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Éthique et logique au XIIIe siècle : problèmes logico-épistémologiques dans les premiers commentaires artiens (1230-1250) sur l'Éthique à Nicomaque : étude doctrinale, édition critique et traduction française sélectives de l'anonyme Lectura Abrincensis in Ethicam Veterem (ca. 1230-1240)

Cervera Novo, Violeta 24 April 2018 (has links)
"Thèse en cotutelle" / Au début du XIIIe siècle, les maîtres ès arts de l'Université de Paris donnent des cours sur l'Éthique à Nicomaque d'Aristote, récemment incorporée au corpus scolaire dans la traduction latine de Burgundio de Pise. Cette première réception de l'Éthique (fondée sur une version incomplète comportant uniquement les trois premiers livres) a été l'objet de diverses discussions. Faut-il voir dans les premières tentatives d'interprétations des artiens une lecture naïve, fort influencée par la théologie, qui « mésinterprète » le texte en le rendant compatible avec la vision chrétienne ? Ou est-il possible de trouver dans ces premiers commentaires une interprétation de l'Éthique qui peut être appelée philosophique au sens propre, et qui est capable de reconnaître les problèmes posés par le texte aussi bien qu'un lecteur d'aujourd'hui ? Ce travail essaie de mettre en relief la valeur proprement philosophique de ces premiers cours artiens sur l'Éthique à travers l'étude approfondie de l'un de ces premiers commentaires : la Lectura Abrincensis in Ethicam Veterem (ca. 1230-1240), texte anonyme qui est ici, pour la première fois, l'objet d'une édition critique sélective (accompagnée d'une traduction française). L'étude propose aussi de comparer la Lectura Abrincensis avec d'autres textes artiens de la période 1230-1250 : le Commentaire de Paris (anonyme, ca. 1235-1240), l'Expositio super Ethica Nova et Vetere de Robert Kilwardby (ca. 1245) et la Lectura cum questionibus in Ethicam Novam et Veterem de l'anonyme communément appelé Pseudo-Peckham (1240-1244). Cette étude comparative se développe autour d'un thème bien précis : les problèmes logico-épistémologiques qui découlent des considérations méthodologiques faites par Aristote lui-même dans ÉN II, 2 (1103b25-30), ÉN I, 1 (1094b11-21), et ÉN II, 2 (1103b34-1104a8). Reconnaissant que l'Éthique a une double finalité, l'une pratique (devenir bons) l'autre théorique (connaître ce qu'est la vertu), les maîtres essayeront de trouver la meilleure manière d'articuler ces deux dimensions sans nuire au caractère proprement scientifique de l'Éthique.
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L'émergence de la physique quantitative en philosophie au XIVe siècle à Oxford : la scolastique tardive, soubassement de la modernité scientifique?

Touchette Lebel, Viktor 03 January 2022 (has links)
Le lien entre le Moyen Âge et l'époque moderne est un sujet âprement discuté en philosophie et en histoire, plus précisément la jonction entre ces deux époques et les phénomènes extraordinaires qui s'y produisirent, que ce soit les grandes explorations, la renaissance artistique, l'apparition de l'humanisme et la révolution scientifique. Dans une optique constructive, nous tentons dans ce mémoire de narrer les grands courants de pensée concernant le lien entre la révolution scientifique et le Moyen Âge tout en exposant leurs lacunes grâce aux travaux les plus actuels sur cet enjeu. Plus précisément, c'est le lien entre la scolastique tardive du XIVe siècle et l'apparition de la méthode des sciences modernes que ce mémoire expose à l'aide du concept d'intelligibilité fonctionnelle et de ses racines méthodologiques, scientifiques et mathématiques. Cette exposition se fait grâce à un procédé simple, soit la présentation d'un problème et de son histoire. Notre problème est celui de la mathématisation de la philosophie naturelle au XIVe siècle et notre histoire est celle d'un étrange ouvrage, le Traité des rapports entre les rapidités dans les mouvements écrit par Thomas Bradwardine, et de ses sources. En reconstruisant sommairement le contexte autant que l'univers conceptuel de Thomas Bradwardine, ce mémoire expose un cas particulier de la pratique scientifique à son époque. À partir de cette histoire, ce mémoire présente finalement des considérations générales sur le lien entre la scolastique du XIVe siècle et la révolution scientifique à partir d'un résultat probant, soit la méthode philosophique de Bradwardine, et son lien avec les intelligibilités fonctionnelles typiques de la révolution scientifique.
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3 kalendas junii dedicacio sancti Petri : les inscriptions de dédicace d'église en France du IXe au XIIe siècle : analyse des formes brèves / Three kalendas junii dedicacio sancti Petri

