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Assessing waiting times in the clinical trajectory of patients with lung cancerDobson, Sarah 08 1900 (has links)
Le cancer du poumon a une incidence et une létalité parmi les plus hautes de tous les
cancers diagnostiqués au Canada. En considérant la gravité du pronostic et des
symptômes de la maladie, l’accès au traitement dans les plus brefs de délais est
essentiel. Malgré l’engagement du gouvernement fédéral et les gouvernements
provinciaux de réduire les délais de temps d’attente, des balises pour les temps d’attente pour le traitement d’un cancer ne sont toujours pas établis. En outre, le
compte-rendu des indicateurs des temps d’attente n’est pas uniforme à travers les
provinces. Une des solutions proposées pour la réduction des temps d’attente pour le traitement du cancer est les équipes interdisciplinaires. J’ai complété un audit du programme interdisciplinaire traitant le cancer du poumon à l’Hôpital général juif
(l’HGJ) de 2004 à 2007. Les objectifs primaires de l’étude étaient : (1) de faire un audit de la performance de l’équipe interdisciplinaire à l’HGJ en ce qui concerne les temps d’attente pour les intervalles critiques et les sous-groupes de patients ; (2) de comparer les temps d’attente dans la trajectoire clinique des patients traités à l’HGJ avec les balises qui existent ; (3) de déterminer les facteurs associés aux délais plus
longs dans cette population. Un objectif secondaire de l’étude était de suggérer des
mesures visant à réduire les temps d’attente. Le service clinique à l’HGJ a été
évalué selon les balises proposées par le British Thoracic Society, Cancer Care
Ontario, et la balise pan-canadienne pour la radiothérapie. Les patients de l’HGJ ont
subi un délai médian de 9 jours pour l’intervalle «Ready to treat to first treatment», et un délai médian de 30 jours pour l’intervalle entre le premier contact avec l’hôpital et le premier traitement. Les patients âgés de plus de 65 ans, les patients
avec une capacité physique diminuée, et les patients avec un stade de tumeur limité
étaient plus à risque d’échouer les balises pour les temps d’attente. / Lung cancer is among the most lethal and the most diagnosed cancers in Canada. Given the poor prognosis and symptom burden of the disease, timely access to treatment and quality care are essential. In spite of government commitments to reduce waiting times in cancer care, national clinical benchmarks for cancer care have yet to be established, and waiting time reporting by provinces is inconsistent. One of the proposed strategies for reducing waiting times in cancer care is the use of interdisciplinary teams. I undertook an audit of the interdisciplinary pulmonary
oncology program at the Jewish General Hospital from 2004 to 2007. The primary
objectives of this study were: (1) to audit the performance of the interdisciplinary
pulmonary oncology service at the Jewish General Hospital with respect to waiting
times for key intervals and subgroups of patients; (2) to compare waiting times in the
clinical trajectory of lung cancer patients seen at the Jewish General Hospital with
existing waiting time guidelines; (3) to determine those factors associated with
longer waiting times in this population. A secondary objective was to suggest measures to be considered in order to reduce waiting times. The JGH’s lung cancer service was compared against benchmarks developed by the British Thoracic Society, Cancer Care Ontario, and the pan-Canadian waiting time benchmarks for radiation oncology. Patients waited a median of 9 days from the time they were ready to treat until their first treatment, and a median of 30 days from their first contact with the pulmonary service until their first treatment. Patients over age 65, those with early-stage disease and those with good performance status were less likely to meet the recommended guidelines.
