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Science et scepticisme chez David Hume

Ouellet, Dominique 23 April 2018 (has links)
L’oeuvre philosophique de David Hume repose sur un incontournable paradoxe. Dans le premier livre du Traité de la nature humaine, le projet d'une science expérimentale de la nature humaine se trouve curieusement juxtaposé à l'expression d'un scepticisme radical. Notre objectif consiste principalement à rendre compte, au-delà de cette contradiction apparente, de la cohérence de la position épistémologique de Hume. Nous tenterons de mettre en évidence la compatibilité des conceptions humiennes de science et de scepticisme. Nous chercherons également à souligner l'invraisemblance de l'interprétation traditionnelle qui dissout la tension entre science et scepticisme en réduisant la philosophie humienne à un scepticisme autodestructeur.
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La nature du temps comme fondement philosophique de l'identité personnelle chez David Hume

Dubois-Flynn, Geneviève. 05 November 2021 (has links)
La question de Hume, au regard de l'identité, n'est pas de savoir en quoi consiste l'identité ou s'il y a une identité, mais comment il est possible de l'affirmer. Elle concerne en fait, la question du fondement de l'identité. Il s'agit de prouver comment, à partir de la définition d'un soi envisagé comme faisceau de perceptions, les perceptions du soi peuvent être unifiées entre elles. Les conclusions auxquelles Hume parvient, dans le Livre I du Traité de la nature humaine, sont l'admission d'un échec : sa théorie de la connaissance ne permet pas de fournir ce principe unificateur des perceptions. Dans la présente recherche, partir de laquelle la doctrine nous examinons l'hypothèse à des relations de Hume, plus précisément celle de contiguité temporelle, jette une lumière nouvelle sur la question de l'identité et représente une voie possible pour en élucider l'énigme.
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Breve investigación sobre la vinculación entre las dos definiciones de causalidad en el Tratado de la naturaleza humana de David Hume

Cabrera Cabrera, Margarita January 2019 (has links)
Informe de Seminario para optar al grado de Licenciado en Filosofía / La finalidad de este escrito fue estudiar la doble definición de causalidad en el Tratado de la naturaleza Humana de David Hume. Lo anterior se desarrolló principalmente desde la interpretación de dos comentaristas y el contraste que emerge entre ellos. Cabe destacar que no se busca dar una respuesta definitiva a tal problemática, sino que cimentar ciertas bases para un trabajo de profundización ulterior. La clave interpretativa se llevó a cabo a través del libro Hume on causation de la filósofa Helen BeeBee, la cual contrasta su postura con la lectura co -extensiva del filósofo Don Garrett. Por lo tanto, se consideraron ambas posturas con la intención de tener una mirada enriquecedora respecto a los contenidos. De manera análoga, se buscó contextualizar históricamente la filosofía de Hume a través de una escueta revisión a la metafísica cartesiana, específicamente en la III Meditación. A raíz de lo anterior, se sugiere que hay una resistencia al innatismo, lo cual origina una nueva noción de causalidad ajena al intelecto. Respecto a la doble definición de causalidad, se propone entenderla a la luz de una cierta autonomía entre cada una de ellas, pero además poseen un grado de influencia bajo ciertos respectos que serán abordados en la parte final del escrito. Se describe los términos de la co -extensión entre las definiciones según Don Garrett en Cognition and Commitment, pero no es una lectura plausible ya que se aleja de las afirmaciones que hizo Hume tal y como lo deja en evidencia BeeBee. Por último, para una ampliación de esta investigación se requiere mayor bibliografía secundaria y también mayor conocimiento de la obra humeana. En consecuencia, se buscará profundizar en otros textos del filósofo escocés para una comprensión más acabada.
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Pasión y 'razón' : Hume y el proceso de la evaluación moral

Díaz Lara, Juan Carlos 04 July 2014 (has links)
El auge de la filosofía anglosajona de inicios del siglo XX dedicada al análisis del lenguaje moral, convirtió este tema en núcleo de buena parte de la ética contemporánea. Hume, cuyo pensamiento fue revalorizado sobre todo en el campo epistémico, fue ulteriormente convertido en interlocutor, precursor y defensor de posiciones que atendían al lenguaje de la evaluación. Pero hay que señalar y distinguir desde el inicio que Hume se ocupó de elaborar una teoría general de la evaluación moral, constituida por una descripción del proceso mismo y por el estatuto de los objetos que dicho proceso evalúa, como veremos, las tendencias del carácter. Hume no dedicó ningún estudio orientado a analizar la función y estatuto del lenguaje moral. Estamos pues ante dos problemas distintos. Esta observación es importante porque delimita qué cosas preocuparon a Hume y qué cosas no fueron atendidas por él. La argumentación de Hume se dedica al proceso de la evaluación moral. Este proceso no desestima la cooperación entre pasiones y razonamiento, si bien éste tiene rasgos peculiares, y, a la vez, rechaza la afirmación según la cual los elementos más afectivos de dicho proceso no sean significativos. / Tesis
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Hume, probability and induction