Gagné, Annick 07 December 2020 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada et Université de Poitiers, Poitiers, France / « Le 3 des calendes de juin, dédicace de saint Pierre ». Ce sont les mots gravés sur la façade de l’église du village d’Auribeau en Provence, une inscription datée du XIe siècle. Ils rapportent un événement très important de l’époque médiévale, le rituel de dédicace d’une église, moment où l’édifice de pierres est transformé en Maison de Dieu. Ces mots sont disposés sur une pierre d’appareil similaire à toutes les autres, mais dont l’emplacement par rapport à la porte est privilégié. Cette localisation dans le plan de l’édifice lui confère une accessibilité visuelle qui évoque le caractère publicitaire de l’écriture épigraphique médiévale. Cette inscription n’est pas unique, plusieurs églises aux alentours en ont une similaire, produite entre le IXe et le XIIe siècle. Le phénomène s’étend bien au-delà de la Provence puisqu’il en existe également dans les diocèses de Bordeaux, Nantes et Orléans. Alors que les inscriptions dites de dédicace suscitaient l’intérêt des historiens dans leurs recherches sur le rapport entre les signes graphiques et la sacralisation de l’église, le présent corpus de 63 inscriptions est apparu le plus susceptible de fournir de nouvelles connaissances sur le sujet. Influencée par la nouvelle approche matérielle des sources, c’est une analyse pluridisciplinaire qui est proposée, qui prend aussi bien en compte le contenu du texte, que la forme de l’écriture ou les données archéologiques essentielles à la réflexion sur le contexte monumental de ces inscriptions. La brièveté du texte permet d’interroger chacun des éléments, autant pour en comprendre le sens que pour leurs particularités orthographiques. Ces inscriptions sont étroitement liées à la commémoration du rituel puisque le formulaire se trouve aussi dans le calendrier liturgique des églises avec la date de la naissance au ciel de plusieurs saints. Les mots non accordés ou orthographiés autrement que dans un latin classique donnent des indices concrets sur les auteurs de ces textes. Les caractères du texte prennent une autre forme dans l’étude paléographique qui révèle la rapidité d’exécution de l’écriture. Celle-ci n’est pas de nature à exclure la mise en œuvre de stratégies graphiques, comme l’usage d’une lettre de forme différente aux autres ou encore d’un jeu de lettres, pour mettre en valeur le message. La mise en évidence de cette écriture par la forme de ses signes alphabétiques trouve une correspondance dans l’édifice alors qu’elle est gravée sur un élément architectonique qui lui confère une visibilité accrue. La symbolique de ces lieux de passage – porte du ciel, triomphe des saints – renforce le sens du message en associant dans l’église la date de la transmutation de la matière en espace sacré et un élément architectonique de passage. Le sens de cette mise en scène s’explique par son contexte archéologique et historique : ces inscriptions ne sont pas réalisées lors de la première inauguration de l’édifice après sa construction, mais au moment de sa renaissance après une restauration matérielle ou sociale. Elle exprime le retour à l’ordre de Dieu, celui de la liturgie de l’Église.
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Beatrijs' biecht: stilistisch en semiotisch onderzoek

Draux, Roland 20 March 2006 (has links)
L’objectif de la thèse est de rassembler des arguments permettant de déterminer si la seconde partie de la légende mariale moyen-néerlandaise Beatrijs (vv. 865-1038) est originale ou plutôt l’œuvre d’un continuateur. Dans la séquence narrative dont il est question, l’auteur développe le thème de la confession, préalable spirituel à la rémission des péchés.<p>En premier lieu, l’analyse stylistique objective (c.-à-d. basée sur des paramètres quantitatifs) de l’ensemble du corpus-texte nous a permis de ne déceler aucune différence notable entre les deux parties de la légende.<p>Ensuite, par l’étude de la structure diégétique, nous avons tenté d’expliquer le rôle du processus pénitentiel dans l’œuvre moyen-néerlandaise. Grâce aux principes d’analyse sémiotique de Propp, Greimas, Courtès et Dundes, nous avons pu remarquer que la légende présente une double articulation narrative reposant sur une double quête :le rejet du péché par le retour à l’espace hétérotopique initial (dans la première partie) et la quête de la pureté originale par la confession des péchés (dans la seconde partie). Cette dernière quête semble donc très logiquement faire partie intégrante de l’œuvre médiévale.<p><p><p>The aim of this thesis is to determine whether the second part of the Middle-Dutch legend Beatrijs (vv. 865-1038) is original. In the final sequences, the author highlights the role of confession in the absolution of sins.<p>In the first part of our work, we carried out a stylistic analysis of the whole legend that rested on quantifiable parameters. As no significant differences could be observed between the two parts, the stylistic homogeneity seemed obvious.<p>In the second part of our research, the emphasis was laid on the narrative structural approach. On the basis of the theories of semioticians (Propp, Greimas, Courtès and Dundes), we could analyse the legend as a bimotifemic « complex tale » in which the success of the first quest in the first part (return to the heterotopic point of departure) must be considered the first stage in the expiation. The second quest in the second part (return to the original purity) can only be achieved through confession. This physical and spiritual movement ensures absolution and salvation :for that reason we can assert that the confession process is an integral part of the medieval legend as a whole. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Images de l'antiquité classique au haut moyen âge: la matière historique gréco-romaine dans les sources littéraires latines du VIIIe au XIe siècle

