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Cinéma et connaissance sensible : expérience et composition du réel en cinéma documentaire : Asbestos, poétique d'un cratère

Lemire, Guillaume 01 1900 (has links) (PDF)
Par l'étude du « cinéma et de la connaissance sensible », cette recherche-création s'intéresse au mode de connaissance propre au cinéma documentaire. L'objectif de ce travail est de délimiter les voies d'une production documentaire capable de rendre compte de notre expérience sensible du réel pour ensuite l'appliquer dans notre création. Développer une telle posture documentaire est une manière pour nous de résister à la tradition intellectuelle dominante fondée sur la raison, et d'où découle une grande partie de nos pratiques individuelles, collectives et communicationnelles. Notre recherche-création souhaite mettre de l'avant une pratique documentaire pouvant engendrer une connaissance souple, « affectuelle » et allusive du réel. Ainsi, en examinant les champs épistémologiques du sensible et du cinéma documentaire, et en nous penchant plus spécifiquement sur les principes attachés à deux sous-genres documentaires, le cinéma direct et le film-essai, à travers l'analyse de deux œuvres, La vie moderne (2008) de Raymond Depardon et Un pays sans bon sens! (1970) de Pierre Perrault, nous avons ciblé les principes techniques et esthétiques que nous souhaitions expérimenter dans notre création. Nous avons réalisé un moyen métrage documentaire (28 min. 08 sec.) sur la mémoire de la région minière d'Asbestos : Asbestos, poétique d'un cratère. Ce film, par ses méthodes de tournage et par sa composition narrative sensible et poétique, représente une mise à l'épreuve de notre posture de connaissance documentaire. L'expérience d'Asbestos, poétique d'un cratère démontre comment les images en mouvement et la composition sonore permettent de révéler sensiblement et pertinemment la densité du réel. Cette recherche-création permet, en somme, d'explorer les questions suivantes : comment asseoir une posture de connaissance documentaire, et comment incarner cette posture dans la création documentaire? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cinéma documentaire, épistémologie, expérience sensible, recherche-création
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L'autocréation du nouveau dans l'évolutionnisme de Bergson : contribution à la naturalisation de l'idée bergsonienne de création

Charbonneau, Pierre January 2009 (has links) (PDF)
Que peut nous apprendre une philosophie qui reconduit, comme en son centre, à l'expérience du jaillissement ininterrompu de nouveauté? Que signifie et sur quoi repose, dans la philosophie de Bergson, la proposition selon laquelle le sujet est créateur de lui-même, mais aussi le fait qu'il y a du nouveau à l'oeuvre dans le monde de la conscience comme dans celui de la vie en général? Dans cette recherche, il s'agira d'examiner le sens de ces propositions non pas du point de vue des implications morales ou éthiques, mais bien plutôt du point de vue de la question des fondements. Deux perspectives, paradoxales s'il en est, se dégageront de notre analyse: d'une part, celle que nous défendrons, à savoir l'autocréationnisme, dont la lecture de l'Essai sur les données immédiates de la conscience, de Matière et Mémoire et de L'Évolution créatrice notamment, permettra d'en dégager la signification originale; d'autre part, celle que nous appellerons, avec d'autres, le spiritualisme, qui marque bien un moment important dans la pensée de Bergson et qui permet, lorsqu'on en suit les fines articulations, la formulation d'une hypothèse qui soulève nombre d'ambiguïtés, à savoir l'existence d'une cause transcendante ou divine qui expliquerait l'origine de la nouveauté. S'il y a émergence de propriétés nouvelles, est-ce à dire qu'il y aurait une cause externe qui expliquerait un