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Les églises catholiques de Tunisie à l'époque coloniale : étude historique et architecturale / Colonial time Catholic churches in Tunisia : historical and architectural studyOuerghemmi, Saloua 20 June 2011 (has links)
L’occupation française en Tunisie, entre 1881 et 1956, est à l’origine de la construction d’un nombre important d’églises catholiques, qui ont marqué par leur présence et leur forme le paysage urbain et rural du pays. Cette thèse, composée de deux volumes, est ainsi consacrée à l’étude de cet héritage architectural récent et par conséquent participe d’une certaine façon à sa reconnaissance et à sa protection. Nous avons établi en premier lieu un répertoire de ces églises, et le corpus des documents qui s’y rapportent. Dans ce corpus figurent de nombreuses photographies, mais aussi des plans, des textes et des cartes. Une autre série de photos, concernant quelques églises françaises — évoquées dans le texte de notre thèse —, sont également présentées dans ce corpus. Nous avons fait référence à cette documentation tout au long de trois parties de notre étude pour en enrichir les descriptions et les analyses / French occupation in Tunisia between 1851 and 1956 led to the construction of an important number of Catholic churches which by their existence and shape, changed the urban and rural landscape of Tunisia. This two-volume thesis is dedicated to the study of this architectural legacy and therefore contributes, in a certain extent, to its recognition and protection. We first established a list of these churches and a corpus of documents related to them. This corpus is composed of many pictures but also architectural plans, texts and maps. Another group of pictures of some French churches - mentioned in the thesis - are also part of the corpus. We referred to these documents throughout the three parts of our study in order to enrich the descriptions and analysis
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L’appartenance à une Église de droit propre dans l’Église catholique. D’un principe juridique établi à une réalité malmenée / Belonging to a sui iuris church in the catholic Church. from an established judicial principle to an manhandled realityGonçalves, Bruno 25 June 2014 (has links)
Au sein de l’Église catholique, les critères d’appartenance à une Église sui iuris ont évolué dans l’histoire du droit canonique notamment à l’occasion de la promulgation encore récente du code latin de 1983 et du code des canons des Églises orientales de 1990. Le droit positif témoigne du souci du législateur de privilégier désormais l’objectivité du critère, sans empêcher qu’interviennent des éléments d’appréciation liés à la volonté des personnes qui souhaitent changer de rite par exemple à l’occasion de leur mariage. La loi et la praxis du Saint Siège manifestent cette recherche difficile d’un équilibre entre un déterminisme objectif de l’appartenance rituelle et une liberté subjective de choisir son rite ou d’en changer. Mais, les mutations sociales et structurelles ecclésiales récentes, caractérisées par la multiplication de structures ecclésiastiques à caractère personnel dans le monde latin, qui font droit à la volonté subjective des fidèles et l’augmentation importante du nombre des catholiques orientaux en diaspora, conduisent à s’interroger sur la pertinence de privilégier le critère territorial par rapport au critère personnel des structures ecclésiales orientales. Sauf à les condamner à la marginalité, voire à la disparition, il convient désormais de réfléchir sur le lien institutionnel qui unit les Églises de droit propre à leurs fidèles. Le poids de l’histoire, celui des relations avec les autres Églises orientales orthodoxes et enfin celui de la tradition canonique doivent être à la fois intégrés et dépassés pour ne pas enfermer les Églises orientales catholiques dans une logique mortifère. / Within the Catholic Church, the criteria for belonging to a sui iuris Church have evolved throughout the history of Canon Law, particularly after the fairly recent promulgation of the Latin Code in 1983 and of the Code of the Canons of the Eastern Churches in 1990. Positive Law is proof of the care the legislator now takes to give priority to the objectivity of the criteria, whilst not preventing other elements to be taken into account, such as the desire of people who wish to change the rite, for example in the case of their marriage. Holy See law and Praxis are a witness to this difficult search for a balance between an objective determinism concerning adherence to the ritual and a subjective freedom to choose one’s rite or to modify it. However, society and Church structures have changed in recent years, changes which are characterized by the multiplication of ecclesiastical structures with a personal character in the Latin world, giving the Faithful the right to have their own personal wishes; and a growing number of Eastern Church members in Diaspora. This has led us to reconsider whether it is now at all pertinent to favour territorial criteria as opposed to personal ones in Eastern Church structures. Unless we wish to condemn them to a marginal position or even to disappear altogether, we must now reflect carefully on the institutional link between the Sui Iuris Churches and their Faithful. The weight of History, of the link with the other Eastern Orthodox Churches, and of the tradition of Canon Law must be simultaneously integrated and transcended if Eastern Catholic Churches are not to be trapped within a death-inducing logic.
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