institut (Suisse), cette thèse traite du développement d'un nouveau système d'analyse de spin. L'objectif est ici de détecter simultanément les deux composantes de spin de neutrons ultra froids dans le but de diminuer l'erreur statistique sur l'EDM du neutron. Un tel systme a été connu à l'aide de simulations GEANT4-UCN puis testé en tant que partie intégrante de l'appareillage nEDM. En parallèle de ce travail, les données nEDM de 2013 ont été analysées. Finalement, des méthodes de détermination d'observables magnétiques de premier intérêt pour le contrôle des erreurs systématiques sur l'EDM du neutron ont été testées et de possibles améliorations sont proposées.
|
37 |
Etude des effets d'auto-irradiation dans des matériaux à structure apatitiqueSoulet, S. 24 November 2000 (has links) (PDF)
L'incorporation d'actinide dans un matériau soumet ce dernier à l'action d'une particule alpha, de quelques MeV toujours associée au recul du noyau résiduel. Ce dernier avec une énergie d'une centaine de keV produit l'essentiel des dégâts d'irradiation. L'étude des analogues naturels a permis d'identifier les fluoroapatites à forte teneur en groupements phosphate comme matrices potentielles de conditionnement des actinides. Des travaux antérieurs, simulant la décroissance alpha dans la fluoroapatite phosphocalcique monocristalline ont mis en évidence un phénomène d'exfoliation et un recuit des défauts créés par les noyaux de recul par les ions hélium. Notre travail a montré que l'exfoliation ne peut pas se produire sur les matériaux apatitiques polycristallins (fluoroapatite phosphocalcique et fluoroapatite à un silicate) probablement grâce à l'évacuation de l'hélium hors des grains par un réseau de microcanaux aboutissant à la surface du grain et par la diffusion de l'hélium dans les joints de grains. En revanche ces chemins d'évacuation de l'hélium diminuent la résistance chimique de la fluoroapatite. De même, la vitesse de dissolution de l'apatite est fortement augmentée au-dessus d'un seuil d'endommagement correspondant à la percolation des défauts isolés et surtout en cas d'amorphisation totale. Concernant l'effet des noyaux de recul et de recuit par les particules alpha, une méthode d'étude originale reposant sur l'utilisation d'un microscope électronique à transmission couplé avec un implanteur d'ions a été mise au point. Ce dispositif a permis de réaliser des irradiations simulant la décroissance alpha et de suivre in situ l'évolution du désordre d'échantillons polycristallins. Il a été montré que pour toute la solution solide des fluoroapatites phospho-silicatées l'amorphisation se produit directement dans la cascade. De même, grâce à cette technique, l'efficacité du recuit par alpha a été mesurée sur différentes compositions d'apatite. Le principal résultat montre que l'efficacité du recuit par alpha dans la fluoroapatite diminue très rapidement avec l'augmentation du rapport SiO4/PO4 ce qui est en accord avec les conclusions de l'étude des analogues naturels. Elle diminue également lorsque l'anion fluor présent dans les tunnels est remplacé par un groupement hydroxyle. Au niveau de nos connaissances actuelles, le recuit par alpha semble être une propriété unique de la structure apatitique. Afin de modéliser le comportement des céramiques lorsqu'elles sont dopées avec des actinides nous avons établi, en tenant compte des vitesses de création et de guérison des défauts, l'équation différentielle gouvernant l'évolution du désordre en fonction du temps de stockage ou d'entreposage. La résolution de cette équation dans le cas de la fluoroapatite phosphocalcique et de la fluoroapatite à un silicate permet de conclure que ces deux matrices potentielles conserveront probablement leur structure cristalline au cours du stockage ou de l'entreposage.
|
38 |
Etudes des fermetures de couches nucléaires N=16, 20, 28 et 40Sorlin, O. 08 December 2005 (has links) (PDF)
-
|
39 |
Photoproduction du méson eta sur l'hydrogène du seuil jusqu'à 11OO MeV: Mesure de l'asymètrie faisceau SigmaAjaka, Jassem 12 December 1997 (has links) (PDF)
La photoproduction de mésons eta sur l'hydrogène a été mesurée du seuil jusqu'à une énergie de 1100 MeV dans l'expérience GRAAL effectuée en 1996-97 à l'ESRF à Grenoble dans une collaboration entre des groupes Italiens Français et Russes.<br>Un faisceau de photons étiquetés et polarisés linéairement a été produit en rétrodiffusant un faisceau laser sur le faisceau d'électrons de 6 GeV de l'anneau de l'ESRF. La cible a été d'hydrogène liquide de 3 cm. Un détecteur 4 pi a été utilisé, composé de trois couches de détecteurs: chambres à fil, compteurs à scintillation et calorimètres. Nous avions la charge d'installer et d'étalonner un double mur de scintillants (3x3 m) conçu pour détecter aux angles avant (1-25°) les particules chargées et mesurer leur pertes d'énergie et leurs temps de vol.<br>Nous avons analysé les résultats de la réaction g p -> eta p en identifant le eta dans le calorimètre latéral qui est une boule BGO et en détectant le proton dans les détecteurs à scintillation.<br />L'asymètrie faisceau Sigma a été extraite des distribution en phi du méson éta et a été établie en fonction de theta CM du eta pour 6 intervalles d'énergie incidentes allant du seuil jusqu'à 1100 MeV.<br>L'interprétation des résultats de l'asymètrie Sigma a été effectuée dans le cadre du modèle isobarique. La prise en compte des deux résonances, S11(1535) et D13(1520) n'a pas suffi pour expliquer nos résultats.<br />Il a fallu inclure en plus l'excitation des résonances P13(1720) et D13(1675) et P13(1880) la dernière étant manquante dans le tableau des résonances et récemment revélée par le modèle des quarks.
|
40 |
production de mésons phi, rho et omega dans les collisions d-C d-U S-U à 158 GeV par nucléon, et PbPb à 158 GeV par nucléonAstruc, Julien 09 July 1997 (has links) (PDF)
la production de phi et (omega+rho) a été étudiée à travers la mesure des paires de muons dans l'expérience NA38-NA50. L'extraction des résultats utilise la meme technique d'analyse pour les systemes considérés qui couvrent la plus grande partie des possibilités, du système d-C au système Pb-Pb. Une des originalités est que les rapports de production phi/(omega+rho) sont extraits dans des domaines de masse transverse. Cette étude met en évidence un changement de comportement entre les systèmes utilisant des projectiles légers, d-C et d-U, et ceux utilisant des projectiles lourds, S-U et Pb-Pb. On observe de plus pour le phi une augmentation supplémentaire de la production, qui s'inscrit dans l'augmentation générale de l'étrangeté observée dans les collisions d'ions lourds à ces énergies. Ces résultats semblent par ailleurs indiquer que l'utilisation de la masse transverse conduit à une certaine unification des évolutions de la production des différentes régions de masse des dimuons.
|
Page generated in 0.0837 seconds