tel phénomène et qui en serait l'origine? Ne faudrait-il pas plutôt appréhender ou penser le problème de la nouveauté à partir d'une activité immanente à la conscience ou à la nature et qu'on appellerait « l'autocréation » ? Telle sera notre hypothèse de recherche. C'est bien à une interrogation fondamentale et, pour ainsi dire, métaphysique, que nous confronte, encore aujourd'hui, la philosophie bergsonienne de la création, renouvelée et actualisée en ce sens par la pensée de Gilles Deleuze: comment la production et l'apparition de quelque chose de nouveau sont-elles possibles? Peut-on comprendre l'émergence spontanée de formes nouvelles sans invoquer un ordre caché ou une force occulte, par exemple un Dieu quelconque? La création naturelle est-elle mue par un principe autre qu'elle-même? Y a-t-il un plan ou une finalité qui gouverne à l'origine « l'évolution créatrice » ou ce que nous appellerons aussi « l'autocréation du vivant » ? En d'autres termes, est-il nécessaire de réclamer une explication métaphysique et faire appel à une forme de transcendance si nous voulons comprendre le problème de l'émergence du nouveau chez Bergson? Il semble en effet y avoir quelque chose de paradoxal dans le fait de postuler l'existence d'un ordre transcendant ou spirituel au fondement d'une philosophie qui défend et affirme, et cela de façon radicale, la thèse de la « création continue d'imprévisible nouveauté ». Pourtant, force est de constater qu'un tel paradoxe existe chez Bergson. C'est ce qui fera, plus précisément, l'objet de notre questionnement et de notre investigation: une telle tension entre des positions aussi extrêmes peut-elle constituer une source d'explication pertinente au problème de l'origine du nouveau? Comment résoudre un tel paradoxe, si tant est que la chose soit possible? Émergence ou transcendance? Ces questions fondamentales font encore l'objet de discussions dans le domaine des études bergsoniennes. Cette recherche propose donc un approfondissement de ce débat et une réinterprétation de cette problématique à la lumière d'une réflexion sur les concepts d' « autocréation », de « création de soi par soi », et d' « émergence », concepts dont la valeur philosophique n'a pas, à notre avis, été suffisamment développée et actualisée jusqu'à maintenant. Nous pensons qu'une approche du problème de la nouveauté qui s'inspire d'une telle réflexion permettrait de dépasser les contradictions et les ambiguïtés inhérentes à la position spiritualiste -à laquelle trop souvent la pensée de Bergson est rattachée et même réduite -et de jeter un nouvel éclairage sur ce débat. Le but de ce travail est donc de confronter ces deux positions antithétiques que l'on retrouve chez Bergson. Ce qui nous obligera à faire un choix important. Le moment clé de cette thèse procèdera de la justification d'un tel choix en faveur de l'autocréationnisme qu'il s'agira de mettre en évidence à travers une relecture des oeuvres majeures du philosophe. Il s'agira, en d'autres termes, de proposer une interprétation à la fois naturaliste et émergentiste du problème de la nouveauté et du concept bergsonien de création. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Autocréation, Création de soi par soi, Émergence, Nouveauté, Imprévisibilité, Durée, Liberté, Mémoire, Évolution.
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La création cannibale : cas de figure chez Jan Svankmajer, le comte de Lautréamont et Edmund Kemper : une approche interdisciplinaire de la perversion

Hubert, Karine January 2010 (has links) (PDF)