Knaepen, Arnaud January 2006 (has links)
Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Living stones : the practice of remembrance at Lincoln Cathedral, (1092-1235)

Kay, William January 2013 (has links)
This thesis analyses four different aspects of devotional life at one of England's largest and wealthiest medieval cathedrals between the years 1092 and 1235. Each of these is associated with the remembrance of the dead. It is an area of religious practice that was subject to momentous change over the course of the period. These changes would have a profound effect on the organization of Christian worship for centuries to come. The thesis assesses how contrasting approaches to the practice of remembrance were able to enhance and shape the composition of the church, and explores what they reveal about the distinctive fellowship of a secular cathedral.
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L'Abbaye d'Auberive et la vallée de l'Aujon aux XII-XIIIe siècles : réussite d'une entreprise cistercienne

Calfat, Marc 25 April 2018 (has links)
L'historiographie monastique, les études antérieures consacrées à Auberive et l'organisation topographique du cartulaire ont conduit à l'examen de deux des onze granges créées par l'abbaye cistercienne d'Auberive. Le caractère stéréotypé des quelque 200 chartes du dossier et le traitement statistique des informations qui en découle nous amènent à poser une triple interrogation qui détermine la structure de la démonstration. Comment et â quel rythme les granges ont-elles été implantées et se sont-elles développées dans la vallée de l'Aujon? Quelle fut la nature de l'exploitation et comment a-t-elle évolué? Pouvons-nous enfin saisir l'impact de cette implantation sur la région? En filigrane et coiffant le tout, la question essentielle: l'entreprise auberiveraine dans la vallée correspond-elle toujours à l'idéal économique des Cisterciens? La pénétration de la vallée fut progressive et se déroula en trois étapes: le démarrage (1135-1179); puis, quarante années d'intense activité (1180-1220); enfin, la consolidation (1220-1279). Même s'il faut prendre garde au vocabulaire qui masque souvent les motivations réelles, se dégagent néanmoins les grandes lignes d'un processus de l'appropriation du territoire: les sollicitations qui attirent les donations (55%), l'installation subséquente qui provoque des accrochages, d'où querelles et abandons (36%); cette situation, enfin, fait intervenir les compensations financières (9%). L'analyse des acquisitions et de la production spécifique de la vallée nous amène à conclure que l'économie auberiveraine intégra à la pratique du faire-valoir direct des méthodes d'exploitation seigneuriale et s'ouvrit lentement à une économie de marché. Trois étapes marquent ce changement. De la fondation à 1185, l'idéal cistercien fut respecté: le recrutement fut aisé, nulle dîme ne fut acceptée, etc.; la vallée pourvoit la communauté en laine. L'étape décisive à cet égard se situe entre 1190 et 1220. Quelques écarts à la morale cistercienne sont alors apparus: transactions financières, réceptions de dîme, possession de main-d'oeuvre laïque. L'ouverture d'une seconde exploitation à Pelonqerot accentua la vocation pastorale de la vallée. A partir de 1220, l'abbaye opta définitivement pour une économie ouverte. Les religieux investirent dans l'acquisition de droits et de revenus seigneuriaux. Les troupeaux d'ovins atteignirent une envergure que seule la commercialisation peut expliquer. Cette marche vers la spécialisation et l'exploitation seigneuriale explique en partie le succès économique d'Auberive. D'autres éléments doivent également être considérés. Les appuis d'abord. L'évêque de Langres et son vidame, la famille Saulz-Grancey, traditionnellement allié au duc de Bourgogne, soutinrent Auberive tout au long de sa croissance. Ensuite, Auberive sut tirer au maximum de l'environnement physique en reconnaissant les capacités pastorales de la vallée. Enfin, le succès auberiverain découle d'une administration prévoyante et suivie. Le trait le plus important de la gestion fut la recherche constante de la concentration des biens et la poursuite d'une politique de rentabilité. Les perspectives économiques pour les communautés habitant la vallée de l'Aujon, aux XIIe-XIIle siècles, paraissaient excellentes. Mais l'installation d'une maison cistercienne à Auberive bouleversa le dynamisme de cette région. La pénétration presqu'exclusive des finages, les méthodes particulières d'exploitation (concentration, faire-valoir direct) et la nature même de cette exploitation (élevage) entraînèrent une nette diminution de l'aire économique des communautés aujonnaises. Les paysans furent expulsés et plusieurs localités disparurent. Chevaliers et seigneurs de la vallée ne purent freiner l'élan des Cisterciens. Leur action se limita à négocier des ententes entre leurs hommes et les religieux, au sujet des droits d'usage dans les finages. Bref, la domination auberiveraine sur la vallée fut incontestable. Pénétration, mise en valeur et domination du territoire s'expliquent selon des concepts écologiques. L'agrosystème mis en place par Auberive correspondait très bien aux capacités de l'écosystème aujonnais mais déséquilibra l'agrosystème des communautés de la vallée. Ces communautés, qui ne comptaient que sur un seul agrosystème, résistaient difficilement a une entreprise dont la force économique reposait sur plusieurs agrosystèmes dispersés sur un vaste territoire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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The Red Jews: Apocalypticism and antisemitism in medieval and early modern Germany.

