This thesis will enter into the discussion about the relationship between religion and politics to examine the proposals made by Robert Audi attempting to resolve perceived incompatible and incongruous tensions arising from politically active religion. Utilizing the work of Paul Weithman, Christopher Eberle, Nicholas Wolterstorff, Jeffrey Stout, and others, this essay examines Audi's epistemological and empirical arguments for justifying restraints upon religiously-based political advocacy. Contesting the viability of Audi's notion of a "secular reason," and his generalization that religiously-based political advocacy threatens the health and strength of a free and democratic society, I conclude that the types of restraints being put forward by Audi will likely hinder rather than help bring about more healthy and just societies. Nonetheless, Audi has helped identify a key lacuna within the arguments of those advocating the legitimacy of religiously-based and religiously motivated political advocacy and action. As such, this essay aims to provide a 'complementary' approach - one which works to clarify and situate concerns expressed by Audi regarding unrestrained religiously-based political advocacy and those of his critics desiring a more religiously-inclusive public political sphere.Ascribing to the political community the task of discerning the common good or some variant thereof (Audi speaks briefly of "political justice"; this essay proposes "public justice") is widespread within the academic literature. Few theorists, however, have allowed substantive reflection on what the political common good entails to significantly shape their considerations of and proposals regarding democratic legitimacy, appropriate restraints and guidelines for public-political dialogue, and ideals of citizenship. To that end, the thrust of the complementary approach will involve grounding and framing a religiously inclusive conception of the public-political sphere within what is being called the "institutional imperative" of the political community to pursue "public justice." Part and parcel of this institutional grounding involves re-examining concerns for civic respect, restraint, and dialogue in light of the guiding institutional norm of "public justice."

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To have a sound and complete philosphy of education is a relative must for all people concerned with the teaching of children. Fortunate is the school whose administration and faculty have in common a functional definition of the term "curriculum" and its place in their total philosophy of education. The school program of only a few decades ago consisted of the strict disciplinary type of teaching, with only a few available subjects which were intended to develop the total capactities of the student. The new philosophy recognizes the variation in students as individuals. One must not assume that there is an "only" philosphy of education, nor is there a final definition of terms. But rather, these are progressive products of learning and experience. The purpose of this thesis is to study the curricular balance of certain Utah high schools during the year 1941 to 1951. These particular years cover one part of a year's peace and all of the war years. These years should provide chaning needs of society as well as the needs and desires of high school students. This study hopes to discover if the high schools or their students made a common response to the similar events of time and location. It is the purpose of this study to see how each school responded to time elements of the environment and also to compare all schools to see if common patterns of response are present.

"May 2006." / Thesis (M.A.)--Wichita State University, Dept. of English. / "May 2006." / Includes bibliographic references (leaves 36-39)

Virginia Woolf wrote both prose and poetry, both fiction and non-fiction: she was both a creative writer and a politically conscious reporter. She left a wealth of beautifully crafted observations and comments that continue to be immensely quotable and influential. Feminist critics today use Woolf's vocabulary to continue the feminist conversation which she entered early in her life and consistently influenced as long as she lived and wrote. My purpose in this essay is to identify some of the ways in which feminists strategically use references to Virginia Woolf and A Room of One's Own to empower their own perspective or to develop legitimacy for their own knowledge and discourse. / Graduation date: 1992