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Assessing waiting times in the clinical trajectory of patients with lung cancerDobson, Sarah 08 1900 (has links)
Le cancer du poumon a une incidence et une létalité parmi les plus hautes de tous les
cancers diagnostiqués au Canada. En considérant la gravité du pronostic et des
symptômes de la maladie, l’accès au traitement dans les plus brefs de délais est
essentiel. Malgré l’engagement du gouvernement fédéral et les gouvernements
provinciaux de réduire les délais de temps d’attente, des balises pour les temps d’attente pour le traitement d’un cancer ne sont toujours pas établis. En outre, le
compte-rendu des indicateurs des temps d’attente n’est pas uniforme à travers les
provinces. Une des solutions proposées pour la réduction des temps d’attente pour le traitement du cancer est les équipes interdisciplinaires. J’ai complété un audit du programme interdisciplinaire traitant le cancer du poumon à l’Hôpital général juif
(l’HGJ) de 2004 à 2007. Les objectifs primaires de l’étude étaient : (1) de faire un audit de la performance de l’équipe interdisciplinaire à l’HGJ en ce qui concerne les temps d’attente pour les intervalles critiques et les sous-groupes de patients ; (2) de comparer les temps d’attente dans la trajectoire clinique des patients traités à l’HGJ avec les balises qui existent ; (3) de déterminer les facteurs associés aux délais plus
longs dans cette population. Un objectif secondaire de l’étude était de suggérer des
mesures visant à réduire les temps d’attente. Le service clinique à l’HGJ a été
évalué selon les balises proposées par le British Thoracic Society, Cancer Care
Ontario, et la balise pan-canadienne pour la radiothérapie. Les patients de l’HGJ ont
subi un délai médian de 9 jours pour l’intervalle «Ready to treat to first treatment», et un délai médian de 30 jours pour l’intervalle entre le premier contact avec l’hôpital et le premier traitement. Les patients âgés de plus de 65 ans, les patients
avec une capacité physique diminuée, et les patients avec un stade de tumeur limité
étaient plus à risque d’échouer les balises pour les temps d’attente. / Lung cancer is among the most lethal and the most diagnosed cancers in Canada. Given the poor prognosis and symptom burden of the disease, timely access to treatment and quality care are essential. In spite of government commitments to reduce waiting times in cancer care, national clinical benchmarks for cancer care have yet to be established, and waiting time reporting by provinces is inconsistent. One of the proposed strategies for reducing waiting times in cancer care is the use of interdisciplinary teams. I undertook an audit of the interdisciplinary pulmonary
oncology program at the Jewish General Hospital from 2004 to 2007. The primary
objectives of this study were: (1) to audit the performance of the interdisciplinary
pulmonary oncology service at the Jewish General Hospital with respect to waiting
times for key intervals and subgroups of patients; (2) to compare waiting times in the
clinical trajectory of lung cancer patients seen at the Jewish General Hospital with
existing waiting time guidelines; (3) to determine those factors associated with
longer waiting times in this population. A secondary objective was to suggest measures to be considered in order to reduce waiting times. The JGH’s lung cancer service was compared against benchmarks developed by the British Thoracic Society, Cancer Care Ontario, and the pan-Canadian waiting time benchmarks for radiation oncology. Patients waited a median of 9 days from the time they were ready to treat until their first treatment, and a median of 30 days from their first contact with the pulmonary service until their first treatment. Patients over age 65, those with early-stage disease and those with good performance status were less likely to meet the recommended guidelines.
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La recherche sur le transfert des connaissances pour améliorer le dépistage et le traitement des troubles du comportement alimentairePlouffe, Laurence 02 1900 (has links)
Malgré les avancées considérables pour la prévention et le traitement des troubles du comportement alimentaire (TCA) au courant des dernières années, l’accès à des services de qualité demeure limité pour trois principales raisons : 1) certaines caractéristiques de la population qui présente un TCA peuvent être associées à de la stigmatisation et faire en sorte que des personnes dans le besoin ne reçoivent pas de traitement, 2) la présence d’un écart entre les pratiques fondées sur des données probantes disponibles et les pratiques des intervenants et 3) le format utilisé pour disséminer les pratiques fondées sur des données probantes recommandées (i.e. formation de cliniciens aux études supérieures) limite le nombre d’intervenants formés pour intervenir. Devant ces constats, l’étude du transfert des connaissances (TC) représente un incontournable pour faciliter l’utilisation de pratiques fondées sur des données probantes par les intervenants.