La présente recherche porte sur le cannibalisme comme fantasme de création, et même d'autocréation, à partir de trois cas de figure empruntés à la littérature (Les chants de Maldoror de Lautréamont), au cinéma (Otesanek de Jan Svankmajer) et au fait divers (l'oeuvre criminelle d'Edmund Kemper). On s'y intéresse prioritairement au sujet (le narrateur/scripteur Maldoror, le monstre Otik, le tueur en série Kemper) qui, préoccupé de réaliser sa propre mise en scène, recourt au cannibalisme avec le dessein avoué de faire acte de création. Il est à noter que le cannibalisme étant essentiellement défini comme un fantasme par nombre de théoriciens, tels Green, Pontalis ou Pouillon, l'oeuvre du créateur cannibale devient la transposition imagée d'un scénario extrêmement précis, comme on le voit dans le cas du tueur, du réalisateur ou du poète s'appliquant à raconter les événements sous forme de « scènes théâtrales ». Le récit qui s'élabore -à partir d'éléments réels ou fantasmés s'articule autour de l'avidité orale et du rapport ambigu à la mère, de la sexualité liée à la violence, de la révolte contre l'autorité et du désir de toute-puissance, de la remise en cause de la filiation et du fantasme d'auto-engendrement. Si cette étude s'inspire principalement de travaux psychanalytiques, un détour par l'anthropologie s'avère essentiel, ne serait-ce que pour arriver à l'unique point de convergence des deux approches. Constatant la disparition progressive du cannibalisme effectif, les chercheurs s'entendent pour repousser le cannibalisme dans un ailleurs, mythe ou fantasme. Ce faisant, ils oublient les cas -peu nombreux, mais révélateurs -relevés par la psychiatrie et la criminologie. L'intérêt d'étudier les témoignages et les biographies de tueurs cannibales ne saurait tenir à l'espoir de trouver un cannibalisme plus brut ou plus authentique, mais de comparer leurs récits avec d'autres représentations du cannibalisme, une occasion d'éprouver l'affirmation de Green voulant que la réalité du cannibalisme soit la possibilité de faire passer dans le réelle fantasme qui le sous-tend. Alors que les criminologues considèrent que le tueur cannibale appartient au type des meurtriers sadiques, les psychanalystes classent les activités sexuelles déviantes comme le cannibalisme, le sadisme ou la nécrophilie parmi les perversions sexuelles. Plusieurs auteurs (McDougall, Stoller, Balier) mettent en évidence l'importance chez le pervers d'élaborer une mythologie sexuelle privée, indispensable à la sauvegarde du plaisir érotique, qui prend directement sa source dans la représentation fantasmatique de la scène originaire. Si le désir d'être le témoin privilégié de sa propre conception répond du narcissisme du sujet, le fantasme de pouvoir annuler cette scène, qui obéit aux lois de l'ontogenèse et de la phylogenèse, pour en concevoir une nouvelle, à la mesure de son ambition, révèle la présence d'un incommensurable sentiment de toute-puissance. C'est finalement en créant une oeuvre singulière que les auteurs entendent immortaliser leur génie dans un désir d'éternité narcissique (Anzieu), et ce, dans un rapport de réciprocité puisqu'il s'agit, comme l'écrit Blanchot à propos de Lautréamont, d'une création qui va les créer pour qu'ils puissent la créer. La problématique de la création cannibale se déploie ainsi à partir des lieux privilégiés où se joue le désir du sujet pervers: la scène de la sexualité, qu'il parvient à réinventer à partir de sa propre représentation des rapports entre les sexes et de sa conception de l'origine du désir, manifestation d'une oralité triomphante; la scène des origines, où il nie le rôle de ses géniteurs dans une tentative ultime de devenir l'unique auteur de ses jours; la scène de l'oeuvre, réalisée après le vol du pouvoir procréateur tantôt de la femme, tantôt des parents, tantôt de Dieu, qui peut seule apporter au sujet le sentiment de se survivre. Enfin, on pourra dépister dans ce désir d'omnipotence narcissique du créateur cannibale, auquel se lie un fantasme d'immortalité, la figure de l'artiste moderne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cannibalisme, Création, Perversion, Svankmajer, Lautréamont, Kemper.