Le présent mémoire traite du problème de l'action libre chez l'être humain au sein de la pensée de Bergson. Dans cette perspective, l'enjeu de ce mémoire a été tout au long de sa préparation de comprendre la position de Bergson quant à l'idée de liberté, et plus spécifiquement de la liberté humaine lorsqu'elle est considérée du point de vue de la dimension active de la vie individuelle. Cela nous a mené à identifier les difficultés que présentait l'appréhension de son effectivité au sein d'un monde matériel et social qui impose ses exigences pratiques pour l'adaptation de l'individu à son environnement physique et à la vie en société. Bien qu'il ait réfléchi à la question de l'évolution de la vie en général et à la question de la vie spirituelle partagée, de son origine et de son développement au sein des sociétés, considérations qui seront ici abordées chacune en son temps, Bergson a surtout concentré ses efforts de réflexion sur l'individu. Il a ainsi élaboré son œuvre avec le but avoué de décrire l'expérience vécue par ce dernier, notamment en décrivant son rapport au monde à travers l'élaboration d'une théorie originale de la durée qui fait de celle de l'individu une durée intérieurement vécue correspondant au déploiement de sa conscience, de sa mémoire, mais aussi finalement au développement de sa personnalité. Aussi a-t-il fini par accorder une grande importance à ces concepts au sein de sa pensée et de les mettre en lien direct avec celui de liberté en postulant très tôt leur adéquation. Cela l'a mené à aborder le sujet de l'action, car l'action de l'individu est ce qui le définit en grande partie au sein d'un monde matériel et symbolique communément partagé. L'objectif visé dans ce travail est donc de rendre compte de la manière dont Bergson aborde la question de l'expérience vécue de l'être humain par rapport à son environnement matériel et par rapport à son environnement social et symbolique et ce, afin de dégager le rôle de l'intelligence dans l'appréhension du réel, mais aussi de déterminer le cadre dans lequel est rendue possible une certaine forme de liberté chez l'individu. L'accomplissement d'une action libre étant conditionnel au degré d'éveil de la conscience de l'individu, mais le niveau d'éveil d'un être s'accompagnant toutefois du perfectionnement de certaines de ses facultés, et plus particulièrement de l'intelligence en ce qui concerne l'être humain, cette dernière doit être identifiée comme ce qui à la fois profite et nuit à l'épanouissement et à l'expression de la liberté de l'individu. C'est cette intelligence, en ce qu'elle sert l'individu à des fins pratiques, en tant qu'elle lui assure une emprise sur son monde, qui fait que la liberté lui est en quelque sorte rendue inaccessible. Il s'agit donc de montrer en quoi l'intelligence limite et détermine une expérience qui autrement pourrait être vécue sous le signe de la liberté, autrement dit en quoi le discours qui accompagne l'intelligence se superpose à la liberté dans l'action et en cache finalement l'effectivité au sein de cette action. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Liberté, intuition, nécessité, intelligence, action, être humain, société.

Que peut nous apprendre une philosophie qui reconduit, comme en son centre, à l'expérience du jaillissement ininterrompu de nouveauté? Que signifie et sur quoi repose, dans la philosophie de Bergson, la proposition selon laquelle le sujet est créateur de lui-même, mais aussi le fait qu'il y a du nouveau à l'oeuvre dans le monde de la conscience comme dans celui de la vie en général? Dans cette recherche, il s'agira d'examiner le sens de ces propositions non pas du point de vue des implications morales ou éthiques, mais bien plutôt du point de vue de la question des fondements. Deux perspectives, paradoxales s'il en est, se dégageront de notre analyse: d'une part, celle que nous défendrons, à savoir l'autocréationnisme, dont la lecture de l'Essai sur les données immédiates de la conscience, de Matière et Mémoire et de L'Évolution créatrice notamment, permettra d'en dégager la signification originale; d'autre part, celle que nous appellerons, avec d'autres, le spiritualisme, qui marque bien un moment important dans la pensée de Bergson et qui permet, lorsqu'on en suit les fines articulations, la formulation d'une hypothèse qui soulève nombre d'ambiguïtés, à savoir l'existence d'une cause transcendante ou divine qui expliquerait l'origine de la nouveauté. S'il y a émergence de propriétés nouvelles, est-ce à dire qu'il y aurait une cause externe qui expliquerait un tel phénomène et qui en serait l'origine? Ne faudrait-il pas plutôt appréhender ou penser le problème de la nouveauté à partir d'une activité immanente à la conscience ou à la nature et qu'on appellerait « l'autocréation » ? Telle sera notre hypothèse de recherche. C'est bien à une interrogation fondamentale et, pour ainsi dire, métaphysique, que nous confronte, encore aujourd'hui, la philosophie bergsonienne de la création, renouvelée et actualisée en ce sens par la pensée de Gilles Deleuze: comment la production et l'apparition de quelque chose de nouveau sont-elles possibles? Peut-on comprendre l'émergence spontanée de formes nouvelles sans invoquer un ordre caché ou une force occulte, par exemple un Dieu quelconque? La création naturelle est-elle mue par un principe autre qu'elle-même? Y a-t-il un plan ou une finalité qui gouverne à l'origine « l'évolution créatrice » ou ce que nous appellerons aussi « l'autocréation du vivant » ? En d'autres termes, est-il nécessaire de réclamer une explication métaphysique et faire appel à une forme de transcendance si nous voulons comprendre le problème de l'émergence du nouveau chez Bergson? Il semble en effet y avoir quelque chose de paradoxal dans le fait de postuler l'existence d'un ordre transcendant ou spirituel au fondement d'une philosophie qui défend et affirme, et cela de façon radicale, la thèse de la « création continue d'imprévisible nouveauté ». Pourtant, force est de constater qu'un tel paradoxe existe chez Bergson. C'est ce qui fera, plus précisément, l'objet de notre questionnement et de notre investigation: une telle tension entre des positions aussi extrêmes peut-elle constituer une source d'explication pertinente au problème de l'origine du nouveau? Comment résoudre un tel paradoxe, si tant est que la chose soit possible? Émergence ou transcendance? Ces questions fondamentales font encore l'objet de discussions dans le domaine des études bergsoniennes. Cette recherche propose donc un approfondissement de ce débat et une réinterprétation de cette problématique à la lumière d'une réflexion sur les concepts d' « autocréation », de « création de soi par soi », et d' « émergence », concepts dont la valeur philosophique n'a pas, à notre avis, été suffisamment développée et actualisée jusqu'à maintenant. Nous pensons qu'une approche du problème de la nouveauté qui s'inspire d'une telle réflexion permettrait de dépasser les contradictions et les ambiguïtés inhérentes à la position spiritualiste -à laquelle trop souvent la pensée de Bergson est rattachée et même réduite -et de jeter un nouvel éclairage sur ce débat. Le but de ce travail est donc de confronter ces deux positions antithétiques que l'on retrouve chez Bergson. Ce qui nous obligera à faire un choix important. Le moment clé de cette thèse procèdera de la justification d'un tel choix en faveur de l'autocréationnisme qu'il s'agira de mettre en évidence à travers une relecture des oeuvres majeures du philosophe. Il s'agira, en d'autres termes, de proposer une interprétation à la fois naturaliste et émergentiste du problème de la nouveauté et du concept bergsonien de création. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autocréation, Création de soi par soi, Émergence, Nouveauté, Imprévisibilité, Durée, Liberté, Mémoire, Évolution.