La présente thèse vise à mieux comprendre l’écart présent entre la recherche et la pratique dans le domaine des TCA afin de soutenir l’accès à des traitements démontrés efficaces pour la population. Les principaux objectifs de cette thèse consistent à dresser un portrait des effets de stratégies de TC disponibles (ex: matériels éducatifs, guides de pratique, formations, supervisions), de documenter les déterminants influençant l’utilisation de pratiques fondées sur des données probantes par les intervenants et d’identifier des applications potentielles en contexte québécois. La thèse comporte deux articles scientifiques et une discussion critique des résultats issus de ces articles. Le premier article présente une recension systématique des écrits concernant les effets de stratégies de TC existantes et les déterminants influençant l’utilisation par des intervenants et équipes de traitement pour les TCA. Les résultats suggèrent qu’une combinaison de stratégies de TC peut être employée selon les contextes d’intervention pour faciliter l’accès à des services. Peu d’études répertoriées ont identifié des conditions favorables à la prise de décision et au travail interdisciplinaire pour les TCA. L’article propose des pistes de réflexion et d’action pour favoriser l’utilisation par les intervenants tout en tenant compte des défis associés à l’intervention en TCA. Le second article évalue les retombées d’une formation visant l’utilisation de pratiques de dépistage et de référence par des intervenants québécois. Les résultats démontrent une utilisation instrumentale, conceptuelle et persuasive des connaissances par les intervenants et identifie des conditions susceptibles d’influencer cette utilisation.
Cette thèse contribue à l’avancement des connaissances en proposant différentes pistes pour faciliter l’utilisation de pratiques fondées sur des données probantes par les cliniciens tout au long du processus de prise de décision clinique. / Despite considerable recent advances in the field of eating disorders (ED) prevention and intervention, access to quality care is limited because: 1) stigma associated with certain ED characteristics can lead to EDs’ going undiagnosed and untreated; 2) healthcare professionals do not always apply available evidence-based practices; and 3) given that knowledge on evidence-based practices is currently disseminated primarily in graduate programs, there are not enough clinicians trained in ED intervention. Thus, the study of knowledge transfer (KT) is vital to facilitate uptake of evidence-based practices by healthcare professionals. The aim of the present thesis is to better understand the research–practice gap in the field of ED with a view to improving access to evidence-based treatment. More specifically, the aim of this thesis is to document outcomes of KT strategies (e.g. educational materials, clinical guidelines, training workshops, supervision) and conditions influencing healthcare professionals’ evidence-based practices. Potential applications for Quebec’s intervention context are also of interest. The thesis consists of two articles and a discussion of main results. The first article documents, in a systematic review, the effects of available KT strategies and conditions influencing evidence-based practices of healthcare professionals and ED treatment teams. The findings suggest a combination of KT strategies might facilitate access to care. Articles reporting conditions that might support decision-making or interdisciplinary work were rare. In light of known challenges in ED intervention and the findings of this review, recommendations are presented to improve evidence uptake. The second article evaluates the impact of a training workshop on ED screening and referral practices by healthcare providers in Quebec’s first-line services. Results indicate that healthcare professionals used evidence- based knowledge in diverse ways (instrumental, conceptual and persuasive use) and under different conditions. This thesis furthers knowledge by identifying relevant strategies for facilitating healthcare professionals’ uptake of evidence-based practices throughout their decision-making processes.
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Les variables associées à la collaboration interprofessionnelle dans les équipes interdisciplinaires de santé mentaleNdibu, Muntu Keba Kebe 08 1900 (has links)
Plusieurs études ont montré que la collaboration interprofessionnelle (CIP) produit des retombées positives pour les usagers, les professionnels de la santé et les organisations de soins. Cependant, les chercheurs estiment que son adoption dans les organisations et les services de santé est insuffisante. Cette situation conduit à des conflits souvent nuisibles entre les professionnels, à des erreurs médicales, à une augmentation des coûts de soins de santé et à des taux de mortalité élevés. Il existe un besoin de recherche pour identifier les variables associées à la CIP, particulièrement dans le domaine de la santé mentale (SM). La présente thèse vise à combler les lacunes susmentionnées et à permettre d’approfondir les connaissances que nous avons à l’heure actuelle sur la CIP.
Trois cent quinze (315) professionnels œuvrant dans les équipes interdisciplinaires de soins primaires (N=101) et spécialisés (N=214) de SM, localisées dans quatre réseaux locaux de services (RLS) du Québec, ont participé à l’étude. Plusieurs variables reconnues comme étant fortement associées à la CIP dans la littérature scientifique du domaine de la santé ont été prises en compte et catégorisées dans un cadre conceptuel inspiré du modèle de Bronstein (2003). Trois objectifs spécifiques ont été fixés, et chacun a fait l’objet d’un article scientifique.