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La création culturelle et les significations imaginaires sociales dans la société "démocratique" contemporaine : réflexion critique sur l'œuvre de Cornelius Castoriadis

Plante, Dominic 03 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est d'offrir une réflexion critique sur l'œuvre de Cornelius Castoriadis, plus précisément sur son concept de création humaine (psychique, sociale, culturelle et artistique) ainsi que sur son interprétation de la création culturelle dans la société « démocratique » contemporaine. Pour ce faire, nous confronterons la pensée de Castoriadis à deux auteurs liés à l'herméneutique contemporaine, soit Paul Ricoeur et Hans-Georg Gadamer. Le dialogue entre Castoriadis et Ricoeur mettra en lumière certaines lacunes dans la conception de la psyché humaine et de la création psychique chez Castoriadis. Nous remettrons donc en question l'idée de Castoriadis selon laquelle la psyché humaine, à l'origine (chez l'infans), est dans un état totalement clos (monadique) qui serait rompu seulement avec la socialisation de la psyché. Ce dialogue montrera aussi l'importance des termes de clôture et de rupture dans la pensée de Castoriadis. Dans un deuxième temps, nous mettrons en scène un dialogue entre Castoriadis et Gadamer concernant leur compréhension du monde humain. Nous verrons alors que Castoriadis, en insistant sur l'idée que la société est une création d'un monde singulier de significations imaginaires sociales, développe cependant très peu sur l'idée de l'humanité comme monde, ainsi que sur l'importance de l'intercompréhension dans la formation du sujet et de la société. Finalement, dans le dernier chapitre nous traiterons de l'interprétation que propose Castoriadis de la création culturelle dans la société « démocratique » contemporaine, en la confrontant à celle de Gadamer. Nous verrons alors que, chez Castoriadis, la création culturelle contemporaine est interprétée à partir de l'idée selon laquelle un projet politique (le projet d'autonomie) doit resurgir dans la société. Globalement, nous arrivons à la conclusion qu'il y a une certaine mécompréhension, chez Castoriadis, de la transmission du sens et de la tradition dans la création humaine. Cette mécompréhension de Castoriadis, selon nous, s'explique à partir de sa propre conception de la création humaine qui, en étant conçue comme ex nihilo, ne permet pas de comprendre la nouvelle création humaine autrement que comme une forme radicalement nouvelle, que comme ce qui crée une rupture ontologique avec les formes précédentes, faisant en sorte qu'il néglige les liens entre les formes anciennes et les nouvelles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Castoriadis, Gadamer, Ricoeur, culture, art contemporain, société contemporaine, herméneutique, socialisation, démocratie
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Raison et création : le constructivisme et l’institutionnalisme postmétaphysiques de Cornelius Castoriadis / Reason and creation : castoriadis’ postmetaphysical constructivism and institutionalism

Tranchant, Thibault 05 July 2019 (has links)
L'objet de cette thèse doctorale est la réponse poïétique et institutionnaliste offerte par Castoriadis au problème de la constitution d'une universalité pratique dans un contexte post-métaphysique. La thèse s'ouvre sur une définition de la philosophie politique comme projet d'objectivation institutionnelle de la raison et sur l'exposition du problème, pour cette discipline, engendré par la critique de la métaphysique et l'émergence d'une conception procédurale de la raison lors de la modernité. La thèse est ensuite divisée en deux parties. La première porte sur la philosophie de Castoriadis, c'est-à-dire sur sa critique de la pensée métaphysique, son ontologie et sa théorie de la connaissance. Nous y défendons la thèse interprétative que sa philosophie est un « pluralisme ontopoïétique constructiviste ». La seconde porte sur sa conception de la raison pratique, que nous interprétons comme « institutionnalisme post-métaphysique ». Nous concluons en explicitant les nouvelles médiations établies par Castoriadis entre philosophie et politique, sa conception de l'universalité pratique, et, par conséquent, la place qu'il occupe dans le temps long de l'histoire de la philosophie politique. Une perspective comparative a été privilégiée tout au long de notre argumentaire. Nous apprécions la singularité castoriadienne en la comparant avec des philosophies ayant partagé des problèmes communs et certains horizons thétiques, notamment l'héritage hégéliano-marxien et les philosophies de la différence. / The purpose of this doctoral thesis is to expose Castoriadis’ poïetical and institutional answer to the following question: how can we constitute a practical universality in a postmetaphysical context. Starting with a definition of political philosophy as the progressive and institutional objectification of reason, I first show how the modern radical critic of metaphysical thoughts and the modern emergence of a procedural conception of reason were both problematic for political philosophy. The thesis is then divided into two parts. The first part is devoted to Castoriadis’ philosophy and presents his own critics of metaphysical thinking, his ontology and his theory of knowledge. I then follow the interpretative thesis according to which Castoriadis’ philosophy can be characterized as an ''ontopoïetical pluralistic constructivism'' The second part is about his conception of practical reason, which I interpret as a “postmetaphysical institutionalism”. I conclude by showing that Castoriadis offers not only new mediations between politics and philosophy but also an original conception of practical universality in the history of political philosophy. Using a comparative method, I put forward Castoriadis’ thoughts through a comparison with other philosophies that share common problems and thesis, e.g. the Hegelian-Marxian tradition and the philosophies of difference.

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