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Postures et mutations du plan-séquence fixe, du cinéma des premiers temps à YouTube

Séguin-Tétreault, Mathieu 06 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Privilégiant une approche généalogique et intertextuelle, cette étude interroge le dispositif du plan-séquence fixe à travers ses moments phares dans l’histoire du cinéma et démontre que son usage vise autant à renouer avec le cinéma des premiers temps qu’à poursuivre les préoccupations des cinéastes expérimentaux. Chez Andy Warhol, le plan-séquence fixe s’inscrit dans un rapport de redécouverte et d’enchantement du cinéma des premiers temps. Avec Jeanne Dielman, Chantal Akerman prolonge les traits du modernisme bazinien et de l’avant-garde new-yorkaise. Avec l’avènement de la vidéosurveillance, il se transforme en une esthétique carcérale qui pose dès lors des problèmes éthiques et esthétiques (voyeurisme, degré zéro de la mise en scène, etc.), questionnés dans les documentaires News from Home et Délits flagrants. Forme commune et majeure dans le cinéma d’auteur contemporain de même que dans la culture populaire et amateur (web film, série télé, etc.), le plan-séquence fixe permet d’analyser un ensemble de pratiques et de réalités du cinéma, de l’usine Lumière à YouTube. / Favouring an approach at once genealogical and intertextual, this study explores the practice of the "static sequence shot" (plan-séquence caméra fixe) in cinema. It offers an overview of its significant moments in film history. It tries to show how its use since the 70's can be seen as a reappraisal of early cinema technique, and can also find strong echos in the works of experimental filmmakers, in particular structural filmmaking. For Andy Warhol, the static sequence shot was both a rediscovery and an enchantment of early cinema. In Jeanne Dielman Chantal Akerman's static shots extended Bazinian Modernism into the New York Avant-garde. Since the 80's, with the advent of video surveillance, the static sequence shot becomes associated with a carceral apparatus, posing ethical and aesthetic issues (voyeurism, degree zero mechanisms, etc.). These issues are at the core of the documentary films News from Home and Délits flagrants. Today, we can witness that the static sequence shot has become increasingly important and almost dominant in certain branches of auteur cinema as well as in contemporary popular media culture (web films, T.V. series, etc.) This master's thesis thus claims it allows us to analyse current as well as early practices of cinema, from the Lumière' s factory to YouTube.
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L’autoréflexion de l’énonciation filmique du film Punch-Drunk Love

Lehmann, Joël 04 1900 (has links)
Pour
 respecter
 les
 droits
 d’auteur,
 la
 version
 électronique
 de
 ce
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 été 
dépouillée 
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ses 
documents 
visuels 
et
 audio‐visuels.
 La
 version
 intégrale
 du 
mémoire
 
a 
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déposée 
au
 Service
 de 
la 
gestion 
des 
documents 
et 
des 
archives
 de
 l'Université
 de 
Montréal. / Le film Punch-Drunk Love, réalisé en 2002 par Paul Thomas Anderson, présente une approche formelle hors du commun et expose, de manière flagrante, le travail énonciatif du film. L’énonciation filmique qui est sienne pousse le spectateur à se distancer de l’oeuvre et l’incite à se questionner sur la signification des codes mis en place. Ce dernier est également stimulé à remettre en question ses propres attentes ainsi qu’à s’interroger sur son plaisir spectatoriel. Nous proposons, dans le cadre de ce mémoire, de faire l’analyse de l’énonciation filmique du film à travers l’approche abstraite de Christian Metz. Grâce à sa théorie, qui affiche la préséance du film sur l’auteur en matière de signification des codes, nous mettrons en évidence l’idée que les constructions énonciatives fortes reprennent à leur compte l’histoire racontée par le film. L’énonciation réfléchit et redouble le film. Avec une telle approche, le film expose son rapport fusionnel entre le fond et la forme. L’énonciation, vue sous cet oeil, devient l’alter ego du film. / In Punch-Drunk Love (2002), Paul Thomas Anderson applies a unique creative process that reveals the very inner workings of enunciation in the film. His filmic approach functions to distance the spectator from the film and, to various degrees, challenges the spectator to question the codes that create an aesthetic of illusion. Drawing on Christian Metz’s abstract approach to enunciation, this thesis proposes to analyse the filmic enunciation of Anderson’s film. By means of this theoretical approach, we become aware that the enunciation of the film stimulates the spectator into realizing that the implied meaning of the enunciation is one that can be understood within its own self. The “who” and the “what” are no longer questions that are answered from the “outside”. The “who” is the film and the “what” resides in it. What we are observing is the self–reflexive nature of enunciation.
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Postures et mutations du plan-séquence fixe, du cinéma des premiers temps à YouTube

