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Les représentations de l'Église catholique par l'Église universelle de Dieu dans la revue La pure vérité de 1973-1995Villeneuve, Paule-Renée January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Canonicité catholique romaine pour la science et les scientifiques / Roman catholic canonicity for science and scientistsManwell, Maurice Thierry 09 July 2019 (has links)
De ses antiques origines à son actualité postmoderne du XXIe siècle, le christianisme est traversé par deux phénomènes, en tensions variables et complexes, d’empathie et de vigilance à l’égard de la raison et de la science : ici des vigilances critiques l’emportent sur la considération pour la légitime autonomie de la raison et de la science, là un respect théologal et éthique tend à présider dans l’économie de différentes formes et phases d’estimes critiques pour l’autonomie de la raison et de la science. Sciences affranchies des théologies, sciences excellant en performances du savoir et de techniques, mais sciences modernes et contemporaines non épargnées par les errances du naturalisme, du nominalisme, du scientisme, des positivismes réducteurs, ou de politisations idéologiques.Malgré un conflit, loin d’être résolu, concernant la querelle antimoderniste, les conciles généraux Vatican I (1869-1870 : Constitution Dei Filius, chapitre IV) et Vatican II (1962-1965 : Constitution Gaudium et Spes, 36) font date : l’un rappelle la légitimité des domaines propres à la raison et aux scientificités, l’autre bénéficie de la progression en théologie de l’historicité pour contempler la tradition de l’autonomie des réalités terrestres. Avec quels instruments d’abord canoniques, est conjuguée la mission d’Église de sauvegarde du caractère catholique romain de ses propres universités, par exemple, et sa protection – certes conditionnelle - des cultures, des sciences, des scientifiques ? / From its earliest beginnings down to current postmodern XXIst century, Christianity is struck a balance between two phenomena, holding one another in various and complex mounting tensions, of empathy and of awareness towards reason and science. Herein, critical appraisals override the consideration of legitimate autonomy of reason and science, therein, a religious and ethical respect tends to govern various forms and shades of critical esteem, in favour of the autonomy of reason and science. Sciences freed from theologies monopoly, sciences excelling in knowledge and technical performances, but there still remains however, modern and contemporary sciences with misconducts of naturalism, nominalism, narrow positivism or political ideologies.Irrespective of an unresolved conflict, arising from the anti-modernist fights, the Church’s general councils of Vatican I (1869-1870: Constitution Dei Filius, chapter IV) and Vatican II (1962-1965: Constitution Gaudium et spes, 36) made huge steps forward : As the first reminds us of the legitimacy of science and reason in their specific areas of expertise, the second, while taking into account the progress of the theology of history, reflects deeper on the autonomy of worldly realities. With this background, with what canonical tools, could the safeguarding mission of the Roman Catholic character of the Church’s universities, for example, and her protection of cultures, sciences and the world of scientists, - under the conditions - could be guaranteed ?
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L’appartenance à une Église de droit propre dans l’Église catholique. D’un principe juridique établi à une réalité malmenée / Belonging to a sui iuris church in the catholic Church. from an established judicial principle to an manhandled realityGonçalves, Bruno 25 June 2014 (has links)
Au sein de l’Église catholique, les critères d’appartenance à une Église sui iuris ont évolué dans l’histoire du droit canonique notamment à l’occasion de la promulgation encore récente du code latin de 1983 et du code des canons des Églises orientales de 1990. Le droit positif témoigne du souci du législateur de privilégier désormais l’objectivité du critère, sans empêcher qu’interviennent des éléments d’appréciation liés à la volonté des personnes qui souhaitent changer de rite par exemple à l’occasion de leur mariage. La loi et la praxis du Saint Siège manifestent cette recherche difficile d’un équilibre entre un déterminisme objectif de l’appartenance rituelle et une liberté subjective de choisir son rite ou d’en changer. Mais, les mutations sociales et structurelles ecclésiales récentes, caractérisées par la multiplication de structures ecclésiastiques à caractère personnel dans le monde latin, qui font droit à la volonté subjective des fidèles et l’augmentation importante du nombre des catholiques orientaux en diaspora, conduisent à s’interroger sur la pertinence de privilégier le critère territorial par rapport au critère personnel des structures ecclésiales orientales. Sauf à les condamner à la marginalité, voire à la disparition, il convient désormais de réfléchir sur le lien institutionnel qui unit les Églises de droit propre à leurs fidèles. Le poids de l’histoire, celui des relations avec les autres Églises orientales orthodoxes et enfin celui de la tradition canonique doivent être à la fois intégrés et dépassés pour ne pas enfermer les Églises orientales catholiques dans une logique mortifère. / Within the Catholic Church, the criteria for belonging to a sui iuris Church have evolved throughout the history of Canon Law, particularly after the fairly recent promulgation of the Latin Code in 1983 and of the Code of the Canons of the Eastern Churches in 1990. Positive Law is proof of the care the legislator now takes to give priority to the objectivity of the criteria, whilst not preventing other elements to be taken into account, such as the desire of people who wish to change the rite, for example in the case of their marriage. Holy See law and Praxis are a witness to this difficult search for a balance between an objective determinism concerning adherence to the ritual and a subjective freedom to choose one’s rite or to modify it. However, society and Church structures have changed in recent years, changes which are characterized by the multiplication of ecclesiastical structures with a personal character in the Latin world, giving the Faithful the right to have their own personal wishes; and a growing number of Eastern Church members in Diaspora. This has led us to reconsider whether it is now at all pertinent to favour territorial criteria as opposed to personal ones in Eastern Church structures. Unless we wish to condemn them to a marginal position or even to disappear altogether, we must now reflect carefully on the institutional link between the Sui Iuris Churches and their Faithful. The weight of History, of the link with the other Eastern Orthodox Churches, and of the tradition of Canon Law must be simultaneously integrated and transcended if Eastern Catholic Churches are not to be trapped within a death-inducing logic.
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