Gow, Andrew Colin. January 1993 (has links)
The Red Jews are a legendary people; this is their history. From the late thirteenth to the late sixteenth century, vernacular German texts depicted the Red Jews, a conflation of the Biblical ten lost tribes of Israel and Gog and Magog, as a savage and unnaturally foul nation, who are enclosed in the 'Caspian Mountains', where they had been walled up by Alexander the Great. At the end of time, they will break out and serve the Antichrist, causing great destruction and suffering in the world. The hostile identification (c. 1165) of Jews with the apocalyptic destroyers of Ezekiel 38-39 and Revelation 20 expresses a new and virulent antisemitism that was integrated into the powerful apocalyptic traditions of Christianity. None of the few scholars who have noticed the Red Jews in medieval and early modern vernacular texts has sought out, collected and examined the complete body of medieval and early-modern sources that feature the Red Jews. This study provides a long-term analysis of the intimate connections between antisemitism and apocalypticism via a forgotten and submerged piece of German 'medievalia', the Red Jews. The legend gradually dissipated. Until the beginning of the seventeenth century it was a medieval lens through which Germans saw events relating to the Turkish threat in the East; after that time, the Red Jews disappeared from European texts.
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The late Anglo-Saxon royal agent : the identity and function of English ealdormen and bishops c.950-1066

Blanchard, Mary Elizabeth January 2016 (has links)
This thesis examines the identities and functions of late Anglo-Saxon royal agents (c. 950-1066), focusing on bishops and ealdormen. To establish who royal agents were, the thesis explores the family relationships among the leading men in the ecclesiastical and secular spheres, especially those linking men administering ealdordoms to the senior clergy. It also examines the offices of royal agents in late Anglo-Saxon England and argues that the duties of ecclesiastical and secular officials were not fundamentally different. While traceable kin networks appear among senior clerics and among high secular officials, few familial links connect the senior clergy to ealdormen. Thus, this thesis divides these kin-groups into those who gained secular offices, 'lay families', and those who sought power through the ecclesiastical positions, 'church families'. The analysis of the strategies adopted by 'lay families' and 'church families' to secure and maintain political power indicates how the aristocracy served both the king and their own ambitions in the governance of late Anglo-Saxon England. Although these royal agents came from different family groups, their obligations as royal agents appear remarkably similar with the exception of their military functions. This information provides a better understanding of the pool of men from whom English kings generally chose their officials, how rulers may have kept this group from becoming too small, and what was expected of these royal agents. The lack of (recorded) nepotism across episcopal and secular lines provides a more nuanced understanding of the aristocracy in Anglo-Saxon England. Furthermore, by offering an examination of both the identities and the functions of royal agents, this thesis provides a better understanding of the late Anglo-Saxon kingdom and its administration. In addition it creates a clearer picture of the aristocracy, the king, and the Church as well as the relationships between all three.
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Æthelwold's circle, saints' cults, and monastic reform, c.956-1006

Hudson, Alison January 2014 (has links)
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