Version remaniée de : Dissertation : Ludwig-Maximilians-Universität München : 2000. / Texte en allemand. Quelques extraits sont en russe.

Reproduction de : Thèse de doctorat : Lettres et arts : Lyon 2 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.

In Aphrodite Unshamed: James Joyce's Romantic Aesthetics of Feminine Flow, I trace the influence of romanticism and anthropology on Joyce, and argue that he renews by classicalizing an ironic romantic genre also inspired by anthropology, the fairy tale arabesque. Created by the random cobbling together of fairytale types, plot elements, and set pieces, the arabesque's context was early anthropological work on folktales in Germany. I argue that, basing his fiction on this "nonsense" genre, Joyce mines the works of Homer, Shelley, Walter Pater, and Lucien Levy-Bruhl in order to promote--indeed, to narratively model--an abandonment of honor culture in favor of a neo-archaic culture of spiritualized sexual love. To do this, Joyce brings down to earth the airy Aphrodite of Shelley's Prometheus Unbound, and sexualizes the serpentine narrative trope Pater uses to aestheticize her power--both by chiasmatically structuring his fiction. Joyce envisions a world in which "cultural" men, because they sacralize and no longer shame female sexuality, participate in women's "primitive," i.e., not fully cultural, being. Indeed, I argue that, borrowing from Lucien Levy-Bruhl's conception of the mystical epistemologies of "primitives," Joyce viewed women as modern "primitives" capable of revitalizing overly intellectualized, alienated, and violent masculine Western culture. By creating recursive chiasmatic constructions of characters, images, and plot, Joyce creates layers of narrative infinity signs that body forth the unending "primitive" feminine rhythm that he makes the signature of his work. I argue that his work reveals that he viewed women as less than fully cultural, i.e., closer to rude animal life and the blunt forces of nature by virtue of sex, menstruation and child-bearing. He implicitly argues against the "new woman" and for women's continued "primitivity" in the service of his new, still male-produced, culture. His cooption of what he considers women's "primitive" essence is thus meant to be a source for cultural renewal for modern Westerners.