Le premier article visait à identifier les variables associées à la CIP dans les équipes interdisciplinaires de SM implantées dans les RLS. Des analyses de régression linéaire ont été effectuées. Cinq variables liées aux caractéristiques interpersonnelles (l’engagement affectif envers l'équipe, le climat d'équipe, l’autonomie de l'équipe, le partage et l’intégration des connaissances), une variable liée au rôle professionnel (l’identification multifocale) et une autre liée aux caractéristiques personnelles (l’âge) étaient associées à la CIP.
Le deuxième article visait à identifier les profils de professionnels de la SM selon leurs perceptions de la CIP ainsi que les variables associées pouvant les différencier. À l'aide de l’analyse typologique, quatre profils de professionnels en SM ont été identifiés. Deux profils présentaient un niveau élevé de perception de la CIP, un profil présentait un niveau moyen et un autre présentait un niveau faible. Le support organisationnel, la participation à la prise de décisions, la confiance mutuelle, l’engagement affectif envers l’équipe, les croyances aux bénéfices de la collaboration interdisciplinaire, le partage et l’intégration des connaissances étaient associés aux profils ayant des scores élevés de la CIP.
Enfin, le troisième article a porté sur la comparaison des variables associées à la CIP selon le contexte de soins, à savoir : les soins primaires de SM (SP-SM) et les services spécialisés. Deux modèles de régression multivariée ont été réalisés, et ont permis d’identifier les variables significativement associées à chacun des contextes. Il s’agit du partage des connaissances pour les équipes de SP-SM, du soutien organisationnel et de l’âge pour les services spécialisés.
Au regard de ce qui précède, des recommandations ont été formulées à l’intention des gestionnaires des services de SM, aux CSSS et organisations de soins. / Studies have shown that interprofessional collaboration (IPC) has a positive impact on service users, health professionals and healthcare organizations. However, researchers believe that the adoption of IPC in organizations and health services is insufficient, leading to conflict among professionals, medical errors, increased costs of care and higher mortality rates. While IPC has emerged over the past several years as a best practice, research is needed to identify variables associated with IPC, particularly in mental health (MH) which has received relatively little attention. The present thesis aims to fill these gaps and to deepen the present state of knowledge about IPC, particularly in the MH field.
Three hundred and fifteen (315) MH professionals working in interdisciplinary primary care teams (N = 101) and specialized MH teams (N = 214) located in four Quebec local service networks (RLS) participated in the study. Many of the variables recognized as strongly associated with IPC in the health sciences literature, were integrated and categorized within a conceptual framework inspired by the Bronstein model (2003). Three specific study objectives were established, with each one the subject of a scientific article.
The first article aimed to identify variables associated with IPC in interdisciplinary MH teams. Linear regression analyzes were performed. Five variables related to interpersonal characteristics (emotional commitment to the team, team climate, team autonomy, knowledge sharing and integration), one variable related to professional role (identification multifocal) and another related to personal characteristics (age) were associated with IPC.
The second article aimed to identify profiles of MH professionals according to their perception of IPC as well as other distinguishing variables. Using Cluster Analysis, four profiles of MH professionals were identified. Two profiles had high levels of IPC, one profile an average level, and the other profile a low level of IPC. Organizational support, participation in decision-making, mutual trust, emotional commitment to the team, belief in the benefits of IPC, knowledge sharing, and knowledge integration were associated with the profiles that revealed high IPC scores. By contrast, team conflicts were associated with the profile of MH professionals with the lowest IPC score.
Finally, the third article focused on a comparison of IPC-related variables by care settings: primary health care (PHC) and specialized MH care. These two contexts of care differ in terms of their activities, clients served, the actors involved in care episodes of care and the roles of team members. Two multivariate regression models were performed, identifying the following variables as significantly associated with each of the care settings: knowledge sharing for PHC teams, and organizational support and age for specialized MH teams.
Considering the above, recommendations have been made to managers, health and social service centers and care organizations for promoting IPC in interdisciplinary MH teams.
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