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Contribution à l'influence des événements de vie dans l'étiologie des maladies démentielles de l'âgé / Contribution to the study of life events' influence in the etiology of demential disease among elderly people

Bauer, Virginie 29 November 2012 (has links)
Chez les personnes âgées, la maladie d'Alzheimer et les pathologies apparentées représentent actuellement un véritable problème de santé publique. Si les lésions anatomo-pathologiques de ces maladies sont bien définies, leur étiologie reste incertaine et vraisemblablement plurifactorielle. En tant que psychologue clinicienne, ce sont les théories impliquant le psychisme dans l'étiologie des maladies démentielles de l'âgé qui ont d'abord retenu mon attention. Une revue de question a permis d'en dresser une liste qui se veut exhaustive et qui se découpe en trois grandes catégories : les théories psycho-dynamiques, les théories psychosociales et enfin les modèles intégratifs plurifactoriels. Parmi ces derniers, celui faisant intervenir les évènements de vie en tant que facteurs de risque a suscité cette double recherche.Ainsi, dans une démarche qualitative, deux études ont débuté en parallèle. La première rétrospective, qui porte sur les histoires de vie d'une population de 30 malades Alzheimer ou apparentés, hébergés dans une unité de vie protégée ; la seconde prospective, qui explore l'évolution cognitive sur plusieurs années de 30 personnes âgées indemnes de troubles au début de l'étude, selon que leurs histoires de vie soient riches ou pas en événements de vie.Si un certain nombre d'évènements perturbants sont relatés par l'entourage pour la plupart des patients de la recherche rétrospective, l'étude prospective montre qu'un nombre important d'évènements de vie n'est ni une condition suffisante, ni une condition nécessaire pour constituer un facteur de risque de troubles cognitifs. Par contre, l'élaboration ou non de ce(s) même(s) évènement(s), leur caractère traumatique ou non, en lien avec le soutien et les aides reçus ou non semblent déterminants dans l'évolution cognitive des sujets.Enfin, chez la plupart des sujets pour qui les évènements anciens se révèlent traumatiques, un épisode contemporain de type « perte » viendrait réactiver les souvenirs et serait un facteur précipitant de troubles cognitifs, voire de décompensation vers une pathologie de la mémoire. / Among the elderly, Alzheimer disease and related pathologies currently constitute a real public health issue. The anatomo-pathological lesions of these diseases may be clearly defined but their etiology remains uncertain and is likely multifactorial. As a clinician psychologist, theories involving psychism in the etiology of demential diseases among elderly, first held my attention. A review of the question enabled me to make a list supposed to be exhaustive and divided into 3 categories : psycho-dynamic, psycho-social theories and multifactorial integrative patterns. Among the latter, the one involving life events as risk factors motivated this double research. Thus is a qualitive procedure, 2 studies started in parallel. The first retrospective dealing with life stories of a population of 30 people affected by Alzheimer or related diseases, hosted in a protected life-unit ; the second prospective scanning through cognitive evolution based on several years for 30 elderly people unharmed by troubles at the start of the study (depending on their life stories having many or few life events). If a certain amount of disturbing events are recounted by relatives for most of the patients of the retrospective research, the prospective research shows that an important number of live events is neither a sufficient nor a necessary condition to represent a risk factor of cognitive troubles. On the other hand, the elaboration or non elaboration of there events, their traumatic or non traumatic aspect (linked with the received or not received support and help) seems to be determining in the cognitive evolution of the subjects. Finally, among most of the subjects for whom past events prove to be traumatic, a contemporary "loss"-like episode would revive memories and would be an accelerating factor of cognitive troubles and even a collapse to a memory pathology.