Rowan, Michael. January 1985 (has links) (PDF)
Bibliography: leaves 397-406.
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Scepticisme et normativité épistémique chez David Hume

Turmel-Huot, Mélanie January 2009 (has links) (PDF)
Dans le premier livre du Traité de la nature humaine (1739), David Hume avance plusieurs arguments paraissant avoir des conséquences sceptiques radicales à l'effet que les procédures inférentielles à la base de nos croyances tant empiriques que non empiriques ne sont pas fondées par la raison, en conséquence de quoi ces croyances ne sont pas épistémiquement justifiées. Pourtant, le Traité poursuit un projet positif de type naturaliste, celui de construire une science de la nature humaine par la méthode expérimentale, et ce projet amène Hume à défendre des principes théoriques empiriques se voulant de bonnes explications des phénomènes cognitifs, passionnels et moraux humains. Or, il semble que Hume ne puisse pas défendre une telle théorie sans se commettre à la thèse que certains procédés inférentiels sont fondés et permettent de produire des croyances justifiées, ce que semble contredire son scepticisme. Comment Hume peut-il tenir une position philosophique cohérente en défendant à la fois un scepticisme épistémique radical et une théorie de la nature humaine? Notre étude de ce problème s'intéresse à deux arguments de type sceptique présentés par Hume: son argument sur les croyances causales, couramment désigné comme son argument sceptique sur l'induction, et son argument sceptique sur la raison basé sur la faillibilité de nos facultés inférentielles. Nous présentons une analyse de ces arguments montrant en quoi ce sont des arguments sceptiques radicaux mettant en cause la justification de nos croyances. Nous montrons ensuite que le texte de Hume ne permet pas de trancher clairement la question interprétative de savoir comment celui-ci envisage de défendre la poursuite de son projet d'une théorie de la nature humaine face à ses arguments sceptiques, mais que seulement deux possibilités demeurent à cet égard: la possibilité que Hume soit conduit à une conception non épistémique du fondement normatif des croyances, et la possibilité que Hume croie pouvoir encore, malgré ses arguments sceptiques, défendre le caractère raisonnable des croyances issues de sa recherche en référence à des caractéristiques qui différencient épistémiquement sa méthode philosophique expérimentale de ses concurrentes. Nous montrons toutefois qu'aucune de ces deux possibilités ne semble épargner à Hume des difficultés importantes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Hume, Scepticisme, Croyances, Justification, Théorie de la connaissance.
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Stories of olden days told for little Arizonans

Robertson, Ellen M., 1883- January 1935 (has links)
No description available.
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The role of experience in Hume and Kant

Skaggs, Patty Newton, 1911- January 1937 (has links)
No description available.
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Hume, probability and induction / Michael Rowan

Rowan, Michael January 1985 (has links)
Bibliography: leaves 397-406 / 406 leaves ; 30 cm. / Title page, contents and abstract only. The complete thesis in print form is available from the University Library. / Thesis (Ph.D.)--University of Adelaide, Dept. of Philosophy, 1986
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The motivating force of moral beliefs

Vos, James Antony 14 June 2013 (has links)
I investigate the issue of whether or not one's holding a moral belief is sufficient to motivate one to act as that belief prescribes. I argue that rational persons who hold a moral belief that is also a 'self-referential belief' will form a desire to act as that belief prescribes and thereby be motivated to act on the moral belief. I argue for this claim by, firstly, showing that the demand that moral judgements must be intrinsically motivating, Internalism, should only apply to rational persons, that is, the link between moral judgement and motivation can be broken in cases of irrationality. Secondly, I argue against the Humean claim that one cannot rationally form a desire simply because one believes that one ought to have that desire. This claim requires an investigation into a variety of views of Practical Reason and an argument concluding that Practical Reason is broader in scope than the Instrumentalist or Humean allows. I undertake this task in chapter 2. Thirdly, I argue that believing that I ought to perform a certain action will give me an internal commitment to perform that action, insofar as I am rational. I argue that an internal commitment is a form of desire. Once I recognise that I have a moral belief and an internal commitment, I will be motivated to act as that belief and commitment prescribe. / KMBT_363 / Adobe Acrobat 9.54 Paper Capture Plug-in

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