Séguin-Tétreault, Mathieu 06 1900 (has links)
Privilégiant une approche généalogique et intertextuelle, cette étude interroge le dispositif du plan-séquence fixe à travers ses moments phares dans l’histoire du cinéma et démontre que son usage vise autant à renouer avec le cinéma des premiers temps qu’à poursuivre les préoccupations des cinéastes expérimentaux. Chez Andy Warhol, le plan-séquence fixe s’inscrit dans un rapport de redécouverte et d’enchantement du cinéma des premiers temps. Avec Jeanne Dielman, Chantal Akerman prolonge les traits du modernisme bazinien et de l’avant-garde new-yorkaise. Avec l’avènement de la vidéosurveillance, il se transforme en une esthétique carcérale qui pose dès lors des problèmes éthiques et esthétiques (voyeurisme, degré zéro de la mise en scène, etc.), questionnés dans les documentaires News from Home et Délits flagrants. Forme commune et majeure dans le cinéma d’auteur contemporain de même que dans la culture populaire et amateur (web film, série télé, etc.), le plan-séquence fixe permet d’analyser un ensemble de pratiques et de réalités du cinéma, de l’usine Lumière à YouTube. / Favouring an approach at once genealogical and intertextual, this study explores the practice of the "static sequence shot" (plan-séquence caméra fixe) in cinema. It offers an overview of its significant moments in film history. It tries to show how its use since the 70's can be seen as a reappraisal of early cinema technique, and can also find strong echos in the works of experimental filmmakers, in particular structural filmmaking. For Andy Warhol, the static sequence shot was both a rediscovery and an enchantment of early cinema. In Jeanne Dielman Chantal Akerman's static shots extended Bazinian Modernism into the New York Avant-garde. Since the 80's, with the advent of video surveillance, the static sequence shot becomes associated with a carceral apparatus, posing ethical and aesthetic issues (voyeurism, degree zero mechanisms, etc.). These issues are at the core of the documentary films News from Home and Délits flagrants. Today, we can witness that the static sequence shot has become increasingly important and almost dominant in certain branches of auteur cinema as well as in contemporary popular media culture (web films, T.V. series, etc.) This master's thesis thus claims it allows us to analyse current as well as early practices of cinema, from the Lumière' s factory to YouTube. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L’autoréflexion de l’énonciation filmique du film Punch-Drunk Love

Lehmann, Joël 04 1900 (has links)
Le film Punch-Drunk Love, réalisé en 2002 par Paul Thomas Anderson, présente une approche formelle hors du commun et expose, de manière flagrante, le travail énonciatif du film. L’énonciation filmique qui est sienne pousse le spectateur à se distancer de l’oeuvre et l’incite à se questionner sur la signification des codes mis en place. Ce dernier est également stimulé à remettre en question ses propres attentes ainsi qu’à s’interroger sur son plaisir spectatoriel. Nous proposons, dans le cadre de ce mémoire, de faire l’analyse de l’énonciation filmique du film à travers l’approche abstraite de Christian Metz. Grâce à sa théorie, qui affiche la préséance du film sur l’auteur en matière de signification des codes, nous mettrons en évidence l’idée que les constructions énonciatives fortes reprennent à leur compte l’histoire racontée par le film. L’énonciation réfléchit et redouble le film. Avec une telle approche, le film expose son rapport fusionnel entre le fond et la forme. L’énonciation, vue sous cet oeil, devient l’alter ego du film. / In Punch-Drunk Love (2002), Paul Thomas Anderson applies a unique creative process that reveals the very inner workings of enunciation in the film. His filmic approach functions to distance the spectator from the film and, to various degrees, challenges the spectator to question the codes that create an aesthetic of illusion. Drawing on Christian Metz’s abstract approach to enunciation, this thesis proposes to analyse the filmic enunciation of Anderson’s film. By means of this theoretical approach, we become aware that the enunciation of the film stimulates the spectator into realizing that the implied meaning of the enunciation is one that can be understood within its own self. The “who” and the “what” are no longer questions that are answered from the “outside”. The “who” is the film and the “what” resides in it. What we are observing is the self–reflexive nature of enunciation. / Pour
 respecter
 les
 droits
 d’auteur,
 la
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 ce
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 été 
dépouillée 
de 
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 La
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mémoire
 
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