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Le soutien maternel à l’autonomie : stabilité et relation avec le développement des fonctions exécutives à l'âge préscolaire

Matte-Gagné, Célia 06 1900 (has links)
Bien qu’il y ait de plus en plus d’études sur le soutien maternel à l’autonomie, de nombreuses questions restent à éclaircir dans le domaine. Notamment, on en sait très peu sur ses relations avec le développement cognitif de l’enfant, sa stabilité temporelle et les antécédents de celle-ci. La thèse est composée de trois articles empiriques. Le premier explore le rôle médiateur du langage dans la relation entre le soutien maternel à l'autonomie et les fonctions exécutives de l'enfant. Le deuxième examine la stabilité relative et absolue du soutien maternel à l'autonomie entre la petite enfance et l’âge préscolaire en fonction des représentations d'attachement de la mère, des évènements de vie stressants et du sexe de l'enfant. Le troisième article se penche sur le rôle du soutien maternel à l’autonomie mesuré à la petite enfance et à l’âge préscolaire dans la prédiction des fonctions exécutives de l’enfant, ainsi que sur l’impact de différents patrons de stabilité du soutien maternel à l’autonomie sur les fonctions exécutives. 70 dyades mère-enfant ont participé à 5 visites à domicile. Lorsque l’enfant était âgé de 7-8 mois, les représentations d’attachement de la mère ont été mesurées à l’aide de l’entrevue d’attachement à l’âge adulte (George, Kaplan, & Main, 1996). Le soutien maternel à l’autonomie a été mesuré à 15 mois et à 3 ans à l’aide du système de codification de Whipple, Bernier, et Mageau (2011). Les évènements de vie stressants ont été mesurés à 3 reprises entre l’âge de 15 mois et 3 ans à l’aide de l’inventaire des expériences de vie (Sarason, Johnson, & Siegel, 1978). À 2 ans, le langage de l’enfant a été évalué à l’aide des inventaires MacArthur du développement de la communication (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003). Les fonctions exécutives de l’enfant ont quant à elles été mesurées à l’âge de 3 ans à l’aide d’une batterie de tâches (Carlson, 2005). Les résultats du premier article indiquent que le langage de l’enfant joue un rôle médiateur dans la relation entre le soutien maternel à l’autonomie et une composante des fonctions exécutives de l’enfant, l’inhibition volontaire. Les résultats du deuxième article démontrent que le soutien maternel à l’autonomie est stable de façon relative, mais non absolue. Les résultats démontrent aussi que les mères qui ont une fille, qui ont vécu peu d’évènements de vie stressants ou qui ont des représentations d’attachement sécurisées sont plus stables dans leur degré de soutien à l’autonomie. Le troisième article démontre d’abord que la moyenne de soutien maternel à l’autonomie entre 15 mois et 3 ans est un prédicteur plus efficace des fonctions exécutives de l’enfant que ne l’est le soutien à l’autonomie à 15 mois ou à 3 ans pris séparément. De plus, les enfants dont les mères conservent un degré élevé de soutien à l’autonomie entre 15 mois et 3 ans performent mieux aux tâches d’inhibition que les enfants dont les mères conservent un faible degré de soutien à l’autonomie. Les résultats présentés dans les articles sont discutés ainsi que leurs implications. / Despite growing empirical support for the idea that maternal autonomy support plays an important role in child development, many questions remained to be investigated. Especially, little is known about its temporal stability, its antecedents, and its relations with child cognitive development. The first article aims to examine the potential mediating role of child language in the prospective relation between maternal autonomy support and child executive functioning (EF). The second article aims to examine (a) the relative and absolute stability of maternal autonomy support between infancy and preschool age and (b) the moderating role of child gender, maternal attachment state of mind, and stressful life events. The goal of the third article is to examine the role of early and ongoing maternal autonomy support, and of its stability over time, in predicting child EF. 70 mother-infant dyads took part in five assessments. At 7-8 months, the Adult Attachment Interview (George, Kaplan, & Main, 1996) was administered to assess mothers’ state of mind with respect to attachment. Maternal autonomy support was rated at 15 months and 3 years with Whipple, Bernier, and Mageau’s (2011) coding scheme, based on observations performed during a mother-child problem-solving task (15 months) and a clean-up task (3 years). Stressful life events were measured at 18 months, 2 and 3 years with the Life Experiences Survey (Sarason, Johnson, & Siegel, 1978) completed by mothers. At 2 years, mothers were asked to complete the MacArthur Communicative Development Inventory (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003) to measure child language ability. Finally, child EF was assessed with a battery of tasks chosen based on Carlson’s (2005) measurement guidelines. The results of the first paper suggested that child language played a mediating role in the relation between maternal autonomy support and child performance on EF tasks entailing a strong impulse control component. The results of the second article revealed that maternal autonomy support is stable in relative terms, but that its mean level decreases over time. Moreover, there was significant relative stability only for mothers of girls, mothers who showed greater coherence of mind with respect to attachment, and mothers who experienced fewer stressful life events. The results of the last article showed that the average level of autonomy support displayed by mothers between infancy and preschool years was a more consistent predictor of child Impulse Control and Conflict-EF (two aspects of EF) than either early or current autonomy support in isolation, and that children of mothers who displayed high autonomy support at both 15 months and 3 years performed the best on impulse control. The results presented in the articles are discussed, along with their implications.
