• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L’autoréflexion de l’énonciation filmique du film Punch-Drunk Love

Lehmann, Joël 04 1900 (has links)
Pour
 respecter
 les
 droits
 d’auteur,
 la
 version
 électronique
 de
 ce
 mémoire
 
 a
 été 
dépouillée 
de 
ses 
documents 
visuels 
et
 audio‐visuels.
 La
 version
 intégrale
 du 
mémoire
 
a 
été 
déposée 
au
 Service
 de 
la 
gestion 
des 
documents 
et 
des 
archives
 de
 l'Université
 de 
Montréal. / Le film Punch-Drunk Love, réalisé en 2002 par Paul Thomas Anderson, présente une approche formelle hors du commun et expose, de manière flagrante, le travail énonciatif du film. L’énonciation filmique qui est sienne pousse le spectateur à se distancer de l’oeuvre et l’incite à se questionner sur la signification des codes mis en place. Ce dernier est également stimulé à remettre en question ses propres attentes ainsi qu’à s’interroger sur son plaisir spectatoriel. Nous proposons, dans le cadre de ce mémoire, de faire l’analyse de l’énonciation filmique du film à travers l’approche abstraite de Christian Metz. Grâce à sa théorie, qui affiche la préséance du film sur l’auteur en matière de signification des codes, nous mettrons en évidence l’idée que les constructions énonciatives fortes reprennent à leur compte l’histoire racontée par le film. L’énonciation réfléchit et redouble le film. Avec une telle approche, le film expose son rapport fusionnel entre le fond et la forme. L’énonciation, vue sous cet oeil, devient l’alter ego du film. / In Punch-Drunk Love (2002), Paul Thomas Anderson applies a unique creative process that reveals the very inner workings of enunciation in the film. His filmic approach functions to distance the spectator from the film and, to various degrees, challenges the spectator to question the codes that create an aesthetic of illusion. Drawing on Christian Metz’s abstract approach to enunciation, this thesis proposes to analyse the filmic enunciation of Anderson’s film. By means of this theoretical approach, we become aware that the enunciation of the film stimulates the spectator into realizing that the implied meaning of the enunciation is one that can be understood within its own self. The “who” and the “what” are no longer questions that are answered from the “outside”. The “who” is the film and the “what” resides in it. What we are observing is the self–reflexive nature of enunciation.
2

L’autoréflexion de l’énonciation filmique du film Punch-Drunk Love

Lehmann, Joël 04 1900 (has links)
Le film Punch-Drunk Love, réalisé en 2002 par Paul Thomas Anderson, présente une approche formelle hors du commun et expose, de manière flagrante, le travail énonciatif du film. L’énonciation filmique qui est sienne pousse le spectateur à se distancer de l’oeuvre et l’incite à se questionner sur la signification des codes mis en place. Ce dernier est également stimulé à remettre en question ses propres attentes ainsi qu’à s’interroger sur son plaisir spectatoriel. Nous proposons, dans le cadre de ce mémoire, de faire l’analyse de l’énonciation filmique du film à travers l’approche abstraite de Christian Metz. Grâce à sa théorie, qui affiche la préséance du film sur l’auteur en matière de signification des codes, nous mettrons en évidence l’idée que les constructions énonciatives fortes reprennent à leur compte l’histoire racontée par le film. L’énonciation réfléchit et redouble le film. Avec une telle approche, le film expose son rapport fusionnel entre le fond et la forme. L’énonciation, vue sous cet oeil, devient l’alter ego du film. / In Punch-Drunk Love (2002), Paul Thomas Anderson applies a unique creative process that reveals the very inner workings of enunciation in the film. His filmic approach functions to distance the spectator from the film and, to various degrees, challenges the spectator to question the codes that create an aesthetic of illusion. Drawing on Christian Metz’s abstract approach to enunciation, this thesis proposes to analyse the filmic enunciation of Anderson’s film. By means of this theoretical approach, we become aware that the enunciation of the film stimulates the spectator into realizing that the implied meaning of the enunciation is one that can be understood within its own self. The “who” and the “what” are no longer questions that are answered from the “outside”. The “who” is the film and the “what” resides in it. What we are observing is the self–reflexive nature of enunciation. / Pour
 respecter
 les
 droits
 d’auteur,
 la
 version
 électronique
 de
 ce
 mémoire
 
 a
 été 
dépouillée 
de 
ses 
documents 
visuels 
et
 audio‐visuels.
 La
 version
 intégrale
 du 
mémoire
 
a 
été 
déposée 
au
 Service
 de 
la 
gestion 
des 
documents 
et 
des 
archives
 de
 l'Université
 de 
Montréal.

Page generated in 0.0949 seconds