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Le soutien maternel à l’autonomie : stabilité et relation avec le développement des fonctions exécutives à l'âge préscolaire

Matte-Gagné, Célia 06 1900 (has links)
Bien qu’il y ait de plus en plus d’études sur le soutien maternel à l’autonomie, de nombreuses questions restent à éclaircir dans le domaine. Notamment, on en sait très peu sur ses relations avec le développement cognitif de l’enfant, sa stabilité temporelle et les antécédents de celle-ci. La thèse est composée de trois articles empiriques. Le premier explore le rôle médiateur du langage dans la relation entre le soutien maternel à l'autonomie et les fonctions exécutives de l'enfant. Le deuxième examine la stabilité relative et absolue du soutien maternel à l'autonomie entre la petite enfance et l’âge préscolaire en fonction des représentations d'attachement de la mère, des évènements de vie stressants et du sexe de l'enfant. Le troisième article se penche sur le rôle du soutien maternel à l’autonomie mesuré à la petite enfance et à l’âge préscolaire dans la prédiction des fonctions exécutives de l’enfant, ainsi que sur l’impact de différents patrons de stabilité du soutien maternel à l’autonomie sur les fonctions exécutives. 70 dyades mère-enfant ont participé à 5 visites à domicile. Lorsque l’enfant était âgé de 7-8 mois, les représentations d’attachement de la mère ont été mesurées à l’aide de l’entrevue d’attachement à l’âge adulte (George, Kaplan, & Main, 1996). Le soutien maternel à l’autonomie a été mesuré à 15 mois et à 3 ans à l’aide du système de codification de Whipple, Bernier, et Mageau (2011). Les évènements de vie stressants ont été mesurés à 3 reprises entre l’âge de 15 mois et 3 ans à l’aide de l’inventaire des expériences de vie (Sarason, Johnson, & Siegel, 1978). À 2 ans, le langage de l’enfant a été évalué à l’aide des inventaires MacArthur du développement de la communication (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003). Les fonctions exécutives de l’enfant ont quant à elles été mesurées à l’âge de 3 ans à l’aide d’une batterie de tâches (Carlson, 2005). Les résultats du premier article indiquent que le langage de l’enfant joue un rôle médiateur dans la relation entre le soutien maternel à l’autonomie et une composante des fonctions exécutives de l’enfant, l’inhibition volontaire. Les résultats du deuxième article démontrent que le soutien maternel à l’autonomie est stable de façon relative, mais non absolue. Les résultats démontrent aussi que les mères qui ont une fille, qui ont vécu peu d’évènements de vie stressants ou qui ont des représentations d’attachement sécurisées sont plus stables dans leur degré de soutien à l’autonomie. Le troisième article démontre d’abord que la moyenne de soutien maternel à l’autonomie entre 15 mois et 3 ans est un prédicteur plus efficace des fonctions exécutives de l’enfant que ne l’est le soutien à l’autonomie à 15 mois ou à 3 ans pris séparément. De plus, les enfants dont les mères conservent un degré élevé de soutien à l’autonomie entre 15 mois et 3 ans performent mieux aux tâches d’inhibition que les enfants dont les mères conservent un faible degré de soutien à l’autonomie. Les résultats présentés dans les articles sont discutés ainsi que leurs implications. / Despite growing empirical support for the idea that maternal autonomy support plays an important role in child development, many questions remained to be investigated. Especially, little is known about its temporal stability, its antecedents, and its relations with child cognitive development. The first article aims to examine the potential mediating role of child language in the prospective relation between maternal autonomy support and child executive functioning (EF). The second article aims to examine (a) the relative and absolute stability of maternal autonomy support between infancy and preschool age and (b) the moderating role of child gender, maternal attachment state of mind, and stressful life events. The goal of the third article is to examine the role of early and ongoing maternal autonomy support, and of its stability over time, in predicting child EF. 70 mother-infant dyads took part in five assessments. At 7-8 months, the Adult Attachment Interview (George, Kaplan, & Main, 1996) was administered to assess mothers’ state of mind with respect to attachment. Maternal autonomy support was rated at 15 months and 3 years with Whipple, Bernier, and Mageau’s (2011) coding scheme, based on observations performed during a mother-child problem-solving task (15 months) and a clean-up task (3 years). Stressful life events were measured at 18 months, 2 and 3 years with the Life Experiences Survey (Sarason, Johnson, & Siegel, 1978) completed by mothers. At 2 years, mothers were asked to complete the MacArthur Communicative Development Inventory (Dionne, Tremblay, Boivin, Laplante, & Pérusse, 2003) to measure child language ability. Finally, child EF was assessed with a battery of tasks chosen based on Carlson’s (2005) measurement guidelines. The results of the first paper suggested that child language played a mediating role in the relation between maternal autonomy support and child performance on EF tasks entailing a strong impulse control component. The results of the second article revealed that maternal autonomy support is stable in relative terms, but that its mean level decreases over time. Moreover, there was significant relative stability only for mothers of girls, mothers who showed greater coherence of mind with respect to attachment, and mothers who experienced fewer stressful life events. The results of the last article showed that the average level of autonomy support displayed by mothers between infancy and preschool years was a more consistent predictor of child Impulse Control and Conflict-EF (two aspects of EF) than either early or current autonomy support in isolation, and that children of mothers who displayed high autonomy support at both 15 months and 3 years performed the best on impulse control. The results presented in the articles are discussed, along with their implications.

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